grainedesucre

les rideaux de cuisine étaient usés. J'ai trouvé ceux-ci : immitation lin, fond beige et déco marron. Tout à fait bien avec le mur jaune clair et les meubles couleur chêne. Je suis ravie ;-))

pour cette tarte il vous faut :
1 pâte feuilletée
2 pamplemousses
2 gros oeufs ou 3 petits
100 g de sucre
75 g de beurre
75 g de poudre d'amandes
150 g de sucre  1 verre d'eau 
1 petit verre à liqueur de kirsch ou de cointreau

placez votre pâte dans le moule. 

préparez votre crème : dans un saladier, mélangez les jaunes d'oeufs et le sucre (roux pour moi) pour obtenir une préparation plus claire. ajoutez le beurre ramolli (ou à peine fondu). le jus d'un demi-pamplemousse  et le zeste râpé de l"écorce.  

Ajoutez les blancs battus en neige et  la poudre d'amandes grillées....

Versez votre préparation sur la pâte et enfournez pour 35 minutes à th moyen.
(si votre four chauffe beaucoup, placez une feuille d'alu pour protéger)

couper l'autre pamplemousse en fines rondelles. dans une casserole ou un plat large, préparez un sirop de sucre (avec le sucre et l'eau), laissez bouillir deux minutes et placez vos rondelles de pamplemousse.

laissez cuire jusqu'à ce que les blancs de la peau deviennent translucides.

Egouttez, . sortez votre tarte du four et placez vos rondelles de pamplemousse en décoration.

puis versez votre sirop au dessus et faites griller votre tarte  pendant 5 minutes à feu vif. 

Christiane recherche l'explication de ce point. cliquez ici.

je l'ai retrouvé dans le livre de ma Grand mère, il s'appelle spirale à jours (page 93). Le livre indique "tricot en rond". Il faut donc utiliser une aiguille pour tricoter en rond en continu. Bien sûr si vous n'avez pas cette aiguille, c'est réalisable aussi à 5 aiguilles.

il est beau ce point ! bon tricot Christiane !
(cliquez sur la photo pour mieux lire la marche à suivre)

pour ce plat d'hiver, facile à réaliser,il faut :

1 petit chou fleur (ou 1 tout petit chou fleur et 1 bouquet de brocolis)
400g de pommes de terre
1 reblochon
un peu de margarine
125 g de lardons
1 gros oignon
margarine
sel, poivre, un peu d'huile d'olive pour le plat... des herbes suivant votre goût...

faites cuire le ou les chou(x) (le brocoli cuit moins longtemps) et les pommes de terre et égouttez.
dans une poêle, avec un peu de margarine, faites revenir vos oignons, et vos lardons... égouttez.

dans un plat à gratin huilé, posez les bouquets de légumes, les pommes de terre, les lardons, les oignons, salez, poivrez.
coupez le reblochon en petits bouts. Disposez le fromage et les herbes sur le dessus puis enfournez à four chaud 180 ° pour 25 à 30 minutes.

le reblochon peut être remplacé par du maroilles tout aussi savoureux !

j'ai fait... le gâteau maison...

j'ai reçu ... un bien joli message fleuri ...

même si nous vivons un instant magique, il faut songer à revenir et surtout être prudents : nous ne savons pas quand la mer va remonter... ce gentil ruisseau peut devenir difficile à traverser....

alors nous marchons d'un bon pas vers tout là bas... si la mer remonte... cet espace sera vite comblé et nous avons une bonne distance pour revenir...on ne rigole pas avec la mer...

ce sable est magnifique avec ces ondulations si prononcées...

ces grappes de moules n'ont pas du voir le soleil jusqu'à aujourd'hui ....

ce fin ruban de sable nous ramène vers notre point de départ...

cette photo-ci me plaît beaucoup... la transparence de l'algue dans les rayons du soleil....c'est beau... que la nature est belle.... tant pis je m'arrête pour la photo...

nous revoilà à hauteur du portail en fer...

nous retrouvons notre épave ouverte à tous les courants, comme une grande mâchoire....

à gauche nous avons l'étendue, immense, démesurée... où les spectacteurs comme nous s'aventurent sur le côté du brise-lames...

où à droite, la verticalité de la jetée nous impressionne toujours autant.. on voit bien les niveaux de l'eau en temps normal, à marée haute...

le sable est martelé comme ces jolis plateaux de cuivre que l'on trouve en nord Afrique...

là aussi nous nous retournons vers notre "bout du monde" qui sera bien vite envahi à nouveau par la mer.. oui nous étions tout là-bas au bout !

voilà, nous atteignons la rotonde qui marque le début de la jetée...

c'est à la fois un soulagement et aussi un regret de ne pouvoir s'attarder...

nous atteignons le bas de la digue avec ces vestiges de jetée...

nous arrivons à la fin de notre aventure...  le passé à ressurgi dans la tempête..., nous voyons les morceaux de bois, burinés, blancs de sel et d'usure... 

ce fut une belle basse marée d'équinoxe !

le vent avait soufflé fort... la mer était venue jusqu'aux premières maisons de la digue...

mais c'est habituel dans ces moments là...Aussi loin elle "monte" aussi loin elle "descend"....

ce coup-ci elle a beaucoup travaillé le rivage....

les piliers de la vieille jetée, recouverte de tonnes de sable l'été précédent, réaparaissent...

la mer a effacé le travail de deux mois fait par l'homme en une seule marée !!!

nous sommes surpris parce que nous sommes de l'autre côté de la jetée actuelle mais là ... d'habitude.... il y a l'eau !!!!

alors parce que c'est unique que ce soit dimanche, qu'il y ait eu une forte marée la veille, que justement la mer est basse et que nous sommes là ... nous avançons étonnés et curieux....

regardez ce portail en fer tout là haut... nous sommes au pied de la jetée à l'endroit où là haut nous ne pouvons aller plus loin....

c'est une sensation tout à fait unique et du coup nous nous retournons vers la plage....tellement habitués à ce qu'il y ait de l'eau, je n'arrêtais pas de dire "je suis dans la mer... je suis dans la mer !" incroyable !

et je n'en reviens pas... nous sommes "dans l'eau" enfin là où d'habitude il y a de l'eau et où nous n'avons pas accès... !

le spectacle est à couper le souffle : le ciel si particulier mi-pénombre mi-lumière, la masse de la jetée, la hauteur de la construction... tout est particulier...

alors nous avançons encore, comme attirés vers le bout du possible à pied... d'abord les brise-lames...

et cette étroite bande de sable qui nous emmène dans l'irréel...

c'est une sensation bizarre, nous ne pouvons pas nous empêcher d'aller plus loin...toujours plus loin...

nous découvrons l'épave d'un bâteau enlisé là pour longtemps...

la vie marine est là avec les mollusques attachés, le calcaire ...

des pêcheurs avec leur famille nous ont devancés... ils profitent de ce recul rarissime....

regardez ! nous voyons le feu de St Pol juste de l'autre côté ...

et au bout, la balise blanche qui avec le feu de St Pol marque le bout du chenal...

voilà ce que çà donne quand on est sur la jetée ... vous voyez le feu de St Pol au milieu, au fond...

et sur la partie droite du chenal, la jetée avec au bout la balise blanche qui délimite le chenal vers la pleine mer...

le prochain article nous permettra de revenir, les yeux pleins d'images magiques sur la terre ferme ...

merci à cette gentille blogeuse qui nous a envoyé ce rigolo sac à pain plein de peps qui nous fera une chouette déco quand nous aurons fini de repeindre la cuisine !!! et merci aussi pour le "so nice and typical" vide poche,  les chocolats et la carte avec le mot si chaleureux derrière ;-))

en janvier Sophie nous a envoyé une jacinthe et un vase spécial pour la mettre dedans. Aujourd'hui, la jacinthe est fleurie... merci Sophie

oh là là dit la "reine" des grenouilles... avec ce temps si bizarre je ne m'y retrouve plus !

partons du pont des corderies construit juste après guerre. Il  fut ainsi appelé parce qu'il y a encore quelques vingt ans

ce pont métallique reliait l'atelier des corderies de Rosendaël à Coudekerque, juste face au cimetière...

A l'emplacement de ces maisons, existait une corderie où sur des mètres et des mètres de long,  les Ets Ayello, aujourd'hui disparus, fabriquaient, cordes, ficèles et filets de pêche...

aujourd'hui, la berge du canal a été aménagée pour la promenade ... (c'est de là que vient la photo de la devinette)

ainsi, vous pouvez descendre sur ce ponton...

vous y installer pour un pique-nique, une pause détente...quand il fait beau...

ce qui fait une impression bizarre parce que vous êtes "dans" le canal de Furnes. au ras de l'eau et que çà change le paysage...
ce canal date du XVIIème siècle,  il part vers la Belgique jusqu'à Nieuport où il rejoint la mer...

mais remontons sur la berge et poursuivons notre chemin jusqu'aux écluses. Quelques fleurs résistent à la pluie et au vent... nous n'avons pas encore eu de vrai hiver....

au niveau des écluses, un des trois clapets des pompes est ouvert pour laisser s'écouler, via le canal exutoire, des mètres cubes d'eau issus des Moëres (zone de polders)...

la force de l'eau est puissante et le bruit assourdissant ! ...

passé le pont qui enjambe les pompes nous retrouvons le calme d'une des écluses et son charme suranné...

de ce côté, tout est calme à cette heure de la journée...

parce que tout à côté, a été construite une salle pour l'art scénique rock et certains soirs, l'ambiance y est toute différente...

nous, nous préférons nous diriger vers ce petit parcours, à la rencontre de cette très vieille écluse qui ne sert plus depuis longtemps...

et où la végétation a repris ses droits...

nous ferons notre petit circuit dans la verdure avant de rentrer à nouveau en ville et revenir chez nous...

qu'est-ce donc ?  Bravo à vous toutes oui c'est bien un noeud dans le bois !!

voici le tronc raboté de cet arbre. Il fait partie d'une promenade dans laquelle je vous enmmènerai bientôt....

Dans cette rue, symbolisé ici par cette plaque, de nombreuses habitations ont planté des végétaux qui poussent le long de leur façade, entre le troittoir et les maisons.

au détour de notre balade de ce matin, voici l'estaminet "au repos hebdomadaire". Cette maison de maraîcher, toute en longueur, a une toiture très basse du côté Nord
Cette ancien café/estaminet, est aujourd'hui transformé en maison particulère.

l'explication est la suivante (soucre Yser Houck cliquez sur le lien ici)
 

" Chez nous il pleut souvent, il y a un vent d'ouest presque permanent, il y a peu de soleil. La maison flamande doit donc se préserver à la fois de la pluie et du vent, tout en cherchant le soleil. Un toit à forte pente évacuera cette eau (les régions où il pleut fort mais rarement auront un toit plat puisque l'eau d'une forte pluie s'évacuera toujours, pas celle d'un crachin). La pluie fouettée par le vent tapera sur les murs, on fait des murs bas, bien protégés par le toit qui déborde. "

merci Dely pour cet "air parisien". nous aimons beaucoup Paris et ce superbe pont si bien restauré nous a fait bien plaisir ainsi que le gentil mot inscrit au dos.