De la place du marché en passant par les terrasses du boulevard Gambetta, la capitale du Lot conjugue ambiance méridionale, richesses historiques et plaisirs gourmands pour séduire autant les passionnés de patrimoine que les amoureux d’art de vivre.
Aujourd'hui, nous terminons notre balade à travers les rues de Cahors en allant visiter le cloître de la cathédrale saint-Étienne! Vous pouvez voir ou revoir notre balade à travers les rues de Cahors depuis le début en cliquant sur ce lien. Cliquez sur les photos pour les agrandir! Une porte, à droite du chœur, permet d'accéder au cloître gothique flamboyant qui fut édifié en 1504 par l'évêque Antoine de Luzech.
Les sculptures profanes représentant des coquillards, des buveurs, des musiciens, un architecte au travail, ont peut-être été copiées sur celles de Cadouin.
La curiosité de ce cloître est que la surface de la cour intérieure est strictement égale à la surface de la galerie qui l'entoure, illustrant ainsi la duplication du carré et le nombre racine carré de deux qui a fasciné mathématiciens et architectes depuis Babylone.
Les galeries sont couvertes d'une voûte en étoile, dont les nef étaient ornées de pendentifs!
C'est dans le cloître que nous avons trouvé le dernier des jardins qui agrémentent la visite de Cahors.
Le jardin du cloître de la cathédrale, "Le préau céleste" est d'inspiration religieuse.
Il fait référence au Cantique des Cantiques ainsi qu'à la Verge Marie par les couleurs utilisées. Il est composé de buis et de lavande.
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