Ils ont maintenant 6 semaines !!
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Je vous imagine mijoter de bons petits plats pour votre fête avec votre chère famille .... .... et, pour cette occasion, je vous offre cette composition avec ma rose appelée " violette parfumée". J' embrasse toutes mes amies ... Nadège
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Le temps se prête au jardinage. Je profite encore de pouvoir soigner mon jardin et d'y travailler. Mon dieu que la terre est basse !! LOL !!
Et puis, je prends le temps de faire ces petits montages photos. C' est devenu un loisir. Le muguet rose est mon jardin ... Et aussi, j' aide ma fille à faire ces créations pour décorer la médiathêque de notre village.
Je n' ai plus de plats cuisinés à vous faire partager ! Avec toute mon amitié. Nadège |
Que les jonquilles du jardin sont belles ...
Narcisse double aux contours verts.
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Ingrédients 2 pâtes feuilletées ...
2 oeufs moyen 100 g d'amandes en poudre 70 g de beurre ramolli 100 g de sucre 1 cuillère à soupe de farine 1 cuillère à soupe de rhum 1 fève *** Préparation : 1. Préparez la frangipane : battez 1 oeuf entier et un blanc d'oeuf avec la poudre d'amandes, le beurre et le sucre. Conservez le jaune pour dorer la galette. Ajoutez la farine et l'alcool choisi. 2. Déroulez la pâte feuilletée sur une plaque, étalez la frangipane et déposez la fève. 3. Couvrez la galette avec la deuxième pâte. Soudez les bords avec un peu d'eau ou de blancs d'oeufs si nécessaire. 4. Badigeonnez le dessus de la galette d'un peu de jaune d'oeuf, à l'aide d'un pinceau. Enfournez 20 à 25 min dans le four préchauffé à 200°C. 5. Servez tiède ou froid. Galette à la frangipane et mûres ... des petites menottes se sont glissées pour gouter ...... Galette à la frangipane, chocolat et banane ...
J' ai servi lers galettes sans les prendre en photo !! ou avais-je la tête ?
trop occupée et fatiguée. |
Je suis abonnée sur le site de Généanet pour mes recherches en généalogie et voici ce que j' ai reçu avec quelques récits en vieux françois .
Dans son journal, en date du 15 octobre 1721, l’avocat Edmond-Jean-François Barbier (1689-1771) évoque l’arrestation du célèbre bandit parisien Louis Dominique Cartouche : « Le 15. Grande nouvelle à Paris : Cartouche [1], ce fameux voleur (...), que l’on cherchait partout et que l’on ne trouvait nulle part, a été pris ce matin ; jamais voleur n’a eu tant d’honneur. On avait fait courir le bruit qu’il n’était plus dans Paris, qu’il était mort à Orléans, même qu’il n’existait pas, afin qu’il ne se méfiât pas de l’envie qu’on avait de le prendre. C’est un soldat aux gardes, de sa clique, qui l’a vendu et livré. Pékom, aide-major des gardes, garçon adroit, savait qu’ils étaient de connivence. Il fit arrêter le soldat et le menaça de l’envoyer au Châtelet pour lui faire faire son procès, à moins qu’il ne voulût indiquer Cartouche. Le soldat consentit et a servi de mouche. M. Le Blanc, secrétaire d’État de la guerre, qui s’est mêlé de cette recherche, en a chargé un des plus braves sergents aux gardes qui a pris et choisi quarante soldats des plus déterminés, et d’autres sergents avec lui. Ils avaient ordre de prendre Cartouche mort ou vif, c’est-à-dire de tirer sur lui s’il s’enfuyait. Cartouche était cette nuit-là dans un cabaret de la Courtille ; il s’était couché sur les six heures du matin, dans le lit du maître, et avait six pistolets sur sa table. On a investi la maison, la baïonnette au bout du fusil ; Duval, commissaire du guet, était présent. On a pris Cartouche dans son lit, heureusement sans coup férir, car il aurait tué quelqu’un.
On l’a entouré de cordes, et on l’a conduit en carrosse chez M. Le Blanc. Celui-ci ne l’a pas vu, parce qu’il est retenu dans son lit par une indisposition ; mais ses frères, et le marquis de Traisnel, son gendre, l’ont vu dans la cour, où se trouvaient nombre d’officiers et de commis. On a ordonné de le mener au Châtelet, à pied, afin que le peuple le vît et sût sa capture. Il était habillé de noir à cause du deuil de madame la Grande-Duchesse [2], qui est morte il y a quinze jours. On dit que Cartouche était insolent, qu’il grinçait des dents, et qu’il a annoncé qu’on aurait beau le garrotter, qu’on ne le tiendrait pas longtemps. Le peuple le croit un peu sorcier. On l’a conduit au Châtelet avec un concours de monde étonnant, et on l’a mais dans un cachot, attaché le long d’un pilier, afin qu’il ne puisse pas se casser la tête contre les murs. À la porte du cachot, il y a quatre hommes de garde ; jamais on n’a pris pareille précaution contre un homme. » Quelques jours avant l’arrestation de Cartouche, Edmond Barbier et le Mercure de France relatent une bien étrange affaire : « Il a été commis un meurtre effroyable, il y a deux ou trois jours, derrière les Chartreux : on a trouvé un homme horriblement mutilé, le nez coupé, le cou coupé, et le ventre ouvert, dont toutes les entrailles sortaient. Il est depuis ce temps à la Morgue, sans que personne le reconnaisse ou veuille le réclamer. On avait attaché sur lui une carte très bien écrite portant : « Ci-gît Jean l’Abaty [3], qui a eu le traitement qu’il méritait ; ceux qui en feront autant que lui, peuvent attendre le même sort". |
Bonjour mes amies, Aimeriez - vous visiter mon autre blog ? je me suis donnée beaucoup de mal à le construire !! et cela m' évite de m' ennuyer Merci de me lire .. ICI ... et portez-vous bien. Nadège >> http://dimitrilla.eklablog.com/mes-graphismes-c24651936 |
Chères amies,
Passez de bonnes fêtes... Je vous dis à l' année prochaine.. Je vous embrasse ...mille pensées... Nadège. |
Avez - vous fait un bon réveillon ? ...
Je suis venue chercher une recette pour mon repas du jour de l 'an 2014 .... |
Promenade pendant une heure autour de l' étang de St Lubin
Admirer cette ambiance aux couleurs d' automne ; ça fait du bien . |