Type : Plat
Difficulté : Moyen Préparation : 15 minutes Cuisson : 40 minutes Pour : 4 personnes
Cet article vous est proposé par Certi'Ferme
Ajouter un commentaire
|
Type : Apéritifs et amuses bouche
Difficulté : Moyen Préparation : 30 minutes Cuisson : 25 minutes Pour : 4 personnes
Cet article vous est proposé par Certi'Ferme |
Type : Plat
Difficulté : Moyen Préparation : 15 minutes Cuisson : 70 minutes Pour : 4 personnes
Cet article vous est proposé par Certi'Ferme |
Cueillir les fleurs le matin, les mettre dans de l'eau fraîche avec 1 petite poignée de gros sel. Quand vous changez l'eau, remettre du gros sel. succès garanti. J'ai gardé des hortensias 3 semaines en vases pour le mariage de ma fille. Je n'en reviens toujours pas...
Cet article vous est proposé par Certi'Ferme |
L'hortensia est un arbuste magnifique .. quand il est bien taillé !
Rares sont ceux qui n'ont jamais été un peu déçu par la floraison de leurs hortensias. Pourtant les arbustes ont été plantés correctement, dans une bonne terre de bruyère, avec une exposition suffisamment ensoleillée et néanmoins abritée des grands vents. Certains ont même apporté un peu d'engrais dans l'espoir de favoriser l'émergence des grosses boules roses, bleues ou blanches. Et pourtant... Les floraisons sont plutôt irrégulières et souvent nettement moins généreuses que celles des hortensias du voisin. La cause est bien ailleurs. Les fleurs viennent sur le bois poussé il y a un an. Cela signifie que la partie terminale de la branche qui porte la fleur a poussé au cours de l'année précédente. En conséquence, si vous rabattez les tiges à 30 cm environ, voire plus, en partant de l'extrémité et en allant vers le pied, vous supprimez toute chance de voir fleurir cette tige. Malheureusement de très nombreux jardiniers taillent juste un peu trop sévèrement leur hortensias et il suffit de quelques centimètres de trop au coup de sécateur pour perdre toute une floraison. Résultat : quelques centimètres prennent le contre-pied et affirment qu'il ne faut pas tailler les hortensias. Bien entendu c'est excessif car l'arbuste a besoin d'une taille de nettoyage. Encore faut-il savoir la conduire... Taillez à la première paire de bourgeons ! Chaque année au cours de la première quinzaine de mars (pas après car la végétation est alors trop active) on taille les hortensias. Certes, il s'agit essentiellement de nettoyer l'arbuste en supprimant les têtes défleuries ou fanées qui sont restées en place tout au long de l'hiver. Le plus simple, pour ne pas risquer de tailler trop court, est de se repérer en coupant juste 1 à 2 cm au dessus de la première vraie paire de bourgeons en partant de l'extrémité terminale de la tige. Ensuite vous poursuivrez la taille en supprimant les bois mort. Pour cela rabattez la tige au ras du sol. Continuez encore en supprimant les branches les plus vieilles surtout si elles sont situées au centre du buisson. Elles étouffent inutilement les branches au risque de favoriser le développement de maladies cryptogamiques. C'est le cas l'été lorsque le temps est assez humide avec un feuillage foisonnant qui ne sèche pas assez vite. Cet article vous est proposé par Certi'Ferme |
pour rester en bonne santer il faut manger equilibrer et epargner les gotter et les cochonerie.
Cet article vous est proposé par Certi'Ferme |
Loin d'être un problème purement esthétique, la surcharge pondérale constitue un facteur de risque bien établi de nombreuses maladies (troubles cadiovasculaires, diabète «gras», certains cancers, etc.). Dans notre pays, où elle affecte environ le tiers de la population, on l'accuse d'être responsable de 300 décès annuels. Malheureusement, bon nombre des personnes souffrant d'embonpoint ne s'en soucient guère qu'à l'approche des beaux jours, lorsque la «fièvre de la minceur» déclenche une véritable épidémie. Les kilos superflus deviennent alors un fardeau intolérable dont il faut se débarrasser dans les plus brefs délais… A tort, car les régimes draconiens et déséquilibrés représentent à long terme une menace pour la santé aussi réelle que l'excès pondéral lui-même. Parmi les effets secondaires de ces régimes, le plus souvent liés à des carences nutritionnelles, figurent la fatigue chronique, des troubles nerveux et de l'humeur, l'affaiblissement du système immunitaire, le vieillissement prématuré, la décalcification osseuse, etc. A ceux-ci s'ajoute la baisse du métabolisme, entraînant une tendance toujours plus marquée à la prise pondérale.
Autant de raisons pour adopter un régime équilibré qui permet de (re)trouver progressivement et de stabiliser son poids idéal, tout en gardant son tonus et son moral. Pour atteindre cet objectif, quelques règles doivent être respectées : -privilégier les légumes, gorgés de vitamines et minéraux, et les aliments protéiniques maigres, qui «calent» tout en fournissant peu de calories -préférer aux glucides raffinés les complets (pains, pâtes, riz, etc.) qui rassasient plus longtemps et contiennent davantage de principes nutritifs -limiter mais ne pas supprimer les graisses visibles, indispensables pour l'assimilation des vitamines liposolubles -réduire fortement les douceurs et les boissons alcoolisées -adopter un supplément nutritionnel adapté, tel que, par exemple, l'huile de foie de flétan, disponible en capsules. Très riche en vitamines A et D naturelles que pratiquement tous les régimes hypocaloriques fournissent en quantité insuffisante, cette huile existe aussi en version multivitaminée. Celle-ci s'adresse plus particulièrement aux personnes dont l'alimentation est peu variée et/ou pauvre en crudités, ainsi qu'à celles se plaignant de manque d'entrain et/ou nervosité. Rita Ducret-Costa, pharmacienne Cet article vous est proposé par Certi'Ferme |
L'hypertension artérielle est une maladie insidieuse très répandue dans les pays industrialisés. Mal ou non traitée, elle représente à long terme une menace sérieuse pour la santé. L'hypertendu a toutefois de bonnes chances de minimiser les risques liés à cette maladie s'il suit consciencieusement le traitement prescrit par son médecin et s'il se soumet à des contrôles réguliers.
Près de 20 à 30% de la population adulte souffre d'hypertension dans les pays industrialisés. Après 60 ans, ce chiffre s'élève même à 50%. Souvent, la maladie ne donne lieu à aucun symptôme particulier. En revanche, si la tension est très élevée, des troubles tels que maux de tête, troubles de la vue et/ou bourdonnements d'oreille peuvent se manifester. Les bons chiffres La mesure de la pression artérielle se fait au moyen d'un appareil appelé tensiomètre et s'exprime en millimètres de mercure. On enregistre en fait les deux valeurs, maximale et minimale, de la pression dans les artères qui varie en fonction des battements cardiaques. Quand le coeur se contracte pour propulser le sang dans les artères, la tension s'élève au moment de l'afflux de liquide: c'est la pression systolique (premier chiffre). Le deuxième chiffre indique la pression diastolique, celle qui correspond à l'état de relâchement du muscle cardiaque au moment où il se remplit à nouveau de sang. Pour déterminer avec certitude les valeurs de la pression, il faut procéder à plusieurs mesures qui doivent se faire au repos, en position assise avec une manchette adaptée au diamètre du bras (ou du poignet, selon l'appareil utilisé). La pression est considérée comme normale jusqu'à 140/90 mm Hg. Au-delà, on parle d'hypertension artérielle. Pourquoi la pression augmente-t-elle ? On observe une légère augmentation physiologique de la pression avec l'âge; elle dépend aussi du stress, de l'activité physique et de l'heure de la journée. Dans la majorité des cas, on ignore les causes de l'hypertension que l'on qualifie alors d' «essentielle». Dans certains cas rares, une maladie sous-jacente est à l'origine de l'augmentation tensionnelle (maladie rénale ou trouble hormonal). Divers facteurs semblent toutefois être responsables d'une élévation pathologique de la pression. Il s'agit de la surcharge pondérale, de la consommation abusive de sel (chlorure de sodium), de matières grasses et d'alcool, du tabagisme, d'un manque de mouvement et d'un excès de stress. On estime en outre qu'une prédisposition héréditaire joue un rôle dans environ 20 à 40% des cas d'hypertension. Les conséquences d'une hypertension non traitée Pourquoi une hypertension non traitée est-elle si redoutable? Les complications à long terme sont multiples; elles touchent le système cardiovasculaire et différents organes. Le coeur doit par exemple fournir un surcroît de travail non négligeable; ainsi, il grossit et se fatigue, ce qui conduit progressivement à l'insuffisance cardiaque. Fortement mises à contribution, les artères ont, quant à elles, tendance à se rétrécir et à perdre de leur élasticité. Artériosclérose, angine de poitrine, infarctus du myocarde, attaque cérébrale ou insuffisance rénale... La liste des séquelles de l'hypertension est malheureusement longue. L'importance du traitement Pour réduire le risque de complications, il est essentiel de bien soigner l'hypertension. Les multiples avantages découlant d'un traitement antihypertenseur ont d'ailleurs été prouvés à plusieurs reprises dans des études scientifiques. Au stade débutant, il est parfois possible de faire baisser la pression en appliquant certaines règles hygiéno-diététiques. Au-delà, le recours aux médicaments est inévitable. Il existe diverses classes de médicaments parmi lesquelles le médecin traitant choisit selon des critères individuels. Les substances les plus utilisées sont les inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine, les antagonistes de l'angiotensine II, les diurétiques, les bêtabloquants et les antagonistes du calcium. Il n'est pas rare que l'on doive recourir à deux, voire trois médicaments simultanément. Déjà citées ci-dessus, certaines règles d'hygiène alimentaire et de vie sont hautement recommandables, que l'on soit hypertendu ou non. Comme nous l'avons vu, elles permettront éventuellement de faire baisser la pression au stade débutant; plus tard, elles soutiennent l'action des médicaments et préviennent une aggravation. Les voici : - adopter une alimentation saine et équilibrée; réduire la consommation de sel et de graisses - arrêter de fumer - surveiller son poids et tâcher de perdre les kilos excédentaires - éviter les situations de stress - veiller à une bonne hygiène de vie, notamment la pratique régulière d'une activité physique, même légère - consommer de l'alcool avec modération - traiter selon les conseils de son médecin d'éventuels troubles du métabolisme des graisses (par ex. un excès de cholestérol dans le sang) - en cas de diabète, un bon contrôle du taux de sucre sanguin est essentiel - dormir suffisamment (6 à 8 heures par nuit) - faire contrôler régulièrement sa pression : une à deux fois par an à partir de 45 ans, plus souvent si l'on est déjà hypertendu Mesurer soi-même sa pression Si vous êtes hypertendu(e), il est possible que vous souhaitiez contrôler régulièrement chez vous votre pression ou que votre médecin vous le conseille. C'est le meilleur moyen de suivre de près l'efficacité des mesures que vous avez prises pour améliorer votre santé, ainsi que l'action du traitement médicamenteux. Si vous le désirez, vous pourrez inscrire les valeurs mesurées et des remarques particulières (p. ex. effets indésirables, efforts particuliers, oubli d'un comprimé) dans un carnet réservé à cet effet. Conçu par des spécialistes, un tel carnet peut être obtenu auprès de votre médecin traitant. Les tensiomètres vendus en pharmacie ou dans les commerces spécialisés sont aujourd'hui de bonne qualité, fiables et d'un usage simple. La pression sanguine réagissant très rapidement aux circonstances les plus diverses, il faut tenir compte de certaines indications permettant d'obtenir des valeurs fiables : - procéder à la mesure toujours au même bras, à peu près à la même heure - ne pas fumer, ne pas consommer d'alcool ou de café avant la mesure - avant celle-ci, rester tranquillement assis pendant 5 minutes - fixer l'appareil correctement (mode d'emploi) - pendant la mesure, rester tranquille et ne pas parler - lors de mesure au poignet : tenir celui-ci à la hauteur du coeur Ce dernier point est très important, car la mesure au poignet, beaucoup plus pratique à réaliser chez soi que celle au bras, ne donne de résultats fiables que si le poignet se trouve à la hauteur du coeur. Il existe d'ailleurs un tensiomètre de poignet muni d'un système de positionnement actif qui contrôle automatiquement la bonne position du poignet par rapport au coeur. Isabelle Hulmann, pharmacienne La pression monte! Gardons notre calme! Cet article vous est proposé par Certi'Ferme |