La poussière ne date pas de ce WE, elle est d'origine : c'est à dire patiemment accumulé depuis 1984 dans le fond d'un placard.
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Et oui, avec les beaux jours, et peut être aidé par la conjoncture économique actuelle, la yaourtière fait son grand retour.
Il y a quelques semaines, la maman d'Aurélie à resorti la sienne pour nous faire des yaourts maison, très réussis d'ailleurs. Cette machine m'a fait immédiatement sourire car c'était exactement le même modèle que celle que ma maman possédait. J'ai donc demandé à ma maman si elle avait toujours la sienne, et oui (même si les pots ont disparus). Pour les pots, je me soupçonne moi même d'en avoir utilisé comme pot à peinture pour nettoyer mes pinceaux quand j'en avais l'âge :) Seb à vraiment bien du vendre sa machine dans la fin des années 70 car en voyant cette antiquité, quelqu'un d'autre m'a récemment avoué que sa mère possédait également le même modèle. Cadeau supplémentaire, j'ai même eu le droit à une fromagère dont je ne souvenais même plus de l'existence. Malheureusement, pas moyen de mettre la main sur une machine à sorbets :'( |
Ca fait quelques semaines que je n'en ai plus parlé, mais les plants de tomates ont continués à pousser.
Nous les avons planté dans des jardinières et les 1ères tomates sont apparues. Sur la soixantaine de pied que notre 1ère tomate a fourni, nous n'en avons gardé que 5. Tous les autres ont été distribués. |
Des extraits valant plus que de belles paroles, je vous laisse profiter de ceux présent sur leur site, que je vous encourage d'ailleur à allé visiter. Les dernier album Leur 1er album
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Les plus observateurs d'entre vous aurons remarqué la jolie table rouge ;)
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Ingrédients
30g de beurre 12cl de Porto blanc 14cl d'eau 1cs de sucre 1cs de lait en poudre 1cc de sel 460g de farine 21g de levain 125g de fourme d'Ambert Préparation Dans la cuve de la machine à pain, verser le beurre fondu, le Porto et l'eau. Ajouter le sucre, le lait en poudre et le sel. Tamiser la farine dans la cuve et verser par-dessus le levain. Lancer la machine en programme pâte. Pendant que la machine est pétrie, émiettez la fourme d'Ambert. Au signal d'ajout d'ingrédient, verser le fromage. Quand le programme est terminée, couper délicatement la pâte et former des petits pains à placer sur une plaque huilée et farinée. Placer la plaquette dans le four et laisser la pâte fermenter pendant encore 30mn à 50°. Vous pouvez ensuite monter la température à 180° pendant 15/20mn. Un petit pain idéal à servir au moment du fromage ;) |
C'est l'étape final, et heureusement, la plus rapide et la plus facile : le montage.
Nous avons juste éprouvé une petite difficulté au moment de monter les bancs car il n'y avait pas de trous et les vis sont assez longues. Nous avons donc sorti la perceuse pour nous faciliter le travail. Malheureusement, la visseuse électrique est tombé en panne de batterie avant la fin :( Ce que nous avions constaté c'est vérifié au montage : certaines planches ne sont pas droites et nous avons du forcer lors du montage, notamment pour les bancs. J'espère que le bois travaillera un peu et que ça ne forcera pas trop tout le temps. |
Ingrédients
2 côtes de porc 2cs de miel 1cs de sauce soja 5cl d'huile d'olive 1cc de graines de cumin 1cc de poudre de curry 2 pincée de poudre de muscade 1/2cc de poudre de cannelle 1/2cc de paprika Préparation Mettre le miel et la sauce soja à chauffer légèrement dans une casserole. Quand la préparation commence à être chaude, ajouter l'huile, mélanger et retirer du feu. Ajouter toutes les épices. Mettre la viande dans un plat creux et verser la préparation sur les côtes. Placer un film plastique sur le plat et mettre le tout au réfrigérateur pendant au moins deux heures. Durant la cuisant au barbecue, badigeonner régulièrement la viande. |
Après avoir laissé sêcher notre couche de protection toute une nuit, nous avons attaqué la peinture.
Comme vous pouvez le constater, le rouge que nous avons choisi est un peu vif. Pourtant sur le pot de peinture, il y a écrit "rouge bordeau". Faut croire que je ne bois pas le même vin que les fabricants de peinture. Après avoir passé la 1ère couche, nous avons trouvé que la couleur était un peu rosâtre par endroit. Nous avons donc enchainé une deuxième couche. |
Nous avons d'abord commencé au pinceau pour réaliser le travail entre les planches, puis nous sommes passé au rouleau pour le reste.
Le travail au rouleau est un véritable plaisir : simple, rapide et d'un rendu impeccable. |
Avant de passer notre couche de protection, nous avons commencé par poncer tous les morceaux de la table.
En véritable bricoleurs du dimanche, nous avons opéré directement avec le papier, sans utiliser la moindre cale ou tout autre support. Rien que pendant cette phase de ponçage, nous avons pû constater que le bois prenait une plus jolie teinte. |
Comme nous aimons le bois, nous ne voulions pas d'une table en plastique. Nous avons trouvé dans une grande surface, une table "picnic", celle avec les bancs incorporés.
Malheureusement, le traitement qu'à subit le bois de la table le rend un peu vert, et donc pas très joli. Pas grave, un peu de peinture devrait arrangé ça. Nous avons opté pour du rouge, et nous sommes allé dans un magasin de bricolage acheter une sous-couche de protection pour bois extérieur, et deux pots de peinture. |
Nos plants de tomate ont continué de pousser. A tel point que les deux plus grands commençaient à être fatigués d'être dans d'aussi petits pots.
Nous avons donc profité des beaux jours pour commencer à vider les jardinières de notre jardins et à les remplir de terreau. Pour l'instant, Aurélie n'a mis que les deux plus grands car elle a peur d'un coup de gel soudain. Nous sommes donc toujours envahi à l'intérieur par les autres plants, même si nous en avons donné quelques uns, mais un peu moins. |