En réalité j'ai juste le week end pour venir passer ces belles heures au village. Une fois la nostalgie de cet environnement assouvie, je rentre à la capitale pour reprendre le train train quotidien , boulot taxi dodo.
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Pendant le séjour au campement on profite à mettre des signes de présence humaine
En plus de la pêche, l'exploration de ces zones encore vièrges devient une occupation prioritaire pendant ce séjour loin des aires pollués de la cité.
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Destination le campement, l'équipe technique fait les essais du yatch avant le décollage.
L'équipage opérationnel
Zone du campement
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Quelque soit le remède à appliquer pour preserver l'environnement
les villageois ont bien compris que nul ne preserver l'environnement mieux que la nature elle même. Pour les villageois d'Iwaya tant que l'appetit des multinationales et des industrielles pour les matières premières que regorgent les zones vièrges se fera grandissant , la problématique posée par la preservation de l'environnement imposée par les scientifiques devient un frein à leurs interêts mercantiles. |
Le modeste yatch utilisé pour la navigation sur le fleuve embarque un mximum de 6 passagers
A Iwaya village endogène, les villageois ne pratiquent que la pêche vivrière.
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Arrivée au village Iwaya et préparatifs pour départ campement en forêt
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Panorama sur la route du village iwaya
Gare de transit au lever du jour
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Toujours pas de connection internet à Iwaya, il est donc impossible d'envoyer des messages et articles sur place pendant que j' y séjourne.
C'est bien une une fois à la cité que je mets toutes les images su rmon blog La durée du voyage n'a pas changée, par contre le transporteur n'arrête pas de faire varier le prix du billet ( à la hausse bien sûr).
Un reconfort tout de même le sublime paysage que les passagers contemple en urne. La longue traversée des savanes, des plaines, des cours d'eau, et du grand fleuve rendent agréables ce long voyage. L'animation dans les voitures se fait en deux temps. Dès l'embarquement une sorte d'agitation s'affiche sur tous les voyageurs qui restent éveillés la moitié de la nuit avant de se plonger dans un someil quelques heures plus tard, someil entre coupé du vacarme des passagers qui debarquent ou embarquent aux gares intermédiares. C'est à l'aube, que l'animation reprend véritablement seuls les passagers qui ont trop levé le coude continuent leurs grace matinée. |
C'est en rendant visite à un frère que j'ai rencontré ce scientifique qui a pour domaine d'activité la pêche des moules des huitres et les langoustes.
Ceux qui s'interessent à cette activité et qui souhaitent un partenariat avec ce scientifique peuvent le contacter via ce blog. |
Le projet de fabrication d'une nouvelle pirogue a été initié en juillet 2010. |
Certains villageois vivant en ville ( la cité) profitent de cette période de vacances à s'évader au village. |
Afin de faciliter l'organisation des cérémonies des communautés H.B.K.N. installées hors du village, une bd a été produite. Les dernieres coordinations des cérémonies organisées par les jeunes des communautés H.B.K.N installés à la capitale ont démontré qu'au sein de ces groupes, il manquait des supports pour mieux piloter les actions et tenir des propos cohérents suceptibles de satisafaire les Assemblées lors des réunions. |
Désolé ce blog n"est activé que lors de mes brefs passages à la cité |
Il y a un peu longtemps que ce blog n'a pas craché d'article,eh bien tout simplement parce que il n' y a pas de connection internet à Iwaya village endogène.
De retour à la cité pour quelques jours je vous donne des nouvelles fraiches. Pas vraiment des mauvaises mais elles vous feront peut être rougir. Au village nous ne savons pas grand chose de la biodiversité.
A la cité nous autres jeunes villageois sommes très surpris on nous casse les oreilles avec ces mots venus d'ailleurs. Peut on parler de biodiversité lorsque l'accès à Iwaya se fait par une piste d'éléphant? Ceux qui parle de biodiversité à la cité sont les mêmes qui reçoivent les pots de vins des multinationales et autorisent ces dernières à saccager les forets pour des besoins mercantiles. Les forêts sont pourtant les seules sources de subsistances des villageois de Iwaya et d'autres contrées environnantes. A en juger par l'image des batissent en tôles pour hebergement d'ouvriers de chantier industriel en pleine forêt équatoriale. |
Le village est un système complexe, pour y vivre, il faut créer des activités adaptées à l'environnement et perpétuer un mode de vie. |