Le manioc est bien connu dans la monde, encore plus par sa dérivée pricipale la farine de manioc.
Cet aliment est une énigme, car il est commestible de la racine à la feuille. Les contemporains des villageois d'iWAYA savent bien de quoi je parle. Le mainoc est l'aliment de base à Iwaya , 90% des plats sont accompagnés de l'une de ces dérivées. |
Ce fruit est un coupe faim, les villageois le dégustent pendant les dures parties de pêche ou de chasse, en pleine forêt loin du village.
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La forét tant vénérée par leurs ancêtres est pour eux la seule richesse, la source de toute la production vivrière.
Tout se consomme sur mesure, et la forêt offre naturellement mais surtout gratuitement ces produits, à la grande joie des vacanciers. |
Criquet inoffensif à l'âge adulte.
Les plus jeunes servent d'appat pour la pêche à la ligne. |
Du marguoulla au criquet inofensif, le village s'anime de ces voisins que la nature nous imposent au cours du mois des vacances.
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Dans mon village, côté jardin, les fleurs sont dans la nature elles ne se cultivent pas. Elles ne sont désignés que dans mon dialecte, les noms scientifiques ne sont pas bien connus.
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De nos ancêtres à ce jour les arbres sont aussi des baromètres saisonniers.
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Les villageois de Iwaya ont des ZHQE une sorte de station service pour faire le plein d'oxygène.
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Loin de la ville les villageois jouissent d'un environnement qui depuis la nuit des temps ne leur fait que du bien au point ou il ne le preserve pas, mais c'est au contraire l'environnement qui les preserve.
Ce nouveau concept étonnera plus de un, mais les villageois de Iwaya ont bien compris que la nature n'est pas à preserver, il faut plutot savoir faire corps avec elle, une sorte de transcendance pour mieux s'adapter à l'evolution de l'environnement. |