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Dans cette rue, symbolisé ici par cette plaque, de nombreuses habitations ont planté des végétaux qui poussent le long de leur façade, entre le troittoir et les maisons.
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au détour de notre balade de ce matin, voici l'estaminet "au repos hebdomadaire". Cette maison de maraîcher, toute en longueur, a une toiture très basse du côté Nord
Cette ancien café/estaminet, est aujourd'hui transformé en maison particulère. l'explication est la suivante (soucre Yser Houck cliquez sur le lien ici) " Chez nous il pleut souvent, il y a un vent d'ouest presque permanent, il y a peu de soleil. La maison flamande doit donc se préserver à la fois de la pluie et du vent, tout en cherchant le soleil. Un toit à forte pente évacuera cette eau (les régions où il pleut fort mais rarement auront un toit plat puisque l'eau d'une forte pluie s'évacuera toujours, pas celle d'un crachin). La pluie fouettée par le vent tapera sur les murs, on fait des murs bas, bien protégés par le toit qui déborde. " 
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merci Dely pour cet "air parisien". nous aimons beaucoup Paris et ce superbe pont si bien restauré nous a fait bien plaisir ainsi que le gentil mot inscrit au dos.
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le texte sur la gauche nous indique : "improprement appellée batardeau, cette porte d'eau fut construite en 1845 lorsqu'on recula les fortifications au-delà du Jeu de Mail..."
on se rend bien compte de l'épaisseur de son mur côté extérieur et de son architecture plus aérée, côté ville... 
voici ce qu'il en reste aujourd'hui...
et le schéma de ce qui était autrefois....
"elle faisait partie de trois portes, destinées à contrôler l'accès à la ville par voie fluviale et fermées par une grille durant la nuit. Celles des canaux de Bourbourg et de Fort-Mardyck disparurent après le déclassement de l'enceinte fortifiée en 1921. 
... Bien qu'elle ait perdu son mur à meurtrières, démolli en 1922, cette porte fut préservée pour servir de pont piétonnier...
reliant le quartier de la Basse Ville, aménagé par Vauban en 1683, à celui du Jeu de Mail; rattaché à la ville en 1850."
Il est bien agréable encore de nos jours de franchir ce petit pont désuet. 
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voici tout d'abord la porte de notre Sous-Préfecture...
en agrandissement...
et celle-ci ... porte d'une ancienne demeure qui a vu bien des personnes très différentes y habiter : cabaret, dentistes ...
c'était le clin d'oeil du jour ! 
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celui qui a défoncé la barrière aurait bien besoin de s'adresser un peu plus loin ... !
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faire tout d'abord une pâte brisée pâtissière avec 125g de farine, 60g de beurre, 1 pincée de sel, 1 oeuf et un peu d'eau... faites une boule et réservez pendant 1 heure
pendant ce temps faites une compote avec les pommes et des gousses de vanille (conservez 3 pommes pour la décoration). Etalez votre pâte et posez-là sur un papier sulfurisé dans votre plat. recouvrez de sucre roux. 
Allumez votre four th. 180 °.
versez votre compote sur le fond de pâte et saupoudrez à nouveau de sucre roux. puis épluchez le restant de vos pommes et coupez-les en lamelles que vous disposez sur la compote.... 
posez des petits bouts de beurre sur le dessus et enfournez pour 30 minutes.
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cette semaine deux colis sont arrivés, avec de bien jolis cadeaux qui m'ont fait très plaisir encore....
merci à ces gentilles blogeuses qui se reconnaitront.... vous m'avez gâtée ... merci beaucoup ! 
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Sylvie nous a emmené à une dégustation du strudel ici et çà m'a fait souvenir d'une recette que je faisais il y a quelques temps.
Ingrédients pour 6 personnes une pâte feuilletée 3 pommes boskoop ou reinettes 80 g de raisins blonds 80 g d'amandes en poudre 100 g de sucre roux 2 c à c de cannelle 2 c à s de rhum le jus d'un demi-citron un peu de beurre du sucre glace 
faites chauffer le four th 7
sur la tôle du four, déroulez votre pâte feuilletée (rectangulaire ou ronde) sur le papier sulfurisé. Dans un saladier, faites tremper les raisins avec le rhum. Epluchez vos pommes et coupez-les en tout petit bouts. Ajoutez-les aux raisins et versez dessus le jus du demi-citron. Ajoutez les amandes en poudre, la cannelle et le sucre. remuez le tout à la cuillère pour bien mélanger. 
sur votre pâte, versez ce mélange de façon homogène pour ne pas faire d'épaisseur et roulez la pâte sur elle-même en serrant un peu pour obtenir un rouleau que vous fermez aux deux bouts.
Faites fondre le beurre et badigeonnez votre pâte de beurre fondu. 
enfournez pour 40 minutes...
à la sortie du four, laissez refroidir puis saupoudrez de sucre glace.... se mange tiède ou froid. 
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ce matin, une enveloppe toute rouge et dedans...... merci Annick pour ces jolis voeux !
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cette nuit, il a gelé... petit matin frais... bien couverts, venez nous vous emmenons sur la jetée pour une balade vivifiante ! ...
c'était haute mer et la mer venait taper sur les rochers...
de bien belles vagues...
çà tourbillonnait à plaisir ...
avançons sur la jetée...
sympathique rencontre...
là, nous ne pouvons pas aller plus loin...
tranquilles, au soleil, les oiseaux profitent pour se restaurer...
seul l'APN peut aller au-delà de la grille...
les bâteaux de pêche reviennent et ...
les goléands le savent...
nous revenons sur nos pas...
après le côté mer... retrouvons le port...
la réparation navale a un nouveau bâtiment en chantier...
la mer est étale et le chenal est calme...
notre petite balade est terminée... traversée du jardin du Laac, petit clin d'oeil aux canards et... retour à la maison !
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il fallait être là à ce moment là et faire vite ! ... une petit tête curieuse émerge de l'eau... un phoque dans le chenal ! nous en avons quelques uns qui s'aventurent dans les bassins depuis octobre.
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Par ici, la tradition est plutôt galette aux beurre... et la fève était un personnage des Marsipulami...
vous retrouverez la recette de cette galette et de sa garniture ICI ! 
mais il faut être raisonnable, c'était ce dimanche la dernière de l'année !
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cette semaine dans ma BAL ....encore un joli travail manuel et encore un beau cadeau !
beau travail "fait main" unique parce qu'il y faut du temps, de l'envie, du plaisir et c'est tout à fait gentil de me l'offrir merci à vous Marc et Sylvie (pour retrouver ce beau travail cliquez ici !) 
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trouvé sur Légifrance ce matin : En Europe, l’Institut météorologique de Berlin donne un prénom depuis 1954 aux tempêtes et aux anticyclones. Depuis 2002, il propose au public d’acheter le droit de choisir le nom d’une dépression ou d’un anticyclone qui affectera l’Europe dans l’année. Bien que cette pratique soit exclusivement allemande et que les parrains soient en majorité germanophones, ces noms sont de plus en plus repris par les services météorologiques et les médias européens. Certaines tempêtes célèbres sont passées dans le vocabulaire de l’Europe entière comme Xynthia, Christian et Dirk. En 2014, les dépressions ont des noms féminins et les anticyclones des noms masculins (et inversement en 2015). Pour l’Atlantique Nord, c’est une série de 6 listes utilisées en rotation qui sert de référence. Toutefois, lors de graves cyclones, les noms de ces derniers sont supprimés de la liste et remplacés afin de ne pas choquer la population. Ces listes contrôlées par l’Organisation météorologique mondiale (OMM) sont composées de prénoms masculins et féminins (anglais, français et espagnols en alternance). Les noms des cyclones tropicaux dans le secteur de l’océan Pacifique suivent un schéma identique à celui de l’Atlantique nord. Les cyclones tropicaux sont nommés par différents centres météorologiques : centre des typhons de Tokyo et centre américain des ouragans d’Honolulu." 
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