Les flamands roses dorment tous !
unijambiste ! ou équilibriste ?
une autre fois peut-être !
un peu curieux ce nid de cigogne !
il s'agit d'autruche je crois ! deux têtes et trois pattes !
Souriez, vous êtes filmée !
"Quoi ma Gue... ! qu'est-ce qu'elle a ma G...."?
Nous quittons les animaux, et prenons le chemin du retour, il se fait tard...
très joli, qu'en pensez-vous?
Miosotis
Une Alsacienne...et son oie...
Les tulipes...
la bruyère que j'aime beaucoup,
ces fleurs sont en fin de floraisons, mais étaient jolies quand même avec le soleil, alors je les ai photographiées...
Mr et Mme sur une cheminée... Admirez ce ciel bleu azur...
Mes pensées... sont avec vous tout au long de mes reportages...
Un joli parterre de fleurs
Victor Ernst Nessler (né le 28 janvier 1841 à Baldenheim, dans l'actuel département du Bas-Rhin et mort le 28 mai 1890 à Strasbourg) était un compositeur franco-allemand du xixe siècle.
ictor Ernst Nessler commençe ses études en tant qu'étudiant en théologie à Strasbourg, mais il écrit finalement l'opéra Fleurette (1864). Pour compléter ses connaissances en musique, il se rend à Leipzig afin d'y étudier avec le professeur Moritz Hauptmann. Le 28 mai 1890, il meurt à Strasbourg. En 1895, une sculpture d'Alfred Marzolff y a été installée pour lui rendre hommage. Victor Ernst Nessler est connu, entre autres, pour ses deux opéras : « Der Rattenfänger von Hameln » (Le Joueur de flûte de Hamelin) créé à Leipzig le 19 mars 1879, et « Der Trompeter von Säckingen » (Letrompettiste de Säckingen) créé à Leipzig le 4 mai 1884. Victor NESSLER
Hum! que la vue doit être jolie de là-haut !
L'été c'est très agréable...
Curieux !
Toilette du soir...
Mes amies: j'espère que cette balade dans le parc vous a fait passer un agréable moment. Moi oui, j'ai vraiment plaisir à réaliser ces photos tout au long de mes balades et de vous les faire partager.
A bientôt donc si vous le voulez pour un autre lieu de flânerie, de rêverie ou de découvertes.
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Maintenant, je vous emmène voir quelques animaux. Je ne vous dirais pas que j'apprécie la chose, ils ont plutôt l'air d'être en prison les pauvres.
ici c'est quand même une grosse bête, une sorte de gros minet, je ne suis pas certaine mais, il me semble que cela pourrait être un lynx, mais ??? je n'ai pas vu ses oreilles
Oh! c'est curieux, ils ont même mis des moineaux derrière les barreaux ! encore un sans doute qui c'est fait flacher au radar pour excès de vitesse !
pauvre titi, il en garde à vu !
Alors lui , il était tout loin, et quand je lui ai parlé il est venu vers moi, et voyez comme il me regarde !
éh ! il me fait de l'oeil. J'avais très envie de le caresser.
Là j'ai oublié, je ne sais plus "c'est qui!" ???
Un petit canard presque endormi et un autre qui ronfle déjà !
Ici ça m'a fait pensé aux jeux du petit canard à attraper dans les fêtes foraines... ils tournaient pareil...
Nous voici chez les flamants roses, tout le monde pionce ici !
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la cascade C'est la fin de la journée les couleurs changent
C'est joli... c'est doux
Dans le parc, il y a encore du monde, mais c'est calme. Beaucoup de gens profitent du soleil, allongés sur la pelouse, ou assis sur les bancs; d'autres marchent doucement regardent les fleurs, promènent leur chien, et beaucoup font des photos...
Oh un pigeon est venu vers moi, et prend la pause !
La cigogne est de retour
Il y a des nids de cigognes un peu partout...
Le pavillon Joséphine
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Le parc de l'Orangerie est un des principaux parcs publics de la ville de Strasbourg en France. Il est situé en face du Conseil de l'Europe et proche des autres institutions européennes dans le quartier dit de l'Orangerie. Sa superficie est de 26 hectares.
L'origine du parc de l'Orangerie remonte au xviiie siècle. Durant le Grand Siècle xviie siècle, Le Nôtre — créateur des jardins de Versailles — avait déjà dessiné les allées principales du parc. Lors de la Révolution française, la ville de Strasbourg hérite de cent quarante orangers confisqués par les républicains au château de Bouxwiller et décide de construire en 1804 l'actuel pavillon Joséphine (du nom deJoséphine de Beauharnais, impératrice des Français, femme de Napoléon Bonaparte de 1796 à 1809) pour les abriter. Le parc de l'Orangerie est largement agrandi sous la période allemande, à l'occasion de l'exposition industrielle et artisanale de Strasbourg de 1895. Détruit par un incendie en 1968, le pavillon Joséphine sera reconstruit à l'identique mais pour une vocation culturelle. Aujourd'hui il ne reste que trois orangers conservés dans les serres du parc mais qui ne sont plus accessibles au public. sources internet Oh, je suis surprise, ça y'est le lilas est aussi en fleurs chez nous...
Depuis déjà quelques temps le jet d'eau "rafraîchit" l'air ! Avec le petit vent, on prend un petit coup d'humidité en passant !
Un petit bambin veut attraper la cigogne qui de ce fait entreprend un jogging ! La course continue, je n'aime pas trop ça, les parents sont loin derrière et le petit aurait vite fait de tomber à l'eau, il est juste au bord... et au passage je vous dit que je ne sais pas nager, et que j'ai une peur panique de l'eau. Mes photos sont un exploit, je le fais pour vous et ce blog: vaincre mes peurs fait partie de mes objectifs...
Le bambin s'en est allé, la cigogne revient vers moi, et moi je lui parle en langage cigogne évidement... Il n'y a pas que Vova qui est doué pour les langues étrangères, moi je parle aux animaux, vous riez mais c'est vrai !
Une de ces pattes porte une bague, et bien oui quoi!
c'est une cigogne Alsacienne ! quand même....classss "B.C / B.G" (bon chic bon genre !) Elle inspecte un peu les lieux, et puis...
elle décide d'aller voir ailleurs ...
...car elle m'a assez vue, et en a assez de ce faire photographier ...
Elle s'oriente vers le bowling ! (elle a peut-être envie de faire une partie !)
Non, ce n'est pas la cascade de Christiane (KIKI) à la Réunion, vous êtes toujours à Strasbourg !!! hihi!
et voilà la première partie de la balade de ce jeudi. J'espère que ça vous plaît ! ?
oui ? alors je continue, non ! tan pis je continue quand même NA ! |
Trois mois déjà.....
oui il y a déjà trois mois (le 21.01.10) : je "cliquais" sur "enregistrer" et par la magie des nouvelles technologies, et de certi'ferme, mon blog était ouvert !
Moi, qui étais complètement pommée, anéantie, pour des raisons" x" " y " pour faire court, et ne pas vous ennuyer avec ma vie, ce n'est pas le but.
Alors, non rien de rien, je ne regrette rien, lol !
même si les débuts furent longs, difficiles, complexes, car l'informatique n'est pas du tout mon truc;
même si j'étais persuadée que personne ne viendrait voir ce qui ce passait dans mon blog ! et de plus, de là a recevoir des coms, je n'osais même pas y penser.
Et bien je suis très heureuse d'avoir franchis le pas.
A toutes (et tous) je viens vous dire un grand merci de m'avoir accueilli si gentiment, si simplement parmi vous.
Merci pour vos visites et vos coms. Des coms sympa, réconfortants, encourageants, des coms souriants, et même des coms et des mails qui m'ont touchés "plein coeur" elles se reconnaîtront j'en suis sûr.
Depuis le 21 janvier, petit à petit les choses changent pour moi, je dirai positivement, même si nous (mon couple) sommes dans la tourmente, des problèmes de santé, de travail...et autres...
Je veux que vous sachiez qu'au quotidien, vous m'aidez (je pense) sans le savoir à me reconstruire, à me retrouver, à me découvrir aussi, et même si "le bonheur est éphémère", vous m'apportez des petits bonheurs au quotidien, que je reçois comme des petits cadeaux.
Je n'en reviens pas, on m'avait dit que les blogs ne m'apporteraient rien, que c'était débile, stupide, une perte de temps et plus encore. Je tenais tête, tout en commençant à faiblir... et puis,
j'avoue que Vova m'a fortement encourager a persévérer dans l'entreprise de mon blog.
Vous lui offrez aussi du bonheur, car lorsqu'il voit que je vais mieux, il est heureux.
Voilà, ce que je voulais vous dire, j'ai la gorge serrée, en écrivant...et oui, je suis très sensible, très émotive...
... je vois le chemin parcouru sur trois mois !
maintenant, j'ai l'impression d'être une chrysalide, et si des "insecticides" ne viennent pas m'achever, j'espère devenir un joli papillon tout beau, plein de force et d'énergie, aimant à nouveau la vie, et qui ira butiner vos blogs, et vous laisser quelques coms pour vous soutenir, vous encourager, vous faire sourire, "ça j'adore". Un papillon qui croquera la vie à pleine dents ! oui! LOL !
Bisous à vous toutes
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voilà un moment que j'ai des envies ... l'Alsace c'est bien, mais la mer aussi, et elle est loin d'ici quand même ! alors je rêve!
François Deguelt est un chanteur, auteur-compositeur-interprète français né à Tarbes le 4 décembre 1932. De son vrai nom Louis Deghelt, il est élevé par sa grand-mère en Charente, où il passe toute sa jeunesse. Après Paris, il a habité dans les années 1960 la campagne à Saint-Benoît, commune d'Auffargis, près de Rambouillet, avec sa femme, l'actrice Dora Doll, avec qui il fut marié de 1965 à 1971 (?)
En 1949, il prépare une licence en philosophie qu'il abandonnera en 1951 pour chanter dans un cabaret montmartrois, Le Tire-Bouchon. Il écrit ses premières chansons, Coquette et Vie quotidienne, en 1952. En 1953, il débute à la radio dans l'émission de Francis Claude, puis il part en tournée avec Jean Nohain pour l'émission La Reine d'un jour. En 1956, il remporte le prix de l'Académie Charles-Cros, puis c'est le service militaire (1958) avec le départ pour l'Algérie. Dès 1960, il passe en vedette sur les scènes comme Bobino, l'Olympia, l'ABC et en 1965, c'est le tube de l'été avec Le Ciel, le soleil et la mer. Par deux fois, François Deguelt a participé au Concours Eurovision de la chanson pour la Principauté de Monaco, en 1960 (3e) et en 1962 (2e). Parmi ses succès comptent Le ciel, le soleil et la mer, Je te tendrai les bras, Ce soir là, Minuit, le vent, la nuit, Le printemps, C' était nous, Paris, c'est trop loin de la mer, Le bal de la marine, Che Guevara, La mélancolie, La libération, Passez la monnaie. Un certain nombre furent inspirés par un voyage à La Réunion, qu'il évoque dans certaines chansons. En 1962, il a joué dans le film de Jean Maley, L'Assassin viendra ce soir. Il vécut longtemps sur un bateau qu'il a amarré pendant des années à Sainte-Maxime, dans le Var. Il participe à la première tournée Âge tendre et tête de bois en 2006 et continue d'assurer guitare en bandoulière des concerts dans toute la France et dans les pays francophones régulièrement. Il se murmure qu'il sortirait un disque très prochainement. Fr. Deguelt Le Ciel Le Soleil La Mer envoyé par paradixman. |
Et voilà, il s'en va, contre le courent qui est très fort quand même, croyez moi!
je crois bien qu'il m'a assez vu !
à la prochaine alors !
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Voici de nouveau quelques photos de mon petit coin à moi, un petit coin tranquille apaisant où il fait bon flâner mon petit banc
élégance
Pas farouche du tout...
et encore
j'étais vraiment très près de lui, et comme on dit "cool Raoul"... il broute! lol !
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Ce mardi, repos pour mon homme, alors nous en profitons pour faire de nouveau une petite balade, et sur notre route, nous nous sommes arrêtés chez notre petite grand mère maraîchère pour prendre quelques légumes au lieu de passer au super marché.
10kg de pommes de terre, 1kg d'asperges cueillis cette après midi, 1kg de pommes, une botte d'oignons blancs (nouveau), une très grosse batavia, le tout 13,60 euros Je pense que c'est correcte ! |
Né à Alexandrie, en Égypte, le 3 mai 1934, de parents juifs grecs originaires de l'île de Corfou, il grandit dans un environnement multiculturel (juif, grec, turc,italien, arabe, français) et se passionne vite pour la littérature et la chanson française (et notamment Édith Piaf). Venu à Paris en 1951, il exerce la profession de journaliste, puis de barman dans un piano-bar, ce qui l'amène à fréquenter des personnalités du monde musical de l'époque. Il entend ainsi Georges Brassens se produire un soir, et c'est pour lui une révélation. Il n'aura de cesse par la suite de faire référence à son maître, allant jusqu'à adopter son prénom en son hommage. En 1958, il rencontre Édith Piaf, pour qui il écrira une de ses chansons les plus connues, Milord. Il aura avec la grande dame une relation fougueuse mais courte. Tout au long des années 1960, il se positionne comme un compositeur parolier pour les grands noms de la chanson française comme Yves Montand, Barbara et surtout Serge Reggiani. Il crée alors des chansons qui resteront parmi ses plus grands succès : Sarah, Ma Solitude, Joseph et Ma Liberté ou encore La longue dame brune qu'il interprète alors en duo avec Barbara. Sa devise est : l'homme descend du songe. En 1968, artiste engagé au moment des événements de mai 68, il écrit, compose et interprète Le Métèque, une ballade romantique qui parle d'un étranger un peu éthéré, doux rêveur, sans attache. C'est un grand succès international qui marque un nouveau début de sa carrière d'artiste. En janvier 1970, il fait son premier grand concert en vedette à Bobino. On découvre alors un artiste qui privilégie une ambiance chaleureuse, de proximité avec son public. Pendant les trois décennies suivantes, il parcourt le monde pour se produire mais surtout pour trouver de nouvelles inspirations. Il a eu une fille Pia, née en 1956, fille de Yannick, la première, et seule épouse de Moustaki. |
Vu la circulation, et le monde, car en plus, il y avait des gens aux champignons, aux jonquilles... pas de place pour se garer, ne cherchant pas les problèmes supplémentaires ; nous sommes repartis sur nos pas, car en prime, des policiers nous ont un peu orienté par là... même un peu plus, obligé serait plus juste...
alors finalement, nous avons posé, au bord d'un petit lac...quelques pas, et sisite sur un banc, tranquille, comme des petits vieux, ou des amoureux comme vous voulez. Nous avons tourné un peu dans le village, et attendu dans la voiture, car là, il y avait un match de foot, et "du monde", et la fin d'un concours de pêche à la truite...
c'était vraiment la journée "du monde partout" ... il faut dire que depuis que nous n'avons pas eu de beau temps! sait-on combien de temps ça va durer ! Autant en profiter quand ça passe ... Nous apprécions la tranquillité, et en profitons pour papoter tous les deux...
C'est bien agréable de se retrouver un peu hors de nos murs, sans les casseroles ou la bêche, sans voisins, sans le boulot, sans V.A.E, au soleil, sans rien faire d'autre que regarder la nature reprendre ses couleurs.... OUIiiiiiiii !!! ça y'est, bon j'ai rien eu sur ma photo!, mais ça y'est, j'ai vu deux hirondelles... nous en avons profité pour faire chacun trois voeux ! Et oui, c'est bébête je sais, mais vu tous les soucis actuels auxquels nous devons faire face... ça ne nous coûtait rien ! et puis l'espoir fait vivre...
Et il est beau ce ciel ???? Nuance de verts tendre
Et aucun avion n'est venu troubler le silence, ni faire de traces dans le ciel !
C'est pas beau ça ? Car ici, nous sommes à Entzheim, à côté de l'aéroport ! Petite visite des canards cols verts...
La pie était présente aussi, elle a fait son nid très haut, ma grand mère disait que c'était un signe d'été très chaud ! mais de nos jours tout ça est faussé, hélas... enfin , on verra.!
Et voilà, la dernière car plus de place, la carte est complète, demain j'irais au magasin...
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Nous avons passé une bonne journée. Après la grasse matinée, interrompue par la sonnerie du téléphone à 8h du matin.... pour rien "une erreur"! ...et bien nous avons pris la route après un repas léger... (asperges, entrecôte grillée, haricots verts surgelés du jardin, (je vide le congélo)...et une salade de fruits pour finir.)
Nous avions décidé d'aller en montagne... Nous voilà sur la route
L'un dans l'autre le ciel est bleu, le soleil est présent... il fait même chaud, en traversant certains villages nous observons des températures de 24° (j'ai mis un gros pull ! de peur d'être malade!) en fait c'est de chaleur que j'ai été malade ! lol !
Petit changement de route car arrivés à l'entrée d'un village, nous voyons ce que je déteste... un monde fou, des 10ènes et 10ènes de grosses motos...vroom , vroom, infernal!
je change de direction et là, route barrée déviation, une sorte de course de VTT, du monde, du monde et encore.... |