Il n'y a pas une composante alimentaire qui est la seule responsable du syndrome métabolique (SM), mais c'est bien la qualité de l'alimentation dans son ensemble qui importe. C'est le message de bon sens, mais qui découle d'une analyse minutieuse des données disponibles, que profèrent des chercheurs du Queensland Institute of Medical Research à Herston, en Australie.
![]()
Ajouter un commentaire
|