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Variété culinaire

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Dernière màj le 11/05/2012
Blog créé le 10/07/2007

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Bienvenue sur mon blog !
Avec Aurélie, on est toujours prêt à goûter de nouvelles cuisines et les produits du terroir. Ce blog est là pour vous faire découvrir tous ces produits

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Pour changer nous nous sommes réveillés au chaud aujourd’hui, très au chaud. En fait, on suffoquait dans la tente, donc nous sommes sorties assez tôt. Mais ce n’était pas grave car nous avions prévu la visite d’une cabane à sucre qui commençait à 9h14. A la question, pourquoi un horaire si bizarre, notre guide nous a répondu que ça intriguait les visiteurs et qu’ainsi, ils étaient à l’heure. La saison touristique n’étant pas très avancée, nous nous sommes retrouvés à quatre visiteurs. Quatre français pour être plus précis.

 

Notre guide est exploitant de l’érablière depuis quatre ans maintenant (il a 19 ans !!!), et nous a, non sans humour, détaillé toutes les étapes de la fabrication du sirop d’érable. Nous avons ainsi appris que les Québecquois tenaient la recette des indiens, qui eux même la tenaient des écureuils. Nous savons maintenant que le sirop d’érable est obtenu à partir de l’eau d’érable les lendemains de dégel, et qu’il faut 40L d’eau d’érable à évaporer en 2H, pour obtenir 1L de sirop d’érable. Plus le sirop est cuit rapidement, meilleur il est. Ce sont les sirops les plus clairs qui sont cuits les plus rapidement, les autres sont bruns car le sucre à commencé à caraméliser.



Suite à la visite, nous avons eu droit à une dégustation, et nous avons découvert deux produits que nous ne connaissions pas : la gelée d’érable et le caramel d’érable. Ces deux produits étant fait avec une base de sirop d’érable, il va dire qu’ils sont tous les deux délicieux. Bien sûr, nous ne sommes pas repartis les mains vides, nous avons acheté plusieurs produits, dont une petite bouteille d’un litre de sirop d’érable !



Avant de partir, nous avons demandé à l’accueil du camping les prévisions météo. Averses prévues dans la nuit. Aïe, avec notre tente actuelle, la nuit va être humide. Nous sommes donc partie en quête d’une nouvelle tente pour pouvoir continuer notre périple. Après nous être vu interdire l’entrée d’un «Wholesale» parce quue nous n’avions pas de carte de membres, nous sommes allés dans un «Maxi». Heureuse surprise, ça ressemble à une grande surface de chez nous, avec les mêmes rayons. Nous avons trouvé dans le rayon saisonnier, des tentes. Nous nous emparons alors de la plus petite à 59$, avec tout de même une interrogation : elle est annoncée 4 places sur le sac, et 3 sur l’étiquette. Et ce n’est pas les dimensions en pied qui nous aident à y voir plus clair.

 

Nous nous rendons ensuite dans un village Huron, afin d’en apprendre un peu plus sur cette civilisation.



La visite était vraiment très intéressante. Il est amusant d’avoir le point de vue d’une civilisation amérindienne sur l’histoire de Québec, en plus de la version québecquoise. Nous avons ainsi découvert leur mode de vie : communauté matriarcale, grandes maisons familiales, peuple d’agriculteurs, croyances et médecine. Nous avons également appris qu’à l’arrivé des colonisateurs, les hurons étaient 25000. Puis le nombre d’individus s’est réduit à 300. Ils se sont alors déplacés dans la région de Québec.



Mais nous n’avons pas seulement appris sur le peuple huron. En effet, une partie du village est consacrée aux autres peuples amérindiens, comme les inuits. Une partie du village expose également la place de ses peuples dans la civilisation canadienne actuelle. 



Après la visite, petit passage par la boutique de souvenirs, où nous avons trouvé un beau livre sur la cuisine huronne. Très bien fait, il donne des suggestions d’équivalence pour les viandes, comme remplacer le bison par du boeuf. Nous avons hâte de pouvoir essayer tout ça !



Nous avons ensuite repris la voiture pour nous diriger vers la région de Charlevoix afin de poser notre nouvelle tente dans un nouveau camping. Alors à la question 3 ou 4 places pour la nouvelle tente, la réponse est : plutôt 4. Du coup l’ancienne tente ne finira pas le voyage avec nous, mais plutôt dans une poubelle.




La pluie de la veille a eu une désagréable conséquence, elle a refroidi le fond de l’air. Résultat, cette nuit nous avons eu très froid. Même en nous couvrant un maximum, difficile de dormir. Nous attendions donc avec impatience le lever du soleil pour que celui-ci réchauffe la tente. Ce qui fut fait, un même un peu trop, car au matin, la tente est rapidement devenu un four.

 

Nous avons ensuite plié notre campement. Et à ce sujet, si vous passer dans la région de Trois-Rivières ou de Shawinigan et que vous recherche un camping, je ne peux que vous conseiller d’aller à celui du lac-à-la-Tortue, le camping Rouillard. Tout le personnel y est très sympathique, et à notre départ, le directeur nous a donner la grille, et plein de bons conseils pour la suite de notre voyage.

 

Nous sommes alors parti pour Québec, afin de visiter les chutes de Montmorency. Le parc d’accès au chute est  gratuit, mais le parking est lui payant, et coute 10$, ce qui est encore plus cher qu’en plein centre-ville de Québec. Comme nous n’avons pas peur de marché, nous avons été nous garer dans le quartier voisin, dans une des rues résidentielle.



Les chutes sont assez impressionnante. Plus hautes que celle du niagara de 30m, elles sont beaucoup moins larges, ce qui explique qu’elles soient moins connues. Le parc se situe en haut des marches, et il y a des escaliers pour descendre au pied de la cascade. Nous sommes donc descendu, et avons pu constaster la force de la chute au vu du nombre impression de rodin de bois qui s’accumulent à son pied.



Après être descendu, il faut bien sûr remonter. Et là, pour des sportifs de notre genre, ce fut long et difficile. Nous avons été obligé de faire une petite pause à chaque pallier. Et une fois arrivé au sommet, il était temps pour nous de faire une pause et de sortir notre pic-nic.





Après avoir repris des forces, nous avons été installé notre campement dans un nouveau camping, avant de repartir visiter la ville de Québec. Fier de notre trouvaille du matin de nous garer dans un quartier résidentiel plutôt que de payer le parking, surtout dans une grande ville comme Québec, nous avons fait la même chose. Sauf que là nous avons mal jugé les distance, et que nous étions à une heure de marche du centre.

 

Nous sommes arrivé à 17h, juste au moment ou l’office du tourisme fermait. Nous avons donc fait la visite par nous même, avec le guide du routard, en commençant par les plaines d’Abraham.



Nous avons ensuite continué notre descende vers le chateau de Frontenac, et la vieille ville.



L’endroit est bien sûr touristique et riche d’histoire. Nous avons pû apprécier de belles maisons anciennes, la rue Champlain et la place Royale, lieu de la première habitation permanente des Français dans le nouveau monde.



Après tous ces efforts, et avant de devoir remonter toutes les marches des plaines d’Abraham, et refaire une heure de marche pour atteindre la voiture, nous avons cherché un restaurant. Notre quête pour un restaurant servant de la cuisine traditionnelle à été difficile, même dans un quartier aussi touristique que ceuli du vieux Québec. Nous avons tout de même trouvé notre bonheur, et avons pû gouter à la soupe de pois



la tourte à la viande



le ragoût de Caribou



et enfin, la tarte au sirop d’érable




Réveil pas très agréable ce matin : il pleuvait et notre tente n’étant plus très imperméable, nous avons été réveillé par de petites gouttes nous tombant sur la tête. Ainsi réveillé, nous avons vidé la tente de son contenu et nous y avons placé des bols pour récupérer l’eau.

 

Etant encore une fois les premiers réveillés, nous avons décidé de faire une petite balade dans la forêt qui borde le camping. Commençant à nous faire violemment attaquer par les moustiques, nous avons fait demi-tour, et sommes allé acheter chez le pharmacien du répulsif.

 

Nous en avons profité pour faire quelques courses, et nous nous interrogeons encore sur le mode d’alimentation des canadiens. Si nous retrouvons dans leurs magasins un rayon viande et fruits et légumes, beaucoup de différences existes. Tout d’abord au niveau du rayon des boîtes de conserve : ici très peu d’haricots verts, de petits poids..., pas du tout de ravioli, paëlla et autre plats préparés, mais une quantité impressionnante de sauces en boites. Idem pour le rayon soda, avec des bouteilles de 2L au minimum, ou des caisses en carton de canettes pour un total de 4,2L.

 

Une fois nos emplettes faites, nous sommes retournés au camping pour prendre notre petit déjeuner. La pluie ne s’étant pas calmée, nous avons cherché un refuge pour nous habriter, et c’est donc tout naturellement que nous l’avons fait dans la salle d’arcade du camping. Et oui, presque un rêve réalisé, prendre son petit déjeuner au milieu des bornes d’arcade et des billards.



Nous en avons profité pour gouter une nouvelle chose, ce blog ne s’appelerai pas «Variété Culinaire» si on ne faisait pas ce genre de tests. Je vous passe le soda aux raisins si sucré et au gout de Red Bull, pour me concentrer sur la tartinade de noix de coco. Alors pour faire simple, c’est tout simplement immangeable. Ce n’est que du sucre et ça à même pas le goût de noix de coco, ou alors j’ai tellement été écoeuré du sucre que je ne l’ai pas trouvé.



Le soleil commençant à se montrer, nous sommes partie faire un peu de tourisme, et notemment, nous sommes allé voir le rocher Grand-mère, à Shawaningan. Nous avons été un peu déçu, car il n’y a pas grand chose à voir, à part le rocher en photo ci-après, perdu au milieu d’un mini square, avec juste une petite plaque énonçant la légende. Il s’agirait du visage d’une indienne, qui avait jurée fidélité à son futur époux. Cet homme est partie à la chasse pour ramener des fourrures comme présent de mariage, et devait revenir quand il en aurait suffisemment. La jeune indienne l’a fidèlement attendue toute sa vie, et à sa mort, un éclair a frappé un rocher pour y marquer son visage, et pour que son époux sache en revenant, qu’elle lui avait toujours été fidèle.



Nous avons ensuite voulu faire le tour d’un lac, le lac-des-Piles, et nous nous sommes rendu compte que c’était impossible. En effet, des habitations sont construites tout autour du lac, et il est impossible d’en approcher les berges, sans être sur un terrain privé. Même chose pour le lac-à-la-Tortue. C’est d’autant plus triste qu’il n’y a pas de plan d’aménagement. Ici se cotoie aussi bien les belles demeures en pierre, que les terrains vagues ou les vieilles maisons mal entretenues. Il n’y a aucun cohérence, même dans les matériaux de construction, qui peuvent être aussi bien en pierre, en brique, en bois...




Nous étant couché tôt la veille au soir, et le décalage horaire aidant, nous nous sommes réveillé dès les premières lueures du soleil, aux alentours de 5H du matin. Parfait pour prendre sa douche sans faire la queue, et n’aillant que des céréales pour faire notre petit déjeunée, nous allons pu faire une balade au bord du St Laurent avant 6H.

 

A cette heure là, il est évident que nous n’avons croisé aucune âme qui vive, mais seulement des oiseaux, dont une sorte de héron que nous avons pu approcher d’assez prêt. Nous avons également eu la chance d’apercevoir une grand voilier au loin.



Le campement plié, nous avons fait route en direction de Trois Rivières. Ici les autoroutes sont gratuites, mais limitée à 100km/h. Nombreux canadiens doivent penser que ce n’est pas assez rapide car nous nous faisons régulièrement dépasser sur la route. Autre différence amusante, les deux sens des autoroutes sont séparées non pas par un rail de sécurité, mais par une bande de terrain allant d’une vingtaine de mètre, à un petit bois.

 

Nous sommes arrivé un peu tôt à Trois Rivières, et l’office de tourisme n’était pas encore ouvert. Mais parce que nous faisons certainement très touriste français, un monsieur (dont les ancêtres sont originaire de La Flêche) nous a abordé et nous a parlé pendant plus d’un quart d’heure, de l’histoire de la ville, de l’histoire canadienne, des relations entre les quebecquois, les indiens, les français et les britanniques. Très instructive, cette rencontre nous a permis d’apprendre beaucoup sur l’histoire et la culture du Québec.

 

L’office du tourisme, en plus de nous donner des renseignements sur les choses à voir dans la ville et aux alentours, nous a indiqué la marche à suivre pour avoir gratuitement une connexion internet à proximité de la bibliothèque, ce qui ma permis de mettre à jour ce blog avec un premier article. Nous avons ensuite fait un petit circuit pédestre touristique de la ville.



Le midi, nous nous sommes décidé à manger une spécialité du pays, la poutine. Aurélie sera d’accord avec moi, la poutine de fast-food, ça pas trop de goûts, c’est gras, calorique, et c’est un peu dur à digérer.



Pour faire passer tout ça, nous nous sommes offert une autre spécialité du pays, le bar laitier : c’est à dire un glacier. Là par contre, il y a de fortes chances que nous y retournions souvent.



Dans l’après midi, nous nous sommes rendu sur les sites dit «des forges» où se trouve les anciens vestige de la plus vieille communauté industrielle du pays : des forges d’où étaient fabriquées toutes sortes d’objets en fer et en acier. Ces forges habritaient une communauté de 450 personnes. Sur ce site se trouve également un petit gisement de gaz naturel, appelé la source du diable.

 


 

L’après midi étant bien avancée, nous avons choisit un camping sur notre brochure, et nous y sommes rendu. Il est situé au bord du lac de la tortue, à Shawinigan. Deuxième camping, et deuxième fois que nous sommes si bien accueilli. Ici, pas de problème pour vous attribuer un emplacement, d’autant plus que le camping venant tout juste d’ouvrir, nous sommes la seule tente.

 

Pour l’instant les gens que nous avons rencontré sont tous incroyablement gentil avec nous, essayant toujours d’être arrangeant. Par exemple, nous n’avons aucun moyen de faire chauffer de la nourriture, mais les campings ayant tous un barbecue sur chaque emplacement, nous avons acheté du bois. La personne de l’accueil nous a proposé de nous prêter une grille, et c’est le directeur du camping qui est venu nous l’apporter. La personne de l’accueil est revenu nous voir le soir pour savoir si la grille nous avait bien été apportée.




La journée fut longue, mais nous sommes bien arrivé au Canada. Après notre voyage en train sans difficulté hier au soir, des amis sont venus nous chercher à la gare. Nous avons profité d’être sur Paris pour nous faire un restaurant avant de rentrer. Nous n’avons pas eu de problème pour trouver une table car il était désert pour cause de coupe du monde.

 

Ce matin, nous sommes arrivé avec plus de deux heures d’avance à l’aéroport. Et là première petite surprise, le panneau d’affichage indiquait bien notre vol mais pas le numéro pour l’enregistrement des bagages. Après avoir attendu quelques minutes, nous sommes allé demandé à l’accueil qui nous a indiqué ce numéro. Ensuite, le temps va vite, entre la queue pour faire l’enregistrement des bagages, la queue à la douane pour la vérification des passeport, nous n’avons pas attendu beaucoup pour pouvoir monter dans le bus qui nous a mener au pied de l’avion.

 

Aurélie a eu une petite monté de stress au moment du décollage, quand l’avion prend de la vitesse. Mais elle a pas eu le temps de se faire trop de soucis, car l’avion a été rapidement dans les airs. Nous n’avons ensuite pas eu beaucoup de turbulences, ce qui nous a permi de profiter des films, et nous avons même eu la chance d’avoir une météo dégagée, nous permettant d’admirer la pointe sud du Groënland.

 

Nouvelle monté de stress pour Aurélie à l’attérissage. L’avion descendant par palliers importants, et tournant, cela ne lui a pas vraiment plu. Mais dès que les roues ont commencées à toucher le sol, ça allait mieux. Nouvelles queues pour présenter les passeports, les formulaires, récupérer les bagages et vers 14 heures, heure locale, nous étions enfin dehors.

 

Direction l’agence de location de voiture, où nous avons  pris possesion de notre Suzuki SX4. Et là bien sûr, première question pour nous autres français, comme ça marche une boite automatique ? Nous sortons donc le manuel de la voiture et commençons la lecture. Nous avons mis quelques minutes à comprendre que la boite automatique avait aussi une position manuelle, et nous avons encore un peu de mal avec le frein que je trouve très sensible. Me rappelant d’un grand centre commercial auquel je suis allé plusieurs fois quand j’étais étudiant là-bas, nous avons programmé la GPS pour cette direction, et nous sommes partis.

 

Sans entrer dans les détails du shopping, nous avons acheté un peu d’équipement et de vaisselle pour les jours à venir. Une fois équipé, nous avons repris la route en direction de notre camping. Nous avons été agréablement surpris en arrivant, de découvrir que celui-ci était au bord du St Laurent, équipé d’une piscine et que l’eau et l’électricité était disponible sur notre emplacement. Nous devions même avoir une connexion wifi, le grand luxe, sauf que ça ne marche pas :(

 

Une fois que nous avons fini de monter la tente, nous avons mangé nos sandwichs de poulet compressé saveur bolognaise, tout en observant les écureuils prêt de la cabane en bois, et nous sommes enfin allé nous coucher. Pour nous, il était presque 3h du matin.

 

Demain commence véritablement notre découverte du territoire canadien.




Sauce Barbecue

 06/06/2010
Maintenant que les beaux jours sont revenus, on a tous envoie de faire des barbecue. Donc voici la recette d'une marinade que j'utilise aussi bien avec les travers de porc, les côtes de porc, que les brochettes de poulet.
Ingrédients
- 4 cs de sucre roux
- 1 cs de ketchup
- 1 cs de moutarde
- 1 cs de sauce soja
- 1 cs de sauce Worcestershire
- 1 cs de rhum brun
Préparation
Mélanger le tout, et mettez-y votre viande à mariner pendant au moins 1 heure. Puis, lorsque la viande cuit sur le barbecue, badigeonnez là régulièrement avec cette marinade.
Vous pouvez également l'épicer un peu plus en ajoutant un petit piment oiseau (attention de ne pas avoir la main trop lourde).



Tarte à la Rhubarbe

 05/06/2010
Avec le retour de beaux jours, et parce que c'est de saison, voici une petite recette de tarte à la rhubarbe
Ingrédients
Pâte
225g de farine
112g de sucre
3 pincées de sel
112g de beurre
3 jaunes d'oeufs
Garniture
1kg de rhubarbe
Meringue
6 blancs d'oeufs
370g de sucre en poudre
1/2 cc de Maïzena
Préparation
Nous commençons par préparer la pâte qui est une pâte sablée. Lorsque la pâte est prête, l'étaler au rouleau en lui donnant une épaisseur d'1/2cm environ. Après avoir beurré un moule à tarte, en garnir la pâte et la faire pré-cuire 5 à 10 minutes au four, à 220°C.
Pendant ce temps, nettoyer, éplucher et couper en morceaux la rhubarbe. Déposer ensuite la rhubarbe sur la pâte et remettre à cuire pendant 20 minutes. Il est important de ne pas rajouter de sucre à cette étape, car c'est la meringue qui donnera tout son goût sucré à la tarte.
Pendant que la tarte cuit, préparer la meringue. Mettre les blancs d'oeufs et le sucre dans un saladier et battre au fouet électrique. le sucre doit complètement se dissoudre et les blancs être fermes et luisants. Rajouter ensuite la Maïzena tout en continuant à battre. Déposer ensuite les blancs sur la tarte, en faisant de jolies motifs avec un poche à douilles si possible, et remettez au four pour 5/10 minute. C'est prêt quand la meringue commence à dorer.
Le plus dur est maintenant d'attendre que ça refroidisse avant de pouvoir vous régaler. Accompagné d'une petite boule de glace vanille, c'est délicieux. On peut également compléter la rhubarbe avec des fraises lors de la préparation.



Suite à notre première réalisation, nous avons décidé de refaire une bonne partie de notre vidéo-projecteur. En effet, pour la version actuelle, tout ne c'est pas déroulé comme prévu, et il y a plusieurs erreurs de conception.
Si cela ne nous a pas empêché de nous faire des séances ciné régulières depuis plus d'un an, nous souhaitons maintenant faire évoluer notre système pour améliorer les points suivants :
- remplacement de la lampe pour plus de puissance, afin d'augmenter les contrastes sur les couleurs sombres
- reconstruire la boite en bois afin de repositionner la porte, les trous d'aération et de stabiliser les pieds
- modifier le système de refroidissement pour qu'il soit un peu plus silencieux
- colmater les différentes fuites de lumière
- permettre d'avoir plus de réglage de netteté et de luminosité


Nous avons déjà commencé plusieurs des étapes. Tout d'abord, nous avons acheté des panneaux de medium pour refaire la boîte, en remplacement de celle en contreplaqué. Les découpes sont faites, mais la boite n'est pas encore montée.
Pour la source de lumière, nous allons remplacer la lampe actuelle pour des ampoules au Xénon, comme celle que l'on retrouve dans les phares de certaines voitures. Pour les voitures, la puissance est de 35W, pour notre projet, nous avons investi dans deux ampoules de 120W.
Premier problème, nous devons refaire le réflecteur pour les ampoules, car l'actuel n'est pas assez grand pour deux. Nous l'avons donc refait en achetant une plaque d'aluminium que nous avons découpée et recourbée sur une bouteille de shampoing. Rien qu'en faisant cela, la différence de luminosité entre l'ancien et le nouveau réflecteur est visible.
Nous n'avons pas encore intégré la deuxième ampoule, mais la prochaine étape sera de revoir la fixation des éléments principaux (écran et fresnel) pour les mettre sur des tiges filetés. Ce système nous permettra de régler la distance entre ces éléments, et donc la taille de l'image et sa netteté.
A bientôt pour la prochaine étape !



Nous partons dans une semaine pour 15 jours de vacances au Canada.
Aurélie voulait découvrir ce pays depuis très longtemps déjà. Ça sera la 1ère fois qu'elle prend l'avion et qu'elle fait un si grand voyage.
Elle est si impatiente de partir que les bagages sont déjà prêts !



Takikomi-gohan

 01/06/2010

Pour 8 personnes

Ingrédients
4 doses de riz ou 720 ml
800 ml d'eau et du dashi
1 et 1/3 cuillère à soupe de saké
1 cuillère à soupe de mirin
4 cuillère à soupe de shôyu (ou sauce soja)
1 cuillère à café de sucre
1 pincé de sel
un peu d'algue laminaire
un peu de kanten
1 carotte
5 ou 6 hoshi-shiitakés ou autres champignons
1 et ½ de feuille d'abura-argué (tôfu frit)
1 boite de thon ou 8 noix de coquilles St-Jacques ou 1 pavé de saumon sans peau
10g de kansô-gobo (bardane séché)
Préparation
Lavez le riz 3-4 fois à l'eau claire et laissez reposer 30 min. Trempez dans l'eau tiède pendant 10 min les hoshi-shiitakés.
Épluchez la carotte et taillez la en petits morceaux. Tranchez les champignons en biais mince. Arrosez d'eau chaude les feuilles d'abura-argué. Coupez le poisson en morceaux. Écrasez le kansô-gobo en petits morceaux.
Mettez le riz, le dashi délayé dans l'eau et tous les autres ingrédients dans l'autocuiseur. Allumez l'autocuiseur. Après la cuisson, laissez reposer pendant 10 min puis mélangez.

Ingrédients
4 doses de riz ou 720 ml
800 ml d'eau et du dashi
1 et 1/3 cuillère à soupe de saké
1 cuillère à soupe de mirin
4 cuillère à soupe de shôyu (ou sauce soja)
1 cuillère à café de sucre
1 pincé de sel
un peu d'algue laminaire
un peu de kanten
1 carotte
5 ou 6 hoshi-shiitakés ou autres champignons
1 et ½ de feuille d'abura-argué (tôfu frit)
1 boite de thon ou 8 noix de coquilles St-Jacques ou 1 pavé de saumon sans peau
10g de kansô-gobo (bardane séché)

Préparation
Lavez le riz 3-4 fois à l'eau claire et laissez reposer 30 min. Trempez dans l'eau tiède pendant 10 min les hoshi-shiitakés.
Épluchez la carotte et taillez la en petits morceaux. Tranchez les champignons en biais mince. Arrosez d'eau chaude les feuilles d'abura-argué. Coupez le poisson en morceaux. Écrasez le kansô-gobo en petits morceaux.
Mettez le riz, le dashi délayé dans l'eau et tous les autres ingrédients dans l'autocuiseur. Allumez l'autocuiseur. Après la cuisson, laissez reposer pendant 10 min puis mélangez.



Yakitori

 13/01/2010
Les Yakitori sont des brochettes de poulet typique de la cuisine japonaise. La photo les présente accompagnées de Tsukune (boulette de viande) et d'une salade de Daikon.
Ingrédients (pour 4 personnes)
Yakitori
1 escalope de poulet
Du saké
1/2 poireau

sauce
1 cs de saké
60g de sucre
100ml de sauce soja
2 cc de farine
sel

Préparation
Couper l'escalope de poulet en petit morceau de 2cm environ. Les badigeonner légèrement de saké. Couper le poireau en morceaux de 3cm.

Mélanger tous les ingrédients dans la sauce dans une petite casserole. Faite légèrement chauffer, jusqu'à temps que le sucre se dilue et que la sauce s'épaississe un peu.

Mettre le four à pré-chauffer à 200°C. Préparer les brochettes en alternant le poulet et le poireau. Badigeonner les brochettes avec la sauce et mettre au four.

Régulièrement, il faut retourner les brochettes et re-badigeonner de sauce.


Nous avions conclu le précédent article en disant que la disposition azerty du clavier était la pire possible. Et nous ne sommes pas les seuls à nous être fait la réflexion : en 1936, August Dvorak parvient à la même conclusion, et décide de réfléchir à la meilleure disposition possible pour les touches du clavier.
 
Cela donnera lieu à de nombreuses dispositions, dont le dvorak-fr. En se basant sur ces travaux, plusieurs individus ont apportés des améliorations et mis au point la disposition bépo.
 
Cette disposition de clavier permet de gagner en confort d'utilisation, et en vitesse de frappe, en remettant des caractères de la langue française directement sur le clavier (les œ, æ Æ œ Œ « » É È À Ù Ç). Elle est également plus facile d'apprentissage pour ceux qui ne sont pas encore habitué au clavier azerty.
 
Pour petite anecdote, les travaux de Dvorak ont été tellement efficace, que la recordwoman du monde de vitesse de frappe sur clavier, ne tape que sur un clavier Dvorak, et refuse d'utiliser un qwerty.



Savez-vous pourquoi les lettres d'un clavier sont disposées de la façons dont on les connait aujourd'hui, c'est à dire pour la plupart d'entre nous, en azerty ? Ceux qui ont connus la machine à écrire ont déjà un début de réponse : les touches étaient déjà dans cette ordre sur cette machine.
 
Ainsi donc, l'ordinateur a hérité de la machine à écrire son clavier. Mais cela ne change pas la question : pourquoi les machines à écrire avec les touches dans cette ordre ? La réponse est simple : pour qu'il soit plus difficile de taper, et que l'utilisateur ne soit pas trop rapide. Oui oui, vous avez bien lu, les touches sont dans cette ordre pour que cela soit difficile.
 
La raison en est simple : lorsque Christopher Latham Sholes met au point sa machine à écrire en 1870, il fait de nombreux essais et se rend compte que si l'utilisateur va trop vite, le bras de la lettre n'a pas le temps de revenir à sa position initiale qu'un autre bras vient entrer en collision avec le 1er. Cela ayant pour effet de bloquer la machine. Pour contourner ce problème, il décide donc d'arranger les lettres dans un ordre où les plus utilisées tomberaient sous les doigts les plus faibles, et les éloignant le plus les unes des autres.
 
Lorsqu'il améliora son invention pour corriger ce problème, il voulu réordonner le clavier. Mais c'était trop tard, ça machine à écrire avait été commercialisée, et son succès était tel que le producteur refusa de faire ce changement, de peur de mécontenter sa clientèle.
 
C'est donc pour cela, que 140 ans plus tard, nos ordinateurs ont un clavier pensé pour ralentir notre frappe, de peur que deux petits bras qui n'existent plus, rentrent en collision. Cela est d'autant plus dommage, que cette disposition est aujourd'hui à l'origine de nombreux troubles musculosquelettiques et risques de tendinites.



C'est vrai que mon blog est un peu à l'abandon et que je n'ai pas fini de raconter mes aventures concernant le déroulement de mon opération de la myopie.
Alors pour commencer, tout va bien, voir mieux que ce qui était prévu à l'origine. En effet, l'ophtalmo pensait que je récupérais 10/10 à l'oeil droit, et seulement 3-4 à l'oeil gauche. Mais en fait, j'ai presque tout récupéré à l'oeil gauche. Du coup, pour l'instant je ne le revoi qu'en octobre, mais en attendant, il m'a conseillé de faire modifier mon permis de conduire pour retirer la mention des verres correcteurs. J'en ai fait la demande, j'attends maintenant que la préfecture me convoque chez un médecin.
 
Si certains veulent tenter l'aventure, je peux maintenant leur donner quelques conseils : il ne faut pas faire les 2 yeux en même temps, c'est assez contraignant. J'ai eu le témoignage d'un autre patient qui avait fait ça, pendant que j'attendais avec lui dans la salle d'attente, et toutes les heures il devait changer le pansement de son oeil, pour le passer d'un oeil à l'autre. Par contre, il faut enchainer rapidement les opérations, car entre les deux, on ne peut plus porter de lunettes, et si on reste très myope d'un oeil, c'est dangereux (voire interdit en fait), de conduire ainsi, et puis forcément au quotidient, c'est un peu gênant.
 
Il faut également prévoir de se faire emmener à son travail pendant au moins une semaine après l'opération.
 
Je conseille aussi de faire l'opération au printemps : en effet, après l'opération, on ne peut plus conduire la nuit (effet de halo la nuit dû à la cicatrisation). Donc il faut qu'il fasse encore jour quand durant son trajet pour se rendre sur son lieu de travail. Cela fait 5 mois que je suis opéré, et je commence seulement à pouvoir de nouveau conduire la nuit.
 
Autre chose, il faut prendre un ophtalmo pas trop loin de chez soi : durant les quatre premiers mois, je suis allé voir le mien presqu'une fois tous les 15 jours pour des visites de suivi (le prix de ces visites est inclus dans le prix de l'opération). Donc les brestois qui voudraient se faire opérer à Rennes le regretteront rapidement.
 
Par contre après l'opération, c'est du bonheur : 5 mois que je ne porte plus de lunettes, pour un myope comme moi, ça change tout : j'ai enfin pû voir ma coiffeuse faire son travail, j'ai découvert à la piscine qu'il y avait plus de bassins que je ne le croyais, je vois où je vais quand je marche sous la pluie... De petits riens, mais qui font que je ne regrette vraiment pas de l'avoir fait.



En fin d'après midi, j'ai l'impression que mon grain de sable devient de plus en plus gros. En plus de cela, j'ai la même douleur que lorsqu'on se met du shampoing dans l'œil qui commence à apparaître et se fait de plus en plus présente.

Au bout d'un moment, la douleur est suffisamment forte que que je n'arrive plus à ouvrir l'œil, et que je me mette à pleurer assez abondamment. Aurélie décide alors de m'emmener à la clinique.

Arrivé sur place, la personne de l'accueil contacte directement le docteur sur son portable, qui arrive à la clinique 20 minutes plus tard.

Il m'anesthésie l'œil avec une goutte et m'explique que ce qu'il craignait se matin est arrivé : je cicatrice apparemment assez faiblement au niveau de l'œil, et la paupière, à force de passer au-dessus de la cicatrice, à fini par arracher l'épithélium. Il me met ensuite une pommade cicatrisante, et me cache l'œil en me donnant pour consigne de ne pas essayé de l'ouvrir.

Le lendemain, je dois remettre deux fois de la pommade cicatrisante, et jugerai pas moi-même si je n'ai plus mal, pour découvrir mon œil. Il me demande également de revenir le voir lundi soir pour voir l'évolution.

Le docteur se veut néanmoins rassurant : cet incident ne remet en rien en cause l'opération que j'ai subi. L'épithélium est une couche de cellule qui va régénérer naturellement. Par contre cette régénération sera un peu douloureuse, et tant qu'elle ne sera pas complète, ma vision continuera d'être un peu trouble. Mais dès lundi, je devrais être en mesure de mieux voir.

A Suivre...




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