"Tilly un amour de chat".
J'ai aimé cette histoire et apprécié la connaissance de l'auteur sur les chats et leur comportement.
"L'odeur de l'herbe après la pluie"...
Un retour à la nature qu'il est temps de respecter et de sauver ! Un chemin vers soi ...
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Deuxième tour pour voir s'il y a des mûres.... pas cette année, juste un petit sachet !!!
Pas grave, associons une petite barquette de myrtilles et hop un gâteau ! 150g de fruits 4 oeufs (dont 3 blancs battus en neige) 1 pincée de sel 1 sachet de levure bio 125g de sucre de canne 150g de farine Un peu de beurre ou de margarine pour le moule faites chauffer le four à 190° chaleur tournante Séparer les blancs des jaunes de 3 oeufs Dans un saladier mélangez les jaunes d'oeuf et le 4ème oeuf ensemble avec le sucre. Ajoutez la levure et progressivement la farine Battez les blancs en neige avec la pincée de sel Incorporez délicatement les blancs à la préparation. Ajoutez les fruits en dernier Versez dans un moule à cake beurré et fariné et mettre au four pour 35 minutes.Au bout de 10 minutes réduire le four à 180°. Vérifier avec un couteau, s'il ressort sec, il est cuit. Mon moule à cake est petit et j'ai préféré faire deux gâteaux. Si vous n'utilisez qu'un seul moule, il faudra peut être cuire plus longtemps.... |
Oh le chat...ce pigeon est un peu trop gros pour toi même si les vents te sont favorables !
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Deux histoires de vie et de gourmandises .... à savourer .... !
Chantal s'est régalée de sa précédente lecture (ici) Je lui laisse le plaisir de vous faire découvrir ces deux autres livres du même auteur ... bonne lecture ! |
Merci Marice Claude ! Port Vendres doit être bien agréable près de la Grande Bleue !
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Pour faire des cercles dans du papier ou du cartonnage, voici un petit outil bien utile... un compas à découper.
Sous le cache plastique blanc deux aiguilles, réglables comme un pied à coulisse. Vous choisissez la longueur souhaitée et même principe que le compas, une aiguille au centre et l'autre découpe la matière ! (Je l'ai acheté chez Action pour 1,29 €) On pique la pointe au milieu du cercle (pointe blanche), on mesure le nombre de cm grâce à la coulisse. On pose le rasoir (pointe noire) et on tourne la feuille, le rond se découpe facilement et c'est net !
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Allons nous promener ... Départ du "quai des Anglais"... il fait beau, un peu de vent, c'est agréable...
Nous voici arrivés au phare... un des bancs nous permet une petite halte au soleil, la mer est bien haute, le coefficient est à 100, dimanche il sera à 104... grande marée !...
Le jeune goéland sait déjà voler mais il crie encore après ses parents pour qu'ils le nourrissent...
l'apprentissage commence, les parents font semblant de l'ignorer pour qu'il apprenne à se débrouiller tout seul...
plus beaucoup de petites fleurettes, il a fait chaud et sec...
Nous passons l'écluse Wattier, le vent se fait un peu plus prononcé...
la mer vient jusqu'au bord de la digue... et nous recevons quelques embruns !...
Je ne peux résister à un zoom sur notre bouée Sirène à l'entrée du port...
Un gros minéralier est en approche, le pilote côtier est monté à bord et dirige la manoeuvre....
Il lui faudra rien moins que 4 remorqueurs pour le guider dans l'écluse...
Les remorqueurs poussent l'énorme masse pour que le bateau s'oriente bien droit...
Après le passage de l'écluse de Gaule, les remorqueurs l'emmèneront rejoindre le quai de déchargement...
Pour nous, il est temps de rentrer... Au-délà de la jetée, les immeubles de la plage de Malo-Les-Bains, se détachent nettement... C'est une belle journée !
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Les jours passent vite !
J'ai donc choisi ce nouveau tag pour illustrer ma rubrique du mois de juillet ... Un petit air "inca" qui fait penser aux vacances ! |
C'est Sylvie (ici) qui m'en a donné l'envie avec le taboulé de blé dur...
Que fait-on si on n'a pas de boulgour ? ... du millet jaune bien sûr ! le millet jaune réduit le mauvais cholestérol, il contient du magnésium, du zinc et du phosphore... il remplace le blé dans une préparation sans gluten. 100g de millet jaune 1 jus de citron sel, poivre 5 petites échalottes coupées fin Un peu d'huile d'olive 2 tomates coupées en petits dés du persil ... et voilà ! |
Aujourd'hui, nous allons à la découverte de la batellerie...
La place de la gare a été aménagée en zone piétonnière, une belle amélioration... Juste derrière la gare, une des voies navigables, nous allons vers la gare d'eau...
"Omniprésentes sur les voies navigables du nord de la France, les péniches accompagnent depuis plus de huit siècles le développement portuaire et économique de Dunkerque. " "Avec près de deux millions de tonnes de marchandises transbordées chaque année, Dunkerque reste le premier port fluvial de la région. Cette place, la cité de Jean Bart la doit en grande partie à son port maritime (le troisième de France par le trafic global), à son puissant pôle industriel, mais aussi et surtout à tous ces mariniers qui depuis des générations approvisionnent les usines en matières premières et acheminent denrées alimentaires et autres pondéreux fraîchement débarqués des cargos vers l’intérieur du pays."
le chemin a été aménagé, la balade sous un beau soleil, est bien agréable...
"Tout commence au XIIe siècle lorsque les comtes de Flandre encouragent l’aménagement des rivières et l’ouverture de nouvelles voies navigables afin de faciliter le transport fluvial. Creusé dans un ancien bras du delta du fleuve l’Aa, le « Haven Dijck » (le canal de Bergues) permet alors au port de Dunkerque d’entrer en communication avec son hinterland." "La batellerie prend immédiatement son essor et en 1566 c’est la consécration. Les mariniers dunkerquois sont autorisés à se regrouper au sein d’une corporation, obtenant même des magistrats locaux un véritable monopole de transport. Équipés de solides péniches voilées qu’on appelle localement bélandres, ces artisans de l’eau fréquentent les canaux mais n’hésitent pas à s’aventurer dans le port, voire même en haute mer. Car ces hommes sont avant tout d’excellents marins à qui la ville confie la délicate mission de porter secours aux navires échoués afin de récupérer leur précieuse cargaison. Huit embarcations se tiennent prêtes à appareiller au moindre problème, de jour comme de nuit. Vers 1685, la flotte dunkerquoise se compose d’une centaine de bateaux dont une dizaine susceptibles d’affronter de fortes mers. Sédentaires, les bélandriers vivent alors en ville et profitent pleinement des privilèges que celle-ci leur concède. De solides avantages qui seront néanmoins supprimés par l’Assemblée constituante lors de la dissolution des corporations en 1791."
"Déjà fortement ébranlés par la perte de leur monopole, les mariniers dunkerquois subissent un nouveau revers avec l’arrivée du chemin de fer au milieu du XIXe siècle. À Dunkerque comme partout ailleurs, la batellerie est en crise. Pour lui permettre de subsister, l’État réduit les droits de navigation et s’attache à moderniser et homogénéiser le réseau hexagonal. C’est dans ce contexte difficile qu’en 1879 Charles Freycinet, ministre des Travaux publics, impose un gabarit unique pour toutes les voies principales et uniformise les écluses. Une nouvelle fois, les pénichiens s’adaptent. Les bateaux les plus anciens sont transformés, tandis que de nouvelles unités dites Freycinet apparaissent sur les canaux rénovés. Auparavant simple outil de travail, la péniche devient alors un lieu d’habitation capable de parcourir des distances de plus en plus importantes pour répondre aux besoins d’une industrie en pleine expansion. Vers 1900, près de 300 bélandres sont recensées dans le port fluvial de Dunkerque qui devient l’un des plus grands de la région."
"À cette époque, les péniches ne possèdent pas encore leurs propres moyens de propulsion et doivent être tractées par des chevaux, des tracteurs ou des remorqueurs. Mais avec les Trente Glorieuses et la mise en grand gabarit de la liaison Dunkerque-Valenciennes à la fin des années 1960, apparaissent les bateaux métalliques, les automoteurs et les premières barges poussées de plus de 3000 tonnes. Si la batellerie traditionnelle tend alors à disparaître au profit de la batellerie industrielle, subsiste toutefois à Dunkerque un groupe de mariniers sédentaires qui effectuent toujours le transport de matières premières et autres pondéreux depuis les quais de déchargement du port vers les usines installées le long des berges des canaux. L’activité est alors à son apogée. Malheureusement, l’âge d’or prend fin avec la crise pé- trolière des années 1970. Le trafic diminue et nombre de pénichiens doivent quitter le métier. Cette tendance semble aujourd’hui s’inverser. En effet, depuis le milieu des années 1990, le trafic fluvial n’a cessé de progresser et tous les acteurs politiques et économiques sont unanimes : les voies d’eau possèdent de sérieux atouts environnementaux et constituent une bonne alternative au transport routier."
Une jolie balade à la découverte d'un métier peu connu... Une exposition sur la péniche "La Guilde" permet de mieux découvrir la vie des mariniers... ce sera l'objet d'un autre article... |
Une belle exposition sur 240 m2, un voyage sonore en douceur...
De tout temps, l'homme a eu une relation étroite avec la mer. Il a inventé pour elle, des musiques, des sonorités, des traditions...
Cette exposition nous emmène sur toute la planète visuellement et en musique... un joli voyage sans naviguer ! ...
Une jolie vue sur le "Duchesse Anne"...
retour sur le quai, encore que ce joli dauphin en bois, nous invite au voyage. Nous laisserons nous emmener par son chant ?...
Le bassin est paisible, il fait beau, asseyons nous un long moment pour rêver à des voyages lointains !
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