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Blog créé le 25/04/2011

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Bienvenue sur mon blog !
Il y a de belles photos .
Vous trouverez plein de photos  de jardinage ou de voyage.
Nous vous laissons le regarder.
Alors amusez vous bien.

                       
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- Alertes désormais de toutes parts. 

-1) Mesure plans d'urgence sanitaire fonctionnent mais les capacités ne sont pas extensibles- A revoir au regard du dernier recensement de la population et capacité en lits ( Densité/ Démographie par région). 
-2) Alertes des pays tiers et leur importance n'ont pas été prises au sérieux à temps car bénéfice- coûts : En principe cela ne devait toucher que les personnes âgées - En pérode de crise budgétaire il est préférable ne pas survivre à la période de la retraite ( Coûts financiers -Trésorerie). 
-3) Problème d'identification des ravages collatéraux de ce virus : Très contagieux-Se répand très vite- Toutes couches de la population et âges
-4) On retro-pédales : Masques / Matériel médical et capacités en lits
-5) Pris de cours reste la stratégie de repli : Confinement et regarder la vague passée de chez soi ou en milieu hospitalier pour les plus atteints. 
6-) Logistique et moyens de communication : Au top avec doctolib- et téléconsultation- Contact téléphonique de rappel etc-Suivi. 
7-) On espère que lors de la période de déconfinement post deux mois chacun aura son masque adapté, son hydrogel et nouvelles mesures d'hygiène sécuritaire ancrée en chacun de nous. 
8-) Restera à faire ressortir la méthodologie médicale : Sérologie- Test- 
9-) Attendre la phase vaccinale lorsqu'elle sera mise en place. 
10) Finalement bénéfices-Coûts qui devaient atteindre uniquement les personnes âgées plongent l'économie nationale- Internationale et bien pire la crédibilité en images live de nos dirigeants plus que discutables !
11) Des comptes à rendre ? Avec quel argent pensez vous que l'on nous gouverne ? Sur une dette historique qu'il va bien falloir payer sur la tête des mêmes !!! Une économie nationale sans entreprise- Des chercheurs qui n'ont pas les moyens partent à l'étranger ( Eviction de la matière grise) ou en place avec des sons d'intérêts divergents dans leurs labos respectifs- Une politique menée plus que divisée-
12) Crainte d'un retour à 1920 ! En 2020 ! 
13) L'allemagne et la Corée les meilleurs pour l'instant en terme de prévention sanitaire. Bon signe ?! Et la France ? 
14) La France se réveille !
A suivre...




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Et la France ? Croisez les doigts pour trouver de bons médecins de ville ! De plus en plus rares ! Orgueil et préjugés- Bureaucratie - La perte des vérifications et gestes médicaux- Combien de médecins traitants contrôlent votre carnet de vaccination ? ! Prise de sang de contrôle ? Le retour des médecins dans les hôpitaux remet en place leur rôle majeur dans une Société. Quant à ceux qui frappent leur femme... Une autre affaire !!!

Prison ferme pour avoir notamment toussé sur des gendarmes en disant être atteint du coronavirus

 
Un médecin a été condamné par le tribunal de Lille à trois ans de prison dont un an avec sursis pour avoir notamment toussé «de façon exagérée» en présence des gendarmes en disant être atteint du COVID-19, a-t-on appris mardi de sources concordantes. L'homme, âgé de 66 ans, a été placé en détention à l'issue de l'audience lundi, a indiqué à l'AFP le parquet de Lille. Samedi soir, les gendarmes ont interpellé ce médecin exerçant dans un centre hospitalier de la métropole lilloise à son domicile pour des faits de «violences par conjoint», ont affirmé les gendarmes à l'AFP. «Selon les dires de son épouse», cet homme «est en arrêt maladie suite à une suspicion de COVID-19», a relaté cette source.

Incinérations et substances chimiques des corps. 

La seule chose interdite lors de la crémation, ce sont les pacemakers pour éviter les risques d’explosions. Et la France est loin d’être le dernier pays à avoir recours au formol, même s’il est vrai qu’il y a un consensus au sein de la profession sur le fait qu’il faudra arrêter de l’utiliser. Mais cela ne pourra se faire que lorsqu’un produit de substitution de qualité sera disponible, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. »

L’inquiétude de l’Afif dépasse cependant les limites de l’utilisation même du formol et porte également sur la crémation des corps formolés. « La France est, là aussi, l’un des rares pays d’Europe à accepter les crémations après injection de produits formolés, alors que cela rejette des dioxines : de véritables poisons ! » s’insurge Michel Kawnik, président de l’Afif. Lors d’une crémation, les produits formolés employés en association avec d’autres molécules chimiques produisent de la dioxine qui peut être à l’origine d’atteintes cutanées, d’altérations de la fonction hépatique, des systèmes immunitaires, nerveux et endocriniens et de la fonction de reproduction.

Au cours de sa vie, le futur défunt ingère ou respire des substances qui pourraient avoir un impact sur sa décomposition et sur la pollution des sols. Au-delà du formol, « les produits ingérés durant la vie ne sont pas anodins, estime ainsi Michel Kawnik, notamment les produits chimiques dans l’alimentation, mais aussi certains traitements médicaux comme la chimiothérapie ou la contraception. Il faudrait repenser nos modes de vie pour limiter cette pollution. Tout ce qui est ingéré et accumulé durant la vie se retrouve dans les sols à la décomposition des corps », plaide-t-il.

À côté du formol, l’attention de l’association se focalise sur un métal pauvre retrouvé dans de nombreux corps : le mercure. Michel Kawnik considère que la crémation est « la première pollution mercurielle de France », notamment du fait des amalgames dentaires en mercure très utilisés il y a quelques décennies dans l’Hexagone. 17 tonnes de mercure dentaire seraient placées dans la bouche des Français chaque année. Des chiffres avancés dans une tribune publiée en 2012 par un groupe de chercheurs et acteurs publics, dont Michèle Rivasi, eurodéputée EELV. L’association Non au mercure dentaire rappelle par ailleurs les résultats d’une étude anglaise de 2003. Celle-ci a suivi pendant 37 ans, près de 240.000 femmes enceintes et résidant près d’un crématorium. Les chercheurs ont conclu à un risque accru de 17 % de spina bifida (développement incomplet de la colonne vertébrale) et de 12 % de défauts cardiaques chez les nouveau-nés. La Suède a estimé quant à elle en 2000, que les rejets de mercure liés aux crémations représentaient environ un tiers des émissions de mercure nationales. Dans son article, Claude Bouriot estime ainsi que sur les 150 crématoriums présents en France en 2011, « sept tonnes de formaldéhyde pur » étaient incinérées, soit « 47 kilos par crématorium et par an, avec cependant une diversité entre les crématoriums urbains, qui pratiquent plus de crémations ».
Atteintes pulmonaires du vapotage

Les biopsies des poumons de 17 personnes frappées par les maladies pulmonaires liées au vapotage aux États-Unis, dont deux décédées, révèlent des lésions similaires à une exposition à des gaz toxiques, selon une étude médicale publiée mercredi 2 octobre 2019. "Il semble que ce soit une sorte de lésion chimique directe, similaire à ce qu'on pourrait voir lors d'une exposition à des émanations chimiques toxiques, des gaz ou des agents toxiques", explique le médecin Brandon Larsen, de l'hôpital Mayo Clinic Arizona, auteur de l'étude parue dans la revue médicale New England Journal of Medicine.

 

 

 

Aucun des cas ne correspond à une "pneumonie lipidique"

 

Les malades étudiés ne représentent qu'un petit échantillon des plus de 800 recensés à ce jour aux États-Unis. Mais aucun de ces cas ne correspondait à l'un des diagnostics évoqués initialement, à savoir une "pneumonie lipidique", qui se produit quand des huiles pénètrent les poumons. L'huile de vitamine E a été citée par les autorités de l'État de New York comme une possible cause des maladies. "D'après ce que nous avons vu dans notre étude, nous estimons que la plupart des cas impliquent des contaminants chimiques, des dérivés toxiques ou d'autre agents nocifs contenus dans les liquides de vapotage", poursuit Brandon Larsen

 

Au 27 septembre, 12 décès ont été confirmés par les autorités fédérales. Les autorités sanitaires enquêtent depuis le mois de juillet 2019 pour déterminer la cause des maladies, qui frappent en majorité des hommes jeunes utilisateurs de cigarettes électroniques. Les trois quarts vapotaient des e-liquides au THC, l'agent psychoactif du cannabis, souvent achetés sur le marché noir. Les experts soupçonnent qu'un ou plusieurs additifs provoquent les maladies, qui provoquent des difficultés à respirer.


Le SRAS est une maladie infectieuse causée par un virus appartenant à la famille des coronavirus, le Sars-CoV. Le réservoir animal du coronavirus du SRAS a été identifié comme étant une chauve-souris insectivore. L’hôte intermédiaire qui a permis le passage du virus à l’homme est la civette palmiste masquée, animal sauvage vendu sur les marchés et consommé au sud de la Chine.

 

Symptômes et épidémiologie

 

Le SRAS, au départ nommé pneumopathie atypique, est caractérisé par une fièvre élevée (supérieure à 38°C), associée à un ou plusieurs symptômes respiratoires : toux sèche, essoufflement, difficultés respiratoires. D’autres symptômes peuvent être constatés comme des maux de tête, des douleurs musculaires, des diarrhées et un malaise général. La durée d’incubation ne dépasse généralement pas 10 jours. L’OMS considère que le taux de létalité global est de 15 % et peut dépasser 50 % chez les personnes de plus de 65 ans.

 

Une transmission principale par voie aérienne 

 

Le SRAS s’est vite avéré être transmis d’homme à homme par l’air, probablement par des gouttelettes de salive contaminées. Il s’est rapidement propagé au niveau mondial à la faveur des transports aériens, les flambées les plus importantes s’étant concentrées dans les plaques tournantes aéroportuaires ou dans des zones à fortes densités de population. L’épidémie survenue dans un groupe d’immeubles (Amoy Gardens) à Hong Kong, où 66% des malades étaient atteints de diarrhées contre 2 à 7% habituellement, a soulevé la possibilité d’une transmission locale par le système d’évacuation des égouts. D’autres modes de transmission sont probables, par des objets contaminés par exemple.

 

Un nouveau virus identifié

 

Le réseau international des laboratoires (dont le Centre collaborateur de l’OMS pour la recherche et la référence sur les virus grippaux et les autres virus respiratoires, au sein de l’unité de Génétique moléculaire des virus respiratoires à l’Institut Pasteur) chargés par l’OMS de rechercher l’agent causal du SRAS et de mettre au point un test diagnostique a découvert un virus totalement inconnu des scientifiques. Il s’agit d’un virus appartement à la famille des coronavirus dont les propriétés n’avaient jamais été observées auparavant. Habituellement, les coronavirus sont à l’origine chez l’homme de rhumes sans gravité.



Biopsie des poumons des défunts-Coronavirus ? Aucun retour malgré le nombre de cas. Propagation du virus au domicile et àl'hôpital : Malgré ses symptômes bénins, le premier patient avait contaminé 13 des 15 surfaces analysées par les chercheurs, incluant sa chaise, son lit, sa fenêtre et le sol. Dans ses toilettes, trois surfaces sur les cinq testées, dont son lavabo et sa cuvette, présentaient des traces du virus, suggérant que les selles pourraient être une voie de transmission. Les échantillons d'air de sa chambre se sont révélés négatifs, mais ceux prélevés sur ses grilles d'aération sont revenus positifs, montrant que les gouttelettes contaminées pouvaient être transportées par les flux d'air.

Pour ceux exposés à des gaz toxiques : 

  • Les symptômes dépendent du gaz ou du produit chimique qui est inhalé, ainsi que de la profondeur et de la durée de cette inhalation.

  • Les symptômes peuvent inclure une irritation des yeux ou du nez, une toux, du sang dans les expectorations et un essoufflement.

  • On procède à des radiographies du thorax, une tomodensitométrie et des examens respiratoires pour déterminer l’étendue et la gravité de la lésion des poumons.

  • On administre de l’oxygène et des médicaments qui dilatent les voies respiratoires et diminuent l’inflammation.

 

(Voir aussi Présentation des maladies pulmonaires environnementales.)

 

Divers types de gaz (tels que chlore, phosgène, dioxyde de soufre, sulfure d’hydrogène, dioxyde d’azote et ammoniac) peuvent être brusquement émis dans l’atmosphère lors d’accidents industriels et peuvent provoquer une irritation importante des poumons. Les gaz ont également été utilisés comme armes chimiques.

  • Oxygénothérapie

 

L’oxygène est le principal traitement des personnes exposées aux gaz. Si l’atteinte pulmonaire est sévère, la personne peut nécessiter une ventilation mécanique ( Ventilation mécanique). Mais toute personne qui a des problèmes respiratoires après avoir inhalé un gaz est habituellement surveillée dans un hôpital pendant la nuit pour s’assurer que des complications graves ne surviennent pas. Les médicaments qui dilatent les voies respiratoires (bronchodilatateurs), les perfusions par voie intraveineuse et les antibiotiques peuvent être utiles. Les corticoïdes de type prednisone sont souvent administrés pour réduire l’inflammation pulmonaire.

 

 





  • MONDE (+ 58 411) 693 224
  • Décès (+ 3 215) 33 106
  • France 45 171
  • Décès 3030



Ou comment attendre son tour pour être livré ? 
Un Monde non pas européen mais globalisant les technocrates à outrance au nom du seul profit : Allons nous partager les médocs ou allons nous attendre chacun notre tour la dose de rationnement y compris en masques ? !
Des petites mains rappelées en renfort dans les terres, dans les productions nationales de fortune réouvertes en urgence ! Vont-elles voir leur pouvoir d'achat augmenté bien que gelé depuis une vingtaine d'années ? 

Indépendamment des tribunaux qui ne donneront que des réponses de technocrates était-ce vraiment LE MONDE souhaité ? La seule monnaie roi est l'or ! Le futur sera l'Euro-Asie ? Comme tous les siècles restera la Pologne comme très belle terre d'échange et de stratégie politique : Un pied main mise par les Etats-unis ou par l'Empire Russe ? 
Et la Turquie et son empreinte musulmane vers qui va t'elle s'allier ? 
Autant de questions que les économistes et historiens seront prêts à analyser. 
En attendant revérifions les discours des uns et des autres dans les médias ! Ce n'est pas grave, n'ayez pas peur, on maîtrise la situation !!! Mais de quelle situation ? Leurs élections municipales proches du peuple ? ! C'était bien la peine pour voir la plupart d'entre eux s'effondrer comme peau de chagrin ! On ne vous avait pas tout dit ! Le risque c'est ça !


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SIGNAL CONSO- 2020

 29/03/2020
* Si vous estimez que vous avez été victime de fraude-Vente de masques périmés ou autres- Signalez le en vous rendant sur le site SIGNAL CONSO ! Si pénurie signalez le aussi !


Les leçons du passé ou de l'auto congratulation  !: Une France de disparités : Fonctionnaires - Que les décisions soient prises à temps pour le bien de la population ou non - que les stocks soient à jour ou non: Salaire qui sera assure // 60 heures pour les salariés post de confinement  // Pour les enseignants et les apprenants : Nous ne toucherons pas aux vacances : Capital!  etc...


-REMISE EN CAUSE POLITIQUE- Histoire du 18 ème siècle en Italie- un élément de désordre, dans un contexte de remise en cause de l'héritage politique.
- DIFFICULTES D'APPROVISIONNEMENTS- Dépréciation est renforcée par les difficultés que rencontre le port pour se faire approvisionner. La baisse des trafics, la montée des concurrences, les incertitudes liées aux guerres de la période (guerre de Succession d'Autriche, guerre de Sept Ans)
Prendre conscience que l'âge d'or du port s'achève.
-Dans l'esprit des nouveaux dirigeants italiens, décadence de l'ancienne dynastie et décadence de l'activité du port sont liés
-Critique croissante de l'orientation mercantiliste .
-En matière d'économie urbaine, plus que l'accumulation de richesses, c'est désormais l'apport des villes au développement de tout le pays que les réformateurs  mettent en avant. L'adéquation entre la cité et le reste du territoire devient ainsi une préoccupation majeure. De fait, ne plus se contenter de faciliter la présence des négociants dans le port . Ils tentent d'intégrer l'économie dans leur politique de mise en valeur du territoire 

-La remise en ordre économique et fiscale  passe par une réorganisation de son commerce. le centre d'un essor des manufactures, de la marine marchande et du commerce ou comment en maîtriser toutes les ficelles ?



-Les touristes : Nouvelles exigences sanitaires ? Contrôle aux frontières -Voies terrestres- aériennes et portuaires










Et si nous étions d'abord en guerre contre les militaires ? 
Rapatriement de ceux en Chine- 
Bases aériennes- L'est de la France très militarisée. 
Base navale Toulon... Premiers bastions de contamination.

Début de pandémie- Alors que la base du confinement en cette période c'est chacun chez soi ! 
Quelques cas disséminés dont les Cadres revenus de Chine; partis passés Noêl à la Montagne. 
Reste le dernier bastion : L'ouest et le Sud total et l'arrivée en masse des parisiens déjà contaminés sans le savoir avant la date du confinement fixée.... 4 jours après ! 
La tente de l'hopital militaire et les militaires déjà contaminés sans protection ? 
La contamination en masse des soignants
Confinement total de la population.
Une rixe verbale entre chercheurs l'inserm parisien et les études du sud du professeur Raoult...
La disparition des contrôles de radar M.Buzyn et conflits d'intérêt et Michel Cyme chargés de nous rendre compte !
Les habitants de l'ouest qui commencent à se révolter de voir l'arrivée en masse dans leur région... 
Le vote pour les élections municipales et le nauvrage pandémique ! 

Médias et savoir rendre- compte ! 
Trop tard ! 
Un préfet et jugements hatifs - Si la personne de 65 ans est sous assistance- respiratoire c'est de sa faute ! Il n'avait qu'à pas faire les courses... Ou savoir montrer le peuple inconscient comme toujours! 
Et si on vérifiait dans les EHPAD....
On pouvait faire mieux mais qui avait mis en place le process de base - Pas de rapatriement en Chine ? ! 
Impensable ? Reste à penser ensuite les mécanismes d'indemnisation d'une économie française à l'arrêt !
Etc...
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Coronavirus: la base militaire de Creil est-elle à l’origine des cas dans l’Oise?

Les personnels militaires qui ont assuré le rapatriement de 193 ressortissants Français de Wuhan sont issus de cette base.

Publié le 5 mars 2020 à 16:37,mis à jour le 6 mars 2020 à 14:10
L’entrée de la base militaire de Creil, où une quinzaine de personnes auraient été infectées.
L’entrée de la base militaire de Creil, où une quinzaine de personnes auraient été infectées. STEPHANE DE SAKUTIN/AFP

LA QUESTION. Avec au moins 99 cas confirmés dans ce département, l’Oise est actuellement le plus important foyer de transmission du coronavirus en France. C’est ce qu’a annoncé Jérôme Salomon, le directeur général de la Santé, lors d’un point presse mercredi soir. Deux personnes y sont décédées: un enseignant de 60 ans, dans la nuit du 25 février, et plus récemment, une octogénaire qui souffrait déjà de plusieurs pathologies. Tous deux étaient originaires de Crépy-en-Valois. Pour l’heure, les autorités sanitaires sont toujours à la recherche du «patient zéro» à l’origine de ces contaminations.

Par ailleurs, la base militaire de Creil, située à une trentaine de kilomètres de Crépy-en-Valois, compterait une quinzaine de personnes civiles et militaires infectées par le coronavirus, selon Le Parisien. Un chiffre que nous n’avons, pour l’heure, pas réussi à nous faire préciser. Quoi qu’il en soit, c’est sur cette base aérienne qu’est installé l’escadron de transport Estérel qui a participé au

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Base aérienne 132 Colmar-Meyenheim

 
 
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Base aérienne d'opérations 132 Colmar-Meyenheim
Quartier Colonel Dio
Mirage F1-CT atterrissant sur la base, en 2005.
Mirage F1-CT atterrissant sur la base, en 2005.
Cocarde
Localisation
Pays Drapeau de la France France
Ville Meyenheim
Coordonnées 47° 55′ 21″ nord, 7° 23′ 59″ est
Altitude 211 m (693 ft)
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Base aérienne d'opérations 132 Colmar-Meyenheim Quartier Colonel Dio
Base aérienne d'opérations 132 Colmar-Meyenheim
Quartier Colonel Dio
Pistes
DirectionLongueurSurface
01/19 2 400 m (7 874 ft) béton
Informations aéronautiques
Code OACI LFSC
Type d'aéroport Militaire
Gestionnaire Armée de terre (anciennement Armée de l'air)
modifier Consultez la documentation du modèle

La base aérienne 132 Colmar-Meyenheim Commandant René Pépin est une ancienne base aérienne de l'Armée de l'air française située sur le territoire des communes de Meyenheim et Oberentzen, entre Colmar et Mulhouse, dans le département du Haut-Rhin.



Port militaire de Toulon

 
 
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L'arsenal de Toulon.
 
L'arsenal de Toulon.

Le port militaire de Toulon est une base navale française, constituée d'un ensemble d’infrastructures terrestres et maritimes et de la plus grande partie de la rade de Toulon, à Toulon, chef-lieu du département du Var. Il s'agit de la principale base navale française, devant celle de Brest et celle de Cherbourg. En ce début de XXIe siècle, elle abrite notamment la majeure partie de la force d'action navale, comprenant le porte-avions Charles de Gaulle, les porte-hélicoptères amphibies (PHA) de Classe Mistral (BPC) Mistral, Tonnerre et Dixmude, ainsi que les six sous-marins nucléaires d'attaque, classe Rubis. Au total plus de 60 % du tonnage de la Marine nationale française est à quai dans la rade de Toulon. Constituant la plus grande base de Défense de France depuis le 1er janvier 2011, elle est soutenue par le groupement de soutien de la base de défense de Toulon créé à la même date



Quant à l'Italie... La première base Milan - 

Le premier train de fret entre la Chine et l’Italie 


Restent les paquebots contaminants et contaminés via... Venise et sites touristiques...


2 ème vague- Maintenant les chinois s'inquiètent des entrants dans leur territoire !

Les diplomates étrangers basés en Chine mais actuellement en dehors du pays ont été encouragés par le ministère chinois des affaires étrangères à ne pas reprendre leur poste avant… le 15 mai. « Les diplomates ont l’immunité, mais pas contre le virus », s’est permis de plaisanter la porte-parole Hua Chunying, vendredi 3 avril, signalant qu’il y avait eu plusieurs cas dans les chancelleries.

Pékin a déjà fermé le pays aux étrangers qui avaient un visa permanent la semaine dernière. La Chine, comme la plupart des pays asiatiques, ne veut pas prendre de risque avec ce que leurs experts ont appelé la deuxième vague d’infections : celle en provenance des nouveaux épicentres que sont l’Europe et les Etats-Unis. C’est de la maîtrise des flux entrants que dépend en partie le retour à la normale en Chine




Claire SEVERAC ( - 2016)
De mère Basque et de père Occitan, Claire Séverac étudie les "Sciences Politiques" avant de faire une carrière dans la musique aux Etats-Unis. Ses chansons sont enregistrées par des artistes aussi connus que Pat Benatar, Donna Summer, Emmylou Harris, Willy Deville, Chicago....Tout ce temps, Claire est particulièrement sensible aux scandales liés à la santé et à l'environnement (vaccination, pesticides, affaire du sang contaminé...), et à la complicité entre les cartels, les banques et les leaders politiques. Au printemps 2009, avec le début de la communication autour du virus H1N1, elle décide d'enquêter et découvre que les maux dont nous souffrons ne sont pas dus au hasard ni à la fatalité, mais plutôt à un plan organisé par une poignée de "banksters" prêts à tout pour contrôler le monde.
Elle rassemble alors dans un livre : Complot Mondial contre la santé les preuves officielles de tous les dommages qu'ils sont en train de causer à notre santé avec la nourriture, les médicaments, les pesticides... les noms des coupables, leurs méthodes et comment ils ont pu mettre leurs plans à exécution....
Qui dirige réellement le monde ?
Elle écrit ensuite avec Sylvie Simon : La coupe est pleine (nos enfants sont plus précieux que le CAC 40) sur la manipulation et la désobéissance civique. Que peut-on nous faire de pire que d'empoisonner nos enfants ?
Son dernier ouvrage La guerre secrète contre les peuples (préface de Pierre Hillard) sort ces jours-ci. Trois ans d'enquête qui prouvent l'existence des chemtrails, la puissance de Haarp, le danger des ondes, les mensonges du réchauffement climatique, le transhumanisme... et met à jour le plan satanique des élites pour réduire la population mondiale à 500 millions, rendre les survivants stériles et créer les "posthumains" qui leur serviront d'esclaves.
Elle a participé en 2015 à nos journées Chouanes.
Claire Séverac est décéde le jour de Noël 2016, aprés 3 mois de maladie.----------------------

Claire Séverac et ses recheches au regard de la prise en compte de notre Santé dans la Société. Avec le temps, on se dit que si elle n'était pas décédée, elle prendrait conscience de ses écrits prémonitoires. 
Un virus qui nous tombe dessus le 1 janvier 2020- Une frayeur dans le Monde- La comptabilisation des morts chaque jour pour activer l'effroi- Pour enfin trouver un vaccin pour cette première phase de pandémie dans les deux ans post hécatombe dans le XXI ème siècle ou comment désormais auto-réguler la population sans guerre frontale entre les peuples ! Il n'y a plus besoin d'envoyer des gens - Le front" viral" ou et/ de particules fines qui vous tombent dessus de l'industrialisation de la Lombardie, de l'épandage des cultures à Mulhouse- Macroparticules etc - Au XX ème sièce ceux qui tombaient c'étaient ceux de l'Europe du Nord avec le travail du charbon ( Silicose et la maladie des mineurs), lle nuage nucléaire avec Tchernobyl.  Désormais sans travailler les Eléments dispersifs arrivent vers nous ! Chaque peuple devra prendre rééellement conscience du danger lorsque nos dirigeants tomberont de ce virus !!! Si aucun d'entre eux malgré les nombreux contacts ne tombent pas, c'est que ce n'est pas si grave ou tout au moins savent avant vous par les tests d'une probable contamination et traitements à prendre avant même la détresse respiratoire !  Les autres comme Patrick Devedjan pris de cours ou mort de longue maladie avec effet médiatique grandissant- Tous égaux- On ne sait plus ? Par conséquent plutôt prendre conscience de la qualité de l'air avant de prendre sa température ! Prendre conscience que les virus les plus virulents de la peste-Rage (Rats) au coronavirus viennent des animaux. Les joggers de la campagne idem restez chez vous quand votre plus grande sécurité reste votre domicile !

Sylvie SIMON - et ses rétiscences vis à vis des vaccins pourtant indispensables- Désormais on peut être plus dans le jugement- Les vaccins sont indispensables par contre il est important de comprendre les conflits d'intérêts vis à vis de ces vaccins

S.SIMON Issue d'une famille aisée de Narbonne (son grand-père, Gabriel, puis son père, Marcel Rachet, furent notamment des pionniers du cinéma en ouvrant quelques-unes des premières salles de projection françaises5), sœur de l'écrivain Guy Rachet, Sylvie Simon a d'abord été modèle pour des photographes de mode ou pour des publicités, puis a décroché quelques petits rôles, avant de devenir antiquaire pendant plusieurs dizaines d’années, parcourant la France et le monde afin d'y découvrir des objets et meubles précieux3. Elle est à l’origine de la création à Paris de la Cour aux Antiquaires, faubourg Saint-Honoré, et du Louvre des Antiquaires, rue de Rivoli, puis s’est installée rue de Beaune au cœur du Carré des Antiquaires.

Elle a publié plusieurs romans historiques, notamment sur la vie d'Isabelle d'Este et de Laure Junot, duchesse d'Abrantès, et d'Isabel Beurton, et de nombreux essais dans lesquels elle prend position sur des sujets de société, en particulier la controverse sur la vaccination, prônant les valeurs de la médecine alternative qu'elle oppose aux intérêts de l'industrie pharmaceutique et à ce qu'elle appelle « l'engrenage mortel de la société de consommation ». Elle a également publié des centaines d’articles dans plusieurs journaux concernant la santé et l’écologie

La mort de Claire Séverac, une activiste qui dérangeait « l'establishment »

Publié par wikistrike.com sur 30 Décembre 2016, 08:55am

Catégories : #Santé - psychologie

La mort de Claire Séverac, une activiste qui dérangeait « l'establishment »
C'est avec stupéfaction mais aussi, bien entendu, avec une immense tristesse que nous venons d'apprendre le décés de notre collègue et amie CLAIRE SEVERAC, auteur des best-sellers remarquables « Complot mondial contre la santé » et surtout « La guerre secrète contre les peuples » , ouvrages terriblement gênants s'il en est pour le système mafieux en place! 

Claire Séverac, collègue et amie de l'inoubliable Sylvie Simon, était également l'auteur avec celle-ci de l'excellent livre « La coupe est pleine. Nos enfants sont plus précieux que le CAC40 . Tout comme Sylvie, Claire Séverac s'était également très fortement mobilisée pour soutenir les victimes de l'innommable vaccination contre le papillomavirus (Gardasil et Cervarix) et dénoncer auprès du public dans de nombreuses vidéos cette arnaque sanitaire hors du commun... 

Le site Egalité et réconciliation a posté il y a il y a 5 heures que Claire nous a quittés, avec la mention d'une « longue maladie ».... Toutefois, une autre source (qui la connaissait bien) stipule dans un courriel tout récent que nous avons reçu ce soir: 

« Pas de bonnes nouvelles de Claire Séverac
Nous l'avons eu au téléphone dernièrement, elle allait bien, et voilà que nous apprenons le 22 décembre qu'elle est au plus mal, et qu'elle se retire de toute activité militante, ne voulant plus que l'on parle d'elle. Cette nouvelle nous attriste beaucoup. Son site est fermé, tout comme son compte Facebook, sa page Wikipédia est supprimée... 

Comme ce « mot » est sur un document interne à l'association, nous en faisons état ici, car nous estimons que vous êtes en droit de le savoir. D'autant plus si l'on peut faire quelque chose pour elle... Même si cela est compromis par sa situation et sa décision. 

Encore faudrait-il être certain que c'est bien une décision en parfait accord avec son libre arbitre ? Car il est permis d'en douter... » 

Cette nouvelle inquiétante et terriblement attristante est hélas à inscrire dans le contexte de l'élimination de plusieurs dizaines de chercheurs et médecins holistiques aux USA et ailleurs. Ce décès intervient ne l'oublions pas non plus après ceux également précipités (vu leur jeune âge) de personnes comme Corinne Gouget (additifs alimentaires) et également Bernard Christophe (pharmacien qui gênait aussi terriblement le système avec son Tic-Tox contre la maladie de Lyme et qui était en passe de gagner un procès-clef!) 

Nous terminons cet article par deux considérations importantes: la première, c'est qu'il est devenu indispensable que le public prenne conscience des risques pris par les activistes bénévoles qui informent gratuitement et sans jamais compter leur temps sur des thèmes aussi dérangeants et tabous. Oui, clairement, ils risquent leur vie et ce n'est pas être « complotiste » que de le rappeler. Il est donc impératif que le public s'informe de plus en plus mais qu'il n'avale pas juste passivement et de façon égoïste une connaissance! 

Toute personne qui bénéficie d'informations importantes susceptibles de lui épargner sa santé et sa vie a un devoir éthique et citoyen d'en parler le plus largement tout autour d'elle, peu importe le « quand dira-t-on social » qui ne mérite plus la moindre place dans l'état d'urgence sanitaire et politique dans lequel se trouve le monde entier... Parler de ce que vous aurez appris et le faire le plus largement contribuera inévitablement à plus de sécurité et d'efficacité concrète pour tous: plus de victimes potentielles seront susceptibles d'être informées A TEMPS et d'autre part, l'activité et la responsabilité communicationnelle sera mieux répartie sur un plus grand nombre d'émetteurs-transmetteurs des infos. 

La deuxième considération et nous sommes tout à fait convaincus que c'est vraiment ce que Claire Séverac aurait espéré (tout comme Sylvie Simon aussi d'ailleurs), c'est que le combat pour l'information et la liberté doit absolument pouvoir se poursuivre et cela, au nom des plus faibles et des plus fragiles.... « the show must go on » comme chantait l'autre, sauf qu'il s'agit ici de tout sauf d'un show mais bien d'une véritable tragédie politique et de santé publique. Aussi, le plus bel hommage, mais aussi le plus concret et le plus efficace que nous puissions faire à Claire Séverac et à son magnifique travail, c'est de solliciter les éditeurs pour que ses ouvrages continuent surtout d'être édités, d'acheter en nombre ses ouvrages, de continuer à les faire connaître à ceux qui ne la connaissaient pas, ainsi que de continuer à partager plus que jamais ses interventions en vidéo.... MERCI CLAIRE pour tout ce que tu as fait, nous ne t'oublierons jamais! 



Philippe Douste-Blazy
 
@pdousteblazy
 
 

Ns avons certes obtenu, avec ce décret, une première victoire, mais ce n’est que la moitié du chemin c ar ce décret ne permet tjs pas aux médecins libéraux de prescrire cette association médicamenteuse! Or, plus le traitement est donné tôt, plus il est efficace. Un combat à mener."
Donc Réarmer les lits de réanimation ou remplir les pharmacies ? A chacun sa théorie ! Et combat ! Tout en sachant que la politique sanitaire menée est une politique à flux tendus ! Faut-il avoir des discours heb des politiques quand on ne sait pas travailler dans l'urgence et dont l'essentiel est de passer outre toutes les théories et phases d'approbation par les comités...Respirateurs fabriqués à la va-vite et non homologués, personnels soignants diplômés ou en cours- ou mal équipés ! Horaires plus qu'allongés et de fatigue, d'épuisement et d'écoeurement fac eà autant d'efforts et de décès. Autant du hors normes faisant partie du système D et perte de chance mais le temps est contre tous. Prenons en conscience...



Vérification de l'évolution en se rendant sur le site de l'OMS qui avait prévenu tous les pays européens de l'alerte sanitaire et des recommandations DES JANVIER 2020. 

Flambée de maladie à coronavirus (COVID 19)

 
Vidéo : Comment vous protéger de la COVID-19 (en anglais)

Le 31 décembre 2019, l’OMS a été alertée de l’apparition de plusieurs cas de pneumonie d’origine inconnue dans la ville de Wuhan (Chine). Le 7 janvier 2020, les autorités chinoises ont déterminé que ces cas étaient provoqués par un nouveau coronavirus, provisoirement baptisé « 2019-nCoV ».

Les coronavirus (CoV) forment une grande famille de virus à l’origine de maladies allant du simple rhume à des affections plus graves. Un nouveau coronavirus (nCoV) est une nouvelle souche qui n’avait pas encore été décelée chez l’être humain.

Les pays du monde entier ont renforcé leur surveillance pour pouvoir diagnostiquer rapidement les nouveaux cas de 2019-nCoV. Depuis, d’autres personnes infectées par ce virus ont été identifiées en Chine, et des cas ont été importés dans d’autres pays, y compris dans la Région européenne.

Conformément au Règlement sanitaire international (2005), les pays de la Région européenne sont encouragés à poursuivre leurs préparatifs pour le cas où ce nouveau virus serait importé. L’OMS a publié des recommandations pour tous les pays, notamment sur la manière de surveiller les cas de maladie, de tester des échantillons, de soigner les patients, de lutter contre les infections dans les centres de santé, de maintenir des approvisionnements adéquats et de communiquer avec la population.

Sur la base des informations actuellement disponibles, l’OMS ne recommande aucune restriction aux déplacements ou aux échanges commerciaux. Parmi les recommandations standard pour éviter la propagation de l’infection chez les personnes se déplaçant dans les zones touchées ou au départ de celles-ci, il est conseillé de se laver les mains régulièrement, de couvrir sa bouche et son nez en cas de toux et d’éternuements et d’éviter tout contact étroit avec les personnes présentant des symptômes de maladie respiratoire.



Deux bastions en France le Nord/ Ile de France dominés par les directives de l'Inserm- Levy- Buzyn- Lacombe avec renfort médiatique plutôt pour les actes de Reanimation et appel du 15 uniquement en détresse respiratoire venant nous récupérer !                                                                                                  Le bastion du sud dominé par les recherches du professeur Raoult- avec prise en charge médicamenteuse au plus tôt . Enfin le bastion de l'est et toutes les concentrations: le seul hôpital militaire ambulatoire/ transferts via toute la France/ et transfert en Allemagne très touché mais moindre décès - Le temps parlera de lui même ...Le bastion de l'ouest qui semble épargné avant l'arrivée en masse des parisiens- Role du climat océanique - Effet des marées ? Avons nous les moyens de nous mettre à l'abri du danger et pour combien de temps ? Le temps du vaccin à élaborer nous en avons pour deux ans! Reste à attendre les annonces des decouvertes- Discovery des Usa- La Russie met en avant un traitement anti- paludique sur la base des éléments avancés par l'Asie et le professeur Raoult: la mefloquine--- A suivre


Ce texte est extrait de "Nana, l'Art d'être SOI"       et.... que de vérités il contient .....



🗣 : Univers, Pourquoi me mettre dans le pangolin ?
✨: Cet animal, Corona, est en voie d’extinction. Et pourtant les hommes
continuent de le braconner et de le manger. ... Ce sera la 1ère étape de ma
leçon.

🗣 : D’accord Univers. Pourquoi tu veux que ça commence en Chine?
✨ : La Chine est le symbole de la mondialisation et de la production de masse petit. 
Ce pays est surpeuplé, il produit en masse et pollue en masse...

🗣 : C’est vrai Univers... Mais en même temps c’est parce que les autres pays y
ont un intérêt financier aussi non ?
✨ : Oui petit c’est pour cela que ta mission va être de te répandre partout dans
le monde, et principalement dans tous les pays concernés par ce système, 
l’Europe, les US, les pays producteurs de pétrole...

🗣 : Quelle forme vas tu me donner Univers ?
✨ : Celle d’un virus qui va principalement infecter les voies respiratoires.

🗣 : Mais pourquoi Univers ?
✨: Petit, vois-tu de nos jours, les hommes mettent en danger la planète. 
La pollution est devenue trop importante mais l’humanité n’en mesure pas l’ampleur.
Quoi de plus symbolique que la respiration petit, tu comprends ?

🗣 : Oui mais ça veut dire que je vais être dangereux Univers ?
✨ : Tu ne le seras pas plus que plein d’autres maladies existantes petit, et tu
le seras bien moins que la pollution elle-même qui génère des milliers de morts! 
Mais la différence c’est que toi, tu seras visible...

🗣 : D’accord Univers. Mais tu crois que ça va marcher ton truc là alors, je
comprends pas comment ?
✨ : Tu as raison petit. C’est pour cela que je vais te rendre très contagieux.
Tu vas vite te propager. La vitesse de propagation sera bien supérieure à ta dangerosité.

🗣 : Ok mais alors si je suis pas si dangereux, tu crois qu’ils vont avoir peur de moi ?
✨ : Oh petit, oui, fais moi confiance. C’est sur cela d’ailleurs que je compte
pour faire évoluer les mentalités : la peur.
Ce n’est que quand l’homme a peur, qu’il peut changer ensuite...

🗣 : Tu crois ?
✨ : Oui petit, et je vais ajouter tout un contexte pour amplifier la peur et les
prises de conscience.

🗣 : Quoi Univers...?
✨: La peur va tellement prendre le dessus que l’on confinera les gens chez eux, tu verras. 
Le monde sera à l’arrêt. Les écoles seront fermées, les lieux publics, les gens ne pourront plus aller travailler.
Les croisières, les avions, les moyens de transport seront vides..

🗣 : Oh la la, Univers, tu vas loin, mais qu’espères-tu de cela ?
✨ : Que le monde change petit ! Que Terre Mère soit respectée ! Que les gens
prennent conscience de la bêtise humaine, des incohérences des modes de vie et
qu’ils prennent le temps de réfléchir à tout cela ... Qu’ils arrêtent de courir,
découvrent qu’ils ont une famille et des enfants et du temps avec eux. Qu’ils ne
puissent plus recourir aux suractivités extérieures car elles seront fermées. 
Se reconnecter à soi, à sa famille, ça aussi, petit, c’est essentiel...

🗣 : Ok mais ça va être dangereux, l’économie va s’effondrer....
✨ : Oui petit, il y aura de grosses conséquences économiques. 
Mais il faut passer par là. C’est en touchant à cela aussi que le monde, je l’espère,
va prendre conscience de ses incohérences de fonctionnement. 
Les gens vont devoir revenir à un mode de vie minimaliste, ils vont devoir retourner au local, 
et, je l’espère, à l’entre aide..

🗣 : Comment vais je me transmettre ?
✨ : Par le contact humain.. Si les gens s’embrassent, se touchent...

🗣 : Bizarre Univers là je ne te suis pas, tu veux recréer du lien mais tu éloignes les gens ?
✨ : Petit, Regarde aujourd’hui comment les hommes fonctionnent. Tu crois que le lien existe encore ? 
Le lien passe par le virtuel et les écrans. Même quand les hommes se promènent, 
ils ne regardent plus la nature mais leur téléphone...
À part s’embrasser, il ne restait plus grand chose du lien... 
Alors je vais couper ce qui leur restait de lien et je vais exagérer leur travers ...
En restant confinés chez eux, fort à parier qu’au départ ils se régalent des écrans
mais qu’au bout de plusieurs jours ils satureront... Lèveront les yeux.. 
Découvriront qu’ils ont une famille, des voisins ... 
Et qu’ils ouvriront leur fenêtre pour juste regarder la nature ...

🗣 : Tu es dur Univers, tu aurais pu alerter avant de taper aussi fort...
✨ : Mais Corona, avant toi j’ai envoyé plein d’autres petits ... Mais justement
c’était trop localisé et pas assez fort...

🗣 : Tu es sûr que les Hommes vont comprendre cette fois alors ?
✨ : Je ne sais pas Corona... Je l’espère... Terre Mère est en danger... 
Si cela ne suffit pas, je ferai tout pour la sauver, il y a d’autres petits qui attendent ... 
Mais j’ai confiance en toi Corona... Et puis les effets se feront vite sentir ... 
Tu verras la pollution diminuera et ça fera réfléchir, les hommes sont très intelligents,
 j’ai aussi confiance en leur potentiel d’éveil...
En leur potentiel de création de nouveaux possibles ... Ils verront que la
pollution aura chuté de manière exceptionnelle, que les risques de pénurie sont
réels à force d’avoir trop délocalisé, que le vrai luxe ce n’est plus l’argent, mais le temps... 
Il faut un burn out mondial, petit, car l’humanité n’en peut plus de ce système 
mais est trop dans l’engrenage pour en prendre conscience...
À toi de jouer...

🗣 : Merci Univers... Alors j’y vais ...
 
Bon confinement et réflexions à toutes en attendant de pouvoir, dans plusieurs semaines, tirer les leçons de cette pandémie



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Ces images et ces drames que l'on ne connaissait pas... Tous ces maquillages---Ces regards éperdus...


Maintenant je sais !

 25/03/2020
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Coronavirus : Karine Lacombe contre Didier Raoult

mardi 24 mars 2020

Karine Lacombe, professeur de médecine et infectiologue, vient de remplacer Michel Cymes comme correspondante scientifique télévisuelle. Elle officie à TF1 pour nous informer sur le déroulement de la crise du Covid 19.
Tout juste promue, elle est montée au créneau contre le désormais célèbre professeur Didier Raoult, le mousquetaire français qui vient de promouvoir la chloroquine, substance efficace et peu chère et dont les effets indésirables sont bien maîtrisés, la seule alternative viable dans l’urgence thérapeutique actuelle.
Karine Lacombe, estime que « ce qui se passe à Marseille est absolument scandaleux (...) C’est en dehors de toute démarche éthique. »
Elle est intervenue sur le cas d’un patient testé négatif au coronavirus sur lequel le traitement à la chloroquine fut un échec. Mais Didier Raoult confirme son traitement uniquement sur les patients positifs.
Ce discours à charge de Karine Lacombe n’est pas si étrange, malgré le respect que nous devons avoir pour son parcours professionnel, si on considère sa collaboration avec les laboratoires internationaux.

Le ministre de la Santé Olivier Véran a autorisé des essais cliniques pour des traitements potentiels avec la chloroquine. Devant tant de polémiques, il précise sur l’avis du Haut conseil de santé, que le recours à la chloroquine serait « strictement encadré et que cette molécule ne devait être utilisée que dans le cadre hospitalier »

Karine Lacombe, L’INSERM et le vaccin :

Karine Lacombe a été membre de L’INSERM dirigé alors par Yves Lévy, le mari d’Agnès Buzyn, et L’INSERM est favorable à la méthode CRISPR pour élaborer un vaccin alors que le professeur Raoult réalise des cultures de bactéries. On peut donc supposer qu’elle est en désaccord avec la méthode Raoult puisque Yves Lévy et Agnes Buzyn était opposés à la création de l’unité de Marseille : les 160 millions octroyés à Didier Raoult pour monter son unité de recherche sont autant d’argent qui ont échappé à l’INSERM.

Karine Lacombe : « Beaucoup de temps et d’argent ont été investis afin de produire un vaccin contre le covid-19. On est raisonnablement optimiste d’y arriver raisonnablement vite »
Mais un vaccin ne se fabrique pas dans l’urgence et risque de ne pas avoir le succès attendu si un traitement efficace se profile avant lui...

Conflit d’intérêt

Dans sa déclaration publique d’intérêt obligatoire pour exercer son métier, Karine Lacombe mentionne les sommes touchées lors de ses interventions auprès des laboratoires.

1 - Le ténofovir a obtenu son autorisation de mise sur le marché (AMM) pour le VIH sous le nom de Viread. Cet analogue nucléotidique, apparenté à l’Adéfovir, appartient comme l’Adéfovir aux phosphonates de nucléosides acycliques. Comme lui, il permet le contrôle de la multiplication virale B avec une absence de mutation induite dans l’ADN polymérase et un risque, quoique rare, de néphrotoxicité tubulaire
Lacombe K, Gozlan J, Boelle PY, Serfaty L, Zoulim F, Valleron AJ, et al. Long-term hepatitis B virus dynamics in HIV-hepatitis B virus-co-infected patients treated with tenofovir disoproxil fumarate. AIDS 2005 ; 19 : 907-15.

Laboratoire Gilead, somme perçue : 15 000 euros

2 - Bristol-Myers Squibb 10000 euros perçus sur 5 ans

3 - ABB VIE 3000 euros perçus sur 5 ans

4 - Laboratoire Janssen
3000 euros perçus sur 5 ans.

La conclusion est claire, Karine Lacombe se pose en concurrente de Didier Raoult.




Pneumonie communautaire sévère de l’adulte : du diagnostic aux soins intensifs- De la toux et fièvre ? N'attendez pas prenez des antibiotiques- Anti- bacteries ! Encore fait ses preuves ! Sinon reste les informations et cas de morbidite ! Un flash ! Et si on prenait en charge plus tôt ? ! Coronavirus: aucun traitement ? Lavage des mains et confinement - Ail à manger cru- citron- miel le soir- huile essentielle de ravintsara- produits à base d'eucalyptol-Feuilles de laurier-  The - 1ères découvertes! Et pour le reste : À compter sur votre chance ! Pour le gel hydroalcoolique : Commande sur www. médicale.eu ( organisation europeenne- livraison sous huitaine)

Laurent Seravalli, Hervé Zender, Daniel Genné
Rev Med Suisse 2011; volume 7. 1950-1954

Résumé

La pneumonie communautaire sévère est définie comme une pneumonie acquise en milieu extrahospitalier nécessitant une prise en charge dans une unité de soins intensifs. Des scores cliniques comme «l’ATS modified rule» peuvent aider le praticien à reconnaître rapidement les patients nécessitant une prise en charge de médecine intensive. Les éléments prouvés diminuant la mortalité comportent l’administration précoce d’antibiotiques, en privilégiant probablement une association comportant un macrolide, ainsi qu’une prise en charge rapide et spécialisée de l’état de choc et de l’insuffisance respiratoire. La pneumonie communautaire sévère est grevée d’une mortalité importante à court et à long termes dont les causes sont partiellement comprises.
Une pneumonie réfractaire est une situation clinique fréquente.
Une analyse systématique permet de réviser le diagnostic différentiel , le traitement, les évolutions clinique et radiologique attendues. Après réévaluations radiologique et microbiologique, une bronchoscopie avec LBA permettra une documentation microbiologique et cytologique afin de préciser le diagnostic.

Introduction

La pneumonie communautaire ou pneumonie acquise en communauté (PAC) est définie comme une infection aiguë du parenchyme pulmonaire acquise en milieu extrahospitalier ou survenant dans les 48 heures suivant l’admission du patient.1 Une PAC est considérée comme sévère lorsqu’elle nécessite une prise en charge dans une unité de soins intensifs.2 L’incidence annuelle de la pneumonie communautaire est estimée à 5-11 cas/1000 habitants.1 Environ 10% des patients nécessitent une hospitalisation et de ce groupe, 10 à 35% sont admis dans un service de réanimation.2,3 La mortalité de ces patients oscille entre 25 et 50%.4

L’objectif de cet article est de revoir les éléments d’importance pour le clinicien à travers une série de questions pratiques ayant trait à la prise en charge des PAC sévères.

Comment reconnaître une pneumonie sévère ?

Répondre à cette interrogation revient à poser la question : «quel patient admettre aux soins intensifs ?» Certains patients présentent d’emblée une indication claire (telle que l’état de choc ou l’insuffisance respiratoire grave) à une admission aux soins intensifs. La situation est plus complexe lorsqu’il s’agit de prédire le risque d’évolution d’une pneumonie «standard» en une pneumonie sévère. Cette aggravation survient typiquement dans les premières 72 heures suivant l’admission et peut concerner jusqu’à 45% des patients.5 Cet élément est d’importance car le patient transféré secondairement aux soins intensifs voit sa mortalité et sa durée de séjour hospitalier doubler par rapport aux mêmes patients hospitalisés initialement aux soins intensifs.5 Les éléments à disposition du clinicien sont les suivants.

Anamnèse et examen clinique

L’anamnèse ne permet pas à elle seule d’identifier le patient à risque d’une PAC sévère, bien qu’elle aide parfois à préciser l’étiologie de la pneumonie. Une attention particulière sera dévolue à la recherche de comorbidités, car on estime que 50% des décès des patients présentant une pneumonie communautaire sont en lien avec ces dernières.6,7 Le diagnostic clinique repose sur l’association de signes généraux et spécifiques pouvant former un tableau de sévérité très diverse. La toux demeure le symptôme le plus fréquent. Les patients âgés ne présentent souvent pas le tableau classique avec fréquemment des troubles digestifs ou neurologiques au premier plan.1 Les principales indications à l’admission en soins intensifs de patients présentant une pneumonie étant l’insuffisance respiratoire (hypoxémie sévère et/ou hypercapnie) et la compromission hémodynamique (état de choc),1,2 le clinicien sera attentif aux signes cliniques y relatifs, surtout si le patient présente des comorbidités cardiaques ou pulmonaires.1

Scores cliniques

Les scores classiques de pneumonie (Pneumonia Severity Index (PSI)8 ainsi que le CURB 65)9 permettent d’estimer le degré de gravité d’une pneumonie et sa mortalité, mais pas de prédire le recours à la nécessité d’un traitement de soins intensifs. Historiquement, ces scores ont été développés afin d’aider le clinicien à choisir entre le traitement ambulatoire ou stationnaire de son patient.10 La problématique de leur utilisation dans la détermination de l’orientation intrahospitalière d’un malade est illustrée par le fait que leur utilisation stricte peut aboutir à :

  • une sous-estimation importante de la gravité d’une pneumonie chez un patient jeune sans comorbidité (sensibilité insuffisante du score) ;

  • une surestimation importante de la gravité d’une pneumonie chez un patient très âgé aux multiples comorbidités (spécificité insuffisante du score).

C’est pourquoi, ces dernières années, différents outils visant à déterminer la nécessité d’un séjour en soins intensifs ont été validés et comparés dans la littérature.1 A ce jour, il n’existe pas de score à lui seul suffisamment performant et validé pour déterminer le lieu d’hospitalisation d’un patient. Le score ATS modifié11 demeure cependant le meilleur pour répondre à la question de savoir si un patient a besoin de soins intensifs (sensibilité de 95%, spécificité de 73%, valeur prédictive positive de 54% et valeur prédictive négative de 98%).1,12 Les différentes composantes de ce score sont résumées dans le tableau 1.

Tableau 1

Critères modifiés de l’Infectious Diseases Society of America – American Thoracic Society 2007 ou «ATS modified rule»11

Critères majeurs • Choc septique • Nécessité d’une ventilation mécanique Critères mineurs • Tension artérielle systolique < 90 mmHg • Pneumonie multilobaire (> 2 lobes) • PaO2/FiO2 ≤ 250 Si ≥ 1 critère majeur ou ≥ 2 critères mineurs (à l’admission ou au cours de l’hospitalisation) : sensibilité de 95%, spécificité de 73%, valeur prédictive positive de 54% et valeur prédictive négative de 98% d’une hospitalisation aux soins intensifs.
 

Laboratoire

La leucopénie, la leucocytose et la thrombocytopénie sont connues de longue date comme étant des facteurs pronostiques de mauvaise évolution.7 La procalcitonine tout comme le BNP (brain natriuretic peptide) évoluent parallèlement à la gravité des scores mais ne permettent pas de prédire le développement d’un sepsis sévère.7 L’évolution de la troponine est parallèle à l’hypoxémie, mais, comme les autres dosages, elle ne prédit pas la nécessité d’un recours aux soins intensifs.7 La mesure de la charge bactérienne (en nombre de copies bactériennes/ml) dans le sang a été démontrée comme étant hautement prédictive du risque de survenue d’un état de choc et de mortalité.7 La difficulté technique de l’examen réside dans l’obtention d’une extraction efficace de l’ADN bactérien dans les quelques millilitres de sang de l’hémoculture à cause des nombreux éléments perturbant l’analyse (ADN humain des leucocytes, hémoglobine, etc.). Ces éléments expliquent pourquoi ces dosages ne sont pas encore couramment disponibles. Pour le pneumocoque, les examens par PCR (polymerase chain reaction) dans le sang semblent également prometteurs : la rapidité du résultat (environ trois heures) offre la sensibilité à la pénicilline en prime.7

Quel est l’agent causal de la pneumonie ?

Les revues ayant investigué les étiologies diagnostiques des patients présentant une PAC sévère ont retrouvé un germe dans environ 60% des cas, l’infection étant polymicrobienne chez 17% des patients.1 Les organismes les plus communément retrouvés sont :

  • le Streptococcus pneumoniae 15-46% ;

  • la Legionella species 0-23% ;

  • les Staphylococcus aureus 0-22% ;

  • l’Haemophilus influenzae 0-14% ;

  • les bacilles gram négatifs 4-25%.

Comme pour les pneumonies communautaires non sévères, le pneumocoque demeure la principale cause de complications et d’issues fatales. En fonction de certaines circonstances, d’autres étiologies peuvent être premièrement évoquées (tableau 2).

Tableau 2

Etiologie bactérienne particulière d’une pneumonie communautaire sévère selon les circonstances cliniques1

Alcoolisme chronique S. pneumoniae, bacilles gram négatifs, anaérobes COPD S. pneumoniae, H. influenzae, Moraxella catarrhalis, Legionella Mauvaise hygiène dentaire Anaérobes Broncho-aspiration Anaérobes, bacilles gram négatifs, pneumonie chimique Grippe récente S. pneumoniae, S. aureus, H. influenzae Antibiothérapie récente Pneumocoques résistants*, P. aeruginosa, bacilles gram négatifs Patient institutionnalisé S. pneumoniae (y compris les formes résistantes), S. aureus (y compris les formes méthicilline résistantes), H. influenzae, bacilles gram négatifs, anaérobes, M. tuberculosis VIH S. pneumoniae, H. influenzae, Samonella, cytomégalovirus, Cryptococcus,P. jiroveci, anaérobes, M. tuberculosis Oiseaux Chlamydophila psittaci, Cryptococcus neoformans, H. capsulatum Animaux de la ferme Coxiella burnetti (fièvre Q) Lapins Francisella tularensis Voyage au sud-ouest des Etats-Unis Coccidioides immitis
 

Quel est le diagnostic différentiel à évoquer ?

Certaines pathologies peuvent «mimer» une PAC sévère, notamment :

  • une pneumopathie organisée cryptogénique (COP) ;

  • une pneumonie à éosinophiles ;

  • une pneumonie d’hypersensibilité ou une alvéolite allergique ;

  • une pneumonie médicamenteuse ;

  • une tumeur pulmonaire ;

  • une pneumopathie actinique ;

  • une tuberculose ;

  • une vasculite pulmonaire ;

  • un infarctus pulmonaire ;

  • un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA ou ARDS en anglais) ;

  • des atélectasies.

Quels examens microbiologiques effectuer ?

Les patients présentant une PAC sévère devraient avoir les examens suivants :

  • des hémocultures ;

  • des antigènes urinaires pour L. pneumophila et S. pneumoniae ;

  • des cultures d’expectorations ;

  • une culture d’aspirations bronchiques ou mini-lavage broncho-alvéolaire chez les patients intubés ;

  • un test VIH ;

  • un frottis nasal pour la grippe en période hivernale ;

  • selon les circonstances : des sérologies pour Legionella, Chlamydia, mycoplasme.

Quels antibiotiques choisir ?

Toute couverture inadéquate d’antibiotiques augmente la mortalité des patients présentant une PAC. Le choix empirique s’effectuera en fonction des résistances locales et des germes évoqués en fonction des diverses situations cliniques (tableau 2). Pour le traitement de la PAC sévère, une combinaison comportant un macrolide a été régulièrement rapportée comme associée à un meilleur pronostic vital. Cet élément ne figure pas dans les guides de pratique clinique parce que les études effectuées sont rétrospectives et que quelques travaux (minoritaires et de petite taille) n’ont pas démontré de bénéfice de survie. Malgré l’absence de recommandation officielle, il existe un fort rationnel qui devrait, sur la base de l’évidence actuelle et dans l’attente d’études prospectives, inciter le clinicien à choisir une bithérapie comportant un macrolide (associé dans la majorité des cas à une céphalosporine de deuxième/troisième génération ou à une aminopénicilline) lors du traitement d’une pneumonie sévère.7

Comment prendre en charge le patient au cabinet, aux urgences puis aux soins intensifs ?

Il est important de rappeler qu’une prise en charge précoce du sepsis sévère et du choc septique diminue la mortalité.1 De plus, tout retard d’administration d’antibiotiques lors de la survenue d’un sepsis sévère ou d’un choc septique se solde par une augmentation de la mortalité d’environ 8% par heure.13 Ceci est également vrai pour les patients atteints de PAC sévère.1 L’état de choc (septique) et la nécessité d’un support ventilatoire demandent une prise en charge urgente et spécialisée.7 Lors d’un choc septique, le protocole d’E. Rivers a démontré qu’en appliquant un algorithme visant à rétablir une pression de perfusion et une oxygénation adéquates des organes dans un délai de six heures, on peut sauver une vie pour six patients traités.14

La nécessité d’une ventilation mécanique soulève la question de la place de la ventilation non invasive (VNI). Cette dernière a démontré diminuer la mortalité chez les patients avec bronchopneumopathie chronique obstructive ou immunosupprimés qui présentent une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë.15 Le clinicien gardera cependant à l’esprit que chez les patients sans comorbidités pulmonaires préexistantes, la survenue d’une PAC sévère aboutit à une ventilation invasive chez environ deux tiers des malades.16 En conséquence, une réponse non satisfaisante ou un épuisement sous VNI doit rapidement faire évoquer la nécessité d’une intubation trachéale. Dans ce cas de figure, on appliquera une ventilation dite «protectrice» dont le principe général est de limiter le volume courant à 6 ml/kg de poids idéal puis de régler la PEEP (positive end-expiratory pressure) en visant des pressions de plateau à des valeurs ≤ 28-30 cmH2O.17 La fréquence respiratoire est réglée en visant une normocapnie sans dépasser la fréquence de 30-35 par minute, ni générer de PEEP intrinsèque, quitte à tolérer l’hypercapnie dans ces cas de figure.

Quels autres traitements évoquer ?

Les points suivants devraient être évoqués dans la suite de la prise en charge en milieu intensif :18

  • une durée de l’antibiothérapie adaptée à l’évolution clinique ;

  • une approche conservatrice de l’administration intraveineuse de liquides ;

  • un contrôle de la glycémie visant des valeurs entre 5-10 mmol/l ;

  • l’administration d’une prophylaxie de l’ulcère de stress ;

  • l’administration d’une prophylaxie thromboembolique ;

  • l’établissement d’un seuil transfusionnel de 70 g/l d’hémoglobine ;

  • discuter l’administration d’hydrocortisone chez le patient en état de choc réfractaire ;

  • discuter l’administration de protéine C activée chez le patient présentant un risque de décès (score Apache II > 25) et aucune contre-indication au traitement.

Quel est le pronostic d’un patient présentant une pneumonie acquise en communauté sévère ?

A court terme, ce sont les comorbidités et principalement le degré d’indépendance avant la survenue de la PAC qui conditionnent le devenir des patients : si la mortalité à 30 jours et à un an est de 11 et de 27% respectivement, elle monte à 39 et 48% si les patients étaient grabataires avant l’admission.19 Mais la survenue d’une PAC a également des conséquences à long terme. Plusieurs travaux ont démontré un risque de mortalité accru perdurant en tout cas deux à cinq ans chez les patients ayant présenté une PAC. Les causes de cette surmortalité demeurent partiellement élucidées, bien que certains éléments suggèrent qu’elle soit due à une étiologie cardiovasculaire.7

Conclusion

La PAC sévère est grevée d’une mortalité importante à court et à long termes. Le clinicien doit être capable de reconnaître le patient nécessitant une prise en charge de médecine intensive en portant une attention particulière aux comorbidités tout en faisant appel au sens clinique et à des scores comme «l’ATS modified rule». L’administration d’antibiotiques, en privilégiant une association comportant un macrolide doit être précoce, après la prise d’hémocultures. L’état de choc et l’insuffisance respiratoire demeurent les deux causes principales d’admission aux soins intensifs et nécessitent une prise en charge rapide et spécialisée.

Stratégie de recherche et critères de sélection

La recherche Medline a retenu les articles en anglais et en français publiés entre le 1.1.1995 et le 31.3.2011 dans le domaine de l’infectiologie et de la médecine intensive. Les mots-clés utilisés étaient : «community-acquired pneumonia», «intensive care unit», «process of care», «septic shock», «non-invasive ventilation», «mechanical ventilation», «prognosis», «severity scoring», «site-of-care decision». Les articles de revues ont particulièrement été retenus.

Implications pratiques

> La pneumonie communautaire sévère est définie comme une pneumonie acquise en milieu extrahospitalier nécessitant une prise en charge dans une unité de soins intesifs

> Le clinicien doit être capable de reconnaître le patient nécessitant une prise en charge de médecine intensive en faisant appel à son sens clinique et en portant une attention particulière aux comorbidités

> Des scores comme «l’ATS modified rule» peuvent aider le praticien à reconnaître rapidement les patients nécessitant une prise en charge de médecine intensive

> L’administration d’antibiotiques, en privilégiant une association comportant un macrolide, doit être précoce

> L’état de choc et l’insuffisance respiratoire demeurent les deux causes principales d’admission aux soins intensifs. Ils nécessitent une prise en charge rapide et spécialisée

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Abstract

La pneumonie communautaire sévère est définie comme une pneumonie acquise en milieu extrahospitalier nécessitant une prise en charge dans une unité de soins intensifs. Des scores cliniques comme «l’ATS modified rule» peuvent aider le praticien à reconnaître rapidement les patients nécessitant une prise en charge de médecine intensive. Les éléments prouvés diminuant la mortalité comportent l’administration précoce d’antibiotiques, en privilégiant probablement une association comportant un macrolide, ainsi qu’une prise en charge rapide et spécialisée de l’état de choc et de l’insuffisance respiratoire. La pneumonie communautaire sévère est grevée d’une mortalité importante à court et à long termes dont les causes sont partiellement comprises.

Contact auteur(s)

Laurent Seravalli
Services des soins intensifs et de médecine
Département cantonal de médecine
Hôpital neuchâtelois – La Chaux-de-Fonds
2300 La Chaux-de-Fonds
Laurent.Seravalli@ne.ch
Hervé Zender
Services des soins intensifs et de médecine
Département cantonal de médecine
Hôpital neuchâtelois – La Chaux-de-Fonds
2300 La Chaux-de-Fonds
Herve.Zender@ne.ch
Daniel Genné
Services des soins intensifs et de médecine
Département cantonal de médecine
Hôpital neuchâtelois – La Chaux-de-Fonds
2300 La Chaux-de-Fonds
Daniel.Genne@ne.ch
© Médecine & Hygiène, 2011


Derniers conseils de la médecine 21 ème siècle - Pour l'instant nos connaissances s'arrêtent là !

Après l’Italie, l’Espagne est devenue ce mercredi 25 mars le deuxième pays à dépasser la Chine en nombre de morts du coronavirus. La Chine totalisait au 24 mars 3 281 morts, avec une épidémie fortement ralentie, contre 6 820 en Italie, et 3 434 en Espagne.

La courbe de progression des décès est particulièrement inquiétante : l’Espagne pourrait rattraper voire dépasser dans les prochains jours l’Italie en nombre de décès. Ce mercredi, on a totalisé 738 décès en Espagne en 24 heures, contre 683 en Italie.

En France, selon Santé publique France, 1 100 personnes sont décédées dans les hôpitaux à cause du coronavirus. Mais ce chiffre ne prend pas en compte tous les décès survenant à domicile ou dans les Ehpad.
20 000 lits -Réanimation ( Allemagne)// 7000 lits en France et aucun test effectué avant l'arrivée aux urgences. L'angleterre encore moins et plus dans l'Europe.



A défaut de véritiables échanges en Asie et l'ampleur du phénomène. Des mots réconfortants- Directeur de l'association des mal-voyants ! 

Le mot du Président

2019, l’année du renouveau. vous en trouverez la liste complète sur cette page.
Avec l’aide de la nouvelle direction, le personnel d’encadrement, et les conseils avisés de mes collègues du conseil, j’espère pouvoir créer une vraie dynamique de changement notamment, pour l’accès au numérique pour nos populations.

Je m’attacherai plus particulièrement à 3 grandes valeurs, l’entraide, l’accompagnement et le partage.

Notre Fédération continuera de remplir ses missions, essentielles, celles pourquoi elle a été créée voilà maintenant déjà 110 ans, je veux dire : donner du travail aux personnes aveugles et malvoyantes, défendre les droits de nos membres, leur apporter aide et soutien.

Le Président
Gabriel REEB

Et pour 2020 ? On se laisse transporter ! Après les élections municipales ! Reste le désarroi des familles- Le rideau des soignants on n'a pas les moyens ... Reste à cacher un tout- Ceux qui partent dans des conditions épouvantables- Ceux qui doivent s'expatrier pour se faire soigner- Ceux qui craignent pour leur santé même sans fragilité- Un appel au bénévolat- Un arrêt de l'économie - Ceux qui travaillent se disputent leurs masques ! Quel spectacle arrêtons tous les spectacles ! Nous sommes sur le devant de la scène en direct avec improvisation au jour le jour ! 



Et si avec notre Ace 'oS SOS on con fect4 IONS DES MASQUES  ! Français !!!


Au final- Les premieres familles touchées ne seront pas les dernieres- Combien de personnes entubées s'en sortent? Qui pensent réellement que ce virus partira dans deux mois ? Et si le pic était en juin post confinement ?- Autant d'incertitudes qui amènent à ne plus se poser de question : Vêtements dans un sac quand on arrive-Machine à laver - Chaussures à l'exterieur- javel - betadine sous la douche- Qui peut se dire prêt face à une crise pandémique ou à l'instar d'armes chimiques ?


Le confinement procède d'un principe proche de celui de la quarantaine. Mais avec le confinement, ce n'est plus tout à fait la période d'incubation qui est le fil conducteur, mais la volonté de mettre un coup d'arrêt ou plus humblement un coup de frein à la circulation de la souche microbienne en cause. Son intérêt réside principalement dans les épidémies d'infections respiratoires, car l'agent infectieux circule rapidement et efficacement dans la population concernée. Son principe est la mise en place énergique des mesures sociales qui entravent fortement la contamination interindividuelle. Cette méthode est appliquée à la fois en médecine humaine et en médecine vétérinaire. Il s'agit d'une mesure efficace, lorsqu'elle résulte d'une décision politique énergique, mais elle est fort coûteuse économiquement et socialement. En cas de confinement, on impose à chaque foyer de rester à domicile et de s'interdire tous les contacts humains physiques non indispensables avec d'autres personnes que celles du foyer. Afin de supprimer le maximum d'attroupements, on ferme les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les universités, les commerces qui ne sont pas de première nécessité, etc. En somme, le principe du confinement est une régression sociale : l'être humain redevient casanier et sédentaire, lui qui est par nature un individu social. C'est un brutal renoncement à beaucoup de comportements.

Le principe des hôpitaux dédiés ou différenciés ou encore des unités géographiques de regroupement est radicalement différent. On concentre artificiellement dans un vase clos sanitaire le maximum de malades atteints d'une même maladie virale ou bactérienne et qui nécessitent une hospitalisation. Tous les malades ont la même infection, ainsi ils ne risquent pas de se contaminer entre eux. Le personnel de santé médical et paramédical est dédié à la structure ; pour cette raison, il ne risque pas de propager l'agent infectieux à l'extérieur de cette structure (mais à la condition évidemment qu'il observe rigoureusement les mesures qui sont demandées, ce qui ne va pas toujours de soi). Cette mesure utilisant des hôpitaux ou services dédiés procède d'une logique de concentration. On peut voir une certaine analogie avec les prisons. Les médecins et soignants paramédicaux connaissent bien la maladie, ont en principe tout ce qui est nécessaire pour prendre en soins correctement les malades. C'est une option qui se justifie, quand il existe un nombre important de malades sévèrement atteints, et nécessitant de ce fait une prise en soins technique qualifiée. Mais cette méthode suppose que les diagnostics aient été confirmés pour chaque malade, et il est donc nécessaire d'avoir mis en place toute l'organisation biologique que cela implique.

Il reste les mesures barrière et les mesures de distanciation sociale. Elles relèvent de la prévention de la contamination interhumaine directe, mais aussi et à moindre degré indirecte. La contamination interhumaine par les virus respiratoires s'effectue en effet avant tout de manière directe, ce que manifestement une majorité de personnes ignore, et qui génère des craintes infondées et des pratiques inutiles véhiculant des notions erronées.

On constate que de nombreux sites internet, notamment francophones, copient les uns sur les autres sans aucune valeur ajoutée, et qui plus est souvent avec un ajout d'approximations et même de contrevérités.

Les deux documents à conseiller sont en anglais, l'un provient de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), l'autre vient du Département américain de la santé et des services à la personne (site gouvernemental). Il est déplorable de voir que ces documents -qui sont un peu considérés comme des références internationales anglophones- sont fréquemment l'objet d'une reprise, mais en exagérant les mesures préventives qui y sont recommandées ; la peur de ne pas en faire assez est la source de nombreuses exagérations et déviances en prévention infectieuse : c'est un problème majeur ; en demander très nettement trop coûte cher, ne peut pas être justifié scientifiquement et décrédibilise l'ensemble des recommandations.

De façon synthétique, le SARS-CoV-2 (coronavirus responsable de la CoVid-19) est essentiellement transmis de personne à personne par l'émission de microgouttelettes (taille de 5 à 150 millièmes de millimètre) lors de la toux, de la parole forte et de l'éternuement (l'importance réelle de cette troisième situation est exagérée). Ces microgouttelettes (des aérosols) sont denses et de ce fait leur portée n'excède guère 1,5 mètre (distance de sécurité). Pour que cette transmission directe puisse s'effectuer, il faut qu'elles rencontrent une muqueuse : muqueuse conjonctivale (yeux), narines, lèvres, bouche ou encore pharynx. C'est de loin la contamination interhumaine directe qui est la plus importante ; la contamination indirecte par des mains contaminées -lors d'un contact malheureux avec des particules virales impactées sur un objet ou une surface- est nettement moins probable et peut se maîtriser plus facilement. Cependant, il n'existe pas d'argument scientifique en faveur d'une transmission aéroportée des particules virales sous la forme de noyaux de condensation ou droplets nuclei. C'est pourquoi les masques protecteurs appelés appareils de protection respiratoire (APR) n'ont pas grand sens, en dehors des milieux de soins. Les masques dits antiprojection (masques chirurgicaux, masques de soins) sont conçus pour protéger l'entourage d'une personne malade qui tousse ou parle fort.

Le risque environnemental lié aux objets et aux surfaces se maîtrise facilement : il suffit de connaître les règles simples au sujet de la fragilité et de la dispersion des virus respiratoires dans l'environnement, et d'appliquer les mesures nécessitant un minimum de connaissances, mais aussi une vigilance et une réflexion permanentes, ce qui n'est pas très habituel.

Rester à au moins 1,5 mètre les uns des autres, ne pas s'embrasser, ne pas se serrer la main, parler le moins possible, ne pas s'échanger d'objets et se laver ou se désinfecter les mains avant de les porter à une muqueuse ou avant de toucher un objet qui va aller au contact d'une muqueuse du visage : ce n'est pas plus compliqué que cela et c'est efficace.

Pour répondre à la question posée, il n'existe pas de recette polyvalente. Chaque méthode doit être décidée en fonction du contexte. Une méthode peut être justifiée à Wuhan mais pas du tout en France, une autre peut être pertinente en Hollande mais pas du tout en Italie, etc. La ou les méthodes devraient si possible être décidées en fonction de la culture, de l'autorité des forces de l'ordre, des équipements et personnels sanitaires, des caractéristiques de l'épidémie…

La grande ville de Wuhan a connu une explosion épidémique. Il faut quand même situer les choses en précisant que cette grande ville a une population de l'ordre de celle de l'Ile-de-France. Les Chinois ont été d'abord incrédules, puis dépassés. Ils ont ensuite su réagir énergiquement en fonction du contexte, qui est celui de Wuhan dévastée par cette épidémie. Oui, les chiffres officiels sont faux, très nettement minorés par volonté politique, ce qui a largement contribué à minimiser cette épidémie aux yeux des autres pays du monde : il faut insister sur ce point capital, qui a augmenté le risque pandémique ; sauf pour les pays d'Asie du Sud-Est qui connaissent assez bien la Chine et sa politique de communication…

En France, le choix de la méthode du confinement a été un bon choix ; mais la décision a trop tardé ; la volonté de protéger les élections municipales a été déterminante dans ce retard ; c'est dommageable et nous en payons le prix.

Alors que les Etats-Unis et les dirigeants européens observent les progrès réalisés par la Chine dans la lutte contre la pandémie de coronavirus, afin de les guider sur la manière de combattre le virus à l'intérieur de leurs propres frontières, ils en retiennent peut-être les mauvaises leçons. Comment la Chine a-t-elle réussi à endiguer efficacement l’épidémie de coronavirus ? Quelles leçons devrions-nous en tirer ?

Sébastien Victorion : Le cordon sanitaire déployé autour de Wuhan et de deux villes voisines le 23 janvier a permis de ralentir la transmission du virus vers d'autres régions de Chine, mais ne l'a pas vraiment arrêtée. Le virus a continué de se propager parmi les membres de même familles dans les maisons, en grande partie parce que les hôpitaux étaient trop débordés pour traiter tous les patients. Exactement comme en Europe aujourd’hui. Le passage à un régime de quarantaine plus coercitif le 2 février a changé la donne. Et ils y ont mis les moyens : des centaines d’écoles, d’hôtels, de gymnase ont été transformés en centre de quarantaine, deux nouveaux hôpitaux ont été construits, 14 hôpitaux temporaires dans des bâtiments publics ont été créés. Ces mesures dépassent déjà tout ce qui a été envisagé en Europe actuellement. 

Mais un confinement seul ne suffit pas, il sert uniquement à gagner du temps. Pour arrêter la progression du virus, il faut aller à son origine et déterminer qui est porteur et qui ne l’est pas. C’est ce qui a été fait en Chine: un dépistage massif de la population. 7 000 tests été effectués quotidiennement par les autorités. Le plus important est de séparer les personnes infectées de celles en bonne santé. Les hôtels constituent pour cela des centres de quarantaine essentiels, où les gens peuvent être isolés dans des chambres séparées, avec la climatisation coupée bien sûr.

Un autre facteur décisif a été le déploiement à Wuhan de milliers de médecins et d'infirmières supplémentaires venus d'ailleurs en Chine.

Depuis, il a été observé qu’une poignée de patients chinois avaient développé des anticorps contre le virus sans être sciemment infectés. Cela fait penser que Wuhan a peut-être déjà développé un niveau d'"immunité de groupe". C’est un progrès incontestable et un signe d’espoir pour vaincre définitivement la maladie.

Grâce à des mesures strictes et rigoureuses de quarantaine, un investissement total dans des infrastructures d’isolement et un dépistage massif, la Chine permet désormais aux personnes en bonne santé de quitter la province centrale de Hubei, à l'exception de Wuhan, où les restrictions de voyage seront également assouplies dès le 8 avril.

Pourquoi les dirigeants occidentaux ont-ils tant de difficultés à appliquer les leçons sanitaires de la Chine ?

Sébastien Victorion : Certains experts et dirigeants demeurent sceptiques. Ils citent les premiers efforts des autorités locales pour dissimuler l'ampleur du problème, et le fait que plus de cinq millions de personnes ont pu quitter Wuhan à l'approche de la fermeture.

Certains ont également encore des doutes sur les chiffres officiels de la Chine. La commission de la santé de Wuhan a déclaré lundi que des cas asymptomatiques étaient isolés dans les centres de quarantaine mais qu'ils n'étaient pas inclus dans le décompte public des cas confirmés, même s'ils étaient positifs.

D'autres pensent que la Chine pourrait subir une deuxième grande vague d'infections si elle continue à assouplir les restrictions en matière de voyages et de travail, et que l'approche chinoise serait trop coûteuse à reproduire sur le plan économique.

Parmi les médecins et les habitants de Wuhan, certains estiment que la fermeture de la ville a été trop soudaine et stricte, ainsi que trop tardive, et qu'elle a contribué au taux élevé de mortalité dans cette ville, les hôpitaux étant mal préparés à l'afflux de patients qui a suivi. De nombreux travailleurs médicaux ont également été infectés parce qu'ils n'avaient pas, au départ, d'équipement de protection ni de formation en matière de maladies infectieuses.

Pour autant, le régime de quarantaine et de test systématique mis en place à Wuhan après le 2 février est similaire aux mesures qui semblent également avoir été efficaces en Corée du Sud et à Singapour jusqu’à présent. 

À quelles difficultés la France se heurte-t-elle pour appliquer le modèle Chinois ? Le confinement seul est-il utile ? Le gouvernement français devra-t-il prendre de nouvelles mesures quitte à priver un peu plus les citoyens de certaines libertés ?

Stéphane Gayet : Le confinement tel qu'il a été décidé et appliqué est judicieux. C'est une mesure utile. Mais là encore, les Français ont pour habitude de se singulariser par leur scepticisme et leur indiscipline ; ils savent tout mieux que les autres ; il est vrai que, à nouveau, la communication des autorités de santé n'a pas été à la hauteur ; il est navrant de devoir le dire. Il y a eu trop de flottements, d'imprécisions, de manques de pédagogie et d'incohérences. Car, contrairement à une notion communément admise, l'hygiène n'est pas la propreté et elle nécessite un savoir scientifique et technique, ainsi que beaucoup de réflexion.

L'hygiène, c'est compliqué, c'est plein de nuances et la pédagogie doit y être mûrement réfléchie et mise en œuvre. Il y a eu trop de ratés de communication, sans parler d'une infantilisation qui est une réalité. 

Les mesures réglementaires de confinement sont adaptées, mais difficiles à faire respecter, car les Français sont beaucoup trop indisciplinés et nous n'avons plus l'habitude d'un état de droit fort. Le niveau de confinement qui a été décidé est sans doute juste ; il ne devrait pas être nécessaire de le durcir ; mais la grande difficulté va se situer dans le choix de sa durée et les modalités de sa levée.

Quand on voit ce qui se passe en France avec l'épidémie CoVid-19 et que l'on s'essaie à une comparaison avec la Belgique, l'Allemagne, la Hollande…, on comprend que cette épidémie est venue jeter un pavé dans la mare de tout un ensemble de dysfonctionnements français, accumulés depuis des décennies. Nos chefs d'Etat se sont évertués, depuis des décennies, à nous parler sans cesse de la « Grandeur de la France ». Mais cette soi-disant grandeur de la France, elle s'est constituée sur les conquêtes guerrières et coloniale ; elle semble avoir parfois oublié de développer l'excellence dans plusieurs domaines, déjà dans ceux de l'humanisme et du civisme, sans parler de celui du travail bien fait et avec goût.

Sébastien Victorion : Le principal problème en France, problème qui explique le retard dans la lutte contre la propagation de l'épidémie, c'est le déficit en masques, en respirateurs et en test de diagnostic. Je pense que, comme d'autres pays, nous n'avons pas réellement choisi l'option "confinement" mais tout simplement n'avons pas vraiment eu le choix, où plutôt c'est un choix pas défaut, le choix de l'option la moins mauvaise. Si nous avions suffisamment de stock de masques, suffisamment de tests de diagnostics, pas de problèmes de sous-effectifs... nous aurions très probablement agi différemment. 

Ce manque de moyens explique également que l'on ait pas couplé le confinement avec un traçage des porteurs de virus ou la constructions d'hôpitaux différenciés, comme en Chine. Pour ce qui est du traçage, par exemple, on ne le fait tout simplement pas parce que celui-ci ne fonctionne qu'à partir du moment où l'on peut tester tous les individus qui présentent une symptomatologie clinique du covid-19. Or,, aujourd'hui en France on ne test -en raison du peu de tests dont on dispose- que les personnes qui présentent des signes d'aggravations ou des facteurs de risques. Soit les personnes qui sont déjà l'hôpital. Ainsi, sans test disponible le traçage n'a guère de sens.

Quant aux hôpitaux différenciés, le problème est le même : si c'est option n'a pas été mise en place sur notre territoire c'est également à cause du manque de moyens. Prenons les hôpitaux militaires de campagne par exemple, nous n'en avons qu'un. Pourquoi ? Parce que l'on a pas les moyens d'en construire davantage et de les équiper avec des véritables services de réanimation, avec assez de lits (dont en manque)... Ainsi, construire des hôpitaux différenciés n'est pas une option possible ! 

Comment palier cette crise ? Commencer à mettre en place des tests systématiques par exemple ?

Stéphane Gayet : L'épidémie continue à progresser, nous n'avons pas encore atteint le pic ou le plateau (un plateau est un pic qui dure plus qu'attendu). La question des tests systématiques n'est pas simple. Dans les documents cités en référence, on précise bien que le cas des porteurs de virus contagieux, mais asymptomatiques (sans symptômes ni signes cliniques), n'est pas encore suffisamment étudié et qu'il ne joue probablement qu'un rôle secondaire.

Ces tests sont coûteux, ils peuvent être faussement négatifs (parce que réalisés trop tôt, par exemple) et ne débouchent sur aucune prise en charge thérapeutique, mais simplement un confinement ou le port d'un masque antiprojection (masque de soins, chirurgical). Cette question du dépistage de masse a déjà été débattue dans le passé au sujet d'autres maladies de nature virale ou bactérienne, et l'on a généralement conclu au fait qu'il ne réglait rien.

Une vigilance permanente vis-à-vis de toutes les personnes exposées et présentant des symptômes ou signes cliniques les plus discrets - car c'est l'une des caractéristiques du CoVid-19 : le début est insidieux, discret et progressif - est sans doute une mesure plus efficace ; il ne s'agit plus dans ce cas d'un dépistage (de masse), mais d'une détection ciblée. Sur ce point, ce qui est pratiqué en France en matière de tests virologiques pour le SARS-CoV-2 paraît adapté à la situation.

En France, le problème auquel nous sommes actuellement confrontés est celui du nombre élevé et croissant de personnes malades en état critique et nécessitant une hospitalisation, au minimum en soins continus, voire en réanimation. Depuis la tristement célèbre pandémie grippale dite espagnole (1918-1919), on avait perdu la notion qu'une infection respiratoire épidémique liée à une souche entièrement nouvelle, très contagieuse et virulente, pouvait rendre violemment malade et même beaucoup tuer, pas uniquement des vieillards. Or, avec cette souche de SARS-CoV-2, on se trouve dans une situation analogue : nous sommes tous naïfs sur le plan immunitaire face à cette souche virale entièrement nouvelle pour l'homme. Ce n'est pas une guerre, c'est une catastrophe naturelle de grande ampleur : notre système de santé est durement éprouvé, il n'a pas très bien résisté, mais à présent, il se montre résilient (le sursaut d'énergie) et c'est cela qui compte. C'est une très dure épreuve, mais cette fois, les forces vives et particulièrement sanitaires sont bien mobilisées. Soyons optimistes, nous avons quand même de la réserve sanitaire, une réserve sanitaire de grande qualité, il faut le reconnaître.



Coronavirus et hydroxychloroquine : le couple Buzyn-Lévy cible de publications mensongères

Des messages accusent l’ancienne ministre de la santé et l’ex-directeur de l’Inserm d’avoir saboté le travail de Didier Raoult et empêché le recours à ce médicament pour lutter contre l’épidémie.

Par Assma Maad Publié hier à 14h08, mis à jour hier à 14h48

Temps de Lecture 7 min.

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« Si tous ces faits sont confirmés, nous allons vers un des plus grands scandales d’Etat que la France ait connus. » Sur les réseaux sociaux, des partisans de Didier Raoult, défenseur de l’hydroxychloroquine comme remède à l’épidémie de Covid-19, sont convaincus que si les résultats de son essai clinique ont été froidement accueillis par la communauté scientifique, la « caste médiatique » n’y est pas pour rien. Selon eux, les coupables sont tout trouvés : l’ancienne ministre de la santé, Agnès Buzyn, et son mari, l’ex-directeur de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), Yves Lévy.

Des messages partagés des centaines de milliers de fois accusent la candidate à la Mairie de Paris et son époux d’avoir torpillé les travaux de Didier Raoult et de l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée Infection qu’il dirige à Marseille. Le tout sur fond de soupçons de conflits d’intérêts. Parmi la multitude de publications, nous en avons sélectionné deux, extrêmement virales sur Facebook.

Lire aussi Coronavirus : huit questions sur l’hydroxychloroquine, possible traitement du Covid-19

Ce que disent les rumeurs

Dans un premier texte, il est notamment écrit qu’Yves Lévy aurait inauguré le laboratoire P4 de Wuhan « d’où le virus est sorti », que celui-ci était en conflit avec Didier Raoult et qu’il a refusé des labels à son établissement, l’IHU de Marseille.

Le deuxième texte vise à son tour Yves Lévy, mais également Agnès Buzyn qui, « au mois de janvier, a classé la chloroquine, expérimentée par Didier Raoult, dans la catégorie des substances vénéneuses ».

Ces publications ont un but : prouver que Didier Raoult a trouvé avec la chloroquine (il s’agit en réalité de l’hydroxychloroquine, un de ses dérivés) le remède pour lutter contre le nouveau coronavirus, et que le couple Yves Lévy-Agnès Buzyn aurait agi pour le décrédibiliser. Encore faut-il le prouver. Ici, les techniques sont bien connues : mêler de vraies informations avec des faits détournés, voire inventés. Les peurs et incertitudes engendrées par cette épidémie assurent à ces diatribes un succès certain.

  • Yves Lévy était-il en conflit avec Didier Raoult, au point de « retirer leur label aux nouvelles unités de l’IHU de Marseille en 2018 » ?

PLUTÔT VRAI

Yves Lévy est un médecin reconnu, spécialiste dans le domaine du VIH. En 2014, il a pris la tête de l’Inserm. Cette institution est placée sous la cotutelle des ministères de la santé et de la recherche. Lorsque sa femme, Agnès Buzyn, a été nommée ministre de la santé en mai 2017, des soupçons de conflits d’intérêts ont émergé. Dès la prise de fonctions de cette dernière, un décret avait été pris pour retirer au ministère de la santé la cotutelle de l’Inserm. Mais la situation a continué à créer l’embarras, poussant M. Lévy à retirer en 2018 sa candidature pour un second mandat.




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