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Je voudrais vous parler d'une autre méthode pour faire de la marqueterie.
Dans cette méthode utilisée par André-Charles Boulle (1642-1732), ébéniste de Louis XIV, deux essences seulement sont découpées "en superposition" simultanément, au vu d'un seul dessin, placé sur le paquet ainsi constitué. De son créateur, qui utilisait un "paquet" de 2 ou 3 essences de bois, de métal, ou d'écaille. Cette technique demande une découpe simultanée du paquet, pré assemblé en "sandwich", pré percé à des endroits qui se voient le moins possible, et ne permet pas des pointes trop aiguës. Elle requiert là aussi un encollage préalable des bois fragiles. Cette méthode permet d'obtenir 2 ou 3 tableaux dont les couleurs sont inter changées, un seul étant l'élu de ses choix ! Boulle l'appelait partie, par opposition à l'autre exemplaire appelé contrepartie. Il faut, pour cette technique une scie, qu'elle soit manuelle, électrique, à pédale, issue du commerce ou fabriquée artisanalement. L'inconvénient majeur de cette méthode est lié à la difficulté du sciage, qui doit être le plus fin possible. Il ne tolère ni les écarts, nécessite une rotation "sur place" de la lame dans les angles trop vifs, et oblige des percements discrets pour le passage de la lame, de préférence dans les bois les plus foncés. Photo du dessus : empilage des couches en technique BOULLE : - une contreplaque supérieure (samba de 2 mm, contreplaqué fin, ...) supporte le dessin ; celui-ci y est collé pour permettre le découpage à la scie, - un placage de couleur foncée, - un placage de couleur claire, - une contreplaque inférieure, le tout est assemblé en un même sandwich. Pour le passage de la lame de scie, il est nécessaire de percer les endroits les moins visibles, de préférence dans le bois foncé, à l'aide d'un foret de 1 mm. Une lame de scie très fine (moins de 0,2 mm de voie) est indispensable dans cette méthode, les bois sont découpés en une seule fois. On évite les pointes trop aigues dans cette technique. Voici le résultat :
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1 - Choisir un plan / réaliser un calque :
Des modèles variés sont disponibles dans mon atelier. On en trouve également dans des magasins spécialisés, mais chacun, en fonction de son imagination et de ses compétences en dessin, peut réaliser des oeuvres originales ayant pour base un dessin personnel, un croquis, une photo ou une carte postale. De ce modèle original, il est impératif d’établir un calque aux dimensions de la marqueterie à réaliser. Ce document servira de référence à tout moment du travail. Il permettra, par superposition, de suivre l’évolution conforme de la marqueterie. Le tracé du calque doit être le plus fin et le plus précis possible. Il est peut être utile de noter sur le calque le nom des bois que l’on désire utiliser, l’orientation des fibres et éventuellement le colorier aux teintes retenues. 2 - Choisir les bois et s’approvisionner : La beauté et l’intérêt d’une marqueterie tient à la précision de sa réalisation, mais encore plus au mélange harmonieux des couleurs, des tons et du dessin des bois qui seront utilisés. Il est donc nécessaire, avant tous travaux de réalisation, de rechercher les associations judicieuses des placages. Mais en la matière, il n’existe pas vraiment de vérité. La palette des nuances et la richesse esthétique du veinage (loupes, reflets), doivent être exploitées. Ce choix peut varier suivant les goûts du réalisateur mais aussi en fonction des disponibilités du moment. Quelques remarques ont fait leurs preuves: le poirier correspond bien à la couleur chair les toits de maisons peuvent utilement être réalises en platane maillé, corail, noyer, bois teinté noir La végétation gagne à être realisée en loupes diverses. Suivant les essences, les bois utilisés sont dits tendres, mi-durs ou durs. Cette qualité est fonction de leur densité et de la finesse de leur grain. La majorité des bois de placage se découpent bien au cutter. Pour les plus durs, l’utilisation d’outils de coupe plus résistants (scies, ciseaux à bois, gouges ...) est conseillée. Les bois tendres ou ne présentant que peu de fil peuvent être facilement découpés aux ciseaux à main. 3 - Transférer le dessin : Dans le cas où le travail final est une inclusion, le bois de fond entoure tout le motif. Le transfert du dessin se fera donc directement sur le bois de fond. Dans le cas contraire, il est préférable de décalquer l’oeuvre à réaliser sur un carton fin. Pour le transfert, placer une feuille de carbone sur le bois ou le carton (il existe des feuilles de transfert noirs, bleues, jaunes, bIanches), puis une feuille blanche et enfin le calque. Solidariser le tout, puis décalquer. 4 - Préparer les placages avant découpe : Lorsqu’on découpe des pièces de bois de manière oblique ou perpendiculaire au fil, le risque de cassure est grand. Il est fréquent que la pièce casse à contrefîl dans ses parties les moins larges. Il est donc impératif de recouvrir un côté du placage par un film adhésif (papier kraft ou adhésif commercial, scotch ...) pour le renforcer. Le coté recouvert sera celui visible lorsque l’ouvrage sera fini, il devra donc être sans défaut. De même, il devra être tenu compte que lorsqu’on réalise des motifs qui ont un sens (monuments ...), le tableau doit alors être « monté » à l’envers. 5 - Réaliser la marqueterie : A l’aide du calque qui a été réalisé et d’un carbone, dessiner la première pièce à découper, dans le morceau de placage choisi. De préférence on commence par la pièce la plus grande ou le fond (dans l’exemple, on découpe le bas de la robe et le tablier). Attention, les carbones gras laissent souvent des traces difficiles à faire disparaître à la finition du tableau. Si l’ajustement est mal calculé, il est souvent possible de rattraper l’erreur en frottant la pièce sur du papier de verre. Pour la deuxième pièce à réaliser, placer et orienter le bois retenu sous la première pièce. La mairitenir en place par du scotch de manière provisoire. Couper directement au cutter les parties jointives, en se servant de la première pièce comme guide. Les autres pièces seront assemblées de la même manière, l’une après l’autre, en réalisant en premier lieu les plus grandes. A noter qu’il est préférable d’avoir certain jeu dans l’ajustement des pièces que de les voir se superposer, ce fait entraînant des difficultés au collage. Les détails ne seront réalisés qu’ultérieurement quand le tableau aura sa structure définitive. Les petites pièces seront réalisées en Inclusion du puzzle. Pour une mise en valeur du tableau terminé, il faut envisager avant collage les enjolivements possibles (filet, Marie Louise, encadrement ...) 6 - Coller l’assemblage provisoire sur un support : L’assemblage en bois de placage n’ayant aucune rigidité, il est nécessaire de le fixer sur un support. Les supports généralement utilisés sont en copeau pressé ou en médium dont l’épaisseur est conditionnée par les dimensions du tableau. En principe, pour un tableau de dimensions moyennes, l’épaisseur retenue est de 10 mm. Au dessous les tensions de collage risquent de gauchir le support. Pour le collage, les professionnels utilisent des colles spécifiques (os, nerf, poissons ...), techniques difficiles à mettre en oeuvre. Les amateurs, quant à eux, utilisent généralement la colle contact (néoprène) dont l’effet est immédiat. On peut également utiliser de la colle à bois blanche, mais cette technique a l’inconvénient d’imposer la mise sous presse pendant 24 heures. 7 - Mise à nu et nettoyage de la face apparente : Lorsqu’il n’y a plus de risque de détacher les pièces collées, il reste à éliminer tout le papier adhésif qui a servi à l’assemblage provisoire. Si du papier kraft a été utilisé, il sera nécessaire de l’humidifier légèrement. Il est toujours possible après collage de réaliser certains détails, ou de reprendre les pièces fendues ou dont les pointes ont été cassées. Ces défauts apparaissant après le retrait de l’adhésif. Pour éliminer les traces de colle, nettoyer la face apparente au withe-spirit ou à l’essence F. 8 - Ponçage Le bois est une matière creuse pour le passage de la sève de l’arbre. La surface des placages est constellée de pores. Lorsque l’on ponce des bois de couleurs différentes sans les protéger, les bois les plus clairs deviennent ternes. Ce phénomène est remarquable lorsqu’on ponce des bois de couleur ou teintés (bois noir, Corail padouk ...) associés à des bois clairs (sycomore ...). Pour empêcher ce phénomène, il faut avant tout ponçage, recouvrir le tableau de « bouche-pores ». Le ponçage peut s’effectuer lorsque le bouche pores est sec, à la main ou à la machine, en commençant par des feuilles abrasives à sec à gros grains (50 ou 80) et en terminant par des abrasifs à 120/ 150 ou plus. 9 - Finition (vernis / cire - encadrement) Pour sa mise en valeur le tableau terminé peut être ciré ou verni, c’est une question de goût. Certains bois supportent mal la lumière. Leur couleurs ont tendance à passer lorsqu’ils sont exposés au soleil. Il existe des vernis anti-UV. |
Des muffins, c'est déjà du bonheur! Nous avons testé, goûté et apprécié (n'est-ce-pas Fifi ?...) ces jours-ci ma recette de muffins au chocolat. Mais que vois-je ce matin pour bien commencer la journée! des muffins au crumble de pommes.... Ahhhhhhhhhhhhh !!! je suis déjà en train de fondre devant la recette pas de faim mais plutôt de gourmandise !!! |
Avant de faire circuler un e-mail que vous avez reçu à tous vos contacts, vérifiez d'abord si il ne s'agit pas d'un canular... >> http://www.hoaxbuster.com |
Voici le fruit de ma recherche! J'étais trop curieuse... Comment peut-on l'utiliser? Désormais, une large catégorie de Chefs utilise ces arômes, tout simplement parce qu'ils leur apportent plus de possibilités de création, un gain de temps, une garantie de résultat pour des préparations de bases comme pour des recettes gastronomiques. Ces arômes permettent des préparations culinaires jusqu'ici irréalisables ! En aviez-vous entendu parler? |
L'origine de la tarte tatin Depuis la recette originale, de nombreuses recettes de tarte tatin ont été inventé. |
Cette photo a été prise en 1909 à Ars-en-Ré (Ile de Ré) en Charente-Maritime. Source : Souvenir de chez mon père. |
Le petit écran se pique maintenant de nous apprendre à cuisiner. J'ai été curieuse de connaitre ces émissions, sur quelles chaînes et leurs heures de programmation. Mon recensement n'est peut-être pas exaustif.... Les escapades de Petitrenaud samedi et dimanche - 11h50 - France 5 Un dîner presque parfait du lundi au vendredi - 18h05 - M6 Bon appétit, bien sûr lundi et vendredi - 12h55 - France 3 Côté cuisine lundi, mardi, jeudi, vendredi - 11h15 - France 3 Chef, la recette samedi - 12h30 - M6 Allô Sophie samedi - 11h15 - TF1 Julie chez vous du lundi au samedi - 12h - TF1 Conclusion : N'hésitez pas à me donner votre avis, à me dire si vous regardez ces émissions ou peut-être d'autres que je n'ai pas répertoriées. |
Source : mon amie Sophie |
Aujourd'hui, nous allons à notre activité "marquéterie". Je vous souhaite une bonne journée. Je vais terminer mon cadre fond bleu avec les fleurs. |
A quoi vous fait penser cette photo? Un indice : toute ma jeunesse...... |
La voici : c'est un petit mot de mon mari déposé sur ma broderie! Ce fut la surprise de ce matin à mon réveil. Quel beau début de journée.... n'est-ce pas?
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Bon dimanche à vous ! Pour nous, je pense que ce sera "cinéma". Je vais regarder les films à l'affiche et nous allons nous concerter et faire notre choix.
Je suis déjà assez tentée par le dernier fim de Robert Guédiguian "Lady Jane" avec Ariane Ascaride (son épouse dans la vie) et Jean-Pierre Darroussin, ses acteurs fétiches. J'ai déjà vu "Marius et Jeannette" et j'avais adoré! |