Tout ce que vous devez savoir sur les périodes de consommation des aliments !
Appartenant respectivement à la famille des Arecaceae (Arécacées), cette plante porte le nom de Palmae dans les jardins botaniques.
Le palmier fleurit dès le mois de mai jusqu’en septembre.
Ses fleurs peuvent parfois être denses mais passent toujours par les mêmes teintes soit de la couleur ivoire, beige, jaunâtre ou encore verts.
Privilégiez les emplacements à la fois ensoleillés et à l’abri des vents. Une orientation plein sud reste l’idéal pour favoriser la croissance des palmiers. Toutefois, veillez à bien connaître votre plante ou renseignez-vous auprès de votre pépiniériste car certaines variétés ne supportent pas la lumière directe du soleil.
Préférez une terre riche, légère et surtout bien drainée. N’hésitez pas à les planter à proximité d’autres végétaux ce qui créera un microclimat.
Malgré les croyances, le palmier peut être cultivé en intérieur, en serre ou en pots. Certains d’ailleurs passent toute leur vie en conteneur ou en bac. Plante vivace, leur particularité reste leur production de fruits (dattes, noix de coco). L’économie agricole s’en utilise donc pour un usage alimentaire (vin de palme, cœur de palmier, sucre, fécule), en bienfaits thérapeutique (sang-dragon, noix d’arec), en manufacture (cire de palmier, fibres textiles, rotin pour vannerie), en ornement pour les avenues, les ronds-points ou les parcs…
La plantation s’effectue en sol chaud soit de préférence au printemps. Choisissez une espèce de palmiers adéquate à votre type de climat et à son élévation future.
Creusez un trou suffisamment grand pour lui permettre de reprendre (comptez une vingtaine de cm de plus que la motte).
Mélangez la terre avec un terreau spécial plantes méditerranéennes, de la tourbe blonde, du sable et éventuellement des graviers.
Placez votre palmier en veillant à ce que le collet soit au dessus du sol (car les premières années les palmiers se tassent) puis, rebouchez.
Arrosez abondamment.
Vous pouvez aussi opter pour une multiplication par graines ou par semis, en drageonnage ou encore en marcottage.
De nos jours, on compte près de 3 000 espèces de palmiers regroupées en 200 genres. En France, ils sont plus nombreux à proximité de la Méditerranée.
Existant depuis 80 millions d’années, le palmier est l’une des plantes les plus anciennes. Son origine remonterait à la préhistoire, à l’époque où vivaient déjà dans l'eau des poissons évolués et sur terre des dinosaures. Des fossiles de palmiers décelés en Europe témoignent d’une ancienne période de température tropicale. Ces plantes étaient respectées par les civilisations méditerranéennes car ils symbolisent l’arbre de vie, la réussite et la fertilité.
L’arrosage est abondant lors de la plantation mais reste aussi indispensable en période chaude. Ils ne demandent aucune taille mais est préférable de les rempoter tous les ans.
Apportez-leur de l’engrais régulièrement en fonction du type de palmier que vous avez.
Veillez à éliminer toutes les feuilles mortes, desséchées et abîmées.
Le plus délicat dans l’entretien de ses plantes est de passer l’hiver. Certaines variétés sont très résistantes au gel d’autres, devront être protégées par une feuille plastique. Installez aussi au sol et aux racines, des feuilles abîmées ou du plastique afin d’éviter qu’un excès d’eau pénètre et que les racines ne gèlent.
Un air trop sec et humide entraîne un jaunissement du feuillage et l’apparition d’insectes.
Tout d’abord, pour remédier aux araignées rouges, arrosez amplement votre palmier et placez-le au moins 48 heures dans un sac plastique. Les cochenilles à carapaces s’enlèvent en les grattant et en nettoyant les feuilles avec un mélange d’eau, de savon et d’alcool. Vaporisez-les avec un insecticide en cas d’apparition de cochenilles farineuses, de pucerons et/ou de mouches blanches. Pour les champignons, coupez les feuilles infectées.
Certains palmiers restent fragiles à l’excès de lumière alors, mettez-le à l’ombre et réhabituez-le doucement à la clarté. Pour les pointes des feuilles desséchées, nettoyez et arrosez les parties atteintes puis, coupez-les éventuellement. Enfin, si votre plante pourrie à la racine, séchez la motte, rectifiez la terre afin qu’elle soit bien drainée et évitez l’excès d’arrosage.
Notez bien qu’un palmier gelé n’est pas mort ! Si le stipe (« tronc ») et les racines sont restés en bon état, votre plante peut reprendre sa pousse au printemps.
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