Et la France ? Croisez les doigts pour trouver de bons médecins de ville ! De plus en plus rares ! Orgueil et préjugés- Bureaucratie - La perte des vérifications et gestes médicaux- Combien de médecins traitants contrôlent votre carnet de vaccination ? ! Prise de sang de contrôle ? Le retour des médecins dans les hôpitaux remet en place leur rôle majeur dans une Société. Quant à ceux qui frappent leur femme... Une autre affaire !!!
Un médecin a été condamné par le tribunal de Lille à trois ans de prison dont un an avec sursis pour avoir notamment toussé «de façon exagérée» en présence des gendarmes en disant être atteint du COVID-19, a-t-on appris mardi de sources concordantes. L'homme, âgé de 66 ans, a été placé en détention à l'issue de l'audience lundi, a indiqué à l'AFP le parquet de Lille. Samedi soir, les gendarmes ont interpellé ce médecin exerçant dans un centre hospitalier de la métropole lilloise à son domicile pour des faits de «violences par conjoint», ont affirmé les gendarmes à l'AFP. «Selon les dires de son épouse», cet homme «est en arrêt maladie suite à une suspicion de COVID-19», a relaté cette source.
Incinérations et substances chimiques des corps.
La seule chose interdite lors de la crémation, ce sont les pacemakers pour éviter les risques d’explosions. Et la France est loin d’être le dernier pays à avoir recours au formol, même s’il est vrai qu’il y a un consensus au sein de la profession sur le fait qu’il faudra arrêter de l’utiliser. Mais cela ne pourra se faire que lorsqu’un produit de substitution de qualité sera disponible, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. »
L’inquiétude de l’Afif dépasse cependant les limites de l’utilisation même du formol et porte également sur la crémation des corps formolés. « La France est, là aussi, l’un des rares pays d’Europe à accepter les crémations après injection de produits formolés, alors que cela rejette des dioxines : de véritables poisons ! » s’insurge Michel Kawnik, président de l’Afif. Lors d’une crémation, les produits formolés employés en association avec d’autres molécules chimiques produisent de la dioxine qui peut être à l’origine d’atteintes cutanées, d’altérations de la fonction hépatique, des systèmes immunitaires, nerveux et endocriniens et de la fonction de reproduction.
Au cours de sa vie, le futur défunt ingère ou respire des substances qui pourraient avoir un impact sur sa décomposition et sur la pollution des sols. Au-delà du formol, « les produits ingérés durant la vie ne sont pas anodins, estime ainsi Michel Kawnik, notamment les produits chimiques dans l’alimentation, mais aussi certains traitements médicaux comme la chimiothérapie ou la contraception. Il faudrait repenser nos modes de vie pour limiter cette pollution. Tout ce qui est ingéré et accumulé durant la vie se retrouve dans les sols à la décomposition des corps », plaide-t-il.
À côté du formol, l’attention de l’association se focalise sur un métal pauvre retrouvé dans de nombreux corps : le mercure. Michel Kawnik considère que la crémation est « la première pollution mercurielle de France », notamment du fait des amalgames dentaires en mercure très utilisés il y a quelques décennies dans l’Hexagone. 17 tonnes de mercure dentaire seraient placées dans la bouche des Français chaque année. Des chiffres avancés dans une tribune publiée en 2012 par un groupe de chercheurs et acteurs publics, dont Michèle Rivasi, eurodéputée EELV. L’association Non au mercure dentaire rappelle par ailleurs les résultats d’une étude anglaise de 2003. Celle-ci a suivi pendant 37 ans, près de 240.000 femmes enceintes et résidant près d’un crématorium. Les chercheurs ont conclu à un risque accru de 17 % de spina bifida (développement incomplet de la colonne vertébrale) et de 12 % de défauts cardiaques chez les nouveau-nés. La Suède a estimé quant à elle en 2000, que les rejets de mercure liés aux crémations représentaient environ un tiers des émissions de mercure nationales. Dans son article, Claude Bouriot estime ainsi que sur les 150 crématoriums présents en France en 2011, « sept tonnes de formaldéhyde pur » étaient incinérées, soit « 47 kilos par crématorium et par an, avec cependant une diversité entre les crématoriums urbains, qui pratiquent plus de crémations ».
Atteintes pulmonaires du vapotage
Les biopsies des poumons de 17 personnes frappées par les maladies pulmonaires liées au vapotage aux États-Unis, dont deux décédées, révèlent des lésions similaires à une exposition à des gaz toxiques, selon une étude médicale publiée mercredi 2 octobre 2019. "Il semble que ce soit une sorte de lésion chimique directe, similaire à ce qu'on pourrait voir lors d'une exposition à des émanations chimiques toxiques, des gaz ou des agents toxiques", explique le médecin Brandon Larsen, de l'hôpital Mayo Clinic Arizona, auteur de l'étude parue dans la revue médicale New England Journal of Medicine.
Aucun des cas ne correspond à une "pneumonie lipidique"
Les malades étudiés ne représentent qu'un petit échantillon des plus de 800 recensés à ce jour aux États-Unis. Mais aucun de ces cas ne correspondait à l'un des diagnostics évoqués initialement, à savoir une "pneumonie lipidique", qui se produit quand des huiles pénètrent les poumons. L'huile de vitamine E a été citée par les autorités de l'État de New York comme une possible cause des maladies. "D'après ce que nous avons vu dans notre étude, nous estimons que la plupart des cas impliquent des contaminants chimiques, des dérivés toxiques ou d'autre agents nocifs contenus dans les liquides de vapotage", poursuit Brandon Larsen
Au 27 septembre, 12 décès ont été confirmés par les autorités fédérales. Les autorités sanitaires enquêtent depuis le mois de juillet 2019 pour déterminer la cause des maladies, qui frappent en majorité des hommes jeunes utilisateurs de cigarettes électroniques. Les trois quarts vapotaient des e-liquides au THC, l'agent psychoactif du cannabis, souvent achetés sur le marché noir. Les experts soupçonnent qu'un ou plusieurs additifs provoquent les maladies, qui provoquent des difficultés à respirer.
Le SRAS est une maladie infectieuse causée par un virus appartenant à la famille des coronavirus, le Sars-CoV. Le réservoir animal du coronavirus du SRAS a été identifié comme étant une chauve-souris insectivore. L’hôte intermédiaire qui a permis le passage du virus à l’homme est la civette palmiste masquée, animal sauvage vendu sur les marchés et consommé au sud de la Chine.
Symptômes et épidémiologie
Le SRAS, au départ nommé pneumopathie atypique, est caractérisé par une fièvre élevée (supérieure à 38°C), associée à un ou plusieurs symptômes respiratoires : toux sèche, essoufflement, difficultés respiratoires. D’autres symptômes peuvent être constatés comme des maux de tête, des douleurs musculaires, des diarrhées et un malaise général. La durée d’incubation ne dépasse généralement pas 10 jours. L’OMS considère que le taux de létalité global est de 15 % et peut dépasser 50 % chez les personnes de plus de 65 ans.
Une transmission principale par voie aérienne
Le SRAS s’est vite avéré être transmis d’homme à homme par l’air, probablement par des gouttelettes de salive contaminées. Il s’est rapidement propagé au niveau mondial à la faveur des transports aériens, les flambées les plus importantes s’étant concentrées dans les plaques tournantes aéroportuaires ou dans des zones à fortes densités de population. L’épidémie survenue dans un groupe d’immeubles (Amoy Gardens) à Hong Kong, où 66% des malades étaient atteints de diarrhées contre 2 à 7% habituellement, a soulevé la possibilité d’une transmission locale par le système d’évacuation des égouts. D’autres modes de transmission sont probables, par des objets contaminés par exemple.
Un nouveau virus identifié
Le réseau international des laboratoires (dont le Centre collaborateur de l’OMS pour la recherche et la référence sur les virus grippaux et les autres virus respiratoires, au sein de l’unité de Génétique moléculaire des virus respiratoires à l’Institut Pasteur) chargés par l’OMS de rechercher l’agent causal du SRAS et de mettre au point un test diagnostique a découvert un virus totalement inconnu des scientifiques. Il s’agit d’un virus appartement à la famille des coronavirus dont les propriétés n’avaient jamais été observées auparavant. Habituellement, les coronavirus sont à l’origine chez l’homme de rhumes sans gravité.
Biopsie des poumons des défunts-Coronavirus ? Aucun retour malgré le nombre de cas. Propagation du virus au domicile et àl'hôpital : Malgré ses symptômes bénins, le premier patient avait contaminé 13 des 15 surfaces analysées par les chercheurs, incluant sa chaise, son lit, sa fenêtre et le sol. Dans ses toilettes, trois surfaces sur les cinq testées, dont son lavabo et sa cuvette, présentaient des traces du virus, suggérant que les selles pourraient être une voie de transmission. Les échantillons d'air de sa chambre se sont révélés négatifs, mais ceux prélevés sur ses grilles d'aération sont revenus positifs, montrant que les gouttelettes contaminées pouvaient être transportées par les flux d'air.
Pour ceux exposés à des gaz toxiques :
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Les symptômes dépendent du gaz ou du produit chimique qui est inhalé, ainsi que de la profondeur et de la durée de cette inhalation.
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Les symptômes peuvent inclure une irritation des yeux ou du nez, une toux, du sang dans les expectorations et un essoufflement.
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On procède à des radiographies du thorax, une tomodensitométrie et des examens respiratoires pour déterminer l’étendue et la gravité de la lésion des poumons.
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On administre de l’oxygène et des médicaments qui dilatent les voies respiratoires et diminuent l’inflammation.
(Voir aussi Présentation des maladies pulmonaires environnementales.)
Divers types de gaz (tels que chlore, phosgène, dioxyde de soufre, sulfure d’hydrogène, dioxyde d’azote et ammoniac) peuvent être brusquement émis dans l’atmosphère lors d’accidents industriels et peuvent provoquer une irritation importante des poumons. Les gaz ont également été utilisés comme armes chimiques.
L’oxygène est le principal traitement des personnes exposées aux gaz. Si l’atteinte pulmonaire est sévère, la personne peut nécessiter une ventilation mécanique ( Ventilation mécanique). Mais toute personne qui a des problèmes respiratoires après avoir inhalé un gaz est habituellement surveillée dans un hôpital pendant la nuit pour s’assurer que des complications graves ne surviennent pas. Les médicaments qui dilatent les voies respiratoires (bronchodilatateurs), les perfusions par voie intraveineuse et les antibiotiques peuvent être utiles. Les corticoïdes de type prednisone sont souvent administrés pour réduire l’inflammation pulmonaire.