Je sais, c'est "l'enfance de l'art" mais j'avais essayé de faire des macarons... bon.... oublions !!!
Aujourd'hui, j'ai fait un gâteau de riz et il me restait deux blancs d'oeuf... la belle occasion pour essayer... je suis super contente...j'ai réussi, elles sont délicieuses !
Voir
les 12 commentaires
|
Ajouter un commentaire
|
Le petit monde de la forêt enchantée est fait de bois...
les personnages comme les animaux...
et le bûcheron surveille les travaux...
Il y pousse d'énormes champignons...
de quoi faire de grandes omelettes !!...
Monsieur ours est pris en flagrant délit de gourmandise !...
le gentil laboureur est déjà au travail...
tout est prêt pour accueillir petits et grands !...
|
la grand roue s'est installée sur la place...
35 m de haut de quoi voir la ville d'en haut et les alentours aussi ! à Lille 36 navettes et 50 m de haut !!! bon pas de jalousie...
où l'aurions nous mise ?? Lol ! ... L'entrée du village c'est par ici ...
Les vitrines commencent à se décorer...
les daims sont bien au chaud chez le fleuriste...
et le petit village prépare les réjouissances...
Hier soir, pas de descente du Père Noël, il est arrivé d'une autre façon, et pas de feu d'artifice, il faisait trop mauvais ! par moment la pluie était à l'horizontale !!!...
Alors autant rester au chaud et préparer la crèche...
les gens du village l'ont su et viennent sur le chemin...
la suite bientôt... |
Ce n'est pas toujours qu'on en trouve et là, ils étaient de bonne taille...
Depuis un moment... envie d'un jarret de boeuf... légumes du marché... et hop ! un délicieux repas, un long mijotage par le Chef et un régal pour ce dimanche bien pluvieux et venteux ! |
eh oui, 1er décembre hier déjà... nous avons donc décoré notre salle à manger, endroit où nous profitons le plus de la décoration de Noël.... ça commence avec les branches d'arbre...
|
enfin... était.... le temps passe si vite !
J'ai acheté ces trois bulbes dans un super marché.... D'habitude, les oignons fournissent plusieurs fleurs par bulbe et elles sont rachitiques les pauvres. Nous avons eu le plaisir de les voir se développer en trois jolies grappes roses bien fournies à tel point qu'il a fallu mettre des supports. J'aime que les produits ne soient pas poussés et tant pis si pour la fin d'année, ils auront fini de fleurir ! |
C'est la saison et les doyennes comices sont délicieuses en ce moment !
ce n'est pas ma recette.. Il faut : 2 poires Un peu de beurre pour le plat que vous farinerez un peu Un peu de beurre en noisettes pour la fin 3 oeufs 50g de sucre 30 cl de lait 50 g de farine (j'ai mis plus parce que ma farine est bio et moins "collante") que les autres cannelle 50 g de sucre 1 pincée de sel Beurrez un plat type tourtière et farinez
Allumez votre four à 220 ° pelez et découpez vos poires en lamelles que vous disposez en forme concentrique sur toute la surface mais pas trop près du bord du plat pour laisser la pâte monter Dans un saladier, battre 3 oeufs, ajoutez le sucre jusqu'à ce que ça "blanchisse" puis la farine Faites chauffer le lait sans qu'il soit trop chaud et ajoutez à la préparation avec une pincée de sel. saupoudrez de cannelle suivant votre goût (je l'avais mise sur les poires avant) vous pouvez ajouter un peu de liqueur de poire si le coeur vous en dit Versez sur les poires.Disposez des noisettes de beurre au-dessus et enfournez pour 40 minutes... A déguster tiède ou froid, c'est léger, pas trop sucré, digeste...
|
Après avoir confectionné des boules (ici !), le vendredi, nous avons aidé à décorer les petits sapins prévus dans la mairie...
Ceux au pied de l'escalier monumental ont déjà été préparés... Ils sont magnifiques !...
et très jolis en blanc...
La décoration des rampes d'escalier est très belle aussi ...
Nous profitons des essais de lumière ...
Il faut une très grande échelle pour celui-ci !...
Nous avons pour mission, la décoration des sapins qui seront dans les salles...
Nous en avons décoré une vingtaine... Il y en aura 70 en tout ! notre contribution est minime mais c'est toujours ça !...
et le jeudi suivant, nous avons décoré les six sapins qui orneront l'entrée. Ils portent les boules que nous avons réalisées...
Nous étions bien couverts, les portes s'ouvraient sans arrêt mais ça n'a pas entamé notre bonne humeur ...
L'après-midi passe très vite, les sapins sont prêts...
et voilà les petits et les grands pourront avoir les yeux qui brillent, le village de Noël ouvrira ses portes le 8 décembre. J'essaierai d'aller voir le château du Père Noël, sa gare et la bibliothèque...
|
"la belle Lurette". On ne sait pas trop s'il était attendu depuis longtemps ou s'il appartient aux propriétaires depuis longtemps mais je trouve que c'est un joli nom !
|
Dans le cadre des petites recettes du "chef" Philippe voici l'émincé de boeuf aux champignons
pour deux personnes : 200 à 300 g de boeuf à fondue coupé en petits morceaux 300 g de champignons rosés émincés 2 pieds de pissenlit en accompagnement 2 échalottes ("russes" - elles ne viennent pas de Russie mais c'est leur nom, elles sont excellentes !) sel, poivre un peu de matière grasse faites chauffer une poêle anti-adhésive, posez un peu de matière grasse et faites fondre les échalottes.
Ajoutez les morceaux de boeuf et faites-les revenir. Puis les champignons pour les faire suer et développer leur goût. saler poivrez, Servez avec une salade de pissenlit. |
Au marché, j'ai acheté des myrtilles....
des myrtilles une pâte feuilletée (ici toute faite) 1 oeuf 8 c à soupe de farine 10 c à soupe de sucre 1 sachet de sucre vanillé 10 cl de crème fraîche 1 pincée de sel 1 peu de rhum (facultatif) * chauffez le four à 160°
* Etalez la pâte sur le papier sulfurisé * répartissez les myrtilles sur le fond de pâte * Dans un saladier mélanger le sucre et la farine. Ajoutez le sucre vanillé. * Séparez le jaune d'oeuf du blanc. Mélangez le jaune avec le sucre et la farine. * Battez le blanc en neige avec une pincée de sel. * Dans la préparation ajoutez la crème fraîche et un peu de rhum. * Mélangez sans le casser, le blanc à la préparation et versez sur les fruits. * Enfournez pour 40 minutes ! |
Un peu de froid, les légumes d'hiver qui apparaissent sur les étals... une envie de potage...et voilà !
|
et voilà 5 grands jolis pots pleins de vitamines pour lutter contre l'hiver..
|
Comme toutes les cheminées, elle se voit de loin... On la remarque quand on passe en train, en voiture, à pied....
Aujourd'hui, nous avons l'occasion d'approcher ce bâtiment... Tout d'abord un peu d'histoire dunkerquoise :
"Au tournant des XIXe et XXe siècles, Dunkerque devient sous l’impulsion de quelques entrepreneurs avisés l’un des plus importants centres de production de toile de jute en France. Retour sur une épopée qui dura près d’un siècle. Un navire de contrebande qui parvient à déjouer la vigilance des autorités britanniques pour importer illégalement en France les pièces détachées d’un métier à filer le lin: l’histoire de l’industrie textile dunkerquoise commence comme un véritable roman d’aventure. Mais aussi anecdotique soit-elle, cette opération va sceller le destin de milliers de familles ouvrières et contribuer à l’essor industriel de toute l’agglomération. Car sitôt débarqué, le matériel est acheminé à Coudekerque-Branche où David Dickson, un filateur d’origine écossaise, et son associé Célestin Malo, le frère cadet de Gaspard Malo, célèbre homme d’affaires, viennent de fonder la toute première filature de lin du continent. La première filature de jute française"... "Ouverte en 1836, cette petite manufacture est l’une des plus modernes du secteur. Elle dispose de métiers à filer mus par des machines à vapeur et d’un atelier de tissage mécanique de toiles à voiles. Les commandes abondent. Le succès est tel que nos deux entrepreneurs décident de tenter une nouvelle expérience en créant la première filature de jute française. Une idée de génie puisque cette fibre végétale (d’origine tropicale), moins chère que le lin et le coton, répond parfaitement aux besoins des petites fabriques de toiles, de bâches et autres cordages de marine. C’est le début d’une belle et grande épopée. Premier employeur du secteur, la société Malo-Dickson devient très rapidement l’une des plus grandes entreprises du nord de la France. À son apogée au milieu des années 1860, elle emploie plus de 1200 personnes."...
Sans doute cette grande cheminée servait-elle pour faire fondre le goudron qui enduisait les toiles ???
"Une colonie d’Écossais Pour former et encadrer cette main-d’œuvre, David Dickson fait appel à des ingénieurs et à des ouvriers hautement qualifiés qu’il recrute dans son pays natal, l’Écosse. Souvent accompagnés de leurs femmes et de leurs enfants, voire même de leurs frères et sœurs, ces travailleurs étrangers fondent bientôt de véritables dynasties. Et suivant l’exemple de leur employeur, ils s’associent à quelques riches entrepreneurs français pour créer leur propre filature de lin ou de jute. C’est le cas de Joseph Grandy qui, après vingt et un ans de bons et loyaux services, fonde avec deux associés la filature « La Dunkerquoise » rue de l’Industrie à Dunkerque. Rachetée par les frères Kyd (1870) puis par les frères Walker, cette filature de lin, de chanvre et de jute compta jusqu’à 700 ouvriers."... La guerre et la concurrence auront raison de ces entreprises...
"La vieille manufacture de Coudekerque-Branche est fermée au milieu des années 1970, peu de temps après celles de Rigot-Stalars au Jeu de Mail (1972) et de Weill à Petite-Synthe (1973). De cette puissante industrie ne subsiste aujourd’hui qu’un seul établissement, celui de la Société Dunkerquoise. Dirigée depuis 1884 par la famille Woussen, cette ancienne entreprise de location de sacs de jute est parvenue à traverser toutes les crises en se spécialisant dans la confection de toiles à bâches, de banderoles publicitaires et autres stores en matières synthétiques. Des innovations qui lui ont permis de s’imposer sur un marché désormais très concurrentiel. ◆ Sources Archives municipales et Musée portuaire. Odette Bonte, « Coudekerque-Branche" |