ingredients : 5 truites 1 pate brisée 4 grosses cuilleres de créme fraiche 5 oeufs gruyere rapé canelle,muscade,sel poivre pour le court bouillon: thym, laurier, pincée de piment, gingembre, sel, poivre cuire au courtbouillon les truites , les egoutter puis les émietter et les desareter (pas facile ça prends du temps ) melanger la chair du poisson avec les oeufs, la creme , les epices étaler la pate dans un moule a tarte y étaler l'appareil obtenu parsemer de gruyere rapé mettre au four 45 minutes bon appétit !! |
La naissance officielle de la carte postale est datée de 1873. Elle a pourtant fait ses premiers pas bien avant. Dès 1856 exactement, le principe de la carte postale existe déjà. Objet généralement sous forme de bristol rectangulaire, la carte postale est d’édition officielle ou privée. Sa fonction est d'assurer une communication à découvert, grâce au service des Postes.
L’histoire de la carte postale pourrait se diviser en quatre périodes principales : les pionnières, l'âge d'or, les semi-modernes, les modernes. Les pionnières apparaissent dès 1856. Ellles sont le fruit de divers évènements tragiques (la guerre de 1870) comme majeurs (l’exposition universelle de Paris en 1889).
Les pionnières Si la loi du 20 décembre 1872 vaut comme acte de naissance de la carte postale en France, il existe d’ores et déjà des précurseurs à cet objet utilitaire. Des premières cartes postales non officielles ou ‘tolérées’ apparaissent entre 1856 et 1873. Par exemple, des cartes destinées à circuler à découvert sont distribuées par la Croix Rouge pour les blessés de la guerre de 1870, principalement à Strasbourg.
Les cartes postales officielles suivantes paraissent dès février 1873, semblables aux deux premières. Après 1875, sont éditées des cartes de fabrication nationale ou privée (arrêté du 7 octobre 1870) avec recto semblable à celui des types précédents, mais avec verso libre, tant au niveau des caractères, des dessins, que de la couleur. L'administration propose toutefois des marques de contrôle (lettres, chiffres et dates). En 1878, l’Etat édite des entiers postaux, c'est-à-dire des timbre-poste imprimés sur un support servant à la correspondance ou constatant la perception d'une taxe postale. A cette époque, l’une des faces du document est destinée à l’adresse du destinataire, et n’est donc pas illustrée.
Une avancée dans l’histoire de la carte postale : en 1891, le marseillais Dominique Piazza commercialise des cartes photos imprimées. Dès 1892, d'autres villes du sud de la France suivent l'exemple de Marseille, comme Paris sans doute. Néanmoins jusqu'en 1897 (sous l'impulsion de l'éditeur Neurdein), les cartes photos sont imprimées sporadiquement. A compter de cette date, chaque ville importante ou site historique de France a droit à des pionnières de ce type. Le premier âge d'or Au début du XXe siècle, la révolution industrielle propose de nouveaux procédés d’impression. L'invention de la phototypie accélère et amplifie le phénomène « carte postale ». Plus souple et moins onéreux que ceux utilisés jusqu'alors, ce procédé permet une industrialisation de la production tout en préservant son caractère artisanal. Il s’avère spécialement adapté à l’impression des photographies, grâce à un excellent rendu des images. La carte obtenue n'est pas encore brillante, mais mate. A partir de 1900, la production de cartes postales en France devient une véritable industrie. Les éditeurs de cartes postales s’organisent rapidement. La Chambre syndicale des éditeurs français de la carte postale illustrée est créée en 1904. Deux ans plus tard, elle devient la Chambre syndicale de la carte postale et de la photogravure. La carte postale connaît alors son premier âge d’or. L'arrêté du 1er janvier 1904 du Ministère du Commerce, de l'Industrie et des Postes et Télégraphes marque un véritable tournant dans l'épopée de la carte. Avant cette date, il était interdit d’écrire la correspondance du même côté que l’adresse. L’arrêté instaure la division de cette face en deux parties : l’une pour l’adresse, l’autre pour le message. Le timbre, avant apposé sur l’illustration, est maintenant collé sur le verso. Les images peuvent alors occuper toute la surface du recto de la carte. Ainsi, les plus nombreuses et les plus variées de toute l’histoire de la carte postale sont éditées entre 1904 et 1914. Leurs illustrations (imprimées principalement par phototypie, lithographie également) abordent tous les thèmes. Les cartes postales véhiculent, simultanément au message écrit, des documents sur les paysages, fêtes, événements de la vie quotidienne. C’est à cette époque qu’elles remplissent le mieux leur fonction : moyen de communication populaire et objet de consommation de masse. Mais la première guerre mondiale censure la carte, qui doit changer de nature. Elle perd beaucoup en qualité, tant au niveau de l’impression que du support. En effet, le carton à base de papier chiffon est progressivement remplacé par du carton de bois, tandis que l’héliotypie (en provenance des Etats-Unis) succède à la phototypie (qui permettait une infinité de nuances dans les gris et les ombres). Semi - modernes Après la première guerre mondiale, la carte postale subit un grand déclin. C’est une période purgatoire pour la cartophilie en tant que collection et pour la carte postale en tant qu’objet utilitaire. L’héliogravure tramée et les procédés d’impression de masse ont étouffé les productions plus artisanales. Les anciens clichés de petits métiers ou de scènes de rue sont usés jusqu’à la corde par les éditeurs, moins soucieux d’envoyer des artistes sur le terrain. Il existe néanmoins quelques artistes ou producteurs locaux qui maintiennent quelque peu le flambeau de la carte postale documentaire. Son déclin est aussi dû à l’apparition de nouvelles formes de concurrence sur le marché. L’expansion du téléphone, de l’industrie automobile et des appareils photographiques (plus maniables et à prix abordables) met en péril le commerce de la carte postale. Elle perd son utilité auprès des usagers les plus courants, comme les touristes. Le rôle documentaire de la carte s’affaiblit fatalement avec l’avènement de la TSF. Dans le même temps, le seuil de rentabilité d’une carte passe de 300 à 3000 exemplaires, bannissant progressivement la création de documents à intérêt local ou événementiel. Il faut donc éditer des cartes durables (non précisées dans le temps par une mode vestimentaire ou un type d’automobile), ou passe-partout (vendables sur un large territoire). Malheureusement, les vues des villes et des villages deviennent fades et insignifiantes. Elles perdent l’essence même de ce qui les rendaient vivantes, singulières. Une période peu riche, certes, mais qui recèle malgré tout quelques rares trésors, redécouverts par les cartophiles dès 1975, sous l’impulsion de B. Nanty, P. Boubet ou S. Zeyons. Par exemple, l’époque (1918-1975) produit peu de cartes postales représentatives des petites communes (dix fois moins de cartes éditées qu’entre1900 et 1918). Aujourd’hui encore, ces documents sont traqués avec passion par les collectionneurs. Pendant et après la seconde guerre mondiale, les petits formats « ternes » cèdent leur place aux cartes glacées en noir et blanc, parfois dentelées. Il existe alors des fantaisies en bromure véritable, souvent colorées au pochoir. Ces cartes montrent des amoureux mièvres dont les teintes très outrées attirent certains collectionneurs. Dans les années 50-60, certains artistes ou éditeurs (comme Albert Monier ou Maurice Bonnel) tentent de substituer la qualité du bromure à la médiocrité des productions tramées. Mais les cartes topographiques ainsi publiées reviennent très cher. Le format actuel (10,5 cm sur 15 cm) se généralise en France dès la fin des années 60. Modernes Avant 1975, rien ne permet d’espérer un renouveau de la carte postale. Les éditeurs sont empêtrés dans des contraintes économiques de plus en plus draconiennes. Plus aucun artiste de renom ne travaille en pensant au support cartophile. Pour le grand public, l’expression ‘cliché de carte postale’ signifie médiocrité. Sa renaissance ne peut donc venir que du noyau actif constitué de collectionneurs (de modestes clubs ont résisté à la période semi-moderne). Un siècle après la naissance de la carte postale, ces passionnés voient en ce document un témoignage de la vie contemporaine. De nouvelles techniques sont employées comme l’Offset (bien qu’inventée en 1904, elle n’est utilisée qu’à la fin des années 70) et de nouvelles cartes postales peuvent enfin être proposées au grand public. Les cartes régionales en sont un exemple, mais une bourgade sur dix donne lieu à des éditions contemporaines avec de fortes concentrations sur les villes importantes, les lieux touristiques et les zones de vacances. Les cartes témoignages (comme les événements de Tien An Men, la chute du mur de Berlin, ou les cartes métiers...) se développent également grâce aux petits éditeurs. Dès 1966, Agathe Gaillard réconcilie même quelques uns des meilleurs photographes avec la carte postale (Cartier-Bresson, Doisneau, etc.). Cependant, les plus rentables restent les cartes « passe-partout », non localisables dans l’espace ni dans le temps, couramment illustrées de recettes de cuisine, de signes astrologiques ou d’imagerie de vœux … Autour de 1980, les reproductions d’affiches de concerts ou de films sur les cartes postales rencontrent un grand succès, spécifiquement auprès d’un public jeune. A partir de 1987, les publicistes français redécouvrent ce support. Des cartes publicitaires sont alors distribuées, dans des lieux publics et gratuitement pour la plus part. Ce sont les Cart’Com, bientôt imitées dans d’autres grandes métropoles (Berlin, Bruxelles…) Il s’avère malgré tout que les meilleures productions, artistiques ou documentaires, relèvent très souvent du monde cartophile lui-même. Elles sont issues de séries éditées par les clubs (ex : club Neudin), pour les salons, par les membres spontanés de ce mouvement que l’on a baptisé ‘messagiste’. Enfin, une nouvelle forme de cartes postales voit le jour à l’ère de l’informatique. Des cartes numériques sont distribuées par des sites Internet tandis que la numérisation permet la reproduction et la réédition d’anciennes pièces parues il y a près d’un siècle. Sources web: http://www.alienor.org/ARTICLES/carte_postale/historique2.htm http://www.cartolis.org/texthistoire.html Source bibliographique : NEUDIN 1998, la valeur de vos cartes postales
|
legumes du soleil en tajine !!!
poivrons,aubergines, courgettes, tomates, ail, oignon,basilic, sel, poivre,origan le tout coupé en lamelles arrosé d'un filet d'huile ,mis en tajine et une bonne demie heure au four !! bon appétit !!!! |
L'ordre des TempliersVers 1120, Hugues de Payns, chevalier originaire de la Champagne, fonde avec quelques compagnons une milice qui deviendra les "Chevaliers de l'Ordre du Temple". A la fois moines et chevaliers, religieux et soldats, les Templiers s'assignèrent comme première mission la défense des routes dans le royaume de Jérusalem, avant que l'ordre ne s’organise autour des années 1140 en une véritable force militaire étendant son action à l’ensemble des Etats Latins. L’ordre doit son nom à son installation dans la mosquée Al Aqsa sur l’esplanade du Temple de Salomon. Elle lui fut attribuée comme résidence par le roi de Jérusalem Beaudouin II. En Occident les templiers se voient octroyer de nombreuses donations de terres et des redevances de toutes sortes qui sont organisées en commanderies et dont les revenus sont destinés à la terre Sainte. C’est dans les commanderies que sont recrutés les chevaliers qui prononcent les trois vœux d’obéissance, de pauvreté et de chasteté, comme tous les ordres religieux. La fascination qu’exercent les templiers est en parti due à leur tragique disparition. Le 13 octobre 1307, sur ordre de Philippe le Bel, tous les templiers du royaume accusés d’hérésie, d’idolâtrie et de sodomie sont arrêtés. En 1312 au concile de Vienne l’ordre est aboli. Le dernier grand maître Jacques de Molay et deux autres dignitaires, déclarés relaps seront brûlés en 1314. La mission des templiers avait pris fin après la perte des Etats latins en 1291 et l’opinion publique le leur reprochera : pour beaucoup l’ordre était devenu inutile. Les Hospitaliers de Saint-Jean de JérusalemAu milieu du XIe siècle, bien avant que ne débute la croisade, des marchands d’Amalfi avaient fondé à Jérusalem, près du Saint Sépulcre, un hôpital à l’intention des pèlerins venant sur le tombeau du Christ. Après la croisade cet hôpital laïc va poursuivre sa mission d’hospitalité et se transformer en ordre religieux : l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Il sera reconnu en tant que tel par une bulle papale en 1113. Comme l’ordre du temple c’est vers 1140 qu’il s’organisera en ordre militaire tout en conservant sa vocation première : l’hospitalité. L’ordre de Saint-Jean de Jérusalem survivra à la disparition des Etats latins après la chute d’Acre de 1291. Dans un premier temps les chevaliers se réfugieront dans le royaume franc de Chypre avant de s’installer dans l’île de Rhodes, à partir de 1306, d’où ils seront chassés par les Turcs en 1522. En 1530 l’empereur Charles Quint leur donne l’île de Malte (on les appellera les chevaliers de Malte) où ils resteront jusqu’en 1798. L'héritage des Templiers et des Hospitaliers à La Couvertoiradesource internet !! |
enfin ! les vacances !!!pas encore parties mais nous profitons de notre région et de notre balcon !!!! bein oui !!! grillades obligent !!! on a acheté un petit barbecue bien suffisant pour faire de belles piéces !!!!! |