Il "prend' forme ...
Le voila à peu près "bâti" mais le plus délicat reste à faire : l'encolure... Pour vous rappeler le modèle .... J'y suis allèe comme on dit : "AU PIF "
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" Le voyage extraordinaire d'Eva ou un lundi noir"
Ce lundi matin, tout semblait propice à une bonne journée.
La pluie de la veille avait nettoyé les routes et la température était clémente 10°. A 9h10 direction Cholet-gare, un départ de train à l'heure 9h44. Tout se déroule comme prévu, arrivée Paris-Montparnasse à 12h06 . Un parcours en métro pour rejoindre la gare du Nord où à 13h Marième la cousine d'Eva est au rendez-vous. Alors là: le chaos....Un véritable exode, moins les bombes. Comme le dira plus tard Marième: l'HORREUR. Noyées dans la masse humaine, les cousines décident, après s'être informées qu'aucune réservation n'étaient disponibles, d'aller chez Marième se restaurer un peu et revenir pour 15h, le billet de train étant pris pour le train de 16h. De retour à la gare une heure avant le départ, le train était déjà pris d'assaut , les personnes ayant leur place réservée ne pouvaient accèder au wagon. C'est à croire que l'être humain qui se dit civilisé est pire qu'une bête sauvage . Donc nouvelle attente pour le train de 18H. Les " Nénettes" en ont marre, marre. 18h, le train est annoncé, nouvelle bousculade, c'est au plus "fort la poche", ça y est quand même voila Eva montée et assise...Mais là nouveau problème on annonce que ce train ne part pas il faut changer de rame, là c'est une nouvelle fois la foire d'empoigne. Tant pis elles foncent toutes deux, on a beau leur dire : "C'est complet , elles arrivent à une voiture, et elles y vont au "forcing",Marième pousse même sa cousine pour qu'elle entre. Enfin ça y est, mais la pauvre "Chérie" voyagera debout jusqu'à Bruxelles . Durant toutes ces heures les "textos" vont bon train : "Ou es tu?" Quand pars tu? etc... Les parents prennent la route lorsque le train arrive à Liège, pour récupérer leur fille à Cologne, car les correspondances pour Hamm sont rares à ces heures là Un texto, m'annonce à minuit 30 qu'Eva est bien arrivée. Mais elle ne retrouvera son lit qu'à 3 heures du matin. Epilogue Voila un voyage dont on reparlera avec le sourire dans quelques temps, mais ce jour là c'était vraiment la M.... Comme Eva se trouvait dans le train allant à Moscou, le lui avais suggéré de continuer et d'aller reNdre visite à Tanja..... |
Et oui, ma petite chaussure, comme le sabot de Fanfan, c'est tout simplement une tabatière.
Je pense qu'elle me vient de mon arrière grand-mère, vous comprendrez que j'y tiens comme à la prunelle de mes yeux. Le tabac à priser dut son succès en France grâce à Catherine de Médicis, femme d'Henri II , dont l'un de ses fils Charles IX souffrait de violentes migraines. L'ambassadeur de France au Portugal ayant eu connaissance des vertus médicales du tabac à priser l'introduisit à la cour en France. Après quelques prises du tabac en poudre et quelques éternuements , les migraines du Prince s'atténuèrent. Priser du tabac devint donc très répandu en Europe. les femmes prisaient avec autant d'ardeur que les hommes. La tabatière était souvent offerte comme cadeau. Tout d'abord réservé aux gens de la cour puis aux aristocrates, la tabatière devint vite populaire et gagna toutes les couches sociales.... - Pourquoi pas se remettre à priser pour chasser les rhumes ??? Il ne me manque que le tabac, j'ai la tabatière !!! |
Donc, hier matin, branle-bas de combat dès 5h30 pour nous rendre à la gare de Cholet, pour prendre le train de 7H15.
Ouverture des volets, et là malheureux constat la neige était tombée et continuait de "descendre". Il faisait un vent glacial ...Que faire??? Tout simplement se remettre au lit ? On m'avait laissé entendre que les trains circulaient au ralenti en cas de neige, donc du retard. Etant donné qu'il y a une correspondance : Cholet- Angers pour Angers - Paris, c'était mal parti . Et je ne me sentais pas assez "fierrotte" pour faire 15km sur la route, tant pis on avisera plus tard. Dés 10h la température est remontée et tout est fondue ...Ainsi l'après-midi nous avons pu nous rendre à la gare et échanger les billets pour un nouveau départ ....Alors là: PROBLEME . Comme toujours avec la SNCF c'est souvent la "Croix et la Bannière", et pourtant nous avons eu cette fois un interlocuteur très compréhensif, ce qui n'est pas toujours le cas !!!! Après discussions, examens des horaires, des prix etc... Voila donc des billets établis pour demain 20 Décembre. Quant au remboursement: Niet pour le trajet Cholet Paris, il fallait annuler une heure avant le départ, enfin nous devons faire une gentille "demande" près de la direction à Arras ( la lettre est faîte de ce matin) on verra bien le résultat. Quant au billet Paris - Köln 52 euros remboursé sur 109 euros !!!! - Je me demande toujours où passe les "surplus' d'euros ...Existe t'il une caisse noire???? Enfin, on s'en tire avec 96 euros et des poussières à payer en plus.. J'espère que demain ce sera comme aujourd'hui: de la flotte et du temps plus doux, tant pis , pour une fois : Vive la Pluie. |
Et oui il nous en fallait bien aussi...Mais elle aurait pu venir plus tôt, ou plus tard ....
Voila le paysage d'hier matin . Miss Lalou curieuse comme toujours ...
Un petit tour dans la neige
J'y laisse mes empreintes
Les oiseaux aussi
Et celui-la , il n'a pas froid ??? Non c'est un "leurre"
Vite je rentre au chaud. H op, sur le radiateur .
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1 ère "fournée "
- 125 gr . de farine ( blanche) - 50 gr. de sucre glace - 100 gr. de beurre fondu - 1 jaune d'oeuf - 1/2 cuillère à soupe de rhum - 1 pincée de sel Bien malaxer les ingrédients, faire une boule, et l'aplatir au rouleau. Ensuite faire les petits gâteaux avec un emporte pièce, et mettre au four 15mn a 150° 2 ème "fournée" - 180 gr. de farine ( noire) sarrasin - 100 gr. de beurre fondu - 140 gr. de sucre roux - 1 oeuf - 1/2 cuillère de levure -1 cuillère de sucre vanillé - Des épices ( cannelle, gingembre etc) Nous avions des épices venues de Pologne je vous montre la bouteille ci-dessous. Procéder comme pour la 1ère "fournée" pour découper les gâteaux et pour la cuisson. Ensuite décorer selon votre goût : chocolat, confiture, sucre glace et blanc d'oeuf, etc.... Et déguster .............................. |
En recherchant quelques boules de Noël, voila que j'ai retrouvé cette petite déco... Je l'ai bien vite sortie de sa boite..
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Du Berlin de 1933 au Paris de l'après guerre, en passant par Vichy, la Corrèze,
le Vercors et l'Italie, c'est le destin tragique et sublime, d'une jeune femme peu ordinaire que nous livre Jacques Duquesne . " Un jour se dit elle, je ne saurai même plus qui je suis". La petite fille venait de changer de nom pour la cinquième fois en cinq ans. Parce que sa mère allemande, était la maîtresse d'un juif et que son père nazi, les poursuivait jusque dans la France de l'Occupation. De ces années de fuite incessante e- de cauchemar Laura C. pourtant dotée d'un féroce appétit de vivre, ne se remettra jamais. - Un livre attachant, qui nous fait revivre une période bien triste de notre histoire . |
A part Christiane qui ne m'a pas reconnue, toutes vous avez su me "retrouver".
Je suis donc rassurée, vous saurez me reconnaître et me retrouver, si jamais je me "paume" dans la nature ..... |
Comme chaque année Eva fait sa tournée" de petits gâteaux pour empoter au lycée ( spécialité allemande) .Bien sûr nous en avons dégusté , et mes copines de l'Assoc. également ....
Mais quel boulot !!!j'ai fait office de "plongeuse ". |
Nous étions jeunes et belles !!!!
Photo prise aux Sables d'Olonne en Août 1955 ... Mes cousines et moi ... Où suis je ???? |
Une petite "flemme" pour le réaliser, alors on va au plus facile.
juste du beurre et du miel à avoir sous la main. Et, voila le résultat....J'ai seulement regardé la fabrication et approché les plats
Eva s'est chargée du reste. Résultat parfait ...Un vrai pain d'épices . Petite discussion : Je le voulais"nature", mais selon la tradition allemande et
semble t'il de l'est de la France on doit le décorer, alors décorons... |
A toutes mes amies "bloggeuses" qui lui ont souhaité un bon Anniversaire EVA vous dit, avec un bisou ....
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