La recette m'avait bien plu
j'ai donc réalisé ce dessert, et lai accompagné avec un coulis de cassis. merci à JOSIE ( cuisines faciles et en famille ). POUR RETROUVER LA RECETTE : Cliquez ci dessous
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Elle est arrivée s'en prévenir , je l'ai laissée grandir pour la connaître mieux.
Mireille tu vas m'aider à lui donner un nom !!!!
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J'ai été agréablement surprise de découvrir la beauté de ma fleur de "trottoir".
elle est double
Je vais récupérer les graines, elle est trop jolie
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On ne "chôme" pas même en vacances...
Après la pelouse nettoyage du talus.
E t voila une partie du résultat, ce sera direction la déchettrie.
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A 13H direction aéroport de NANTES pour checher ma petite fille
Retour à Mortagne où nous avons déguster la bonne tarte cassis abricot
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c'est en regardant de plus près un paquet de floraline que j'ai découvert cette recette.
-j'ai apporté un peu ma touche personnelle en ajoutant des lardons de volaille à la poelée courgettes oignons . Dans 50cl.de lait j'ai fait cuire pendant 3 mn. 5 Cuillères à soupe de floraline,auquel j'ai ajouté quelques pincées de poudre pour bouillon .
puis j'ai versé cette préparation sur les courgettes, parsemé de rapé et au four.
verdict , surprenant quand on est habitué à manger la floraline en laitage et sucré, mais c'est assez succulent . |
j'avais planté 3 "têtes" d'ail, dans la jardinière.
Et voila ce que je récolte ...3 petits oignons ... je vais les goûter d'ici peu pour savoir ce que cela donne ....A suivre ..... Voila la suite...Et c'est bien de l'ail que j'ai récolté..Oh ce ne sont pas de grosses "gousses" mais elles sont entières.Je renouvellerai l'expérience .
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Comme l'an dernier, je refais les courgettes à l'aigre-doux,car ma petite réserve est épuisée.
Cette fois je "pars" avec 2 kg de courgettes . - Pour la recette cliquez ci-dessous COURGETTES à l'Aigre-doux |
Voila mon pourpier qui commence à "squatter" l'allée.
et là une autre bien envahissante .
quand je pense que j'en avais planté 2 petits pieds....
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Ils s'appellent Marie, Hervé, Roger, Nadège..., orphelins de l'Assistance, sans le sou, cancres, bons à rien, et sont les élèves de l'école laïque de Brennac. Au coeur de la Bretagne rurale des années 1950 où l'église régente tout, l'école sans Dieu, républicaine, gratuite et mixte, est encore l'école du diable !
Mais les jets de cailloux de « ceux du privé », le mépris des « bien-pensants », l'hostilité du maire qui refuse le plus petit centime pour acheter des craies ou un poêle à une classe déjà dépouillée de tout n'altèrent en rien l'énergie de l'institutrice, Julia, qui, en un véritable sacerdoce, s'acharne envers et contre tous à mener dignement ses protégés vers un minimum de « savoir-faire à défaut de savoir ». Elsa, huit ans, raconte ici son enfance imprévisible et brosse un bouleversant portrait de sa mère, héroïne des temps modernes. Ainsi défile une chronique profondément humaine sur l'engagement et l'école pour tous - j'ai particulièrement bien apprécié ce livre d'autant plus que je suis une ancienne élève de l'école du Diable comme on l'appelait aussi dans la commune. J'ai retrouvé le même souvenir concernant l'épisode de la communion, nous étions également reléguées au dernier rang; et nous subissions certaines humiliations par un vicaire qui au catéchisme commentait les films muets en noir et blanc... Tout cela me fait sourire maintenant, mais il nous fallait être très courageuses pour affronter les paroles des "hommes" de DIEU . |
Avec " nounours" dans les bras, mais avec cette gentille poupée ...
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Cette rose trémière a poussé toute seule,comme une grande . Personne n'y a "touché" jusqu'ici, mais je ne crie pas victoire..
La deuxième floraison de la glycine, emmelée au chevrefeuille.
Bientôt il faudra tout couper....
les hémérocalles fleurissent à qui mieux mieux...
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