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EVOLUTION DU COVID EN FRANCE 30 000 MORTS EN JUIN- 32 000 MORTS SEPTEMBRE 2020- LES PREVENTIONS A L'ETRANGER----

 04/10/2020

En France : le Pr #LucMontagnier, Nobel de médecine et découvreur du virus du #VIH affirme que le #covid19 n'a rien de naturel Un bricolage génétique sortant d'un labo ! A suivre...


«Il y a plusieurs leçons à tirer de la riposte de la Nouvelle-Zélande à la pandémie, résument les professeurs de l’université Otago. Une évaluation rapide et scientifique des risques liée à une action gouvernementale précoce et décisive était essentielle.

«La mise en œuvre d’interventions à différents niveaux (mesures de contrôle aux frontières, mesures de contrôle de la transmission communautaire et mesures de contrôle basées sur les cas) a été efficace.

«La première ministre Jacinda Ardern a assuré un leadership empathique et a communiqué efficacement des messages-clés au public – encadrant la lutte contre la pandémie comme le travail d’une «équipe unifiée de 5 millions de personnes» – ce qui a abouti à une grande confiance du public et à l’adhésion à une série de mesures de lutte contre la pandémie relativement lourdes.»

Au Québec, on a eu des messages contradictoires, estime Mme Da Silva, au sujet des consignes de la Santé publique, notamment du port du masque, ce qui a nuit à la crédibilité du gouvernement.

Les grands perdants

Aujourd’hui, la Nouvelle-Zélande en est au stade post-élimination. Les rares cas qui surviennent sont attribuables à des voyageurs internationaux. Chaque cas est pris rapidement en charge par le gouvernement pendant 14 jours, afin de ne pas compromettre «le statut d’élimination du pays».

Pour Mme Da Silva, les grands perdants, ici comme en Nouvelle-Zélande, ont été les malades, particulièrement ceux en attente d’une chirurgie, comme les cancéreux. «Les personnes de 40 ans qui devaient être opérées ont subi un stress énorme [avec la réorganisation des hôpitaux]. Et parmi elles, il y a peut être des parents qui ne pourront jamais voir grandir leurs enfants… À 40-50 ans, une fois guéris du cancer, on peut contribuer encore à l’enrichissement de la société.»

En tant que société, poursuit l’universitaire, il faudra se questionner sur les choix qu’on souhaite faire dans le cas d’une deuxième vague, à savoir protéger des aînés vivant en CHSLD dont l’espérance de vie moyenne est de 18 mois ou sauver des malades dont l’espérance de vie est encore de quelques décennies? Ce sont des questions difficiles à poser, avoue Mme Da Silva, qui ne veut surtout pas qu’on en arrive à devoir choisir à qui iront les derniers respirateurs disponibles, comme ce fut presque le cas en Italie au pic de la pandémie



Évolution courbe nouvelle zelande


Le président américain Donald Trump a très probablement été à lui seul le facteur ayant engendré le plus de désinformation sur la COVID-19 pendant la pandémie, selon une étude publiée jeudi par l’Université Cornell.

Quelque 38 millions d’articles, publiés en anglais dans les médias traditionnels entre le 1er janvier et le 26 mai 2020, ont été analysés par une équipe de la Cornell Alliance for Science.

Cette base de données comprenait des articles publiés notamment pour les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Inde, l’Irlande, l’Australie et la Nouvelle-Zélande, ainsi que pour certains autres pays d’Afrique et d’Asie.

Plus de 522 400 articles véhiculant de fausses informations relatives au coronavirus ont été identifiés, un phénomène qualifié d’infodémie par l’Organisation mondiale de la santé.

Au total, onze catégories ont été identifiées, allant des théories conspirationnistes aux remèdes miracles.

Ce dernier sujet était de loin le plus populaire, apparaissant dans 295 351 articles, soit plus que les dix autres combinés.

Selon les auteurs de l’étude, les commentaires de Donald Trump ont été responsables d’un pic important dans cette catégorie, notamment ceux tenus lors d’une conférence de presse le 24 avril, lors de laquelle il avait évoqué la possibilité d’injection de désinfectant dans le corps pour traiter la maladie.

Des pics similaires ont été constatés lorsqu’il a promu l’usage d’hydroxychloroquine, un traitement dont l’efficacité n’a pas été prouvée.

Nous avons donc conclu que le président des États-Unis a certainement été le plus grand facteur de désinformation sur la COVID-19, ont écrit les chercheurs.

Si les gens sont mal aiguillés par des affirmations non scientifiques et non corroborées sur la maladie, il se peut qu’ils suivent moins les recommandations officielles et propagent ainsi davantage la maladie , a déclaré Sarah Evanega, qui a dirigé l’étude.

L’un des aspects les plus intéressants […] a été de découvrir la masse impressionnante de fausses informations directement liées aux commentaires sur un petit nombre d’individus, a relevé son coauteur Jordan Adams.

OCTOBRE 2020: Plus facile d'annoncer être atteint du COVID QUE DU CANCER ?




 

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