Ce sera le dernier de l'année, je viens de les découvrir bien cachés à l'ombre des herbes !!!!
Il sera pour vous.
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En 1944, le camp de concentration de Ravensbrück compte plus de quarante mille femmes. Sur ce lieu de destruction se trouve comme une anomalie, une impossibilité : la Kinderzimmer, une pièce dévolue aux nourrissons, un point de lumière dans les ténèbres. Dans cet effroyable présent une jeune femme survit, elle donne la vie, la perpétue malgré tout.
Un roman virtuose écrit dans un présent permanent, quand l'Histoire n'a pas encore eu lieu, et qui rend compte du poids de l'ignorance dans nos trajectoires individuelles. |
Jean-Pierre Werner est un médecin dévoué, qui sillonne depuis des années les routes de sa campagne pour soigner ses patients. Sa vie bascule quand on lui détecte un cancer du cerveau. Son médecin traitant lui conseille de se faire remplacer et lui envoie Nathalie Delezia, qui a longtemps été infirmière avant de reprendre ses études. Jean-Pierre est peu disposé à lâcher du lest et traîte mal la jeune femme. Mais Nathalie a du caractère et parvient peu à peu à s'imposer. Alors que Jean-Pierre commence à s'habituer à sa présence, il entre dans une colère noire quand il apprend qu'elle a fait hospitaliser un vieillard à qui il avait promis de poursuivre les soins à domicile...
un très beau film, qui nous rappelle nos bons médecins de campagne qui savaient être présents à chaque moment :le jour et la nuit.... UN b el exemple dont nos médecins auraient à " prendre de la graine" !!!! |
C'est joli le rhododendron,mais il ne faudrait pas qu'il se fane ....
j'ai déjà une pleine grosse poubelle de fleurs..Il va en falloir des tours à la déchetterie ..Ouille !!! |
Allez y, qui va trouver ???
BRAVO, à celles qui ont pensé à une plante....
la voila plus grosse la feuille . Et pour terminer voici la plante, je ne saurais vous donner le nom...Mais elle me fait des "petits" à qui mieux mieux .
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Je n'ai pas de qualificatif assez fort pour parlé des mes deux "raminagrobis"
Ils ont chacun un panier,mais on se sent sûrement mieux "collé serré"
Qu'en dites vous ? Cela aurait été un crime de les laisser vagabonder dans la nature ..
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Mais tant pis j'ai craqué....ça me rappelle trop les frites de Belgique../
je vais donc me faire un petit extra bientôt . |
C'est la première de l'année....
les tiges de mes rhubarbe étaient un peu "maigres" j'ai ajouté quelques pommes ... j'attends maintenant une autre récolte . |
La saison ne dure pas longtemps....Bien sur on en trouve en conserve, mais c'est du" made in China".
Alors cette année encore j'ai fait ma cure d'asperges. Bien chaudes avec une petite sauce crême vinaigre de cidre et ciboulette....
le tout bien remué avec la cuillère "magique" |
Une courte visite à la jardinerie et je n'ai pu résister..
Un petit plaisir pour 5 euros .... |
" Et rose elle a vécu ce que vivent les roses
l'espace d'un matin " - Consolation à M.du Périer ( F.de Malherbe) C ' est une pivoine ....../ |
« J’aimerais bien vous raconter mon enfance, docteur… mais dès que j’entre dans votre bureau, j’ai l’impression que mes idées volent en éclats, comme les vitres de notre appartement à Alger. »
Le premier souvenir d’enfant de cette narratrice, le souvenir fondateur, c’est un « Boum ! » qui la hante encore, cinquante ans plus tard, celui du train qui a sauté, miné par les explosifs du FLN, alors qu’âgée de trois ans elle accompagnait sa mère. Le wagon échoué comme un cétacé, les corps inertes aperçus dans les rues, les noms effacés des boîtes aux lettres, les voisins qui disparaissent… la guerre d’Algérie est vue par les yeux d’une petite fille qui se sauve grâce à une imagination impérieuse. Toujours tentée de dérailler, alors que ses parents vieillissent, elle dit la féérie du désastre et la possibilité de vivre, malgré tout. |
Un jour de juillet 1982, André Bamberski apprend la mort de sa fille Kalinka. Elle avait 14 ans et passait ses vacances en Allemagne auprès de sa mère et de son beau-père le docteur Krombach. Rapidement, les circonstances de sa mort paraissent suspectes. L’attitude de Dieter Krombach ainsi qu’une autopsie troublante laissent beaucoup de questions sans réponse. Très vite convaincu de la culpabilité de Krombach, André Bamberski se lance dans un combat pour le confondre. Un combat de 27 ans qui deviendra l’unique obsession de sa vie…
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