Dans cerre première partie, j ajoutes des additifs naturels aux bases de savon prêtes à l'emploi. Certains savons ne contiennent pas de colorant ; ce sont les additifs qui leur donnent une teinte naturelle distincrive. Les additifs confère aux savons des propriétés nourrissantes, exfoliantes, hydratantes ainsi que d'autres qualités bénéfiques. II vaut mieux vous en tenir aux quantités d'additifs indiquées car si vous en mettez trop, vos savons risques d'être mous et visqueux.
recette 1
Avoine à la camomille Donne 2 savons de 113 g (4 oz). Base de savon : 240 ml (8 oz) à l'huile de coco Parfum: 10 gomrcs de camomille Colorant : 5 gounes de jaune Additifs : 1 c. à rhé de fleurs de camomille séchées, 111 c. à thé de flocons d'avoine enriers Moule: recrangle de 120 ml (4 o:z.) Recette 2 Avoine à la cannelle Donne 2 savons de 113 g (4 oz). Base de savon : 240 ml (8 oz) à l'huile de coco Parfum : 15 gourres de cannelle Colorant : 2 gouttes de rouge Additifs : l/4 c. à rhé de cannelle en poudre, l/2 c. à thé de flocons d'avoine enriers grillés, mélangés à 1 c. à rhé de glycérine liquide Moule : rond bombé de 120 ml ( 4 oz) Recette 3 Exfoliant à la cannelle et au romarin Donne 2 savons de 85 g (3 oz). Base de savon : 180 ml (6 oz) à l'huile de coco Parfums : 10 gouttes de cannelle, 5 gouttes de romarin Colorant : 3 gouttes de vert Adclirifs : 1 /4 c. à thé de semoule de maïs, 1 /4 c. à thé de cannelle 1/4 c. à thé de romarin entier séché, mélangés à 1 c. à rhé de glycérine Moule: ovale de 90 ml (3 oz) Recette 4 Maïs et canneberge Donne 2 rondelles de 113 g (4 oz). Base de savon : 240 ml (8 oz) à l'huile de coco Parfums : 10 gouttes de canneberge, Parfum : 10 gouttes de canneberge Addidfs : 1/4 c. à thé de semoule de maïs, l/2 c. à thé de canneberges séchées hachées menu, 6 gouttes d'extrait de pépins de pamplemousse Moule : cube en plastique rond de 6 cm (2.1/2 po)
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Je marche dans les bois, dans le froid clair d’une belle journée de fin d'été . Les jours précédents ont été pleins d’inquiétudes. Et j’ai eu à lutter pour ne pas m’y noyer : méditer, sourire, écouter sincèrement les mots de réconfort de mes proches au lieu de les écarter et de ne pas y croire, me parler à moi-même sans cesse pour maintenir vivante la petite flamme de l’espérance ; sourire encore et encore, malgré tout, sans raisons, sans attentes, le matin en m’éveillant, le soir en m’endormant. Mais ce matin-là, je viens d’apprendre une bonne nouvelle, qui a déchiré le voile de mes peurs, et m’a redonné joie et courage. Je marche donc, plein de gratitude et d’énergie, les yeux et le cœur grand ouverts, avalant chaque instant avec bonheur et simplicité, comme un animal, c’est-à-dire avec la pure intelligence de l’instant présent, sans autre attente que celle de me sentir vivant. J’ai l’impression de découvrir un jardin d’Eden, situé au Nord, au froid, mais bienveillant et magnifique. Et là, je la vois. Devant moi, délicatement posée au milieu du chemin, une petite plume de geai. La plus élégante de ses plumes : celle qui porte les rayures bleues et noires, qui embellissent l’avant des ailes. Un petit éclat de grâce, tombée du ciel, discrètement offerte par le geai silencieusement envolé à son frère inférieur, l’humain qui marchait lourdement, mais qui volait lui aussi dans sa tête. Ravissement infini de cette rencontre ; il n’y a plus aucun mot pour accompagner l’envol de mon âme vers la joie dépouillée de tout, la joie que l’on doit ressentir au Paradis. Mon esprit essaye de trottiner derrière le tourbillon de mes états d’âme, s’efforce de faire son travail clarificateur et explicatif, tente de nommer ce que je ressens. Personne ne l’écoute. Je ramasse la plume, la contemple ; je la place délicatement dans une de mes poches ; surtout ne pas l’abimer ; puis je repars à pas lents, heureux, léger, comblé. À la fois empli de toutes ces grâces (marcher, vivre, admirer, respirer, entendre, voir…) et allégé par elles. Une fois rentré, je m’assieds sur mon banc de méditation et j’écoute enfin mon esprit. J’observe le déroulement de mes pensées, qui me disent ceci : que tu pleures ou que tu ries, le monde est plein des mêmes grâces. Pourquoi n’es-tu pas encore capable de vivre de tels bonheurs même dans le chagrin et l’inquiétude ? Aurais-tu été aussi émerveillé devant ta plume de geai, si tu n’avais pas été soulagé par les bonnes nouvelles de ce matin ? Je n’ai pas de réponse. Alors, je me contente de respirer et de laisser la leçon infuser longuement en moi, afin que ses graines prennent le temps de germer et grandir dans mon cerveau. Derrière la fenêtre, le soleil brille et la lumière du jour est plus claire et émouvante que jamais. |
Chauffez votre four à 180°C.
– Coupez les pommes Bretonnes LOL!! en fines tranches avec la peau.
– Mettez une poêle à chauffer avec du beurre salé de Bretagne, saupoudrez de sucre puis faites-y revenir vos tranches de pommes.
– Beurrez un moule à manqué, disposez les tranches de pommes dans le fond et arrosez-les avec le caramel de la poêle.
– Cassez les œufs dans un saladier, ajoutez le sucre et fouettez.
– Versez le yaourt , le jus de citron et l’huile puis mélangez.
– Ajoutez enfin la farine tamisé et la levure..
– Mélangez bien puis versez sur les pommes
– Laissez cuire 35 mn. Sortez du four et démoulez.
Voilab! ! ! il ne reste plus qu’à savourer ce délicieux dessert en famille ... entres amis ...hi... hi ... ! ! !
Bon appétit les Amoureux de la Gastronomie Bretonne/ Normande... |
Ces derniers temps, nous avons vu beaucoup de personnages politiques pris en flagrant délit de mensonge… Je sais, il n’y a pas qu’eux qui mentent, mais l’argument " il n’y a pas que moi, les autres aussi " est encore moins une excuse lorsqu'on est un(e) élu(e) de la République.
C’est compliqué de savoir si quelqu’un nous ment. Les chercheurs disent qu’on peut voir ça par exemple au trop grand nombre de détails : quand quelqu’un nous bobarde, il a souvent tendance à trop en faire, à nous noyer sous les précisions pour mieux nous convaincre. Mais ces mêmes chercheurs disent que souvent, c’est notre corps qui peut le mieux indiquer le mensonge éventuel. Je me souviens qu’à un moment, les services de police et de renseignements cherchaient à mettre au point des " détecteurs de mensonge " , basés sur les modifications de notre rythme cardiaque ou de notre conductance cutanée (le fait que notre peau conduise plus ou moins bien l’électricité, parce que le stress du mensonge nous fait transpirer) . En fait, c’était surtout des détecteurs d’émotivité : les gens timides faisaient biper la machine même quand ils ne mentaient pas, parce que ça les inquiétait de pouvoir être pris pour des menteurs. Et les vrais psychopathes et menteurs professionnels gardaient, eux, un calme olympien. En plus, un détecteur de mensonge, ça nous aurait privé de quelques grands chefs d’œuvre de la littérature et de la chanson… Bon, oublions les détecteurs de mensonge et revenons vers un appareil bien plus perfectionné : notre cerveau ! En fait, les chercheurs en mensonge nous disent qu’en regardant bien notre interlocuteur, avec un peu d’attention et d’habitude, on peut voir beaucoup de choses. Lorsque quelqu’un nous ment, son langage corporel se modifie souvent : il contrôle davantage ses gestes et parle moins avec ses mains, il a aussi des micro-mimiques du visage très brèves, qui laissent filtrer les émotions indésirables, etc. Mais tout ça va très vite, et souvent, nous ne percevons pas consciemment ces petits détails : on ne les découvre qu’en repassant les films au ralenti, lorsque les scènes de mensonge ont été filmées. Mais notre cerveau, lui, les perçoit de manière subconsciente, et nous envoie des petits ressentis de malaise ou d’inconfort. On " sent " alors que la personne n’est pas nette, mais on ne sait pas trop que faire de cette intuition. Or notre corps est notre ami, il nous envoie généreusement des signaux d’alerte. Ecoutons-les plus souvent ! Au fait, et vous, vous sentez facilement que l'on vous ment ? |
On dit que l’harmonie étudie la "construction des accords", C’est une impression très agréable que celle de vivre l’harmonie en soi et autour de soi. Dans mon coin de pays, Cet équilibre, c’est d’abord et surtout en soi qu’on peut le trouver. Pour créer l’harmonie dans une pièce, il peut suffire parfois simplement de déplacer un meuble, d’enlever un objet inutile et encombrant, de mettre une touche de lumière… Et si on s’inspirait de l’harmonie de la nature pour mieux harmoniser notre intérieur? |
Nous sommes toutes/tous aujourd’hui attentifs aux pollutions de notre environnement physique, qui peuvent atteindre l’air, l’eau, nos aliments, et menacer notre santé et notre intégrité.
Nous commençons aussi à prendre conscience d’autres formes de pollution, celles de notre environnement sociologique, et qui menacent cette fois-ci la santé de nos esprits : ces polluants ont pour nom matérialisme, consumérisme, individualisme… Il s’agit bien de pollution : les effets sont insidieux, cumulatifs, retardés, mais finissent tôt ou tard par altérer notre manière de penser, nous rendant égoïstes, impatients, nous éloignant des fondamentaux de ce qui fait notre équilibre. Et puis, il y a aussi des pollutions qui partent de nous, par exemple celle des mots. Je ne parle pas ici des tics verbaux, comme ceux qui parfois consistent à polluer notre discours de "joncteurs " (tournures de liaison) inutiles, comme : "Voilà, J’avoue, J’dis ça j’dis rien," Absolument… C’est juste agaçant, sans être toxique ; et puis, ça peut avoir l’avantage parfois d’aider quelques personnes à s’exprimer (même mal, diront les puristes). Non, ce que j’évoque ici ce sont les paroles, plus ou moins intentionnelles, qui peuvent faire mal à autrui : critiques, vacheries et agressions. Quelles que soient nos motivations à tenir de tels propos, il y a une chose importante à nous rappeler : elles auront toujours un impact qui ira bien au-delà de l’échange en cours. Bien sûr, ces paroles commenceront par blesser la personne en face de nous ; parfois, nous l’aurons voulu, parfois non. Mais il n’y a pas que cela : l’impact de ces mots sera durable, il y aura un effet de rémanence (on nomme ainsi la persistance d’un phénomène après disparition de sa cause). La personne qui aura été la cible de ces paroles intègrera une part de leur violence, et celle-ci se verra répercutée ou reproduite ensuite. Soit la personne continuera de s’auto-agresser et de s’auto-dévaloriser (si par exemple elle nous admire ou accorde du crédit à nos propos), soit elle agressera des tiers qui n’y sont pour rien (ses proches, des collègues, des inconnus en travers de son chemin), soit elle méditera une riposte ou une vengeance. La violence aura contaminé toute une chaîne de personnes humaines, et il faudra du temps pour que ses traces et conséquences s’effacent. Les paroles agressives jetées dans une conversation polluent à leur manière, autant que des déchets balancés dans la nature. Le poète Christian Bobin nous le rappelle : " Nous nous faisons beaucoup de tort les uns aux autres, et puis un jour nous mourons. " comment pouvons-nous oublier cela ? D’autant que la vie se charge de nous faire du mal : de la naissance à la mort, chaque humain rencontre bien assez de souffrance (maladies, accidents, deuils)… Alors pourquoi en rajouter ? Pourquoi ne pas s’efforcer, de notre mieux, de ne pas mentir, ne pas mépriser, ne pas agresser, ne pas humilier ; s’efforcer de ne pas prononcer de paroles offensantes, méprisantes, même si nous avons été blessés nous-mêmes. Il ne s’agit pas de nous transformer en victimes, subissant toutes les violences des autres sans jamais riposter ; mais peu à peu apprendre à se défendre des violences sans être violent nous-même ; c’est presque toujours possible. Ne jamais renoncer à dire Non, ne jamais renoncer à Stop, mais le dire sans intention de faire mal. C’est le principe même des enseignements de la Communication non-violente, si simple dans ses principes, et si délicate à adopter comme habitude de vie relationnelle. Finalement, la communication non violente, c’est un programme écologique. On ne jette pas ses sacs plastiques ou ses piles usées dans l’océan ou dans la forêt... Et on ne jette pas ses vacheries et ses méchancetés dans le circuit des liens humains… |
- Pelez et émincez les oignons. Faites-les revenir 4 à 5 min dans 3 cuil. à soupe d'huile d'olive.
Ajoutez les gousses d'ail pelées et écrasées, 1 brin de thym effeuillé et la feuille de laurier. Salez légèrement, poivrez. Couvrez et laissez étuver 30 min à feu doux. - Rincez les filets d'anchois sous l'eau chaude. Égouttez et épongez-les. - Préchauffez le four th. 7/8 (220 °C). Étalez finement la pâte à pizza. Déposez-la sur une plaque graissée. Ourlez le bord afin de maintenir la garniture. Étalez les oignons tiédis sur la pâte, disposez les anchois et enfournez 20 min. - Éparpillez les olives et poursuivez la cuisson 10 min. Au terme de la cuisson, arrosez d'un filet d'huile d'olive. Garnissez d'1 brin de thym. Servez chaud ou tiède. Conseils Pas de pâte à pizza ? Utilisez de la pâte à pain achetée chez le boulanger. Ou simplement une pâte brisée. |
En parlant de remplacer les oeufs, je vous ai déjà montré que l’on pouvait imiter les oeufs brouillés avec du tofu émietté mélangé à des épices et de la sauce soja. Mais qu’en est-il lorsque l’on veut faire une omelette ? Sans oeufs, vous allez me dire que ce n’est pas possible ! Le dicton le dit bien: Nombreux sont ceux qui utilisent cette farine pour réaliser des crêpes végétaliennes. Plat typiquement indien, ces crêpes sont délicieusement garnies de légumes et d’épices ! Mais la farine de pois chiches peut aussi s’utiliser dans la confection d’omelettes comme la piperade basque. A l’approche de l’automne, ce plat est très apprécié en début de soirée lorsque la fraîcheur commence à se faire ressentir après une belle journée ensoleillée ou pas . Temps de prépa : 10 mns Ing :
Préparation : Verser la farine, puis l’eau dans un saladier. Bien mélanger afin d’éliminer les grumeaux. Découper la tomate, le demi poivron rouge et le tofu fumé en petits dés. Ajouter le tout à la pâte de pois chiches. Faire chauffer l’huile dans une poêle et verser la préparation. Laisser à feu vif quelques minutes et baisser sur feu doux. Laisser cuire une dizaine de minutes et couvrir. Laisser cuire de nouveau une dizaine de minutes. Vérifier la cuisson de temps à autre pour que cela n’attache pas. Découper la piperade en quatre et servir avec une belle salade verte. |
Eté rime avec légèreté ! On a besoin de se faire du bien, de souffler, de couper avec le train-train quotidien. Et même si l’on n’a pas les moyens de partir en vacances, rien ne vous empêche de vous installer sur votre terrasse pour profiter des derniers rayons de soleil avant la tombée de la nuit. L'été se terminant doucement, que diriez-vous de tofu brouillé aux herbes et légumes d’été? Quoi me diriez-vous? Du tofu brouillé? Sans oeufs ? Oui, car il n’a plus la cote ! Veuillez faire un chaleureux accueil au tofu, qui fait tendance en ce moment! Non seulement, vous n’aurez pas à vous soucier de votre cholestérol, mais vous ne courrez aucun risque qu’il ne tourne comme les oeufs en plein été! Il est vrai que lorsque l’on est végétalien ou allergique aux oeufs, on ne pense pas pouvoir remanger quelque chose qui ressemble à des oeufs brouillés. Et pourtant! Le tofu fait des merveilles et vous allez vite vous rendre compte que vous n’avez rien à envier aux oeufs! Le tofu brouillé aux herbes a dépassé de loin mes espérances! Légèrement relevé grâce au shoyu et au cumin, adoucit par le basilic, ses saveurs vous emmèneront un court instant en Provence, où vous entendrez le chant des grillons et des sauterelles ! Ca y est, vous les entendez? Bien … Alors, qu’attendez-vous pour vous mettre en cuisine? Ing pour deux pers: - 200 grammes de tofu aux herbes - 2 petites courgettes - 2 cuillerées à soupe de shoyu - 1 gousse d’ail - 3 échalottes - 1/2 cuillère à café de cumin - Sel Herbamare - Quelques feuilles de basilic Râpez les courgettes. Faites-les revenir avec les échalottes une quinzaine de minutes à l’étouffée dans une casserole sur feu doux ou dans un cuit-vapeur. Salez. Ecrasez le tofu à la fourchette. Chauffez une cuillerée d’huile d’olive dans une poêle, puis faites revenir le tofu avec le shoyu, l’ail, le cumin et le basilic une dizaine de minutes. Disposez dans les assiettes ! |
Amoureuse l’une de l’autre ou amoureuse de la couronne briochée, faut-il vraiment trancher ? Il y a encore quelques semaines, je n’avais aucune idée qu’il existait deux galettes des rois traditionnelles. Celle du Nord: la frangipane et celle du Sud: la briochée aux fruits confits. Intriguée, je me suis renseignée autour de moi pour savoir à quoi pouvait bien ressembler cette fameuse couronne . Et l’autre jour, au détour d’une rue, j’ai aperçu à travers la vitrine d’une boulangerie le trésor que l’on m’avait caché pendant toutes ces années ! Pourtant, ce n’est pas faute d’avoir visité de part et d’autre les quatre coins de notre douce France ! A croire que je n’ai jamais eu l’opportunité de fêter l’Epiphanie lors d’une escapade dans le Sud ! Je comprends à présent la compétition qui subsiste entre la frangipane et la briochée, toutes deux sont absolument divines ! Pour la néophyte que je suis (bretonne de naissance et nordiste imposé...), cette première impression fut tout à fait concluante et le bretonne de souche qui vit avec moi ne fut pas celle qui vint me contredire … Bien au contraire ! A la différence de la traditionnelle, j’ai mis des raisins secs à la place des fruits confits et comme j'ai la chance d’avoir une machine à pain, je ne pétrie pas ma pâte à la main comme à l’ancienne ! J’ai volontairement mis la fève à la place du trou pour que ma tendresse tombe dessus ! elle aurait tellement été déçu de ne pas être reine cette année ! Si j’ai l’occasion de faire un petit saut dans le Sud début de l’année prochaine, je serais ravie de goûter à la couronne briochée aux fruits confits de mes chères copinautes Ing pour 4 parts: - 15 g de levure de blé bio (Priméal) - 125 ml de lait de soja + un peu pour la dorure - 250 g de farine de blé T 110 (Markal) - 20 g de substitut d’oeuf + 80 ml d’eau (Valpiform) - 50 ml de sirop d’agave - 15 ml d’extrait de fleur d’oranger - 25 g de raisins secs (Rapunzel) - Purée de griotte (Vitabio) - 1 fève - 1 couronne Préparation: Dans un verre, diluer le substitut d’oeuf avec l’eau. Faire tiédir le lait dans une petite casserole, puis ajouter la levure hors du feu. Laisser poser un quart d’heure. Pendant ce temps, mettre la farine, le substitut d’oeuf dilué, le sirop d’agave et l’extrait de fleur d’oranger dans un saladier, puis ajouter le levain et commencer à pétrir. (Pour un bon pétrissage, il faut malaxer la pâte entre 15 et 20 minutes) Laisser lever une heure à température ambiante recouvert d’un torchon, puis retravailler la pâte une dizaine de minutes et la mettre au réfrigérateur pendant quatre heures, le mieux étant de la laisser poser toute une nuit. Le temps de pose écoulé, sortir le bâton, pétrir et former une boule. La déposer sur une plaque allant au four recouverte de papier sulfurisé, puis creuser un trou au milieu avec les doigts et l’élargir pour former la couronne. Badigeonner de lait de soja et répartir les raisins secs sur toute la surface. Mettre la couronne au four pendant le préchauffage à 180° afin de la faire de nouveau gonfler, puis faire cuire 25 minutes. A la sortie du four, la badigeonner de purée de griotte pour lui donner un aspect brillant. Laisser tiédir et découper quatre parts … |
Cela aurait pu être le fruit du hasard si cela n’avait pas été Mardi ! "gras" n’a que le nom puisque ces délicieux beignets vegans ne sont non seulement pas frits dans de l’huile bouillonnante, mais ils sont également dépourvus de sucre rapide. Le sucre que vous pouvez admirer n’est autre que du sucre de bouleau, dont l’index glycémique est, je vous le rappelle, de l’ordre de 7 sur une échelle de 100 – 100 étant le pic glycémique le plus élevé – Si vous avez la chance d’avoir à votre portée une machine à pain ou un crochet à pétrin, cette recette sera très facile à réaliser. Pour les autres – il faudra user de votre main de fer pour pétrir la pâte ! Une bonne façon de se défouler après une journée de dur labeur ! J’ai utilisé dans la préparation l’Ener-G Egg Replacer dont la puissance comme substitut aux œufs n’est plus à démontrer ! Comme je me doute que vous ne l’avez pas dans vos placards – Ce produit étant exclusivement à la disposition des britanniques et américains – Je vous propose de le remplacer dans cette recette par 200 grammes de tofu soyeux. Le tofu soyeux devant être mixé avant de l’incorporer à la préparation. Si toutefois vous désirez avoir à disposition le précieux sésame, vous pouvez toujours le commander sur le site Vegan Essentials, qui vend une panoplie de produits destinés aux végétaliens. Des beignets moelleux 100% végétal tout droit sortis du four aussi bons que ceux achetés en boulangerie… Si ce n’est meilleur ! De quoi fêter gaiement Carnaval sans se priver de ses douceurs qui en font sa renommée ! Ing pour 12 beignets sans Carnaval :
Préparation : Préchauffer le four à 170°. Verser la levure dans un grand saladier, puis l’arroser d’eau tiède. Laisser la préparation prendre cinq à dix minutes jusqu’à ce que des petites bulles se forment à la surface. Réserver. Verser le lait de soja dans un verre doseur, ajouter le vinaigre de cidre et laisser reposer quelques minutes le temps que le lait ait bien caillé. Ajouter le sirop d’agave et l’extrait de vanille ou d'oranger, puis mélanger. Verser le tout dans le saladier. Réserver. Mélanger l’Ener-G Egg Replacer avec l’eau dans un verre, puis l’ajouter à la préparation. Ajouter progressivement la farine de moitié afin de bien éliminer les grumeaux. Mélanger jusqu’à ce que la farine soit imprégnée des liquides, puis terminer par le reste de farine. La pâte va être de moins en moins collante et se décollera petit à petit des bords. Commencer à pétrir à la main. Malaxer la pâte une dizaine de minutes sans s’arrêter jusqu’à obtention d’une boule lisse et homogène. Couvrir avec un torchon propre et laisser reposer une heure, le temps que la pâte double de volume. Fariner le plan de travail avant d’y déposer la boule de pâte. L’étaler sur toute sa longueur à l’aide d’un rouleau à pâtisserie jusqu’à obtention d’une épaisseur de 1,5 cm. Puis découper à l’aide d’un emporte-pièce 12 ronds de 8 centimètres de diamètre. Etaler une feuille de papier sulfurisé, puis y déposer les ronds de pâte. Recouvrir d’un torchon propre, puis laisser reposer de nouveau une heure. Les pâtes à beignet doivent gonfler. Retirer le torchon, puis badigeonner chaque pâte à beignet d’huile d’olive. Les déposer sur une plaque préalablement recouverte de papier sulfurisé et enfourner entre 15 à 20 minutes. Recouvrir les beignets d’une feuille de papier sulfurisé à mi-cuisson de sorte qu’ils ne brunissent pas trop vite. Ils doivent être bien dorés à la sortie du four. Les laisser tiédir sur le grill, puis les badigeonner de nouveau d’huile d’olive. Verser le sucre de bouleau dans une assiette, puis en imprégner chaque beignet. Déguster de suite ou recouvrir de papier aluminium les beignets déposés dans une assiette. – Ces beignets se conservent deux à trois jours à température ambiante recouverts de papier aluminium. - |
Ce sont ces journées " sans " où l’on n’a pas envie de passer beaucoup de temps derrière les fourneaux. Où l’on veut profiter de ses week-ends à se prélasser devant un bon bouquin sans se préoccuper d’un repas sophistiqué. Car il faut bien l’avouer… J’ai eu une semaine plutôt chargée et mon manque de sommeil eut raison de moi tout au long de ces deux dernières journées. Impossible de me réveiller, j’ai erré dansla maison à moitié décoiffée, laissant ma conscience au repos et mes pensées vagabonder. Alors comment faire quand on a une ou deux "ogresses' à la maison, mais que l’on ne veut pas se torturer à chercher mille et une façons de contenter des estomac constamment insatisfait ? On trouve une astuce sans pour autant délaisser les papilles ! Et la quiche est dans ce cas précis le meilleur des recours ! Car qui dit simple, ne signifie pas forcément dénué de goût ! On a tendance à s’imaginer qu’il est impossible de réaliser une quiche sans œufs ! Eh ! Oui ! Une quiche sans œufs ! Quelle idée, voyons ! « Ca peut tenir ? C’est possible ? » Allez, suivez le chef, je vais tout vous expliquer ! Le secret de la tenue réside dans…. Le tofu ! Bien sûr le tofu ! Pas le tofu soyeux dont je vous parle pas si souvent, mais le tofu ferme. Décidément, que ferait-on sans ? Emietté puis mixé, il apporte une tenue identique à celle de l’œuf dans les quiches. Et pour plus de crémeux, vous pouvez ajouter une touche d’oléagineux. Le mieux étant d’utiliser toutes les sortes de noix. Vous en trouverez sûrement une qui vous conviendra ! Côté légumes, la période presque automnal ne nous laisse guère le choix que de se contenter de choux ou de courges. Et comme je n’allais pas vous faire pour la énième fois une recette au potimarron (bien que j’adore ça !) et que j’avais une irrésistible envie d’épinards, je n’ai pas su résister bien longtemps aux quelques branches que me tendait le maraîcher. Irrésistible et très facile à réaliser, cette quiche sera idéale pour un plateau-télé, à emporter dans son sac pour la déguster au bureau ou bien tout simplement pour les journées où l’on ne veut pas trop se casser la tête sans pour autant délaisser les siens. Ing pour 8 parts : Pour la tarte :
Pour la garniture :
Préparation : Préchauffer le four à 180°. Pour la tarte : Mélanger tous les ingrédients dans un saladier, puis former une boule. Étaler la pâte formée à l’aide d’un rouleau à pâtissier sur du papier sulfurisé. Prendre délicatement le papier sulfurisé sur lequel la pâte est étalée, puis enfoncer un moule à tarte. Réserver. Pour la garniture : Mixer les cerneaux de noix dans un blender, puis ajouter le tofu émietté et la levure maltée. Mixer de nouveau jusqu’à obtention d’une pâte. Découper l’ail et l’échalote en petits dés, puis les faire revenir avec un filet d’huile d’olive dans un wok. Ajouter les épinards, baisser sur feu doux, saler et mélanger. Oter du feu. Ajouter la préparation précédente, les épices et saler de nouveau. Bien mélanger le tout en faisant des gestes circulaires jusqu’à ce que la première préparation se soit bien imprégnée de la deuxième. Verser la préparation obtenue dans le moule à tarte, puis l’étaler de manière équivalente sur toute la surface en veillant à bien recouvrir les rebords. Enfourner et laisser cuire une trentaine de minutes. Déposer du papier sulfurisé par-dessus la quiche à mi-cuisson afin que la pâte ne brûnisse pas. Sortir du four et découper la quiche en huit. Servir avec une purée de potimarron et déguster ! |
Oui, La véritable ! Celle pour laquelle chacun d’entre nous fondait de plaisir étant enfant ! La même qui était impeccablement réalisée par nos mères et nos grands-mères, perpétuée de génération en génération. La mousse au chocolat a toujours été le dessert préféré des chérubins. Facile à réalisée, on la reconnait par sa mousse à la fois ferme et onctueuse où l’on peut apercevoir des bulles d’air après chaque cuillerée. nous avions une première version en associant le chocolat noir au tofu soyeux.– manquait de fermeté ainsi que ces bulles d’air si caractéristiques à l’authentique mousse au chocolat. Aussi est-ce en préparant une autre recette – que je vous divulguerai plus tard – que j’ai trouvé comment réaliser la véritable mousse au chocolat si chère à nos coeurs. Pour cela, j’ai utilisé le chocolat vegan à 100% de cacao trouvé chez notre Chocolatier - Une chocolaterie pratiquement végétalienne – Mieux vaut dire que c’est un chocolat plutôt amer et que pour atténuer son goût, il faut réajuster son amertume par un ajout de sucre assez conséquent. Le sirop d’agave étant mélangé à de la compote de pommes, la quantité d’édulcorant naturel ne change pas par rapport à celle à laquelle je vous ai habituée. La compote de pommes, quant à elle, joue un double rôle, puisqu’elle sert non seulement de base sucrée, mais elle apporte également cette fermeté que l’on retrouve si souvent dans les mousses au chocolat classiques. Ing pour 4 pers :
Préparation : Verser la farine, l’arrow-root, la poudre à lever, le bicarbonate de soude et le sel dans un bol. Mélanger le tout et réserver. Casser le chocolat en carrés, puis le faire fondre au bain-marie. Lorsqu’ils commencent à ramollir, ôter du feu et mélanger à l’aide d’une cuillère en bois jusqu’à ce qu’ils soient entièrement fondus. Ajouter le sirop d’agave et l’extrait de vanille ou d'oranger, puis mélanger. Terminer par la compote de pommes en mélangeant jusqu’à obtention d’une mousse bien ferme. Verser les ingrédients secs en pluie, puis mélanger de manière circulaire afin de bien imprégner le chocolat de la compote de pommes. Verser la mousse dans quatre ramequins et réserver au frais entre deux à quatre heures. – Tout dépend comment vous appréciez la fermeté de la mousse au chocolat. - Sortir les ramequins et laisser à l’air ambiante une quinzaine de minutes. Servir avec quelques biscuits Bonne dégustation ! |
Vous connaissez les délicieux cookies de chez Ben ou encore ceux de Laura Todd ? Ces deux grandes maisons font succomber plus d’un amoureux du petit biscuit rond ! Au beurre de cacahuètes, au citron, au gingembre, aux fruits, aux flocons d’avoine, au triple chocolat noir, à la noix de coco, au thé vert matcha ou encore au café Malongo… Difficile de ne pas faire son choix ! Sauf que, ces délicieux cookies, moelleux, tendres, à tomber parterre ne sont absolument pas vegan. J’ai voulu donc à mon tour créer le cookie de ma marque de fabrique. Celui signé Plaisir Végétal qui, je l’espère, en fera chavirer plus d’un. Dans un premier temps, un cookie simple… The Original Cookie ! Celui que l’on peut admirer aux Etats-Unis ou en Grande-Bretagne et dont on parle encore de retour en Hexagone ! Moment inoubliable que l’on ne cesse de partager avec ses amis. Les Julie’s Original Cookies n’ont pas la prétention de les rivaliser, mais ils en sont très proches. Croustillant à l’extérieur, mais encore tendre et moelleux à l’intérieur avec de gigantesques morceaux de chocolat. De quoi succomber à la tentation ! Le substitut à l’œuf est un substitut dont je ne vous ai encore jamais parlé. Il s’agit des graines de lin. Graines reconnues pour leur richesse en Oméga 3 qui, mélangées à de l’eau, se transforment en une préparation quasi-similaire à celle d’un œuf battu. Un substitut à portée de tous que l’on peut trouver très facilement en magasin bio. Et qui en facilitera plus d’une dans la confection de cookies, muffins ou gâteaux ! Des cookies incroyablement savoureux, qui pourraient bien atteindre la première marche du top 10 des cookies . Ing pour 6 gigantesques Julie’s Original Cookies :
Préparation : Verser la farine en pluie dans un grand saladier. Mixer finement les graines de lin avant de les verser dans un ramequin. Ajouter l’eau, mélanger et laisser reposer quelques minutes jusqu’à ce que la préparation devienne visqueuse – Le mélange doit ressembler à un œuf battu – Lorsque la préparation a bien pris, ajouter l’extrait de vanille ou d'oranger, le sirop d’agave, la purée d’amande blanche et battre le tout à l’aide d’une cuillère à soupe. Ajouter le lait de soja et battre de nouveau jusqu’à ce que la préparation soit bien homogène. Mélanger les ingrédients humides aux ingrédients secs en faisant attention à bien ramener la farine sur les ingrédients humides afin d’obtenir une pâte homogène. Ajouter les pépites de chocolat et mélanger jusqu’à homogénéité. Former des boules de pâte à cookies à l’aide d’une cuillère à glace et les déposer sur une plaque préalablement recouverte de papier sulfurisé. Appuyer légèrement sur chaque boule avec la paume de la main de manière à former des cookies et mettre au four une dizaine de minutes. A la sortie du four, les cookies sont encore assez mous mais durcissent en refroidissant. Attendre 15 minutes avant dégustation, les cookies seront ainsi tièdes et parfait pour accompagner un thé aux arômes acidulés. Ils se conservent deux à trois jours dans une boîte hermétique. |