POUR 4 PERS, prépa 12 mns, cuisson 18mns. Biscuit roulé au chocolat : • 4 blancs d’œuf • 85g + 135g de sucre • 2 jaunes d’œuf • 3 œufs entiers • 85g de farine • 50g de cacao en poudre Crème mascarpone : • 125g de mascarpone • 25cl de crème liquide entière 35% • 65g de sucre • 1 gousse de vanille Décor : • 40g de copeaux de chocolat • 2 cuil. à soupe d’amarena • 3 cuil. à soupe de confiture à la cerise Préchauffez le four à 210°C.
Dans un saladier, montez les blancs d’œuf avec les 85g de sucre pour qu’ils forment un bec d’oiseau. Puis dans un second saladier, montez les jaunes avec les œufs entiers et les 135g de sucre au ruban, ajoutez la farine et le cacao en poudre à la maryse. Mélangez les deux appareils ensemble délicatement. Coulez sur une plaque à pâtisserie à rebord en silicone beurrée ou sur une feuille de silicone posée au préalable sur une plaque à pâtisserie. Etalez légèrement pour homogénéiser le biscuit à l’aide d’une spatule coudée. Enfournez 7 minutes. A la fin de la cuisson, démoulez délicatement le biscuit à l’envers sur un torchon humide, taillez les rebords en forme de rectangle et laissez refroidir. Dans un saladier bien froid, versez le mascarpone, battez-le légèrement à l’aide d’un batteur à main, versez la crème liquide bien froide, continuez à monter et ajoutez le sucre avec la pulpe de la vanille, montez en chantilly. Réservez une moitié dans un saladier et l’autre moitié dans une poche plastique munie d’une douille Saint-Honoré. Réservez au frais. Nappez le biscuit de confiture à la cerise, puis de crème chantilly et parsemez de quelques copeaux de chocolat. Roulez le biscuit sans l’écraser et déposez-le dans un plat. A l’aide de la poche à douille, formez des traits sur la bûche. Parsemez de copeaux de chocolat et ajoutez 4 cerises Amarena sur le dessus pour décorer. Réservez la bûche au frais. du chef cyril lignac !
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Il y a longtemps dans la forêt de Huelgoat, trois arbustes rêvaient à ce qu’ils voudraient devenir quand ils seraient plus grands.
Un jour, le premier regarda les étoiles qui brillaient comme des diamants au-dessus de lui.
— Je veux abriter un trésor, dit-il. Je veux être recouvert d’or et rempli de pierres précieuses. Je serai le plus beau coffre à trésor du monde.
Le deuxième arbre, lui, regarda la petite rivière d'argent qui suivait sa route vers l’océan.
— Je veux être un grand voilier, dit-il. Je veux naviguer sur de vastes océans et transporter des rois puissants. Je serai le bateau le plus fort du monde.
Le troisième petit arbre regarda les maisons où des hommes et des femmes s’affairaient.
— Moi, je veux pousser si haut que lorsque les gens s’arrêteront pour me regarder, ils lèveront les yeux au ciel et penseront à Dieu. Je serai le plus grand arbre du monde.
Les années passèrent. Les pluies tombèrent, le soleil brilla et les petits arbres devinrent grands. Un jour, trois bûcherons s’approchèrent d’eux.
Le premier bûcheron regarda le premier arbre et dit :
— C’est un bel arbre. Il est parfait.
En un éclair, abattu d’un coup de hache, le premier arbre tomba. "Maintenant, je vais être un coffre magnifique, pensa le premier arbre. J’abriterai un merveilleux trésor".
Le deuxième bûcheron regarda le deuxième arbre et dit :
— Cet arbre est vigoureux. Voilà ce qu’il me faut.
En un éclair, abattu d’un coup de hache, le deuxième arbre tomba. "Désormais, je vais naviguer sur de vastes océans, pensa le deuxième arbre. Je serai un grand navire digne des rois".
Le troisième arbre sentit son cœur flancher quand le bûcheron le regarda. "N’importe quel arbre me conviendra", pensa-t-il. En un éclair, abattu d’un coup de hache, le troisième arbre tomba.
Ils furent ensuite embarqués sur un bateau où ils restèrent à fond de cale jusqu’à ce qu’ils arrivent dans le pays de Palestine qu’ils ne connaissaient pas.
Le premier arbre se réjouit lorsqu’on l’apporta chez le charpentier, mais le charpentier était bien trop occupé pour penser à fabriquer des coffres. De ses mains calleuses, il transforma l’arbre en mangeoire pour animaux. L’arbre qui avait été autrefois très beau n’était pas recouvert d’or ni rempli de trésors. Il était couvert de sciure et rempli de foin pour nourrir les animaux affamés de la ferme.
Le deuxième arbre sourit quand on le transporta vers le chantier naval, mais ce jour-là, nul ne songeait à construire un voilier. A grands coups de marteau et de scie, l’arbre fut transformé en simple bateau de pêche. Trop petit, trop fragile pour naviguer sur un océan ou même sur une rivière, il fut emmené sur un lac, un grand lac certes, mais seulement un lac. Tous les jours, il transportait des cargaisons de poissons morts qui sentaient affreusement fort.
Le troisième arbre devint très triste quand on le coupa pour le transformer en grosses poutres qu’on empila dans la cour.
— Que s’est-il passé ? se demanda l’arbre qui avait été autrefois très grand. Tout ce que je désirais, c’était de rester dans ma forêt.
Beaucoup de jours et de nuits passèrent. Les trois arbres oublièrent presque leurs rêves. Mais une nuit, la lumière d’une étoile dorée éclaira le premier arbre au moment où une jeune femme plaçait son nouveau-né dans la mangeoire.
— J’aurais aimé pouvoir lui faire un berceau, murmura son mari.
La mère serra sa main dans la sienne et sourit tandis que la lumière de l’étoile brillait sur le bois poli.
— Cette mangeoire est magnifique, dit-elle.
Des rois vinrent se prosterner devant le bébé que le premier arbre protégeait, et soudain, le premier arbre sut qu’il renfermait le trésor le plus précieux du monde.
D’autres jours et d’autres nuits passèrent, mais un soir, trente-trois années plus tard, un voyageur fatigué et ses amis s’entassèrent dans la vieille barque du pêcheur. Tandis que le deuxième arbre voguait tranquillement sur le lac, le voyageur s’endormit. Soudain, l’orage éclata et la tempête se leva. Le petit arbre trembla. Il savait qu’il n’avait pas la force de transporter tant de monde en sécurité dans le vent et la pluie. Le voyageur s’éveilla. Il se leva, écarta les bras et dit :
— Paix !
La tempête se calma aussi vite qu’elle était apparue. Et soudain, le deuxième arbre sut qu’il était revenu en Armorique pour que le personnage capable de commander aux éléments puisse voir sa grand-mère Anne. L'arbre comprit alors que l'humain qu'il transportait était un des plus importants du monde.
À quelque temps de là, un vendredi matin, le troisième arbre fut fort surpris lorsque ses poutres furent arrachées à la pile de bois oubliée. Transporté au milieu des cris d’une foule en colère et railleuse, il frissonna quand les soldats clouèrent sur lui les mains d’un homme. Il se sentit horrible et cruel. Mais le dimanche matin, quand le soleil se leva et que la terre toute entière vibra d’une joie immense, le troisième arbre sut que l'homme qui était mort sur lui était maintenant ressuscité et que le monde entier allait changer.
Dieu dans le ciel avait manifesté sa puissance sur terre. Il avait rendu le premier arbre beau. Il avait rendu le second arbre fort. Et à chaque fois que les gens penseraient au troisième arbre ils penseraient à Dieu. Voilà qui était beaucoup mieux que d’être le plus grand arbre du monde.
Quand vous vous réveillerez
hier ira de l'avant
et demain sera aujourd'hui
d'ici-là bonne nuit à toutes & tous !
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Je suis ravie de vous annoncer que l'on sais retrouvées dès ce lundi dans Tous en Cuisine saison 3,
pour réaliser vos menus de fêtes de cette fin d'année 2020 les copinautes de la team fait maison ! |
pour 4 pers, prépa 10 mns, cuisson 10 mns.
Sablés : • 150g de farine
• 116g de poudre d’amandes
• 50g de sucre roux
• 1 cuil. à soupe de cannelle en poudre
• 1 zeste d’orange non traitée
• 1 pincée de sel fin
• ½ sachet de levure chimique
• 3 cuil. à soupe de purée d’amandes blanches
• 2 cuil. à soupe d’huile d’amande
• 84g de lait
• Farine pour le plan de travail
Glaçage :
• 60g de sucre glace
• 1 jus de citron jaune Dans un saladier, versez la farine, la poudre d’amandes, le sucre, la levure chimique, le sel, la cannelle et le zeste d’orange râpée. Mélangez.
Ajoutez l’huile d’amande et la purée d’amandes. Mélangez de nouveau. Formez comme une poudre et ajoutez le lait pour faire une boule.
Farinez votre plan de travail et étalez votre pâte, formez les dessins que vous souhaitez à l’aide des emporte-pièces. Déposez les sablés sur la plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé. Enfournez à 180°C pendant 10 minutes. Sortez les sablés et laissez refroidir.
Mélangez le jus de citron avec le sucre glace pour obtenir le glaçage, versez dans la poche. Décorez les sablés.
du chef Cyril Lignac ! |
Vous êtes plus galette ou couronne des rois ? Dans le Sud, on a fait notre choix pour l’épiphanie : ce sera la couronne des rois provençale aux fruits confits. En espérant qu’elle connaisse un meilleur sort que celle de Mehdi avec le chef Emmanuel !
(!! attention 5 h de repos au total pour la pâte !!). pour 4 pers, prépa 30 mns, cuisson 15 mns.
le délice de corinne ! |
Et si comme Mehdi, nous trouvions notre recette signature autour d’un millefeuille ? Pour se différencier du jeune apprenti , le nôtre sera à la fraise (ou framboise selon vos goûts). Vous nous suivez dans la recette ?
pour4 pers, prépa 10 mns , cuisson 20 mns.
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Un classique pour accompagner vos viandes :
la sauce béarnaise ! Attention à mettre assez d’herbes dedans si, comme Greg, vous ne voulez pas vous faire reprendre par la cheffe Clothilde ! pour 6 pers, prépa 20 mns, cuisson 10 mns.
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Vous organisez un Réveillon de dernière minute ?
Pas de soucis ! Voici quelques canapés frais d’apéro, tout droit sortis de frigo d'ici. Ils feront parfaitement l’affaire … accompagnés d’une coupe de champagne ! Bonne année à toutes & tous ! pour 4 pers, prépa 5 mns,cuisson 0 mn.
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Nolwenn habitait dans un petit village des montagnes noires. Ses parents, des paysans farouches, n’avaient jamais pensé à l’envoyer à l’école, ni au catéchisme d’ailleurs. C’est pourquoi Nolwenn n’avait jamais pensé à la religion. Elle ne savait même pas ce que c’était. Cela ne l’empêchait pas d’avoir un cœur d’or.
Sa famille était si pauvre qu’elle habitait dans une vieille cabane de rondins grossiers au milieu d’une clairière isolée dans la forêt.
Nolwenn n’avait pas de lit pour dormir, à peine quelques vêtements pour se vêtir et du pain de châtaignes pour manger.
Elle songeait souvent que le monde entier les avait abandonnés, elle et sa famille. Personne ne venait jamais jusqu’à leur clairière, accessible uniquement par un sentier à peine visible dans les hautes herbes.
Cependant, ils parvenaient quand même à survivre grâce à la débrouillardise de la jeune fille qui trouvait toujours quelques châtaignes, quelques champignons, quelques épis de blé sauvages récoltés çà et là.
Lorsque sa récolte dépassait leurs besoins, elle descendait au village pour les vendre, ou les échanger contre un peu de viande.
C’était le cas aujourd’hui. Nolwenn vit tout de suite que quelque chose n’était pas comme d’habitude : les arbres de la place avaient été décorés de lumières multicolores. Des mots composés de lettres scintillantes avaient été accrochés au-dessus des rues sans qu’elle ne comprenne ce qu’ils signifiaient.
Tous les magasins rivalisaient de merveilles exposées dans leurs vitrines. Comme c’était beau !
En cherchant le meilleur emplacement pour poser son panier, Nolwenn rencontra une vieille femme qui lui dit :
— S’il te plaît petite fille, donne-moi quelque chose à manger, j’ai si faim.
Nolwenn qui avait un cœur d’or lui donna aussitôt des châtaignes. Elle fit même un feu pour réchauffer la vieille et les faire cuire.
— Mille mercis, jeune fille, lui dit la vieille femme. Sans toi, je serais morte de faim.
Nolwenn poursuivit son chemin et arriva près d’une fontaine au milieu d’une petite place. L’endroit était calme et tranquille… Au fond du bassin se trouvaient des pièces de petite monnaie que des gens avaient jetées pour faire un voeu. Nolwenn en remplit son panier puis se désaltéra avec l’eau fraîche de la fontaine. C’est alors, qu’elle entendit des petits gémissements… Elle fit le tour du bassin et découvrit deux enfants qui pleurnichaient. Apeurés, ils reculèrent et se serrèrent l’un contre l’autre contre le rebord en pierre de la fontaine
— N’ayez pas peur les petits ! Je ne vous ferai pas de mal. Mais pourquoi pleurez-vous ainsi ?
— Nous…nous…nous sommes perdus, bégayèrent les enfants entre deux sanglots.
— Mais où habitez-vous?
— Oh, très loin, répondirent les enfants, mais nos parents sont ici pour le marché de Noël. Ils logent chez madame Le Goizec, la couturière.
— Calmez-vous, je sais où elle habite et vais vous indiquer le chemin. Mais prenez ces châtaignes encore chaudes, elles vous réconforteront.
Et Nolwenn indiqua la route aux enfants puis reprit son chemin dans le village. Déjà, le pâle soleil d’hiver se couchait. Elle se mit alors à ramasser tout ce qu’elle put trouver pour le feu, car les nuits sont parfois très froides sous le ciel de Bretagne et on avait du mal à colmater les « jours » entre les rondins dans les murs de la pauvre cabane !
Alors qu’elle s’apprêtait à rentrer, Nolwenn entendit une faible voix qui appelait. Elle vit alors un vieillard tout grelottant, étendu sur le chemin. Aussitôt, Nolwenn le couvrit avec son châle et s'inquiéta:
— Mais que faites-vous là, par terre, à cette heure?
— Ah petite! Il y a longtemps que je suis étendu ici… J’étais venu faire quelques courses alors que le soleil était encore haut. Mais voilà, je suis tombé et je n’arrive pas à me relever tant ma jambe me fait mal.
— Attendez, je vais vous soigner!
Nolwenn avait justement un peu de plantain avec elle. Elle couvrit la plaie du vieillard et lui fit un solide bandage avec le morceau de drap qui traînait dans sa poche. Elle aida alors l’homme à se relever puis à rejoindre sa petite maison, dans le village, au pied des montagnes noires. Là, elle fit un bon feu avec ce qu’elle avait ramassé afin de réchauffer le vieil homme.
— Oh, merci, chère petite! s’exclama le vieillard. Tu as vraiment un cœur d’or! Dieu te le revaudra, j’en suis sûr!
Nolwenn ne comprit pas ce qu’il voulait dire mais maintenant, il faisait nuit. Elle se hâta de rejoindre sa mère qui devait s’inquiéter. Certes, elle n’avait plus de fruits à manger, ni de châle pour se réchauffer, mais elle se sentait si heureuse d’avoir rendu service. Malgré le froid de la nuit, régnait une douce chaleur au fond de son cœur. Cependant bientôt Nolwenn se retrouva seule, perdue dans ce bois qu’elle ne connaissait pas… Elle tâtonnait dans le noir, essayant de repérer les collines qu’elle parcourait chaque jour, lorsqu’elle entendit une voix qui murmura:
— Toi qui n’avais rien, tu as tout partagé. Toi qui te sentais abandonnée, tu as soulagé les autres… Suis maintenant le chemin des étoiles et garde confiance!
C’est alors qu’une multitude d’étoiles éclairèrent la route de Nolwenn. Elles formaient un chemin et brillaient de plus en plus pour guider les pas de la jeune fille. Nolwenn croyait rêver tant le chemin était illuminé. C’est alors qu’elle aperçut un être aux bois de cerf tout auréolé de lumière qui s’approcha et lui dit :
— N’aie pas peur, jeune fille! Je suis Cernunnos, dieu de la forêt, des trésors et de la fécondité. J'ai vu ton cœur d’or et je souhaite te récompenser. Continue de suivre les étoiles.
À nouveau les étoiles semblaient former un chemin comme pour indiquer la route… Nolwenn les suivit de nouveau. Elle ne trébuchait plus, tant leur lumière l'éclairait.
Lorsqu'elles s'arrêtèrent, la jeune fille réalisa qu'elle était dans une clairière au centre de laquelle se trouvait un énorme dolmen à l'intérieur duquel quelque chose brillait.
Nolwenn s'approcha. La terre s'ouvrit devant elle et une tribu de Korrigans en sortit pour commencer à danser autour d'elle.
« Voilà Nolwenn, chantaient-ils, la jeune fille qui a de l'or dans le cœur. Comme elle ne peut pas voir celui qu'elle a à l'intérieur, il nous faut lui en donner à l'extérieur ! »
D'autres korrigans apportèrent alors un vieux chaudron rempli de pièces plus brillantes les unes que les autres.
Ils le déposèrent aux pieds de la jeune fille qui n'osa pas y toucher, effrayée qu'elle était par ces petits êtres noirs aux yeux rouges.
« C'est pour elle, c'est pour elle » chantèrent les korrigans, puis ils retournèrent sous la terre.
Ce ne fut que lorsque le silence retomba sur la clairière que Nolwenn osa s'approcher. Elle toucha d'abord le chaudron pour vérifier qu'il était réel, alors, constatant que c'était le cas, elle se décida à le prendre.
Une brise se leva qui fit bruisser à l'unisson tous les arbres de la forêt en une mélodie douce de clochettes et de grelots, parfaitement adaptée à cette nuit de Noël.
Lorsqu'elle revint chez elle, elle montra le chaudron à ses parents et voulut leur donner la moitié des pièces qu'il y avait à l'intérieur, mais ô miracle : le chaudron ne se vidait pas.
Nolwenn et sa famille restèrent à l'abri du besoin jusqu'à la fin de leurs jours. Chaque soir ils purent s'endormir le ventre plein et l'esprit confiant en l'avenir.
Quand vous vous réveillerez
hier ira de l'avant
et demain sera aujourd'hui
d'ici-là bonne nuit à toutes & tous !
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Caroline nous a donné la recette de son gâteau au chocolat !
Rien de tel pour raviver ses souvenirs d’enfance et en créer d’autres avec vos proches. Et comme chez la famille de Caroline, il permettra peut-être aussi d’enterrer la hache de guerre ! pour 6 pers,prépa 10 mns, cuisson 30 mns.
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Plus savoureuse que la bûche du chef Emmanuel et plus gourmande que la bûche duo de chocolat de Noémie et Maxime,
notre bûche trois chocolats ravira vos convives pour le repas de Noël ! Toute trois nous vous souhaitons de très belles fêtes de fin d’année ! Attention : Cette recette se réalise sur 2 jours. pour 10 pers, prépa 10+30 mns, cuisson 360 mns. Pour le biscuit :
Pour la mousse :
Pour le croustillant feuillantine :
Pour le glaçage miroir :
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