Tu as visité mon blog ! alors avant de partir :
Voir
les 2 commentaires
|
Ajouter un commentaire
|
Le chef des cannibales s'approche de la marmite,
il soulève le couvercle et on entend des gémissements:
- Aïe, aïe, aïe !
Le chef repose le couvercle et mumure :
- Pas assez cuit !
|
Ce soir cool, pizza....
en fait je vide tout... frigo, congélo, bocaux... pour repartir de zéro, grand nettoyage et en vue de nouvelles récoltes...
(moutarde, oignons, lardons fumés, emmental, tomates du jardin, un reste de chorizo, olive, je crois que c'est tout herbes de Provence poivre
C'est cuit on mange...
|
Les insectes auxiliaires, amis de votre jardinLe charançon du navet, les pucerons, la mouche du chou, le doryphore, les chenilles du chou, etc... sont des insectes que l'on nomme insectes ravageurs. On les qualifie ainsi car ils rentrent en concurrence directe avec l'homme en causant des dégâts à ses cultures, à ses végétaux. Pour les éliminer, l'homme a souvent recours aux produits chimiques qui détruisent et perturbent les micro-écosystèmes. Pourtant, dans un souci d'équilibre, la nature a conçu, entre autres, des insectes auxiliaires qui entravent le développement ou qui se nourrissent des ravageurs. En voici quelques-uns des plus connus. La coccinelle est un insecte de la familles descoccinellidés (Coccinellidae). Taches noires sur robe rouge, petites pattes courant sur la peau, ailes fines soudain déployées comme celles d'un jouet, on oublierait presque que sous ses airs de bête à bon dieu se cache un fauve en miniature, et que sa demande en pucerons - car elle n'entend pas se nourrir d'autre chose - peut atteindre 150 individus par jour! Imaginez quelle alliée précieuse elle fait pour les jardiniers dans leur lutte biologique contre ces ravageurs de jeunes pousses! La chrysope verte (Chrysoperla carnea) est un insecte de la famille des chrysopidés. Son activité alimentaire permet de réguler la prolifération de certains ravageurs en arboriculture. En effet, bien que les adultes se nourrissent de miellat et de pollen, les larves elles, s'attaquent aux oeufs, aux larves et aux adultes de divers insectes (cochenilles, pucerons et chenilles de plusieurs espèces de lépidoptères) ainsi qu'aux acariens (Araignées rouges entre autres)! Les perce-oreilles (Forficula auricularia), insecte de l'ordre des Dermaptères, aussi appelés forficules, sont facilement identifiables avec leurs petites pinces. Ces insectes nocturnes sont de redoutables prédateurs. Ils s'alimentent de larves et d'insectes nuisibles (pucerons, tétranyques, thrips) mais aussi de végétaux bien mûrs (fleurs, fruits et légumes) et de matière organique en décomposition. Bien que peu populaires, ce sont malgré tout des insectes utiles qui maintiennent l'équilibre dans l'écosystème en régulant le nombre d'insectes ravageurs. Le syrphe ceinturé ou syrphe à ceintures (episyrphus balteatus), est un diptère de la famille des Syrphides. Le syrphe est parfaitement inoffensif pour l'homme et bien que très ressemblant aux guèpes, il ne pique pas. Par contre il est d'une grande utilité pour nos jardins et nos intérieurs de véranda ! En effet, le syrphe pond directement ses oeufs (comme la coccinelle) dans des colonnies de pucerons et ses larves, dès leur éclosion, les consomment sans pitié en très grandes quantité! |
http://www.youtube.com/watch?v=Q1DT3lFuCVA
http://www.ruepouchkine.com/ |
POTAGE AUX ASPERGES
Ingrédients:
- 1 botte d'asperges,
- 1 petite pomme de terre,
- 1 échalote,
- 1 petit oignon
- 2 dl de crème liquide,
- 1 jaune d'oeuf,
- 1 litre environ d'eau de cuisson d'asperges,
- 30 g de beurre,
- du sel et du poivre,
- quelques pluches de cerfeuil.
Epluchez les asperges, les laver. Les cuire à l'eau salée environ 20 mn suivant grosseur. Egouttez les asperges, réserver.
Gardez l'eau de cuisson.
Faites fondre à feu doux l'échalote et l'oignon émincés avec la pomme de terre épluchée et coupée en dés pendant quelques minutes.
Rajoutez l'eau de la cuisson des asperges et faites cuire à feu doux pendant 20 minutes.
Coupez les queues des asperges cuites en petits tronçons,
mais gardez les pointes entières.
Faites cuire les petits tronçons d'asperges pendant 5 minutes supplémentaires dans le potage.
Mélangez le jaune d'oeuf à la crème.
Mixez le potage, bouillant, mais hors du feu,
dans un bol, mélangez le jaune d'oeuf et la crème, ajoutez un peu de potage, mélangez, puis versez le tout dans le potage
goûtez (car l'eau de cuisson des asperges était salée) rectifié, poivré
Rajoutez les pointes d'asperges dans le velouté
et décorez avec quelques pluches de cerfeuil
Servez de suite
POTAGE AUX ASPERGES
Ingrédients: - 1 botte d'asperges,
- 1 petite pomme de terre,
- 1 échalote,
- 1 petit oignon
- 2 dl de crème liquide,
- 1 jaune d'oeuf,
- 1 litre environ d'eau de cuisson d'asperges,
- 30 g de beurre,
- du sel et du poivre,
- quelques pluches de cerfeuil.
Epluchez les asperges, les laver.
Les cuire à l'eau salée environ 20 mn suivant grosseur.
Egoutez les asperges, réserver.
Gardez l'eau de cuisson.
Faites fondre à feu doux l'échalote et l'oignon émincés avec la pomme de terre épluchée et coupée en dés pendant quelques minutes.
Rajoutez l'eau de la cuisson des asperges et faites cuire à feu doux pendant 20 minutes.
Coupez les queues des asperges cuites en petits tronçons, mais gardez les pointes entières.
Faites cuire les petits tronçons d'asperges pendant 5 minutes supplémentaires dans le potage.Mélangez le jaune d'oeuf à la crème.
Mixez le potage, bouillant, mais hors du feu, dans un bol, mélangez le jaune d'oeuf et la crème, ajoutez un peu de potage, mélangez,
puis versez le tout dans le potage goûtez (car l'eau de cuisson des asperges était salée) rectifié, poivré
Rajoutez les pointes d'asperges dans le velouté et décorez avec quelques pluches de cerfeuil
Servez de suite |
Je viens d'avoir une frayeur en cliquant sur la page de certiferme, j'ai cru que j'avais détraqué le bazarrrrrrrrrrr , comme je disais il y a 2mn à une de mes lectrices, tout change, et de constater ...même à certiferme...
y'a pu ....qu'à s'habituer à nouveau... |
Environnement :
des fleurs vont être plantées au printemps 2010, le long des routes de France pour les abeilles Environnement : des fleurs vont être plantées le long des routes de France pour les abeilles
zoom
Photo archives Gilbert Vest
Des fleurs vont être plantées le long de certaines routes de France pour venir en aide aux abeilles butineuses en mal de pollen et décimées par les maladies, une initiative lancée par le gouvernement qui pourrait être étendue à terme à l'ensemble du réseau routier national.
«Au printemps 2010, des espèces végétales mellifères vont ainsi être semées sur plus de 250 km d'accotements routiers afin d'offrir aux abeilles de nouvelles ressources florales pour leur alimentation», ont expliqué mardi Dominique Bussereau, secrétaire d'Etat aux Transports, et Chantal Jouanno, secrétaire d'Etat à l'Ecologie.
Il s'agit «d'améliorer le bol alimentaire des abeilles et de contribuer ainsi au maintien de leurs défenses immunitaires», a précisé le ministère du Développement durable.
«C'est une première en France», souligne Pierre Testu, animateur du «Réseau biodiversité pour les abeilles», une association d'apiculteurs et d'agriculteurs qui va assurer le suivi apicole de l'expérimentation.
Des «jachères apicoles», qui consistent pour les agriculteurs à planter des fleurs sur les terrains en jachère, se sont développées en France (actuellement 1.500 hectares) mais rien n'avait encore été fait sur le bord des routes.
«On bénéficie pour cela de la puissance de l'Etat», souligne M. Testu. Pas moins de deux ministres sont impliqués dans l'opération, M. Bussereau, compétent pour les routes, et Mme Jouanno, pour l'Ecologie.
Cette expérimentation sera menée dans six grandes régions correspondant aux directions interdépartementales des routes -nord, nord-ouest, sud-ouest, massif central et atlantique.
Outre les semis de petites fleurs, d'autres dispositifs vont être testés comme le «fauchage tardif» qui consiste à ne faucher qu'une seule fois dans la saison sur le bord des routes et non trois fois, comme habituellement, ce qui laisse le temps à un certain nombre d'espèces de fleurs présentes naturellement dans le milieu de s'épanouir.
La démarche sera évaluée pendant trois ans -intensité du butinage, analyse du miel, composition des pollens- afin d'en apprécier l'efficacité.
Aterme, l'objectif est d'étendre le dispositif à l'ensemble du réseau routier national non concédé (environ 12.000 km).
Les connaissances acquises pourront aussi être mises à la disposition des autres gestionnaires de réseaux routiers (sociétés d'autoroutes, collectivités territoriales).
«Plus de 35% de nos ressources alimentaires proviennent aujourd'hui des insectes pollinisateurs comme les abeilles. Les protéger c'est aussi assurer notre survie», fait remarquer Chantal Jouanno.
Pour Dominique Bussereau, l'objectif est de «réduire les impacts environnementaux des infrastructures routières».
Depuis dix ans, les colonies d'abeilles enregistrent des pertes très importantes. Leur taux de mortalité, qui normalement ne doit pas dépasser 5%, peut atteindre dans certaines régions du monde 40%, voire 80% dans les cas extrêmes.
Les causes sont multiples, selon les experts, qui citent les virus, les maladies, les pesticides et l'agriculture intensive.
Des fleurs vont être plantées le long de certaines routes de France pour venir en aide aux abeilles butineuses en mal de pollen et décimées par les maladies, une initiative lancée par le gouvernement qui pourrait être étendue à terme à l'ensemble du réseau routier national.
«Au printemps 2010, des espèces végétales mellifères vont ainsi être semées sur plus de 250 km d'accotements routiers afin d'offrir aux abeilles de nouvelles ressources florales pour leur alimentation», ont expliqué mardi Dominique Bussereau, secrétaire d'Etat aux Transports, et Chantal Jouanno, secrétaire d'Etat à l'Ecologie. Il s'agit «d'améliorer le bol alimentaire des abeilles et de contribuer ainsi au maintien de leurs défenses immunitaires», a précisé le ministère du Développement durable. «C'est une première en France», souligne Pierre Testu, animateur du «Réseau biodiversité pour les abeilles», une association d'apiculteurs et d'agriculteurs qui va assurer le suivi apicole de l'expérimentation. Des «jachères apicoles», qui consistent pour les agriculteurs à planter des fleurs sur les terrains en jachère, se sont développées en France (actuellement 1.500 hectares) mais rien n'avait encore été fait sur le bord des routes. «On bénéficie pour cela de la puissance de l'Etat», souligne M. Testu. Pas moins de deux ministres sont impliqués dans l'opération, M. Bussereau, compétent pour les routes, et Mme Jouanno, pour l'Ecologie. Cette expérimentation sera menée dans six grandes régions correspondant aux directions interdépartementales des routes -nord, nord-ouest, sud-ouest, massif central et atlantique. Outre les semis de petites fleurs, d'autres dispositifs vont être testés comme le «fauchage tardif» qui consiste à ne faucher qu'une seule fois dans la saison sur le bord des routes et non trois fois, comme habituellement, ce qui laisse le temps à un certain nombre d'espèces de fleurs présentes naturellement dans le milieu de s'épanouir. La démarche sera évaluée pendant trois ans -intensité du butinage, analyse du miel, composition des pollens- afin d'en apprécier l'efficacité. Aterme, l'objectif est d'étendre le dispositif à l'ensemble du réseau routier national non concédé (environ 12.000 km). Les connaissances acquises pourront aussi être mises à la disposition des autres gestionnaires de réseaux routiers (sociétés d'autoroutes, collectivités territoriales). «Plus de 35% de nos ressources alimentaires proviennent aujourd'hui des insectes pollinisateurs comme les abeilles. Les protéger c'est aussi assurer notre survie», fait remarquer Chantal Jouanno. Pour Dominique Bussereau, l'objectif est de «réduire les impacts environnementaux des infrastructures routières». Depuis dix ans, les colonies d'abeilles enregistrent des pertes très importantes. Leur taux de mortalité, qui normalement ne doit pas dépasser 5%, peut atteindre dans certaines régions du monde 40%, voire 80% dans les cas extrêmes. Les causes sont multiples, selon les experts, qui citent les virus, les maladies, les pesticides et l'agriculture intensive. sources Alsace;fr |
SUITE DES ACHATS CHEZ LE MARAICHER
Et bien voilà,
j'avais déjà fait l'expérience,
mais vraiment, une fois de plus y'a pas photo !
à choisir entre: " le super marché" et "le maraîcher",
je choisi: "le maraîcher"
et le super marché pour me dépanner.
Nos asperges,
pas fibreuses du tout , impeccable et avec 2,45e au kg de différence (moins chères avec le super marché).
Notre batavia
nous a fait 3 repas copieux (du soir) à 2couverts,
et un petit reste pour ce soir (à 2 )avec un petit reste aussi de poulet et rde purée
Impeccable. Elle s'est bien gardée, un bon goût de verdure.
Nous n'avons pas été malade (car à plusieurs reprise nous avons déjà été très malade, (gastro) avec de la salade de super marché, à se tordre de douleurs)
Les petits oignons dans la salade, très bon, et ils nous en reste.
Nos pommes de terre,
rien à dire d'autre que bonne pour tout., (il nous en reste).
Nos petites pommes, j'allais faire une tarte ou compote, j'ai goûté et finalement, nous les avons manger au couteau.
(hihi du boulot en moins ! chut!)
et puis, il a fait très chaud aujourd'hui pour la saison,
alors allumer le four en plus !...
voilà, donc demain:
"retour chez le maraîcher pour refaire le plein de légumes frais"
|
quelques idées de sorties si vous aimez les plantes
Le week-end du 1er mai sera fleuri :
- Journées des orchidées et autres plantes rares à Salignac-Eyvigues (24) - La fête des fleurs à Sains du Nord (59) - Foire de printemps au Luxembourg - 29ème Fête du Géranium en Belgique - Porte ouverte au Jardin Exotique de Roscoff (29) - Brocante et vente de plants de tomates rares à Gevigney et Mercey (70) C'est aussi la date d'ouverture de jardins pour la saison 2010 : - Jardin Le Courtil Saint Roch à Maroilles (59) - Jardin de Boissonna à Baleyssagues (47) - 19ème Edition du Festival international des jardins de Chaumont-sur-Loire (41) - Le Jardin d'Antonin à Valençay (36) ______________________________________________________
Samedi 1er mai, on repasse en lune montante, ça repart pour des semis
sources :jardinier-amateur.fr |
Hier soir, nous sommes passés chez mes beaux parents, de nouveau je fais quelques photos, juste pour voir !
je me demande comment j'ai fait ! ouhhhh, et non non, ce n'est pas la vodka ! je conduis ! je suis sérieuse ! je choisi, donc je ne bois pas!!!
LOL ! ... cet immeuble est pourtant bien droit !
|
Hier en ville, sans le faire exprès, j'ai fait une photo, la voici ! ça me fait penser à l'ombre d'Hitchcok...rassurez-vous notre " volume" est inférieur à celui-ci.lol!
|
Cet après midi, je suis allée en centre ville, un bout de route en voiture, il faisait chaud...puis le tram.... puis marcher beaucoup. Très agréable, car il faisait plus chaud qu'hier. Le ciel était magnifique, les terrasses bien remplies... le tram...
Le cinéma VOX
on voit qu'il fait beau ! les gens en profitent les terrasses se remplissent...
L'aubette
Le bâtiment de l'Aubette de Strasbourg est un long immeuble de facture classique, fermant la face nord de la place Kléber, la place centrale de Strasbourg. Ancien bâtiment militaire puis centre de loisirs, il fut construit de 1765 à 1778. Le bâtiment de l'Aubette est pendant un siècle à destination militaire : il est prévu pour abriter des logements et un corps de garde. Son nom correspond sans doute à l'un des sens anciens du mot aubette (abri). On dit aussi qu'il viendrait du mot aube, car c'était à l'aube qu'on y donnait le mot d'ordre. L'Aubette est classé monument historique depuis 1929. le monument Kléber
La place Kléber
Jean-Baptiste Kléber, né le 9 mars 1753 à Strasbourg, assassiné le 14 juin 1800 au Caire en Égypte, est un général français qui s'est illustré lors des guerres de la Révolution, notamment en Vendée et en Égypte.
Né au 9, Fossé-des-tanneurs à Strasbourg, baptisé en l'église Saint-Pierre-le-Vieux, Kléber est fils de Jean-Nicolas Kléber, qui meurt 3 ans après sa naissance, et de Reine Bogart. Il est élevé par son beau-père, Jean-Martin Burger et fait des études au gymnase Jean-Sturm de Strasbourg. Kléber s'engage une première fois dans l'armée à l'âge de 16 ans en 1769, dans le 1er régiment de hussards. Engagement de courte durée, car il est très vite rappelé à Strasbourg par sa mère, pour reprendre ses études. De 1770 à 1771, il est étudiant à l'école de dessin pour les arts et métiers, installée au Poêle de la Tribu, tout près du logement de Goethe qui y habitait à la même époque. Kléber intègre ensuite l'atelier de l'architecte Chalgrin à Paris, de 1772 à 1774. En 1777, Kléber s'engage à nouveau, cette fois comme cadet à l'académie militaire de Munich (armée bavaroise) où il reste environ 8 mois, avant de rejoindre le fameux régiment d'infanterie de Kaunitz (armée autrichienne), le 1er octobre 1777 avec le grade de privat-cadet. Il est nommé porte-enseigne le 19 novembre suivant. Le 1er avril 1779, il est nommé sous-lieutenant : c'est sa dernière promotion dans l'armée autrichienne. Il quitte le régiment de Kaunitz en 1783, n'y espérant plus aucune promotion et renonçant pour un temps à la carrière militaire. Trois raisons ont été avancées pour expliquer cet échec :
En 1787, Jean-Baptiste Kléber fournit les plans du nouvel hôpital Saint-Erhard de Thann, l'ancien étant jugé vétuste. La construction commence en 1788. Avant la fin de la construction, on décide d'en faire l'hôtel de ville de Thann. Son gros œuvre est terminée en 1793. Son aménagement est confié à G.I. Ritter en 1795.............. toujours place Kléber
De nouveau l'Aubette
Nous quittons la ville, au pas de gymnastique, mon ticket de bus/tram ne va plus être valide.... ici vous apercevez derrière les arbres la Mairie
ici, personnellement je trouve ça moche, mais bon, donc c'est le nouveau concervatoire
la mairie
le conservatoire, vraiment pas beau
Place de la bourse, pas terrible la photo, mais la circulation est dense et de plus la place est envahie de chapiteaux peut-être une vente, une brocante, ou vide grenier... ce week end, aucune idée. On essaiera de savoir...
|