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Les plaques émaillées sont une spécificité pragoise. La plupart des bâtiments possèdent deux numéros. Le premier sur fond bleu sert à l'orientation. Le second sur fond rouge indique le numéro d'inscription au cadastre du quartier.
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Tour Poudrière (Prašná Brána) (75 mètres) , ancienne tour de guet dont l'origine remonte à la fin du XIIIème siècle. D'abord une des portes de la Vieille Ville, elle perdit bientôt sa fonction défensive pour devenir une entrée de cérémonie.
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Les rues autour de la place de Vieille-Ville sont un plaisir pour le promeneur. Le meilleur moyen de les parcourir est la marche ; pratique,la plupart du quartier est piétonnier, et chaque immeuble présente quelque intérêt, que ce soit un linteau sculpté ou un heurtoir, ou encore la superbe porte renaissance de la maison aux Deux Ours , dans la rue Melantrichova.
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Notre-Dame-de-Tyn (Kostel Panny Marie Před Tynem) adoucit la façade de cet immense édifice gothique dont les tours du XVème siècle culminent à 80 mètres audessus des rues médiévales voisines. N'hésitez pas à y entrer, même si la façade n'est pas visible de la place.
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Tour réalisée en 1891 sur le modèle de celle de Paris mesure 60 m et ce n'est pas par hasard, compte tenu de l'altitude de Prague et de l'élévation du terrain, son sommet est exactement au même niveau que sa soeur parisienne.
(Source le guide du routard) 
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L'église Notre Dame de Lorette recèle une chapelle étonnante, celle où se trouve Santa Liberata crucifiée.
Il s'agit d'une martyre espagnole affublée d'une vraie barbe. On dit que pour préserver sa virginité, elle refusa d'épouser un homme choisi par son père. Elle pria pour que quelque chose arrivât qui empêchât le mariage. Un matin, elle se réveilla avec une barbe. de colère, son père la fit crucifier (Source le guide du routard) 
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La Maison municipale (Obecní Dům) date du début du XXs. Elle est un bel exemple d'art nouveau. C'est un bâtiment abritant de nombreuses activités dont l'orchestre de Prague. Le rez-de-chaussée et le sous-sol peuvent être visités gratuitement. 
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Le groupe des statues de saint Jean Népomucène fut la première statue du pont (8 ème sur la droite en regardant le château). Au XIV esiècle, Jean Népomucène aurait été prélat à la Cour et confesseur de la reine. On raconte que le roi Vàclav IV prit ombrage du fait que celui-ci refusait de lui relater les secrets de la confession de sa femme. II fut battu par des hommes à la solde du roi, traîné sur le pont et jeté mourant à la rivière. Son corps flotta quelque temps entouré d'étoiles dansantes, Dans la partie basse de la statue, un bas-relief de bronze montre à droite ce qui advint du prélat. Les touristes, sans trop savoir pourquoi, touchent le corps du saint afin que ce geste leur porte chance. Sur la gauche, on voit la reine à confesse. 
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