association nahda gzoula

• 1 yaourt
• 2 oeufs
• 1,5 pots de sucre roux de canne
• 1 pot de farine
• 1 pot de fécule de maïs
• ½ sachet de levure chimique
• ½ pot d huile
• 120 gr d'amandes effilées
• 1 pincée de sel
• 2 cuillères à soupe de Grand-Marnier

• Dans un saladier, mélanger au fouet le yaourt (garder le pot, il sert de mesure pour toute la recette) et le sucre.
• Dans un autre saladier, mélanger la farine, la fécule, la levure, le sel.
• Incorporer les oeufs entiers.
• Incorporer ensuite le contenu de l'autre saladier, puis quand la pâte est bien homogène, l'huile et le Grand-Marnier.
• Préchauffer le four à 180-200°.
• Faites griller une minute ou deux les amandes dans une poêle, sans matière grasse.
• Graisser et fariner un moule à manqué, y verser la pâte.
• Mettre par-dessus les amandes, tapoter légèrement le dessus à la cuiller pour enfoncer un peu les amandes.
• Mettre au four 30 minutes environ, couvrir d'un papier aluminium à mi-cuisson.
• Le gâteau est cuit dès que la pointe d'un couteau ressort sèche.

• Ingrédients pour 30 cookies :
• 230 gr de farine
• 200 gr de chocolat blanc
• 100 gr de beurre à température ambiante
• 1 oeuf
• 75 gr de sucre roux en poudre
• 75 gr de sucre blanc en poudre
• 50 gr de noisettes mondées
• ½ cuillère à café de levure chimique
• 1 cuillère à café d'essence de vanille
• ½ cuillère à café de sel

• Faites ramollir le beurre.
• Hachez le chocolat blanc et les noisettes.
• Préchauffez le four à 180° (thermostat 6).
• Dans un saladier, battez bien le beurre avec le sucre, jusqu'à ce que le mélange blanchisse.
• Ajoutez l'oeuf et la vanille.
• Mélangez dans un saladier la farine, la levure et le sel.
• Versez en pluie dans le saladier et incorporez.
• Quand la pâte est homogène, ajoutez le chocolat blanc et les noisettes.
• Beurrez bien une plaque allant au four.
• Disposez des petits tas de pâtes de 3 cm de diamètre, en prenant soin de les espacer les uns des autres.
• Enfournez 10 à 12 min maximum.
• Posez les cookies délicatement sur une grille afin qu'ils durcissent doucement.

• ½ litre de lait caillé ou baratté (lait ribot) ou ½ litre de yaourt
• 30 gr de sucre semoule
• 1 cuillère à café d'eau de rose
• 1 pincée de cardamome

• Battez les yaourts si vous n'utilisez pas de lait ribot, pour les rendre liquide.
• Mélangez ensemble tous les ingrédients.
• Mettez au réfrigérateur ou consommez aussitôt.

Chez les arbres fruitiers, on distingue deux groupes :
- Les arbres à pépins (pommier, poirier…)
- Les arbres à noyau (cerisier, pêcher…)

Les arbres ont naturellement une dominance apicale : leurs rameaux se développent vers le haut. La plante se développe au niveau du bourgeon terminal qui produit un développement vertical du rameau.

Quand on supprime une partie d’une branche, c’est le bourgeon situé juste en dessous de la coupe qui se développera le plus.

Les coupes doivent être droites et nettes pour avoir une surface de cicatrisation minime et réduire l’entrée des possibles infections. Il est nécessaire de couvrir ensuite les parties à vif avec un produit cicatrisant (exemple : Goudron de Norvège).

Chaque groupe a des types différents, des formations de bourgeons différents avec de développements caractéristiques donnant lieu à des croissances différentes.

Les arbres à pépins forment leurs fruits sur des rameaux des années précédentes et sur des rameaux d’un an, tandis que les arbres à noyau forment leurs fruits sur les rameaux de l’année précédente. Le bois qui a donné des fruits est définitivement incapable de produire de nouveau.

Sur les arbres à pépins, il faut faire attention de ne pas arracher des morceaux de petits rameaux productifs pendant la récolte car ces mêmes rameaux produiront à nouveau des fruits l’année suivante.

La taille de formation se réalise pendant l’époque de repos hivernal où l’activité de sève est minimale et cela assure une meilleure cicatrisation, attention de ne pas la réaliser pendant les périodes de gelées.

Les arbres à noyau supportent très bien la taille pendant et après la récolte, durant l’été (qu’on appelle aussi taille en vert). Par contre, les cicatrises sont plus sensibles en hiver à l’attaque de parasites.

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PS : Photo La communicative