Jean-Louis Trintignant est un fou de poésie, il ne cesse d'en lire, d'en réciter à ceux qui l'entourent.Pour nous fairev partager sa passion, il a choisi trois poêtes du XXième siècle, trois hommes épris de liberté comme lui .
Trintignant alterne les textes poignants ou drolissimes, il ne les dit pas, il les vit. (propos de Gabor Rassov). - Il est accompagné dans sa balade poétique par Daniel Mille;accordéoniste de jazz, compositeur et interprète. Et Grégoire Korniluk au violoncelle, ce dernier s'est produit en soliste dans le nombreux concerts en France et en Europe . _ Ils étaient quatre qui n'avaient plus de tête Quatre a qui l'on avait coupé le cou On les appelait les quatre sans cou .... - La vie est belle Je me tue à vous le dire . dit la fleur Et elle meurt . - Je voudrais pas crever Avant d'avoir connu Les chiens noirs du Mexique Qui dorment sans rêver ..... _ Saurez vour me donner le nom des auteurs de ces trois "petits bouts" de poèmes ....
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L'ayant là, sous la main,il m'aurait été difficile de te le montrer de chez moi ..Voici le porte boucles d'oreilles que j'avais fait il y a quelques temps pour ma fille .
- Un cadre avec un petit grillage . Détail du grillage ..
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Pour les tricoteuses ////
www.unepelotedeuxaiguilles.fr - Le blog de cocolaine . |
Dans ce récit tendre et drôle à la fois, Hanan el-Cheikh rapporte avec une scrupuleuse fidélité les confessions de sa mère analphabète, Kamleh, née au début des années 1930 dans une famille chiite extrêmement pauvre, au Sud-Liban. Après la mort prématurée de sa grande soeur, Kamleh est promise à son beau-frère alors qu'elle n'a que onze ans. Dans le quartier populaire de Beyrouth où elle s'installe avec la famille de son futur mari, elle est placée comme apprentie chez une couturière et tombe amoureuse du cousin de cette dernière, Mohamed, un jeune lettré féru de poésie. Forcée à quatorze ans de se marier avec son fiancé, Kamleh a une fille l'année suivante, puis une seconde, Hanan, trois ans plus tard. mais reste follement éprise du beau Mohamed. Elle échange avec lui des lettres enflammées qu'elle se fait écrire et lire par ses amies, s'identifie aux héroïnes du cinéma égyptien, se grise des paroles ardentes des chansons à la mode. Elle va surtout, bravant tous les usages, tenter d'obtenir le divorce, au risque d'être séparée de ses filles... Portrait finement dessiné d'une femme du peuple, rusée, truculente, enjouée, ce récit a été salué à sa parution, en arabe puis en anglais, par une presse unanime. |
Un court métrage érotique .....
Quel bonheur!!! J'en tire la langue ..
Et pour finir un gros baiser ...
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Moi aussi je le voulais mon "snood" ...
le voila :" vite fait bien fait", j'ai réuni les deux extrémités d'une longue écharpe par un petit point avant, et l'affaire est jouée ..... |
"Dormir à l'Hotel du Cul tourné "????
En voici l'image . |
J'ai fouiné au rayon revues ..Et j'ai trouvé ce catalogue avec des petites et grandes choses à réaliser.....
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Un joli coeur....Réalisé avec quoi ??
C'est facile vous allez trouver Non pas des tomates cerises ,ni des chocolats, mais des boites de thé...... Une vitrine superbement décorée à la boutique Hediard
Epicerie fine , peut être la soeur jumelle de Fauchon . |
Ce que je cuisine...
C'est tout simplement du potiron et des lardons ///Pour faire quoi ?? Une bonne tarte...
Dégustée avec une salade d'endives .....
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Notre petite promenade à Paris ayant été annulée cause du mauvais temps , c'est lundi que nous avons débarqué
gare S;t. Lazare J'y ai trouvé bien du changement, tout est beau, propre et clair.
Un "tronc" immense recouvert de ballons décore le hall
On ne s'attarde pas, nous verrons la galerie marchande au retour .
Direction, la Madeleine. 1ière photo: le printemps . La Madeleine
l'Eglise St.Augustin
"Le coin" des grands couturiers.
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