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Pour la quatrième année, la Région Bretagne accompagne la promotion de plus de 300 événements en Bretagne, mais aussi ailleurs en France et dans le monde, dans le cadre de la Fête de la Bretagne. La Fête de la Bretagne rassemble sous une même bannière des animations de proximité, porteuses de générosité, de créativité, de dynamisme. Les activités proposées visent à renforcer le lien social à l’échelle de la commune ou d’un quartier. À travers des rencontres culturelles (traditionnelles, classiques, actuelles, contemporaines), mais aussi sportives, sociales, éducatives, citoyennes,... Ces actions participent à l’animation du territoire et sont accessibles au plus grand nombre. |
en l'honneur des oiseaux du ciel, je vous propose de relever un grand défi: installer 5000 nichoirs au 4 coins de France avant mi juin 2012 |
Au début vous allez les prendre pour des "allumés"! mais ayez une minute & 30 secondes de patience................... c'est superbe !!!
>> http://www.youtube.com/watch_popup?v=pLgJ7pk0X-s |
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Famille nombreuse, famille heureuse… j’aime les « maximes » mais parfois elles s’appliquent davantage à d’autres familles qu’à la mienne..
la mère Denie n'ai jamais venue laver mon linge http://www.youtube.com/watch?v=pbvMnq0ZeR8&feature=related ou qu'il fallait me nouer un chiffon pour enlever la poussière de ma chambre avec pliz http://www.youtube.com/watch?v=fhI1zeDwoI0 j'avais une vrai passion pour les barquettes de lu et je me suis toujours demander pourquoi lors de mes anniversaires je n'avais pas de tarte aux barquettes de lu ,que je voyais pendant la pub http://www.youtube.com/watch?v=xFlkBtr6MQE (ce que je pensais plus jeune de 1970 à 1980) http://www.youtube.com/watch?v=Gv6Sx2HW038 depuis j'ai grandie et m'aperçois que la pub ne change pas Je prononce un bonjour enjoué et j’ai souvent droit à un borborygme que je traduis avec mon enthousiasme du matin par " bonjour Maman, j’ai super bien dormi et suis de très bonne humeur " ; le bisou est rapide, comme machinal, sa tête tombe dans mes bras comme si la nuit continue mais 2mn de calin c'est bon d’ailleurs je crois pouvoir dire que c’est souvent moi qui vais le chercher. Nous sommes alors confrontées à la première activitée familiale de la journée : le petit déjeuner. Je fredonne dans ma tête la chanson de la pub Ricoré pour me mettre en condition, imaginant les sourires, le vent & le soleil printaniers, le petit-dej' tout prêt, la jolie nappe à carreaux… "le soleil vient de se lever, etc. " La réalité est souvent toute autre : il fait nuit à 7h40 en novembre, rien n’est prêt. Si j’ai obtenu qu'elle soit autonome pour chauffer son bol de lait – j’ai trop épongé de lait bouilli dans le micro-onde, essuyé l' avis partagés (c’est trop chaud, c’est trop froid, j’en veux plus, juste une demi tasse ce matin etc.) J’aligne donc quelques tartines que je beurre consciencieusement en silence, puis recouvre de confiture ou de miel et dépose au centre de la table. C’est souvent à ce moment-là que l' esprit s’éveille Je temporise en prétextant qu’il vaut mieux ne pas parler la bouche pleine, et me carapate dans la cuisine pour chercher une éponge au cas où le bol plein se trouverait sur le chemin d'un coude & exécuterait un pas de tango. 20 minutes plus tard, passage à la salle de bain pour une toilette, et quelque soit le nombre d’enfant, le lavabo ne sera jamais assez grand, à moins d’installer un bac de la taille d’un abreuvoir ; les échanges vont bon train : " il y a pas assez de place ", " le robinet m'eglabousse""où ce trouve mon gant", "tu as caché ma brosse", " il n’y a plus de dentifrice rose ". Ce n’est pas non plus la pub pousse-mousse (pousse-mousse, on pousse et ça mousse, c’est bien plus sympa pour se laver les mains ! » & quand elle es partie, il reste un nappe pleine de miettes, parfois un peu poisseuse.si elle a le temps son bol est dans l'évier" quand même" |
COURRIERES, petite ville du Pas de Calais,...un soir au dîner, la petite demande à son père:
-Dis papa pourquoi qu'te toudi tout rouch? |
Un éléphant rencontre un boa pour la première fois. Intrigué, il lui demande : T'es bizarre comme bestiole… Tu fais comment pour te déplacer ? T'as même pas de jambes ! - Et bien, c'est simple, je me déplace en rampant... - Ah, ok ! L'éléphant commence à repartir mais encore intrigué il se retourne et demande au serpent : - Excuse-moi, mais comment tu fais pour te reproduire ? T'as pas de testicules.. - T'es chiant à la fin ! De quoi tu te mêles, je ponds des œufs et je n'en ai pas besoin… - Ah ok... L'éléphant reprend son chemin mais il se retourne à nouveau : - Je suis désolé de te déranger encore… Mais tu fais comment pour te nourrir ? T'as pas de mains - T'es vraiment chiant toi ! J'ouvre grand ma gueule comme ça et j'engloutis ma proie direct ! - Ok... mais... Si j'ai bien compris…Tu rampes... T'as pas de couilles...T'as une grande gueule. Tu ne serais pas socialiste par hasard ? |
Ou simplement un de ces enfants gâtés, à qui ont n’a pas appris à résister à leurs désirs et leurs frustrations.
De fait, le pervers narcissique est sans cesse amer, frustré et accuse systématiquement les autres. A la moindre blessure narcissique, à la moindre frustration il bascule dans la haine et passe à l’acte. Dès leur enfance, ces pervers sont souvent doués d'une intelligence supérieure à la moyenne, voire redoutable, machiavélique, leur permettant déjà d'élaborer des pièges ou des stratégies très subtils. Tôt, ils peuvent déjà abuser leurs parents et leurs amis. L’enfant, plus intelligent, plus psychologue, que les parents l’imaginent, phagocyte littéralement la mère ou le père (une mère ou un père complice ou bien qui ne se doute de rien), dans une relation littéralement fusionnelle qui empêche les parents d’avoir un recul suffisant. Sa biographie personnelle (son histoire) est importante à ses yeux car elle justifie, plus que toute chose, sa philosophie de vie et son comportement actuel. La relation du pervers-bourreau, et de sa victime La logique perverse ignore le respect de l'autre. Autrui n'existe pas, il n'est pas entendu, il est seulement utile. Le pervers a besoin de l'énergie de certaines personnes pour combler le vide de sa propre existence. Mais pour cela il lui faut les soumettre. " Un pervers narcissique ne se construit qu'en assouvissant ses pulsions destructrices. " (Marie-France Hirigoyen, " Le Harcèlement moral ", page 125). Le pervers narcissique craint ainsi autant la solitude que les personnes qu'il ne peut pas soumettre. Il a besoin d'avoir toujours auprès de lui quelqu'un, une victime, qu'il va utiliser pour se mettre en valeur, pour se détourner de son propre néant, de sa propre réalité peu glorieuse, peu honorable. Il va donc essayer soit de s'approprier des qualités de la victime, soit de la détruire en reportant sur elle ses propres défauts (égoïsme, avarice, mensonge…). Le pervers est un prédateur. Quelle évolution pour le pervers narcissique ? Le pervers narcissique peut-il remédier à son "vide ", à son absence d’intérêt pour les autres, cesser de projeter vers les autres une personnalité qui n’est pas la sienne ? En réalité il est extrêmement rare qu’il change ou veuille changer d’attitude ou de valeurs morales. Car les gains que lui ont valu cette attitude sont souvent très importants et très gratifiants pour lui (admiration, célébrité, pouvoir…). On ne pourra pas changer un pervers narcissique par un " discours rationnel " car la quête perpétuelle de pouvoir est un moteur puissant et une source intarissable de plaisir, une véritable drogue dure. Pour qu’il puisse changer, il faudrait qu’il subisse des chocs violents et des épreuves très importantes, susceptibles, par exemple, de déstabiliser la très haute conception qu'il a de lui-même, et surtout le convaincre qu'à la longue l'efficacité de ses mensonges et de ses tactiques s'est émoussée. C’est seulement ainsi qu’on pourrait espérer le voir, peut-être, un jour (?), évoluer favorablement. À vrai dire cela n’arrive presque jamais. Mais en laissant espérer à son entourage, souvent aveugle, pareil changement, le pervers narcissique renforce son pouvoir. En donnant à ses victimes l’impression de chercher sincèrement à s’amender, il endort leur méfiance et en fait plus aisément ses dupes. De fait tout effort d’amélioration personnelle lui paraît dérisoire voire ridicule, et il craint surtout d'avoir tout à y perdre - sa force, son pouvoir, le respect qu’on lui porte - avec le risque supplémentaire de se faire duper à son tour. Le pervers narcissique ne se considère pas comme malade Le problème, c'est que le pervers narcissique refusant de considérer qu'il a un problème, les thérapies n'ont pas de prise sur lui. S'il accepte de s'y soumettre (pour pouvoir dire qu'il a fait "tous les efforts possibles"), il va vite considérer le thérapeute comme nul et incompétent et la thérapie comme totalement inutile. Peut-être aussi d’ailleurs a-t-il très peur de découvrir certaines vérités désagréables, sur lui-même (le fait qu’il ne soit pas si magnifique que ce qu’il imagine). Pour la plupart des témoins de leur comportement étrange, il est très difficile de comprendre les pervers narcissiques car la littérature psychiatrique ne décrit, le plus souvent, que le mécanisme mais pas leurs motivations profondes (comme celle se s’enfermer systématiquement dans un mensonge, ou le fait de sans cesse rebondir d’un mensonge à l’autre). On ne fait que des supputations... Détruire et nier l’autre Cet autre, dont ils ne peuvent se passer, n'est même pas un alter ego respecté, qui aurait une existence, seulement un reflet d'eux-mêmes. D'où la sensation qu'ont les victimes d'être niées dans leur individualité et leurs qualités. Le pervers narcissique cherche constamment à rehausser l’image qu’il a de lui-même. Il lui est pour cela nécessaire de trouver un être qui l'admire et lui renvoie de lui-même une image prestigieuse. Mais, refusant d'admettre ce besoin de se sentir perpétuellement valorisé, il dénie l'attachement à son faire-valoir que pareil besoin induit, faire-valoir qu'il n'aura de cesse de détruire. Le pervers ne peut établir une relation fondée sur la symétrie ; il lui faut dominer l'autre et le mettre dans l'impossibilité de réagir et d'arrêter ce combat. C'est à ce titre que l'on est fondé à parler d'une réelle agression sur l'autre, et non d'un jeu pervers-complice. Il n'y a pas de négociation possible avec le pervers, tout est imposé, dès le départ, à la victime à qui a été retiré le pouvoir de dire non et qui, même si elle essayait d'utiliser à son tour des défenses perverses, ne pourrait jamais atteindre à la virtuosité " dans le mal " de son bourreau. Pour parvenir à la destruction de sa victime, le pervers procède souvent de la façon suivante : - Il aborde sa victime en affichant une certaine " chaleur " externe. - Il s'insinue de plus en plus dans la vie de cette personne. - Il la vampirise par des moyens directs (reproches, insultes, humiliation...) ou indirects. - Finalement la victime tombe dans la dépression, la mélancolie, les comportements addictifs, voire l’automutilation. Elle est ainsi totalement à sa merci ou détruite. Le pervers entre en relation avec l'autre pour le séduire. Dès que le poisson est " ferré ", il le maintient tout simplement " accroché " tant qu'il en a besoin. Il joue avec sa victime au chat et à la souris, faisant patte de velours pour mieux la tenir, puis sortant ses griffes lorsqu'elle cherche à s'évader. Celle-ci peut mettre des années avant de se rendre compte du processus de destruction mis en place. Au commencement elle ne subit que des brimades, des phrases anodines mais pleines de sous-entendus blessants, avilissants, voire violents. C'est la répétition constante de ces petites attaques qui rend l'agression évidente. Et il faut un incident pour déclencher la crise qui amène l'agresseur à dévoiler son piège ou sa tactique. En règle générale, c'est la prise de conscience de la victime, et ses sursauts de révolte, qui vont provoquer le processus de mise à mort. Car l'on assiste bien à de véritables mises à mort psychiques où l'agresseur n'hésite pas à employer tous les moyens pour atteindre son but : anéantir sa proie. De fait toute remise en question de la domination du pervers sur sa victime ne peut qu'entraîner chez lui une réaction de fureur destructrice. Le pervers peut chercher par exemple à éteindre toute libido en refusant soudainement une relation sexuelle avec son partenaire, tout en le culpabilisant pour cela. Il cherche ce faisant à éteindre, chez sa victime, toute trace de vie, tout désir y compris celui de réagir. Il s'ingénie à culpabiliser sa proie. Ne supportant pas, un seul instant, d'avoir tort, il refuse toute critique, toute discussion ouverte et constructive avec sa victime. Il la bafoue ouvertement, n'hésitant pas à la dénigrer, à l'insulter, autant que possible sans témoin. Sinon il procède plus subtilement par allusions, tout aussi destructrices, mais invisibles aux yeux non avertis. La victime, elle, donne énormément, mais ce n'est jamais assez. N'étant jamais content, le pervers narcissique prend toujours la position de la victime d'une frustration dont il rend sa propre victime responsable. Il dévore sa victime en se persuadant que c'est elle qui sollicite la sujétion. Il refuse de voir ou de reconnaître les difficultés qu’il crée dans la relation, car cela l'amènerait à une perception négative de sa propre image. Il en rejette la responsabilité sur son partenaire pour peu que celui-ci fasse preuve de bienveillance ou s'applique à jouer un rôle réparateur. Mais si ce dernier refuse d'accepter les torts imaginaires qui lui sont injustement imputés, il est immédiatement accusé d'être hostile et rejetant. Il ne mesure pas à la même aune son comportement, toujours irréprochable selon lui, et celui des autres, toujours en faute. Il ne voit jamais la disproportion entre le peu qu’il " donne " et ce qu’il reçoit. C'est toujours l'autre, et jamais lui, qui fait preuve d'ingratitude et de mesquinerie. L’existence même de la victime peut constituer, pour le pervers, un reproche permanent de sa perversité, et elle devient alors, à son insu, celle sur qui va se focaliser sa haine. Le pervers s’en prendra d'ailleurs à tous les " redresseurs de torts ", à tous ceux qui auront cherché à le faire changer, et il n’aura de cesse de les faire chuter (moralement, socialement) car ils auront commis le crime, impardonnable à ses yeux, de faire intrusion dans son système de « confortement narcissique permanent . Appropriation des qualités de l’autre Plus que les biens matériels, ce sont des qualités morales, autrement plus difficiles à voler, que cherche à s’approprier le pervers : la joie de vivre, la sensibilité, l'aptitude à la communication, la créativité, les dons musicaux ou littéraires... Ainsi, lorsque le partenaire émet une idée, le pervers s'en empare et la fait sienne. S'il n'était pas litteralement aveuglé par la haine, il pourrait, dans une relation d'échange, apprendre comment acquérir un peu de ces qualités qu'il envie. Mais cela supposerait une modestie que par définition il n'a pas. Les pervers narcissiques cherchent aussi à s'approprier les passions de l'autre dans la mesure où ils se passionnent pour cet autre ou, plus exactement, ils s'intéressent à cet autre parce que cet autre est détenteur de quelque chose qui pourrait les passionner. On les voit ainsi avoir des coups de cœur, puis des rejets brutaux et "définitifs ". L'entourage comprend alors mal comment une personne peut être portée aux nues un jour puis démolie le lendemain. Les pervers narcissiques ressentent une envie très intense à l'égard de ceux qui leur semblent posséder les choses qu'ils n'ont pas ou qui simplement tirent plaisir de leur vie. Ce désir d'appropriation peut être d'ordre social comme de séduire un partenaire qui les introduira dans un milieu qu'ils envient, haute bourgeoisie, milieu intellectuel ou artistique… Le bénéfice qu'ils en attendent est de posséder un faire-valoir qui leur permette d'accéder au pouvoir. Ils s'attaqueront ensuite à ce faire-valoir, cherchant à détruire en lui l'estime de soi et la confiance en soi, afin d'augmenter à leurs yeux leur propre valeur. Le profil des victimes Elles sont dotées des qualités que le pervers précisément convoite : douées et cherchant toujours à donner le meilleur d'elles-mêmes, elles sont séduisantes. Vives et extraverties, elles aiment parler de leurs réussites et exprimer leurs joies. Etant profondément généreuses, elles ne peuvent se résoudre à admettre la perversité de leur bourreau et s'appliquent à lui trouver des excuses. Toujours prêtes à se sentir responsables, voire coupables, acceptant facilement la critique, elles s'épuisent à donner au pervers une impossible satisfaction. Elles introjectent la culpabilité : " Tout est de ma faute ! ", ce qui permet au pervers narcissique une projection hors de soi-même en rejetant la culpabilité sur l'autre : " C'est de sa faute ! " (cf. Marie-France Hirogoyen, " Le Harcèlement Moral ", p. 112). Le pervers recherche souvent une personnalité maternelle, aimante, dévouée, parce qu'il a besoin d’être aimé, admiré - même et surtout s'il est lui-même incapable d’aimer , d’avoir quelqu'un entièrement à son service. Mais l'attirance qu'il ressent pour elles n'exclut pas la haine. Il prend le plus souvent ses victimes parmi des personnes pleines d'énergie et d'amour de la vie, pour les vampiriser et les " dévitaliser ". Il choisit de préférence des personnes honnêtes, sincères, gentilles, qui cherchent vraiment à consoler et à réparer, mais aussi naïves, sans trop d’esprit critique, voire fragiles, afin de les amener plus facilement et plus rapidement à accepter une relation de dépendance. La victime recherche souvent de son côté une personne forte et charismatique qui la rassure, et c’est là justement l'image que le pervers veut donner de lui. Les victimes désignées sont celles qui ont besoin d’un but valorisant pour exister - visiteuse de prison, bénévoles d’ONG… , qui veulent agir pour le bien, et aiment à s’occuper des " chiens perdus sans collier ". Elles tomberont aisément sous l'emprise des pervers dans lesquels elles verront, souvent à tort, une personne fragile, un enfant à protéger. Le pervers vit et se nourrit de l’espoir que la victime place, naïvement ou désespérément, en lui ou en quelque chose qu'il lui fait miroiter en permanence par des promesses fallacieuses. Cet espoir, pour la victime harcelée, est de " guérir " le harceleur et c'est cette illusion qui la fait rester dans la relation, et continuer à subir les attaques qui la détruisent sans réussir à la « décrocher » pour autant. On s'étonne souvent que, malgré l’évidence des preuves, les victimes ne quittent pas leur bourreau. Mais c'est qu'en elles se mêlent aussi fierté, aveuglement, entêtement, dissonance cognitive, refus de la réalité. Car admettre la réalité serait trop douloureux, trop insupportable, quand l’investissement affectif dans le conjoint ou le partenaire a été l'objet a pris tant de place dans leur vie. Elles auraient trop à perdre à y renoncer, à commencer par leurs illusions. Il y a souvent chez elles un amour fier, fanatique et aveugle (voire délirant), pour le compagnon ou l'enfant pervers. Par orgueil elles ne veulent pas se reconnaître comme victime, car elles espèrent toujours contrôler la situation. Du moins le pervers le leur laisse-t-il croire, alors que c’est toujours lui le vrai marionnettiste qui sait tirer les bonnes ficelles. Pour certains psychanalystes les victimes d'une agression perverse sont secrètement complices de leur bourreau en instaurant ou favorisant une relation sadomasochiste, source de jouissance pour le pervers qu'elles espèrent ainsi contenter, pour mieux se faire accepter par lui. On est alors dans une relation psychopathologique. Certaines victimes semblent souffrir au départ d’un manque de confiance en soi pathologique qui leur fait accepter aisément toute forme de soumission. Mais la plupart des victimes ne sont pas nécessairement masochistes : ce qui différencie les victimes de pervers des masochistes, c'est que lorsque, au prix d'un immense effort, elles parviennent à se séparer de leur bourreau, elles ressentent une immense libération, parce que la souffrance en tant que telle ne les intéresse pas. la loi de 2010 qui sanctionne le harcèlement psychologique ne mentionne ni la perversion narcissique ni la manipulation. Roland Courteau,sénateur de l'Aude à l'origine de cette avancée avec les députés Danielle Bousquet et Guy Geoffrroy,se dit prêt désormais,face à de nombreux témognages de femmes qui,sans savoir décrivent leur vie avec un pervers narcissique,à faire connaître cette cette pathologie. |
Ils dénigrent l'autre pour se valoriser
ils vampirisent son énergie jusqu'à le briser "ils" ce sont les pervers narcissique, identifié depuis une 20ène d'années seulement, le phénomène se répand au point d'être qualifié pour certains pays de "mal du siècle" ces prédateurs moraux dont le meilleurs allié est l'ignorance le stéréotype du pervers narcissique: vampirisation de l'énergie de l'autre absence d'empathie froideur émotionnelle dénigrement insidieux indifférrence au désir de l'autre mensonge pathologique incapacité à reconnaitre ses torts déni de la réalité manipulation maniement redoutable de la rhéthorique:le dialogue au sein du couple pour dépasser le conflit tourne à vide soulagement morbide quand l'autre est au plus bas Profil du pervers narcissique
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dans un bol mélanger l'huile d'olive & le jus de citrons ainsi que l'aneth ciselée
saleer & poivrer y rajouter les noix de pétoncles crues ainsi que les crevettes grises réservez aprés avoir bien mélangé la préparation dans le bol de votre mixer verser le contenue deu pot de fromage ail & fine herbe ainsi que la chair d'avocat coupé en gros morceau mixer le tout jusqu'à obtention d'une crème pour finir fouéttez énergiquement la ricotta jusqu'à ce quelle devienne lisse puis y rajouter le surimi bien nettoyer les verrines & les remplir avec une poche à douille du mélange à base d'avocats & commencer par remplir le fond de chaque verrine si besoin lisser avec le dos d'une cuillère ajouter ensuite le mélange de noix de pétoncles & de crevettes grise enfin remplir à nouveau votre poche à douille du mélange ricotta surimi & remplir les verrines servir frais bon appétit! |
faites cuire les crevettes dans l'eau salée puis les égoutter & les decortiquer.
mettre les crevettes dans les avocats coupé en 2 nappez de mayonnaise puis de persil dressez sur une feuille de salade avec pour deco quelques quartier de tomate & ou de citrons servir très frais bon appétit! |
que toute nous vous offrons
un petit brin virtuel à toutes & tous @ bientôt |