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mireille herbe folle

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Blog créé le 16/05/2011

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Alerte !!!

 12/06/2017
Les pyrales du buis sont là !!!

Au début du printemps, les buis de ma platebande ont été complètement mis à nu par des chenilles de pyrales, que j'ai ramassées par dizaines et données aux poules....

Les buis semblent repartir, je les ai taillés très court, et de nouvelles petites feuilles repoussent.






Ce matin, lors de mon tour du propriétaire,  je remarque une nuée de papillons, non pas à proximité immédiate des buis, mais sur un petit prunier !

Ils sont bien jolis.....mais !
Il y en a tant  ...ça doit être des ravageurs....

Je cours allumer l'ordi, pour savoir!




Bingo ! ce sont des pyrales du buis !!!!





Que faire !!!

Sans doute y a t-il dans le voisinage des buis contaminés.....

Je sais qu'il existe une possibilité de lutte biologique.

Je n'ai rien retrouvé sur mes buis, la collecte printanière des chenilles a été sans soute utile! mais si ces petits papillons viennent d'ailleurs....ils sauront bien retrouver le chemin de mes quelques buis!!!!


Encore une affaire à suivre...



Il existe une forme sombre de ce petit papillon....tout aussi redoutable que les autres !



Le Gaillet Gratteron

 12/06/2017
Vous savez tout du Gaillet Odorant, ou Aspérule...non ?  mais si, c'était LA !

Puis je vous ai présenté le Gaillet Mollugine, oui, c'est sont petit cousin, ICI !

Il en reste encore dans cette grande famille!


Aujourd'hui, voici le Gaillet Gratteron....dont j'aime surtout le nom !!!
A ce jour, il ne porte plus de fleurs (je m'y suis prise trop tard) mais des de petits fruits!

La tige carrée et les partie aériennes sont hérissées de petits aiguillons recourbés qui permettent à la plante de s'accrocher à tout ce qui lui tombe sous la feuille: fourrures des animaux, vêtements des promeneurs...
Ainsi se disséminent  les graines.




Vous avez sans doute pesté plus d'une fois en rentrant de promenade, en essayant de vous débarrasser de ces fruits bien accrochés dans vos bas de pantalons, ou dans le pelage de votre brave toutou !!!

Cette plante "pot de colle" possède toutefois plein de propriétés intéressantes, que vous trouverez sur cette page: CLIC !


(n'oubliez pas: clic sur l'image pour mieux voir!)



Rouge....

 11/06/2017

Quoi de plus magnifique......



....qu'un champ de coquelicots à l'approche de l'été.



Voyez-vous ce coeur de libellules ??? cherchez bien....


Où que je regarde.....


..le rouge est là....

On chanté "la vie en rose"..

mais le ROUGE était mon ambiance de ce jour.....




Voici un oeillet sauvage dont la beauté ne laisse pas indifférent!

Comme toutes les plantes, l'oeillet des Chartreux dispose d'un nom savant: Dianthus Carthusianorum L.
Le nom provient du grec dias: jour ou jupiter et anthos: fleur.

En raison de sa grande beauté, les Chartreux ont planté en grand nombre cet oeillet dans leurs monastères.



La cueillette de cette belle fleur est règlementée dans bon nombre de régions.

On la rencontre dans les prairies sèches et les rocailles ensoleillées, jusqu'à une altitude de 1000 - 1100 m.

Ne rivalise-t-elle pas avec les plus belles ?

(clic sur l'image, c'est mieux!)




Je vous ai présenté le Gaillet Odorant, ou Aspérule,   LA !

C'était en forêt

Dans mon pré abonde un autre gaillet, qui ne sent pas spécialement bon: le Gaillet Mollugine





Les fleurs ressemblent à celles de l'aspérule, mais les tiges sont longues et de section carrée.

Et pour le parfum? vous repasserez!





On l'appelle aussi "caille-lait"


Il a bien entendu des propriétés que je vous laisse le soin de chercher sur les sites spécialisés.

On dit qu'il est indésirable......
Moi, je le trouve joli, avec ses fleurs minuscules !

J'ai lu quelque part qu'un colorant naturel rouge pouvait être extrait de sa racine....

Dans la famille Gaillet, j'en ai un autre en stock..... Affaire à suivre !






Centaurée

 06/06/2017
Une jolie "montagnarde" rencontrée lors de ma dernière promenade: la centaurée.

Celle-ci est probablement la  centaurée scabieuse.

En voila une belle touffe, au bord du chemin.



Approchons...





Etymologiquement, la Centaurée provient de "centaurea" mot qui fait référence au Centaure Chiron premier herboriste reconnu par la mythologie antique qui se serait soigné une blessure au pied grâce à cette jolie plante.

Je vous laisse chercher les vertus de cette fleur sur les sites spécialisés. Moi, je ne suis pas herboriste......

Approchons encore....et admirons la merveille....

(Clic sur l'image, c'est mieux!)




Pas une cerise dans mon verger cette année!
Les gelées tardives ont été redoutables.

Mais heureusement, on m'a donné hier de beaux fruits: à quelques kilomètres d'ici, les cerisers n'ont pas souffert !

J'ai pu faire quelques pots de confiture, et la tarte que voici.

Tarte, clafoutis, clafoutarte, comme vous le sentez ! d'ailleurs, ça sent bon!!!!


Ingrédients:
 
-1 pâte feuilletée
- des cerises
- 3 oeufs
- 120 g de sucre rapadura (ou autre)
- 1/2 briquette de crème (soja pour moi)


Action:

- Etaler une pâte feuilletée dans un moule et la piquer à la fourchette
- Dénoyauter les cerises et les disposer sur la pâte.
- Dans un saladier, mélanger le sucre et les oeufs, ajouter la crème, et bien battre le tout.
- Verser la préparation sur les cerises.

Et hop! au four à 190 degrés pour 45 minutes.




Verdict:

C'était bon !


Merci au généreux donateur de cerises (je pense que je vais retourner en chercher un peu, si l'orage de ce jour ne les a pas trop abîmées....)



...c'est aujourd'hui !

et  c'est l'anniversaire de mon amie!

Pour toi, Cat,  cette rose ancienne au parfum extraordinaire, la reine de mon jardin.....









L' Orobanche....

 05/06/2017

Je ne m'étais jamais arrêtée sur cette plante, que je ne trouve pas des plus jolies....et, j'en ignorais tout !


Je pensais qu'on pouvait la classer dans les orchidées.....
Mais pas du tout !
Les orobanches constituent une famille  à elles seules....

SI le grand public en ignore tout, il n'en est pas de même des agriculteurs......car cette drôle de plante est redoutable...





Les orobanches sont des plantes incapables de synthétiser de la chlorophylle, elles ont donc besoin de plantes hôtes pour se développer et assurer leur cycle de vie.

 

Elles puisent dans les plantes hôtes (trèfle, colza, maïs, lierre, genets, tournesol, tabac....) les nutriments dont elles ont besoin pour vivre.


Elles se développent au détriment de leurs hôtes en se fixant dès la germination sur une racine, constituant une grave nuisance aux cultures..

Elles n'ont pas besoin d'insectes pollinisateurs

Les orobanches  sont très envahissantes, et à ce jour, il n'existe aucune méthode d'éradication.

Pour en savoir plus: CLIC !






La recette du jour ne manque pas de piquant.....haricots rouges, quinoa, épices dont piment...Un petit goût de Texas!


C'est parti pour des "burgers" ou plutôt des galettes de haricots rouges! (Vegan-sans gluten)


Ingrédients:

- Haricots rouges cuits (trempés depuis la veille,cuits à l'eau, et bien égouttés - ou une boîte en conserve)
- Quinoa cuit (une tasse, ou semoule de couscous si vous voulez)
- 1 oignon
- 2 gousses d'ail
- Persil et autres herbes selon le goût
- Piment rouge en poudre
- Sel - poivre
- Huile d'olive


Action:

- Dans un saladier, écraser grossièrement les haricots rouges cuits à la fourchette (au blender, j'ai déjà essayé, c'est trop crémeux)
- Ajouter le quinoa cuit, et bien mélanger
- Hacher finement l'oignon, l'ail, le persil et autres herbes, et les incoporer au mélange
- Saler, poivrer, ajouter la quantité de piment rouge (suivant vos goûts)

- Confertionner des "burgers" dans vos petites mains.
- Les cuire (les galettes, pas les mains) dans une poêle avec un peu d'huile d'olive, à feu moyen, 5 minutes de chaque côté.

Voila, c'est prêt!


Verdict:

C'était très bon, nourrissant et facile à faire !
J'ai servi ces burgers bien chauds avec un accompagnement de tomate, salade verte, courgette crue (vinaigrette classique)

Et ça m'a permis d'utiliser un restant de quinoa de la veille.








Je l'aime beaucoup celle-ci ! Une jolie sauvage, une herbe folle.....

C'est l'Achillée Millefeuille!




Il en pousse un peu partout, et ses fleurs blanches illuminent la prairie depuis quelques jours.


Mille feuilles....et presque autant de propriétés! on l'appelle encore herbe à dinde, herbe militaire, herbe aux charpentiers, herbe à la coupure....

Elle tire son nom d’une légende voulant que, vers 1200 avant notre ère, le vaillant Achille, sur les conseils des Centaures, l'ait utilisée pour soigner ses guerriers blessés...

Vous saurez bien la reconnaître ! et pour ses utilisations, vous trouverez des indications sur les sites dédiés.

Moi, je la trouve jolie (et un peu envahissante....)







Elle est si jolie....

 31/05/2017
Si jolie dans la lumière du soir....

Un conte d'Andersen, puisque j'aime les contes....

Écoutez bien cette petite histoire.
À la campagne, près de la grande route, était située une gentille maisonnette que vous avez sans doute remarquée vous-même. Sur le devant se trouve un petit jardin avec des fleurs et une palissade verte ; non loin de là, sur le bord du fossé, au milieu de l’herbe épaisse, fleurissait une petite pâquerette. Grâce au soleil qui la chauffait de ses rayons aussi bien que les grandes et riches fleurs du jardin, elle s’épanouissait d’heure en heure. Un beau matin, entièrement ouverte, avec ses petites feuilles blanches et brillantes, elle ressemblait à un soleil en miniature entouré de ses rayons. Qu’on l’aperçût dans l’herbe et qu’on la regardât comme une pauvre fleur insignifiante, elle s’en inquiétait peu. Elle était contente, aspirait avec délices la chaleur du soleil, et écoutait le chant de l’alouette qui s’élevait dans les airs.
Ainsi, la petite pâquerette était heureuse comme par un jour de fête, et cependant c’était un lundi. Pendant que les enfants, assis sur les bancs de l’école, apprenaient leurs leçons, elle, assise sur sa tige verte, apprenait par la beauté de la nature la bonté de Dieu, et il lui semblait que tout ce qu’elle ressentait en silence, la petite alouette l’exprimait parfaitement par ses chansons joyeuses. Aussi regarda-t-elle avec une sorte de respect l’heureux oiseau qui chantait et volait, mais elle n’éprouva aucun regret de ne pouvoir en faire autant.
« Je vois et j’entends, pensa-t-elle ; le soleil me réchauffe et le vent m’embrasse. Oh ! j’aurais tort de me plaindre. »
En dedans de la palissade se trouvaient une quantité de fleurs roides et distinguées ; moins elles avaient de parfum, plus elles se redressaient. Les pivoines se gonflaient pour paraître plus grosses que les roses : mais ce n’est pas la grosseur qui fait la rose. Les tulipes brillaient par la beauté de leurs couleurs et se pavanaient avec prétention ; elles ne daignaient pas jeter un regard sur la petite pâquerette, tandis que la pauvrette les admirait en disant : « Comme elles sont riches et belles ! Sans doute le superbe oiseau va les visiter. Dieu merci, je pourrai assister à ce beau spectacle. »
Et au même instant, l’alouette dirigea son vol, non pas vers les pivoines et les tulipes, mais vers le gazon, auprès de la pauvre pâquerette, qui, effrayée de joie, ne savait plus que penser.
Le petit oiseau se mit à sautiller autour d’elle en chantant : « Comme l’herbe est moelleuse ! Oh ! la charmante petite fleur au cœur d’or et à la robe d’argent ! »
On ne peut se faire une idée du bonheur de la petite fleur. L’oiseau l’embrassa de son bec, chanta encore devant elle, puis il remonta dans l’azur du ciel. Pendant plus d’un quart d’heure, la pâquerette ne put se remettre de son émotion. À moitié honteuse, mais ravie au fond du cœur, elle regarda les autres fleurs dans le jardin. Témoins de l’honneur qu’on lui avait rendu, elles devaient bien comprendre sa joie ; mais les tulipes se tenaient encore plus roides qu’auparavant ; leur figure rouge et pointue exprimait leur dépit. Les pivoines avaient la tête toute gonflée. Quelle chance pour la pauvre pâquerette qu’elles ne pussent parler ! Elles lui auraient dit bien des choses désagréables. La petite fleur s’en aperçut et s’attrista de leur mauvaise humeur.
Quelques moments après, une jeune fille armée d’un grand couteau affilé et brillant entra dans le jardin, s’approcha des tulipes et les coupa l’une après l’autre.
— Quel malheur ! dit la petite pâquerette en soupirant ; voilà qui est affreux ; c’en est fait d’elles.
Et pendant que la jeune fille emportait les tulipes, la pâquerette se réjouissait de n’être qu’une pauvre petite fleur dans l’herbe. Appréciant la bonté de Dieu, et pleine de reconnaissance, elle referma ses feuilles au déclin du jour, s’endormit et rêva toute la nuit au soleil et au petit oiseau.
Le lendemain matin, lorsque la pâquerette eut rouvert ses feuilles à l’air et à la lumière, elle reconnut la voix de l’oiseau, mais son chant était tout triste. La pauvre alouette avait de bonnes raisons pour s’affliger : on l’avait prise et enfermée dans une cage suspendue à une croisée ouverte. Elle chantait le bonheur de la liberté, la beauté des champs verdoyants et ses anciens voyages à travers les airs.
La petite pâquerette aurait bien voulu lui venir en aide : mais comment faire ? C’était chose difficile. La compassion qu’elle éprouvait pour le pauvre oiseau captif lui fit tout à fait oublier les beautés qui l’entouraient, la douce chaleur du soleil et la blancheur éclatante de ses propres feuilles.
Bientôt deux petits garçons entrèrent dans le jardin ; le plus grand portait à la main un couteau long et affilé comme celui de la jeune fille qui avait coupé les tulipes. Ils se dirigèrent vers la pâquerette, qui ne pouvait comprendre ce qu’ils voulaient.
— Ici nous pouvons enlever un beau morceau de gazon pour l’alouette, dit l’un des garçons, et il commença à tailler un carré profond autour de la petite fleur.
— Arrache la fleur ! dit l’autre.
À ces mots, la pâquerette trembla d’effroi. Être arrachée, c’était perdre la vie ; et jamais elle n’avait tant béni l’existence qu’en ce moment où elle espérait entrer avec le gazon dans la cage de l’alouette prisonnière.
— Non, laissons-la, répondit le plus grand ; elle est très bien placée.
Elle fut donc épargnée et entra dans la cage de l’alouette.
Le pauvre oiseau, se plaignant amèrement de sa captivité, frappait de ses ailes le fil de fer de la cage. La petite pâquerette ne pouvait, malgré tout son désir, lui faire entendre une parole de consolation.
Ainsi se passa la matinée.
— Il n’y a plus d’eau ici, s’écria le prisonnier ; tout le monde est sorti sans me laisser une goutte d’eau. Mon gosier est sec et brûlant, j’ai une fièvre terrible, j’étouffe ! Hélas ! il faut donc que je meure, loin du soleil brillant, loin de la fraîche verdure et de toutes les magnificences de la création !
Puis il enfonça son bec dans le gazon humide pour se rafraîchir un peu. Son regard tomba sur la petite pâquerette ; il lui fit un signe de tête amical, et dit en l’embrassant : « Toi aussi, pauvre petite fleur, tu périras ici ! En échange du monde que j’avais à ma disposition, l’on m’a donné quelques brins d’herbe et toi seule pour société. Chaque brin d’herbe doit être pour moi un arbre ; chacune de tes feuilles blanches, une fleur odoriférante. Ah ! tu me rappelles tout ce que j’ai perdu !
— Si je pouvais le consoler ? », pensait la pâquerette, incapable de faire un mouvement. Cependant le parfum qu’elle exhalait devint plus fort qu’à l’ordinaire ; l’oiseau s’en aperçut, et quoiqu’il languît d’une soif dévorante qui lui faisait arracher tous les brins d’herbe l’un après l’autre, il eut bien garde de toucher à la fleur.
Le soir arriva ; personne n’était encore là pour apporter une goutte d’eau à la malheureuse alouette. Alors elle étendit ses belles ailes en les secouant convulsivement, et fit entendre une petite chanson mélancolique. Sa petite tête s’inclina vers la fleur, et son cœur brisé de désir et de douleur cessa de battre. À ce triste spectacle, la petite pâquerette ne put, comme la veille, refermer ses feuilles pour dormir ; malade de tristesse, elle se pencha vers la terre.
Les petits garçons ne revinrent que le lendemain. À la vue de l’oiseau mort, ils versèrent des larmes et lui creusèrent une fosse. Le corps, enfermé dans une jolie boîte rouge, fut enterré royalement, et sur la tombe recouverte ils semèrent des feuilles de roses.
Pauvre oiseau ! pendant qu’il vivait et chantait, on l’avait oublié dans sa cage et laissé mourir de misère ; après sa mort, on le pleurait et on lui prodiguait des honneurs.
Le gazon et la pâquerette furent jetés dans la poussière sur la grande route ; personne ne pensa à celle qui avait si tendrement aimé le petit oiseau.

 

 

J'aime les contes, j'aime les pâquerettes.....(les photographier n'est pas si simple......)

Bonne lecture! si vous avez le temps.....entre deux passages de tondeuse dans votre pelouse...et ses pâquerettes !
A défaut d'avoir envie de lire, un regard à cette si jolie fleurette !


(Conte repris dans ce site)





L'air marin.....

 29/05/2017
Oui! ça sent l'air marin ,jusqu'ici!!!

Grâce à Chantal!!!

Merci pour ce moment de fraîcheur...




Eau de rhubarbe

 29/05/2017

Une boisson rafraichissante ! c'est tout à fait ce qui convient ces jours-ci!



J'ai préparé de l'eau de rhubarbe...-


Ingrédients:

- 500 grammes de rhubarbe 

- 150 grammes de sucre

- 1 litre d’eau bouillante



Action :

- Dans un saladier, mettez la rhubarbe non épluchée et coupée en petits tronçons.

- Ajoutez le sucre et laisser macérer quelques heures.

- Versez ensuite l’eau bouillante et mélangez.

- Couvrez et laissez macérer 24 heures.

- Filtrez au travers d’un chinois.

- Mettez le sirop obtenu dans une jolie carafe et placez au frais.

 

Il n'y a plus qu'à déguster !

Cette boisson peut se conserver trois jours au réfrigérateur.

 

Verdict:

C'est délicieux !

 

Remarque:

Les dés de rhubarbe peuvent servir à faire une tarte....

 

 

 

 




Un trou parfaitement circulaire dans un de mes érables....il doit bien être habité !

Je m'assieds à bonne distance, car je ne suis pas du genre à vouloir une photo à tout prix, et surtout pas au prix du dérangement d'une famille d'oiseaux...

Tout à coup .... ça bouge là-dedans!

J'approche doucement...




Le pic vert a niché ! j'en étais presque certaine, au vu des allées et venues de ces beaux oiseaux dans mes arbres!

Voilà un jeune, qui réclame sa pitance!
Combien sont-ils dans ce nid???
Impossible de savoir.
Le nid est à environ 4 mètres de haut.

Prudents, les parents ne se montreront pas tant que je serai dans le coin.








Deux ou trois clics, et je m'éloigne aussi discrètement que possible...

Je suis vraiment heureuse ! conserver les vieux arbres, c'est vraiment important...



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