La nuit de la saint-Jean, on allait jadis cueillir les septs herbes sacrées dont on faisait un usage bénéfique.
Les feuilles froissées de l'achillée mille feuille étaient réputées pou arrêter les saignements et pour aider à la cicatrisation. les fleurs de millepertuis(500g) étaient mises à macérer dans 1 litre d'huile d'olive pendant 10 jours au soleil,cette huile servait à guérir les brûlures(j'en est encore un bocal de l'an dernier) L'armoise soulageait les problèmes féminins. La joubarde des pîqures d'insectes, les cors,les dartres. Les fleurs fraîches de la grande Marguerite sauvage, appliquées sur les petites plaies,les cicatrisations tandis que l'infusion de ses feuilles séches, appliquée avec un linge sur l'oeil, améliorant les conjonctivites. Le Lierre terrestre(hedera) soignait les affections de la bouche et des bronches. La Sauge avait la réputation d'être à la fois tonique, calmante, digestive et diurétique. Les herbes auxquelles on attribuait un pouvoir magique étaient ramassées entre l'angélus du midi du 23 juin et celui du lendemain même heure.Mais les herbes les plus puissantes étaient celles qui avaient à la clarté de la lune qui augmentait la vertu des plantes alors que les rayons du oleil et la rosée matinale altéraient leurs effets. |
gros problèmes avec mon ordi!!!!!
cet apres-midi allez voir un dépanneur!!! bisous aux amies |
j'étais tre occupée me revoilà, ce matin jojo est venu il n'a pas testé !
Pierre a eu un nouveau mangeoir pour l'écureuil en+ 2 billets pour aller voir Serge Lama au casino d'Arras! hyper gâtés. |
Lorsqu’on est en paix avec soi-même, on contribue, d’une certaine façon, à l’harmonie du monde. |
L'oiseau le plus familier de nos pelouses !
Dos gris foncé, poitrine rouge brique, croissant blanc autour de l'oeil, le bec jaune, la tête et la queue noirâtres. La femelle est identique au mâle. Les vers et les insectes du sol sont une partie de son alimentation. En saison, les petits fruits sont l'autre partie de sa gourmandise. Il aime nicher sur les poutres des vérandas. Son beau chant ressemble à celui du cardinal à poitrine rose Les merles migrent pas loin, à peine de l'autre côté de la frontière ! Ils passent l'hiver parmi nous, s'il y a suffisamment d'arbres à petits fruits pour lui permettre de passer l'hiver, comme au Jardin Botanique de Montréal Les merles du Québec migrent à New-York. Ceux de New-York en Virginie et ainsi de suite jusqu'au Guatémala. Il est de retour parmi nous, en mars avec les giboulées. Ils fréquentent régulièrement les pelouses et les jardins potagers! L'été, procurez-leur un bain d'oiseau, vous les verrez alors y prendre leur bain quotidien. Ils sont si peu farouches qu'ils semblent se servir de nous comme épouvantails à ses ennemis. Plazez-leur une tablette avec un toit et il y nichera volontiers. Il est très territorial, un couple ne tolère aucun autre merle sur son territoire qu'il apente de son chant plusieurs fois par jour |
du grand sauvetage des tours de Mont-Saint-Eloi
à quelque km de chez nous. |
Dans les petits secrets du grand sauvetage des tours de Mont-Saint-Éloimercredi 15.06.2011, 05:03 - La Voix du Nord Les blocs de remplacement sont taillés près de Saint-Omer, et peuvent peser jusqu'à cent kilos.
| ON EN PARLE |Depuis le début de l'année, les tours en ruines de l'ex-abbaye de Mont-Saint-Éloi ont quasiment disparu sous un immense échafaudage. Presque à l'abri des regards se joue la préservation de ce monument : remplacement de pierres, consolidation... Le chantier le plus haut perché de l'Arrageois est aussi l'un des plus ambitieux. PAR BENOÎT FAUCONNIER
arras@lavoixdunord.fr PHOTO PASCAL BONNIERE Ouf. Le conseil général n'a pas eu à faire face à l'hostilité des riverains. Pensez donc : presque deux ans de chantier, ça peut perturber les petites habitudes. Mais non. Les pigeons et autres volatiles qui se sont approprié creux et recoins des tours de Mont-Saint-Éloi n'ont pas moufté. Ces bêtes à plumes continuent de virevolter et de nidifier tranquillement, là-haut, entre pierres brinquebalantes et touffes d'herbe insolites. Depuis fin 2010, bêtes ailées et ouvriers zélés cohabitent, sur l'un des chantiers les plus atypiques de l'Arrageois. Préserver des ruines peut paraître paradoxal. Pas pour le conseil général, propriétaire depuis 2008 de ce qui fût une abbaye opulente, en partie démolie à la Révolution, et quasiment mise à terre par des bombardements en 1915. Restent les deux tours considérablement fragilisées, mais marquant toujours le paysage, du haut de la colline. « C'était devenu un peu dangereux de se balader autour, reconnaît François Woll, chef de projet du chantier de préservation des tours, au conseil général. À certains endroits, on est même surpris que ça tienne encore debout. » Logique : certaines parties de l'édifice ayant disparu sous les bombes, la tenue de la structure ne pouvait qu'être amoindrie. Et près de cent ans ont passé. « Il n'y a eu aucune protection. La pluie et le gel ont fait éclater les pierres, les joints. La végétation a dégradé les parements », décrit M. Woll. « Il ne s'agit pas de reconstruire, précise l'ingénieur. Mais maintenir en l'état ce qui existe. » Le chantier entrepris n'a rien de commun avec des réparations ponctuelles. Il s'agit cette fois-ci d'une reprise de structure. « On va protéger les parties exposées. Il y aura une couverture en plomb sur les sommets. Un paratonnerre sera posé. » La voûte centrale sera consolidée avec du béton discret, promet François Woll. « Tout ce qui est horizontal est en mauvais état », estime-t-il. Certaines fissures ont déjà été réparées, par « brochage » : une pièce métallique ou de carbone est enfoncée dans les pierres, et rapproche les éléments tentés de se faire la malle. « On vient resceller vers la partie stable », corrige François Woll. En ce moment, à une quarantaine de mètres du sol (les tours culminent à cinquante mètres), trois personnes remplacent une à une les pierres calcaires les plus fragiles. Un plan extrêmement détaillé répertorie chaque pierre, numérotée, à changer. C'est le point final d'une étude en partie réalisée grâce à... un voyage en ballon dirigeable, autour du monument, pour cibler les pièces les plus fragiles. Une étude encore affinée depuis la pose de l'échafaudage, qui a permis de « mettre le nez » sur chaque pierre. Et de corriger la quantité de pièces à remplacer. « En parement, on compte environ une pierre sur trois à remplacer », signale François Woll. Les éléments neufs sont de la pierre de Migné (Vienne). Des blocs taillés à bonne forme, à bonne dimension, chez Chevalier Nord, à Saint-Martin-au-Laërt, et livrés à Mont-Saint-Éloi. Aux poseurs de la société de faire le reste. « Vous pouvez marcher sur la corniche, c'est moi qui l'ai faite ! » lance un homme de l'art, rassurant, qui progresse, avec ses deux collègues, de haut en bas. D'abord sur la tour Nord. « C'est un travail à faire ponctuellement, de façon très fine », observe François Woll. Pour atténuer les différences de couleur, l'édifice devrait être « patiné ». Certaines pierres façonnées devraient être reprises par un sculpteur. C'est plus près du sol, finalement, que le travail sera le moins visible. Logique, là aussi : « la partie basse est en grès, plus solide, et moins exposée, donc moins endommagée. » Une partie qui intéresse moins les pigeons que les visiteurs. Les uns et les autres devraient retrouver toute liberté de mouvement, autour du |
polet à l'estragon de Sylvie, mais pas de champignons! la prochaine fois!
la sauce était bien bonne! macéracion des pétales de roses, j'ai réduit les quantités
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nous sommes tristes, revienda-t-il?
peut-être une mauvaise rencontre! les 4 vallées
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