à votre idée ???...
je laisse un peu de temps pour que tout le monde puisse jouer un peu... à bientôt ! eh oui comment tromper nos amies si férues en cuisine !...
il s'agissait bien de crème chantilly... bravo à Marie-Claude et à Sylvie... et aussi aux autres fines mouches qui avaient trouvé les blancs d'oeuf en neige ... et aussi à vous toutes qui avaient participé !!!
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Monsieur Canard avait fini ses courses mais il avait oublié de remettre le caddie en place... Mesdames les poules d'eau se moquèrent de lui et pour ne pas perdre la face, il fit l'équilibriste pour montrer qu'il savait faire bien d'autres choses !
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légère, goûteuse (pour qui aime le goût amande) et surtout facile à réaliser !
il vous faut : 1 pâte feuilletée toute prête 1 grande boîte d'oreillons abricots au sirop léger égouttée 3 oeufs 100 g de poudre d'amandes 40g de beurre 75g de sucre roux un peu de carame liquide 1 sachet de sucre vanillé un peu de lait 2 gouttes d'amandes amères 30 g d'amandes effilées déposez votre pâte avec le papier sulfurisé dans votre moule et faites cuire "à blanc" pendant 8 à 10 minutes. A la sortie du four, disposez vos demi-abricots sur le fond et répartissez un peu de caramel liquide sur l'ensemble... Dans un saladier, mélangez vos jaunes d'oeufs avec le sucre, le sucre vanillé, l'extrait d'amandes amères, le beurre fondu et un peu de lait pour obtenir une pâte homogène.
battez vos blancs en neige très ferme et incorporez délicatement à la pâte. Versez sur les oreillons abricots et parsemez d'amandes effilées...
enfournez pour 25 minutes... à la sortie du four, vos amandes effilées seront grillées... Il ne reste plus qu'à déguster !
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merci à Marie Claude du blog "33 gourmande" dont c'est l'anniversaire de blog pour cette très jolie carte !
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merci beaucoup pour cette jolie carte postale pas ordinaire ...et le gentil mot qui l'accompagne...
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ce soir, retour d'une journée lilloise et ... carte de Chantal et Annick ... que çà fait plaisir ! merci d'avoir pris le temps d'y penser !
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vous nous suivez (depuis là ! ) dans cette visite à remonter le temps...
3) les tapisseries et la Dame à la Licorne : plusieurs salles se succèdent, plantant le décor somptueux de ces tapisseries, véritables témoins de l'époque... de taille gigantesque, elles servaient de protection contre l'humidité et le froid des châteaux...
il fallait d'énormes métiers à tisser pour réaliser de telles tentures...
les détails nous ont fourni bien des éléments sur la vie d'époque...
les couleurs restent chatoyantes malgré le temps et l'ensemble est très poétique...
on y retrouve les thèmes de l'"amour courtois" si caractéristique du Moyen-Âge...
Nous voici enfin devant les tapisseries de la "Dame à la Licorne"... la pièce circulaire nous emmène dans le monde de l'allégorie du XVème siècle...
"La Dame à la licorne est une tenture composée de six tapisseries datant de la fin du xve siècle, exposée au musée national du Moyen Âge" (source Wikipédia) cinq sens y sont représentés plus un sixième plus difficile à interpréter... toutes représentent l'énigmatique licorne, sujet de biens des légendes... celle-ci représente "le goût"... ici c'est " l'odorat"...
la sixième serait "la largesse du coeur" ou "mon seul désir"...
pour en savoir plus sur la "Dame à la Licorne" et ses secrets... Extrait : Le musée de ClunyElisabeth Taburet-Delahaye, directrice du Musée de Cluny, nous présente les tapisseries de La Dame à la Licorne. Ces tapisseries datent des alentours de l’an 1500 et constituent le grand chef d’œuvre du musée. Sur ces six tapisseries, cinq d’entre elles illustrent chacune l’un des sens de l’homme. La sixième tapisserie représenterait l’intelligence et le cœur nous ne pouvons vous faire quitter ce lieu magique sans vous faire remarquer une statue originaire de Bruxelles, datant du XVème siècle ... celle de Sainte Marie-Madeleine",
le site du musée nous indique : "À l’origine éclatante de couleur, décapée et teintée au XIXe siècle, cette figure de Marie-Madeleine a bénéficié d'un récent décirage. Seuls d’infimes vestiges de cette polychromie permettent de reconstituer la coloration rouge et bleue de sa robe. Son exécution témoigne du savoir-faire du sculpteur, maître dans le rendu des vêtements et de la coiffure, inspirés des modes de son temps. L'élégant et complexe entrecroisement des nattes font de cette statue l'une des plus célèbres représentations de la pécheresse repentie élevée au rang de sainte." je m'en suis approchée pour mieux en voir les détails... quand on sait qu'au départ cette sculpture était un seul morceau de bois brut... le travail finement ciselé des tresses et la douceur du visage nous donne une idée de l'ampleur du talent de l'artiste...
la suite de cette visite se terminera par les Thermes de Cluny... |
après le chemin de la gare du Nord jusqu'à l'hôtel de Cluny ici
puis la découverte du jardin médiéval ici l'observation de l'édifice de l'hôtel de Cluny et de ses détails ici nous voici à l'intérieur pour une visite en quatre thèmes : 1) les collections... 2) les vitraux... 3) les tapisseries... 4) les thermes... 1) les collections : commençons dès l'entrée par une atmosphère feutrée, à l'éclairage étudié pour mettre toutes ces oeuvres en valeur... ce retable de la Passion (début du XVIè) s'impose dans la pièce...
ceci est l'oratoire des duchesses de Bourgogne : assemblage de plaquettes d'os, moins coûteux que l'ivoire...
ce vase à ailes, d'origine de Valence en Espagne est issu d'une technique particulièrement complexe... la faïence se compose d'oxydes métalliques dont la couleur varie en fonction de l'angle serlon lequel il est vu..donnant les reflets du métal...
ces boîtes à mariage décorées d'ivoire sont orignaires de Chine...
ces plaques en cuivre émaillé sont des plus lumineuses ... Elles sont originaires de Limoges et l'une d'elles date de 1503...
ce bas-relief est finement ciselé...la sculpture sur ivoire ne permet pas d'erreur...
les meubles sont à la hauteur des différentes oeuvres sculptée ici... et on imagine très bien cet imposant coffre
près de cette monumentale cheminée...
allons ensuite nous intéresser aux vitraux... 2) les vitraux :
au détour d'une salle, un aménagement spécial a été construit pour mettre en valeur les vitraux. la pièce est noire et seul les vitraux sont éclairés... une excellente façon de les mettre en valeur... certains vitraux viennent de la Sainte-Chapelle.
Extrait : Le musée de ClunySophie Lagabrielle, conservatrice en chef au Musée de Cluny, est notamment en charge des vitraux des XIIe et XIIIe siècles. Les dominantes sont le bleu et le rouge. Le bleu, couleur du roi et de la Vierge, est une couleur symbolique très importante. On ne savait pas le faire en France. On était donc obligé de l’importer, vraisemblablement du Moyen Orient. vous pouvez apprécier les détails sur cette vidéo (ici) ... très différents de style, ils proviennent également de la chapelle de l'hôtel de Cluny mais aussi de Troyes, de Rouen, d'Alsace ou de Limoges...
ce qui explique leurs différences de conception et de couleur...
le prochain article sera consacré aux tapisseries "millefleurs" et à la très célèbre "Dame à la Licorne"... |
Après notre descente sous la pluie, vers la Seine (ici !)
puis la visite du jardin médiéval (ici !) nous nous dirigeons vers la façade de l'hôtel de Cluny...Les photos de cet article ont été prises il y a deux ans ... sous le soleil ! mais nous n'avions visité ni le jardin ni le musée. Cette année, il a plu et pour visiter un musée quoi de mieux ! "Ce sont les abbés de l'illustre abbaye de Cluny en Bourgogne, qui décidèrent sa construction afin den faire leur pied-à-terre parisien." (source Géoguide) Sa cour fermée, créé une ambiance hors du temps...
Construit entre 1485 et 1498, il est de style gothique flamboyant..
on y retrouve : le "livre de pierre" des sculptures, les gargouilles...
le puits et sa margelle...
les frontons sculptés...
et ici le rappel de Saint-Jacques de Compostelle...
la tour-escalier est décorée d'un cadran solaire...
maintenant... dirigeons nous vers l'entrée afin de poursuivre notre visite...(qui fera l'objet du prochain article ... )
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mais nous n'avons pas regretté ... bien sûr le ciel était loin d'être engageant...
bien sûr il fallait au moins un parapluie...
bien sûr, il a plu fort et dru mais nous avons pu nous mettre à l'abri le temps de l'averse d'orage...
et puis nous avons regardé la direction du vent ...
et plutôt que de repartir dans les averses, nous avons continué notre balade....
les bâteaux de pêche rentraient au port...
et les paysages ne ressemblaient en rien à ce que nous pouvons voir d'habitude...
alors nous en avons profité pour bien s'oxygéner...
le temps serait-il humide qu'il y a des champignons qui poussent ???
en tout cas, la nature a su profiter de la bienfaisante pluie...et nous aussi.
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Nous sommes donc à Paris... sous la pluie...(voir ici !) et nous sommes arrivés à destination : l'hôtel de Cluny et son jardin médiéval...
Dû aux paysagistes Eric Ossart et Arnaud Maurières, il a pour décor l'hôtel de Cluny
et les ruines des thermes.
S'y est ajoutée la "fontaine aux roseaux d'argent" de Brigitte Nahon
le Géoguide nous indique : "on n'a planté ici que des espèces dont la culture médiévale a été attestée par leur représentation dans les tapisseries dites "mille-fleurs" notamment la fameuse série La Dame à la Licorne conservée dans le musée. Le lieu renoue ainsi avec l'intérêt porté à l'époque aux plantes les plus simples, les herbes qui paraissent aujourd'hui folles et les graminées, dont on ne s'attarde plus à considérer la finesse des fleurs minuscules. ...
... Des panneaux explicatifs bien documentés révèlent sa symbolique ancienne..."
Sur le côté droit, nous découvrons les thermes.
Construits fin du IIème siècle, début du IIIème, C'était le plus important établissement de bains public de Lutèce...
L'hôtel de Cluny, bâti 1200 ans plus tard, construit en partie sur le site des thermes est un des rares témoignages de l'architexture civile médiévale à Paris... (source Géoguide)...
aussi beau à l'extérieur qu'à l'intérieur, chaque détail se révèle les uns après les autres...
et on ne se lasse pas de regarder soit la toiture...
ou les scupltures si finement réalisées...
Nous irons ensuite à l'intérieur pour visiter le musée du Moyen-Âge...
à bientôt... |
merci beaucoup à cette gentille blogeuse qui a pensé à me l'envoyer et pour le texte plein de sympathie qui l'accompagnait !
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Nous avions pris les billets de train pour le 6 août..... et..... il a plu ...quasiment.....toute la journée !!! heureusement il ne faisait pas froid...
Mettez de bonnes chaussures, enfilez l'imperméable, prenez le parapluie... on y va !!! Bien sûr, arrivés Gare du Nord, nous nous dirigeons le plus droit possible pour notre première étape de la matinée ... l'hôtel de Cluny et son musée du Moyen-Âge... Nous passons devant l'église Saint Laurent : la première église date du VIème siècle, détruite et reconstruite au début du XVème siècle, elle est de style gothique flamboyant. La façade du XVIIème fut démollie et un nouveau portail de style néogothique s'orne depuis 1870 d'un fronton en lave émaillée... le parcours était ainsi fait et du coup, nous avons découvert quelques théâtres dont le nom est célèbre... ici le théâtre Antoine, autrefois "théâtre des menus plaisirs" !
au passage, l'une des nombreuses fontaines Wallace :
"À la suite du siège de Paris et à la Commune, de nombreux aqueducs sont détruits, et le prix de l'eau, déjà élevé, en est considérablement augmenté. De nombreux démunis se trouvent dans l'impossibilité d'en trouver gratuitement. Dès lors, la tentation des « marchands de vin » est grande chez les indigents, et c'est un devoir moral que de les aider et de leur permettre de ne pas plonger dans l'ivrognerie. Le besoin urgent de ces « brasseries des quatre femmes » est clairement prouvé par la vitesse à laquelle le projet est concrétisé. Encore aujourd'hui, où l'eau et l'hygiène ne sont pas un problème pour la grande majorité des Parisiens, ces fontaines sont souvent les seuls points d'eau gratuits pour des personnes comme les SDF. Riches ou pauvres, tous les passants peuvent s'y désaltérer. La philosophie de Wallace est d'aider efficacement et discrètement ceux qui en ont besoin : les fontaines sont la manière d'y parvenir tout en réalisant son souhait d'embellir Paris, sans faire dans le spectaculaire." source Wikipédia. deuxième théâtre rencontré, le théâtre de la Gaieté qui fut le temple de l'opérette avec le directeur Jacques Offenbach. Luis Mariano s'y produira de nombreuses fois. Laissé à l'abandon, il sera réhabilité en 2001 quand la Ville de Paris y crée un centre culturel consacré aux Arts numériques et aux musiques actuelles...
et bien sûr, l'inévitable bistrot du même nom...
la pluie ne nous empêche pas de lever le nez sur l'immeuble de la "maison Félix Potin" qui fut un des premiers commerçants à faire de la livraison à domicile et a créé la première marque de distributeur. Ses magasins se sont ensuite étendus à toute la France...
Nous sommes presque arrivés à la Seine et nous passons devant la Tour Saint-Jacques, vestige de l'église Saint Jacques le Majeur. Elle mesure 54 mètres de haut. Le premier square parisien a été construit à son pied. Elle est le point de départ d'un Chemin de Compostelle.
traversée du premier tronçon de la Seine vers l'Île de la Cité, nous sommes en face de la Conciergerie...
et face au Palais de Justice...
Tiens à Paris-Plage, il n'y a que le gardien !! est-ce qu'il pleuvrait par hasard ?...
une petite pause pour admirer l'horloge du palais de Justice. Elle fut la première horloge publique...
un regard rapide sur la Sainte-Chapelle, où la longue rangée des parapluies nous indique qu'il faudrait plus d'une heure pour accéder à la visite...
empruntons le pont qui traverse la deuxième partie de la Seine...nous ne sommes plus loin de notre premier point d'arrivée...
encore un théâtre... le théâtre de la Huchette : "Le théâtre est situé sur l'ancien emplacement d'un restaurant appartenant au père de Charles Aznavour...Le théâtre accueille La Cantatrice chauve et La Leçon d'Eugène Ionesco, dans leurs mises en scène d'origine, sans interruption depuis 1957. Jouées depuis plus de 50 ans, ces deux pièces battent le record mondial de longévité sans interruption dans le même théâtre en 1979...Le théâtre de la Huchette a reçu un Molière d'honneur en 2000 pour sa fidélité à Ionesco" source Wikipédia
Nous sommes à deux pas de notre destination où nous vous emmènerons pour la visite... à bientôt... |
De temps à autre, nous achetons ce magazine et ce mois-ci il y avait cette recette. Il existe également un site avec aussi des recettes en vidéo sur www.750g.com
3 oeufs, 250g de farine, 125g de beurre, 25g de sucre, 5g de sel, 10g de levure de boulanger déshydratée, 1 jaune d'oeuf pour la dorure. 1) sortez à l'avance les oeufs et le beurre du réfrigérateur pour qu'ils soient à température ambiante. Préparez le bol de votre robot et le crochet qui sert à pétrir. Versez-y la farine, le sucre et le sel. Cassez et battez les oeufs dans un récipient et incorporez la levure. 2) versez les oeufs dans le bol du robot avec le mélange à base de farine. Mettez le robot en marche et pétrissez jusqu'à ce que la pâte se décolle de la paroi (si vous réalisez cette étape à la main, il faut compter 20 minutes de pétrissage environ). Quand la pâte ne colle plus, cessez de pétrir. 3) Ajoutez dans la pâte le beurre mou coupé en parcelles et refaites tourner le robot pour l'incorporer. La pâte est maintenant prête à lever (on dit "pousser"). Faites-en une boule, placez-la dans un saladier recouvert d'un linge propre et laissez-la gonfler environ 1heure à 30 ° C. Vous pouvez aussi la laisser pousser au frais pendant toute une nuit. 4) une fois levée, la pâte a doublé de volume. Pour chasser le gaz qu'elle contient, rabaissez-la sur un plan de travail fariné et appuez aec vos doigts comme pour réaliser des petits cratères.
5) Beurrez un moule à cake. Partagez votre pâte en trois pâtons, formez des boules que vous placerez côte à côte dans le moule. Vous pouvez aussi vous amuser à varier les formes : boudin rond, boudin aplati, tresses... UNe fois dans le mule, laissez à nouveau la pate gonfler à 35° C environ (sur un radiateur ou au four lumière allumée. 6) Préchauffez votre four 180° C. Préparez une dorure avec le jaune d'oeuf, un peu d'eau et 1 pincée de sel. Dorez la pâte au pinceau. Placez au four et laissez cuire pendant 35 à 40 minutes. |
la recette est parue dans la revue "750G" de ce mois-ci.
j'avais essayé deux fois déjà d'autres recettes ..... sans succès... je n'ai pas de map alors cette fois, plutôt que de malaxer à la main, j'ai utilisé mon robot... J'étais déjà bien fière de voir que ma pâte gonflait à souhaits ... et j'ai préféré utiliser deux moules pour que la préparation "monte" bien...
Elle est peu sucrée, légère et je recommencerai !!
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