Est-ce que certaines personnes autour de vous essaient de vous faire sentir coupable? La culpabilisation de l’autre est l’un des pires parasites à toute forme de relation. Elle détruit la confiance, la communication, l’estime de soi, l’affection, l’amour. Quand quelqu’un tente de nous faire sentir coupable de quoi que ce soit, il se sert de manipulation, de la faible estime de soi que nous avons, de la vulnérabilité que nous laissons poindre face à cette relation. Il utilise nos valeurs contre nous dans le seul but d’en arriver à ce que nous fassions ou agissions comme lui le voudrait. Quand nous nous sentons coupable après le commentaire de cette personne, c’est que nous nous sommes laissé atteindre dans notre zone de vulnérabilité. Nous lui avons donné momentanément le pouvoir de nous utiliser à ses propres fins. Nous nous sentons inconfortable, confus, triste … et coupable. Mais le fait demeure que personne ne peut nous faire sentir coupable si nous ne lui en laissons pas la possibilité. Nous sommes maîtres de notre réaction face aux tentatives de culpabilisation. Nous avons plusieurs choix lorsque quelqu’un tente de nous faire sentir coupable : nous pouvons ignorer la tentative, la refléter à l’accusateur, nous défendre ou refuser d’embarquer dans ce bateau qui nous mènerait droit à la dérive. Si nous développons notre estime de soi, si nous la construisons et la renforçons chaque jour, inlassablement, si nous vivons en accord avec nos valeurs fondamentales, si nous savons que nous faisons toujours de notre mieux et que nos intentions sont créées dans l’amour, alors personne ne peut nous faire sentir coupable. Agir avec une intention pure basée sur l’amour nous permet de savoir que nous faisons toujours de notre mieux. Respecter nos valeurs fondamentales nous confirme que nous n’outrepassons pas nos limites. Savoir que nous souhaitons le meilleur pour les autres nous amène des relations basées sur le respect et la compréhension. S’aimer soi-même et s’accepter tels que nous sommes, crée un rempart imperméable entre toute forme de culpabilisation et nous. En nous aimant nous-même, nous éloignons les manipulateurs et les culpabilisateurs qui ne trouvent plus en nous la victime dont ils se régalaient. Peut-être même qu’en nous aimant suffisamment pour ne plus entrer dans leur jeu, nous leur montrerons une autre manière d’être en relation avec les autres, plus saine, plus authentique. Nous ne pouvons que leur souhaiter de se libérer de ce penchant dévastateur dans leur vie. Quant à nous, nous continuerons d’apprendre à nous aimer en tirant les leçons de ces expériences destinées à nous renforcer. Et nous refuserons toute forme de culpabilisation
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Outre le passage à l’euro à partir duquel bon nombre de produits ont augmenté, l’immobilier, le pétrole et les matières premières ont connu une augmentation significative. Ajoutons à cela les “nouvelles habitudes de consommation” selon la formule consacrée (internet et téléphonie) et on obtient un budget qui augmente, voire pour certains qui explosent. Si vous lisez mon blog depuis suffisamment longtemps, vous savez déjà que pour bien vivre il n’y a pas 36 solutions : il faut soit augmenter les recettes, soit diminuer les dépenses. Bah oui, c’est con à lire (et aussi à écrire) mais le principe de base est là. Parfois ce principe n’a pas l’air si simple que ça lorsqu’on voit avec quelles difficultés l’état à du mal à avoir un budget à l’équilibre…mais c'est un autre sujet ! La première chose à faire pour dépenser moins est donc… de consommer moins ! Il faut vivre selon ses moyens, c’est aussi triste que cela. Ensuite vous pouvez penser comme un millionnaire.... pour améliorer les choses. Les 2 grosses dépenses d’un ménage sont le logement et ensuite l’alimentation. Puis vient les transports (voiture en particulier). Pour savoir sur quel élément vous pouvez agir, vous devez connaître vos valeurs. C’est à dire ce qui caractérise votre système de représentation des choses : pour une personne donnée, il peut être plus important d’aller au cinéma plusieurs fois par semaine que d’avoir une grande cuisine. Ensuite vous devez définir un objectif ...je m'explique ... Votre objectif doit être clair, défini dans le temps et atteignable. Souvent, il est préférable de mettre une échéance courte pour s’assurer que l’on va se mobiliser pour atteindre l’objectif. Il doit exprimer la raison pour laquelle vous voulez faire ça : .être son propre patron .pouvoir accompagner ses enfants à l’école tous les jours .pouvoir développer dans un domaine particulier .vivre à la nature .suivre johnny halliday en tournée…
" Un jour je serai président " : mal " Dans 2 ans j’aurai ouvert 2 chambres d'acceuil pour jeune en insertion" : bien Définir un objectif est puissant ! (si si) votre objectif défini en rapport avec vos valeurs. La plupart des régimes ne marchent pas car ils ne prennent pas en compte les valeurs des personnes qui doivent les suivre. On va vous dire que vous pouvez boire du coca light à volonté alors que vous souhaitez manger sainement. Dans mon cas particulier s’il y a un des plaisirs que j’ai dans la vie c’est bien manger par exemple. Ma mère cuisine très bien et notre fille aussi !! ma femme s'ameliore et ouiii tout arrive !!!... bien manger fait parti des choses que je considère comme essentielle. À côté de cela je peux me satisfaire d’une petite maison avec un petit terrain. Ainsi en vivant dans une petite maisona vec un petit terrain pour 3 voir 5 si on ce sert un tout petit, petit peu un 100m²en Bretagne .... à Paris ils en font 3 studios au moins...mais en mangeant très bien mon système de valeur est respecté et je suis contente de la situation. Avoir une maison plus grande avec un terrain plus grand impliquerait une dépense mensuelle supplémentaire de au moin 350€. Pour dépenser moins, il faut donc faire des choix ! Il y a certaines choses incontournables et d’autres dont on peut facilement se passer. Il semble que pour beaucoup d’entre nous il est de plus en plus difficile de faire des choix. On veut tout, tout de suite.
Je vais vous parler de ce fait dans l article “dites moi ce dont vous avez besoin et je vous expliquerai comment vous en passer".
Faites votre sélection ! |
L’étude de 60 Millions de consommateurs qui a établi la liste noire des hausses de prix ne vient que confirmer cela : manger coûte de plus en plus cher mais pas forcément à cause du prix des matières premières. On y retrouve des hausses de 45% sur les Barilla N°5 chez Carrefour ou de 40% sur les yaourts Yoplait chez Auchan waou... et il y est bien évidemment rappelé que quand les prix des matières premières augmentent les industriels le répercutent mais lorsqu’il baisse c’est le silence radio…forcément ! Disons le tout de suite, la formule la plus chère c’est d’aller tout le temps au supermarché . Malgré les beaux discours, parfois pleurnicheur ...vous savez à qui je pense.... à souhait, le fait d’aller au super marché vous fera dépenser plus. Les produits de première nécessité sont souvent plus chers qu’ailleurs et les fruits et légumes sont de mauvaise qualité. Les produits de grande marque sont très chers et, en plus de cela, le super marché est un système savamment étudié pour vous faire consommer plus : publicité visuelle, ambiance sonore, emplacement des rayons, sélection des références : tout est pensé pour alourdir votre ticket de caisse. La théorie du mix-marketing (ensemble cohérent de décisions relatives aux politiques de produit, de prix, de distribution et de communication d’un produit ou d’une marque) est mise en œuvre chaque jour dans ces enseignes. Il est ainsi souvent dans l’objectif d’une marque d’étudier l’emballage pour que le produit paraissent plus gros qu’il ne l’est. Avec l’apposition de cercles concentriques (Théorie de Gestalt) sur l’un des angles de l’emballage, l’illusion existe et notre perception des choses est altérée. Bien sur il suffit de comparer les prix au kilo pour se rendre compte du subterfuge mais le problème c’est que nous aimons bien les jolis emballages, quitte à payer plus cher… Le facing, les prix psychologiques sont encore d’autres moyens employés : tout est fait pour vous faire faire des choix instinctifs et non rationnel (basé sur le rapport qualité/prix). Il est très épuisant de lutter, la meilleure solution est d’éviter de s’y exposer. 1 – Pour dépenser moins, vous devez faire une liste des articles dont vous avez besoin. Ah ah on y revient souvent ! 2 – Vive le hard discount : Le meilleur moyen pour réduire ses factures alimentaires c’est d’aller un peu plus souvent chez les ED, Aldi, Lidl, Norma and co.... Si comme moi leurs étalages vous dépriment et la qualité des articles vous importe, soyez sélectif. J’ai établi une liste d’articles qui ne souffrent pas ...à mon sens...d’être générique : 1.papier toilette 2.essuie tout ...oui je ne m en passe pas! 3.jus d’orange (100 % pur jus)...penser a les faire vous gagnerez pour votre santé! 4.lait 5.farine 6.sucre 7.produit de nettoyage (lessive, produit vaisselle, nettoyant divers) ....si ils ne sont pas fait maison ! 8.yaourt ....si il ne sont pas fais avec la yaourtiere ! 9.fromage de base 10.gel douche ....si vous ne le faite pas vous même! 11.condiments Ces articles là n’ont pas d’intérêt à être acheté dans un super marché classique. Dans certains cas on achète de la farine spéciale ou d’autres produits particuliers, et donc pas chez un hard discounter, mais dans la plupart des cas ces articles peuvent être acheté les yeux fermés.dsl pour l 'expression au passage ...hi hi hi
3 – Vive le marché : les fruits et légumes sont moins chers sur les marchés. C’est prouvé par plusieurs enquêtes de consommation et en plus de ça ils sont bons. Que ce soit chez un hard discount ou au super marché du coin, je suis toujours tombé sur des fruits et des légumes à vous dégouter de la nature. Ils ne tiennent pas 2 jours, n’ont aucun goût et finissent souvent à la poubelle. Récemment encore, je trouvais sur le marché un producteur qui vendait ses pommes et ses poires moins cher qu’en supermarché et qui était très bonne. Si vous en avez la possibilité, allez directement chez un producteur. Au moins aucun intermédiaire ne s’engraisse au passage. Allez au marché pour vos fruits et légumes et surtout prenez des choses de saison. Qu’est ce qui est de saison ? Allez voir le ..... ou encore sur ekopedia. Vous allez voir, c’est incroyable, les tomates ne sont pas produites toute l’année !! hi hi hi 4 – Planifiez vos repas. Difficile à faire mais c’est le meilleur moyen pour n’acheter que des choses nécessaires. Solution intermédiaire : définir des repas types, qui plaisent à toute la famille, pour remplir 1 ou 2 jours voir la semaine. 5 – Mangez Bio ....c'est manger simplement mieux ! Comparez les prix. Sur un grand nombre de produits, le bio n’est pas plus cher que les grandes marques. Mangez Bio c’est manger mieux. Les produits bio à privilégier sont les œufs, le lait et le beurre car ce sont eux qui “souffrent” le plus des traitements industriels classiques. Les possibilités de manger pour moins cher et mieux à la fois ne manquent pas. Comme toujours pour y arriver cela demande un peu d’énergie et de prise de contrôle de la situation. En clair, si vous continuez à allez bêtement au supermarché le samedi après midi pour y faire l’ensemble de vos courses votre marge de manœuvre est minime ....ou alors la qualité sera sacrifiée. Alors, vive les petits producteurs et les marchés ?
Pour faire suite à l’article Comment dépenser moins ? es ce possible ? et apporter un côté plus pratique, voici comment adopter une meilleure stratégie pour vos achats alimentaires... |
Les nœuds du quotidien au jardin, ils sont utiles partout, pour nouer des piquets, pour tuteurer, pour tirer des charges lourdes ou pour fabriquer une corde plus épaisse, ou fixer solidement un crochet, attacher une bête ou nouer des cordes entre elles.
Ce savoir-faire se perd et c'es...t bien dommage ça devrait être un sujet du bac !! Alors amusez vous, entraînez vous on a toujours besoin de savoir faire des nœuds.qui sont utiles en voyage ou dans la vie quotidienne.... Je vous propose la suite de l'apprentissage des principaux noeuds.
Je vous propose la suite de l'apprentissage des principaux noeuds.
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La culture alimentaire a longtemps été la fonction principale des jardins . Aujourd’hui, avec la mode du « bio » qui déferle sur nos assiettes, le potager vegétale revient sur le devant de la scène.
•Préparer son terrain. Comme il demande beaucoup d’entretien, il peut ne couvrir qu’une portion de l’espace à aménager et se combiner à un jardin plus classique (voir jardins anglais, français, japonais et contemporain). Il s’agit alors de le mettre en évidence, par exemple en le surélevant (pratique pour ceux qui ont des problèmes de dos) ou en le délimitant par quelques planches de bois jointes entre elles par des clous, jamais par de la colle celle-ci étant toxique. Labourez dans un premier temps votre terre en la délestant des cailloux et des pousses de mauvaises herbes. Fertilisez-là avec du compost et, si nécessaire, un engrais organique en fonction des plantations que vous envisagez d’effectuer. Ce travail doit être fait chaque année. Pensez également à alterner les cultures pour ne pas épuiser la terre et éviter que certaines maladies végétales ne contaminent vos plants (une rotation qui s’étend sur 3 ans est préférable). •Que planter et quand ? Comme le climat belge est des plus incertains et des plus capricieux, l’astuce est bien entendu de choisir la meilleur orientation pour la culture pour mettre toutes ses chances de son côté. Optez pour le coin le plus lumineux de votre jardin. Chaque légume doit être planté au moment opportun. Le calendrier suivant n’est pas exhaustif tant les variétés existantes sont nombreuses. Sachez aussi que certains légumes, herbes ou fruits peuvent être plantés tout au long de l’année, comme le chou, mais certaines précautions devront être prises pour assurer la réussite de la pousse. Hiver Janvier : cresson, carottes, poireaux Février : oignons, fraisiers Mars : aubergines, basilic, concombres, melons Printemps Avril : tomates, thym, cornichon, pois, radis Mai : toute variété de chou, laitue, persil, potiron Juin : épinards, cerfeuil (à l’ombre) Eté Juillet : haricots, rutabagas Août : mâche, pissenlits Septembre : oseille, oignons de couleur, asperges Automne Octobre : Pois, épinards, mâche Novembre : carottes, fèves Décembre : pois, salsifis, échalotes Conseil : protéger votre sol du froid à l’aide de feuilles mortes ! Conseil : apporter de l’engrais aux jeunes légumes repiqués et désherber Conseil : ne pas arroser aux heures les plus chaudes de la journée quand le potager est en plein soleil. Conseil : aérer le sol la journée et protéger le la nuit. Pour protéger les cultures du froid, des insectes ou des animaux tout en les laissant exposées aux rayons du soleil, on peut couvrir l’entièreté ou une partie du potager d’une serre. Elles sont disponibles dans de très nombreuses tailles et s’adapteront donc aux dimensions de votre jardin. Leur efficacité contre les « indésirables » est beaucoup plus probantes que les fils ou les filets et que les épouvantails. Si votre soucis est avant toutd’écarter les volatiles et les insectes, d’autres solutions s’offrent à vous. Si l’on pense davantage à planter des légumes, des herbes voire des fruits lorsqu’il s’agit de potager, il ne faut pas pour autant hésiter à décorer de fleurs qui, en plus de rendre le résultat agréable à l’œil, détournent les insectes des plantations. Les tagètes, par exemple, de par l’odeur qu’elles dégagent, écartent certains insectes. Concernant les oiseaux, les épouvantails peuvent être remplacés par des mobiles qui reflètent la lumière et produisent un léger son qui effraye les oiseaux. ou pas....comme notre Robinne hahaha (pour ceux qui suivent). Enfin, il est facile de donner un peu de cachet à son potager en y plaçant çà et là quelques accessoires : les bassines, cruches et arrosoirs de nos grands-mères connaîtront une seconde jeunesse en devenant, par exemple, d’originaux pots de fleurs. Le jardin potager, parfaitement modulable selon les besoins et les envies, permet de mêler l’utile à l’agréable et le fonctionnel à l’esthétique. Le jardin japonais : lieu de méditation et d'harmonie, il vous apaisera de par son calme et sa plénitude
Il existe 5 types de jardin : •1 Le jardin cour intérieure Idéal pour les petites surfaces. Mélange de lanternes japonaises, de pierres, de pas japonais (pavés dans l’allée) et de plantes telles que du bambous nains et des fougères •2 Le jardin Zen Le jardin Zen est composé de trois pierres (une pierre haute posé à la verticale, une pierre basse également posée à la verticale et la troisième plate à l’horizontale) ainsi que du sable extra blanc à blanc grisé. Il n’y a pas de plantes dans ce jardin. Le jardin Zen également appelé jardin sec car l’eau y est absente et est représentée par des graviers. •3 Le jardin de thé On y retrouve principalement des lanternes, des pierres, des pas japonais et un tsukubai (puit) qui se place à l’entrée du jardin. •4 Le jardin promenade Il nécessite un espace important. Ce type de jardin porte très bien son nom, il s’agit littéralement d’une promenade aux travers des différents éléments comme lacs, ruisseaux, ponts, bassins, lanternes japonaises et plantes. •5 Le paysage emprunté Ce type de jardin suppose la présence d’un paysage naturel en fond de décor et au premier plan on retrouve la végétation. Les éléments qui le compose sont : un pont, des pierres, un lac et des lanternes japonaises. Le paysage emprunté est un jardin de contemplation. Il s’agit d’une technique pour donner une impression d’infini. Les fondements du jardin japonais : 1.Dans un jardin japonais il n’y a pas d’herbes mais de la mousse. 2.Il faut jouer sur les perspectives pour des sensations de grandeur soit en miniaturisant les éléments du jardin soit avec des plantes et pierres placées au premier plan. 3.Il faut préserver l’harmonie 4.Le jardin japonais est asymétrique •Le jardin « à la française » se développe en France au XVIIème siècle
pour connaître son apogée entre les mains du célèbre paysagiste André Le Nôtre, auteur des Jardins de Versailles de Louis XIV. Inspiré de la mode italienne, le style français aura vite fait de s’imposer et de laisser cours aux plus ambitieux des projets de composition comme en témoignent certains ouvrages dans les châteaux de France. •La symbolique de ce style est celle de l’ordre et de l’ascendance de l’homme sur son environnement : le jardinier cherche à corriger la Nature en la pliant à des règles mathématiques de proportion, symétrie (effet « miroir ») et de perspective. Le jardin français s’oppose donc en tout point au jardin anglais . Ainsi, outre la présence de tracés géométriques absents dans le modèle d’Outre-manche, le parcours du visiteur au sein du jardin est préétabli par la présence de balises que forment des bordures régulières. La régularité et l’harmonie sont les principes clés de la composition puisque celle-ci doit être cernable d’un seul coup d’œil, en un mot, prévisible. Les jardins de Versailles •Les parterres de fleurs prennent la forme de figures géométriques parfaitement proportionnées dont le contour est souligné le plus souvent par un buisson bien taillé. Les plantes se trouvent de préférence à intervalles réguliers les unes des autres et le gazon, soigné, est coupé à ras. Pour donner un effet encore plus sophistiqué au tableau, le jardin peut être agrémenté de statues (souvent d’inspiration mythologique et blanches), d’une fontaine, de marbre et de topiaires (arbustes de type buis ou troène taillé en rond, carré, triangle…). Le jardin à la française permet à l’homme d’imposer à la Nature son idéal rationnel à force de beaucoup de travail et d’entretien. •Le jardin anglais apparaît en Angleterre dans le courant du XIXème siècle
en réaction aux jardins à la française qui dominent jusqu’alors le paysage. Il se charge rapidement d’une dimension symbolique d’émancipation qui se traduit parfaitement par sa composition qu’il veut proche de l’état sauvage. Il connaît de nombreuses évolutions jusqu’à aujourd’hui et se décline actuellement en différentes catégories (pittoresque, sublime…) selon qu’il est plus ou moins sombre, sauvage, sensuel… Contrairement à la mode française, le jardin anglais laisse libre court à la Nature, bien qu’il ne s’agisse pas de laisser le jardin « au naturel » mais bien de procéder à une « reconstitution » propre et organisée de celle-ci. Le charme du jardin à l’anglaise s’impose dès l’entrée en invitant le visiteur à franchir le seuil d’un portique décoré ou d’une barrière recouverte de plantes vivaces. •Une fois à l’intérieur, tout suscite la curiosité et l’attrait de la découverte. On privilégie les chemins sinueux qui conduisent aux surprises qu’offre l’espace, l’exploitation des « accidents de terrains » plutôt que leur banalisation… Les massifs de fleurs et de plantes sont irréguliers en taille, hauteur, profondeur, formes et couleurs. La rose est sans aucun doute la plus pittoresque des fleurs de ces jardins, mais le jardinier reste libre d’opter pour tout autre type de plantes, comme des variétés annuelles qu’il change en fonction des saisons et surtout, en fonction de ses goûts et de ses envies. •L’objectif du jardin anglais est de trouver un certain équilibre dans les variétés et les couleurs. Ces dernières, le plus souvent au nombre de quatre maximum, peuvent allègrement jouer les contrastes en mariant le vert à l’orange et au rouge profond, le bleu au jaune, tout en tenant compte des accessoires qui s’ajoutent au décor comme une statue ou un point d’eau, le tout sur un gazon soigné et régulier , so british. Le jardin à l’anglaise propose donc un retour à la Nature, permettant de réconcilier l’homme et son environnement sur lequel il agit non plus comme un dominateur, mais comme complice. |
Le printemps approche et la nature va se réveiller. Les journées, bien qu’encore fraîches, seront de plus en plus ensoleillées et il sera temps de préparer le jardin pour l’été.
C’est donc dès à présent qu’il faut commencer à entretenir, planter, repiquer, tailler, … afin que les fleurs, arbustes, fruits et légumes se développent pleinement pendant les beaux jours. Au fil des mois du printemps, quelques tâches, toujours accomplies avec plaisir, seront indispensables Au jardin •Mars C’est au cours du mois de mars que vont réellement commencer les travaux, même si le temps n’est pas encore au beau fixe. Profitez des premières journées ensoleillées pour débuter la préparation de votre jardin. Commencez par désherber les plantations à la binette et retirez les feuilles mortes, qui favorisent l’humidité. Apportez de l’engrais biologique au pied de vos massifs. Si le temps n’est pas trop froid et humide, plantez en pleine terre les fleurs printanières, telles que les jacinthes, tulipes, crocus, iris, … ayant passé l’hiver au repos et qui ont dû commencer à fleurir à l’intérieur. Préparer son jardin et son potager pour l’hiver Si nécessaire, faites une dernière taille des rosiers. Toutes les plantes grimpantes, comme par exemple la glycine, peuvent être taillées aussi. Faites une première taille de vos haies. Vous pouvez aussi commencer à planter les haies et arbustes persistants. C’est aussi le moment de semer une nouvelle pelouse. Comment entretenir sa pelouse? Divisez les vivaces (seulement si elles sont devenues trop touffues. Cette division peut se faire 1 fois tous les 3 ans environ), et les bambous. Déterrez-les avec une bêche en gardant de la terre autour des racines, puis divisez la motte en deux à la main ou à la bêche. Replantez rapidement une partie à l’endroit initial et le reste ailleurs. •Avril
Continuez à diviser vos vivaces, à biner et désherber. Poursuivez aussi les tâches commencées en mars, comme le semis d’une pelouse, le repiquage des semis faits à l’intérieur, … Faites un apport d’engrais, particulièrement au pied des rosiers et arbustes. Retirez les paillages d’hiver, sauf au pied des plantations les plus fragiles. Ce sera le moment de semer les annuelles en terre : pavots et coquelicots, capucines, soucis, … et de planter les bulbes d’été comme les glaïeuls, lys et dahlias, … Posez des tuteurs sur les plantes à grandes tiges risquant de plier au vent. Commencez la tonte de vos pelouses, attendez ensuite 3 jours pour y apporter un complément d’engrais. Supprimez les mauvaises herbes et leurs racines avant qu’elles ne prolifèrent et scarifiez votre gazon. Réparez les parties endommagées en griffant le sol à nu pour ensuite y déposer un mélange de graines et de terreau, tassez et arrosez. Comment entretenir sa pelouse? Taillez les houx, buis, troènes, saules, cognassier du japon, … Vous avez jusqu’à la fin du mois pour planter rhododendrons et azalées (qui fleuriront en mai) dans de la terre de bruyère bien drainée, sans enfoncer les racines, et de préférence à mi-ombre. •Mai Continuez les tâches commencées en avril, comme l’entretien et la tonte de la pelouse, la taille des haies et arbustes à fleurs et l’élimination des mauvaises herbes. C’est la dernière limite pour planter les bulbes, annuelles d’été et bégonias. Il n’y a plus de risque de gel, sortez les dernières plantes encore à l’intérieur. Au 15 du mois, sortez et fleurissez vos pots et jardinières sur les balcons. Les plantes en pots pour la terrasse et le jardin Arrosez régulièrement, surtout les plantations récentes. Préparez et plantez vos massifs de géraniums, bégonias, … pour l’été ainsi que les plantes de rocailles. Traitez vos rosiers contre les pucerons et maladies avec de la bouillie bordelaise (mélange d'eau, de sulfate de cuivre et de chaux) et supprimez les gourmands et fleurs fanées. Taillez les lilas, en coupant la moitié de la branche ayant fleuri. Arrachez les bulbes et oignons de printemps déjà fleuris et fanés, étalez-les et séchez-les à l’ombre pour les stocker au sec à l’abri de la lumière jusqu'à l’automne prochain. Si certaines fleurs de printemps, comme la pivoine et l’azalée par exemple, sont fanées, coupez-les. Taillez également les arbustes comme le forsythia. Au potager
•Mars Les semis et repiquage de plantations se feront encore en majorité sous abri car il faut prévoir une protection contre le gel qui peut encore sévir en mars. Binez, éliminez les mauvaises herbes et apportez un peu d’engrais ou de compost à votre terre, tout particulièrement autour des fraisiers. Sous abri, tout au long du mois, vous pouvez planter entre autres, aubergines, carottes longues, courgettes, poireaux, céleris, laitues, choux et tomates. Ouvrez vos châssis les beaux jours et gardez les semis légèrement humides. Attendez la fin du mois pour planter vos poireaux en pleine terre. Rien ne presse mais vous pouvez aussi mettre en place les pommes de terre germées dans une terre enrichie de compost. Plantez les arbustes fruitiers. Récoltez les derniers légumes plantés en automne, poireaux, persils, … Attention aux rats, campagnols et oiseaux qui pourraient causer des dégâts au potager. •Avril
Vous trouverez à partir d’avril et durant tout le mois de mai de quoi faire tous les jours dans votre potager. Binez entre les rangs pour aérer la surface et supprimez les mauvaises herbes. Repiquez et butez les pommes de terre quand vos plants atteignent 25 à 30cm de haut Veillez à ce que la terre reste humide ; dans ce cas pas besoin d’arrosage. Semez laitues, choux, carottes, poireaux, courgettes, oignons et aromatiques. Ensuite, quand les graines ont bien levé, éclaircissez vos rangs de semis de carottes, laitues, poireaux, … pour leur donner de l’espace et faciliter leur croissance. Pour ce faire, supprimez des plants en les déterrant ; les distances varient selon les légumes. Quelques exemples : de 8 à 10 cm pour des carottes, de 10 à 12 cm pour les poireaux et les oignons et jusqu'à 25 - 30 cm pour les laitues. Les escargots vont commencer à dévorer vos salades, jusque fin septembre … Vous pouvez étaler de la cendre sèche ou de la sciure de bois entre vos plants pour faire barrage. Mettez vos tomates en pleine terre à la fin du mois et posez des tuteurs. Si le temps est sec, il faudra arroser mais uniquement le matin et le soir, pas durant les heures les plus chaudes de la journée.
Vous pouvez désormais retirer les protections d’hiver, paillage et voile. Il y aura sûrement déjà quelques récoltes à faire, laitues, carottes, … que vous avez semées en automne. Voir : Préparer son jardin et son potager pour l’hiver Semez sur les parcelles qui se libèrent les légumes à récolter en automne, haricots, courgettes et concombres. Posez des tuteurs sur vos arbustes fruitiers. •Mai Dès le 15 mai, vous serez normalement à l’abri des gelées matinales. Poursuivez les travaux entrepris en avril : continuez vos travaux de semis, repiquage et éclaircissement pour vos pommes de terre, carottes, laitues, poireaux, … Binez régulièrement les rangs pour aérer, cela facilite l’assimilation de l’eau et des nutriments tout en supprimant les mauvaises herbes. Finissez de planter vos tomates. Vous pouvez placer des feuilles d’ortie dans le trou lors de la plantation. Cela apporte de l’engrais et c’est un moyen biologique de lutter contre les maladies. Traitez-les, feuillages uniquement, à la bouillie bordelaise. Remuez le compost. Les mois de septembre à novembre vont vous permettre de préparer votre jardin pour l’hiver. Cela peut sembler tôt dans la saison, mais c’est la période de l’année où le jardin commencera à se mettre au repos. Les températures seront déjà plus basses, surtout sous nos latitudes, et les premières gelées feront vite leurs apparitions.
L’automne est aussi la meilleure période de l’année pour les plantations. Le jardin •Septembre Récoltez les graines des annuelles à mettre au sec pour le printemps prochain. Étalez les graines et faites-les sécher avant de les mettre dans un bocal hermétique à l’abri de la lumière, sans oublier de les identifier à l’aide d’étiquettes. Arrachez les mauvaises herbes, y compris les racines, manuellement et à la binette pour éviter les désherbants chimiques. Supprimez les fleurs fanées dans vos allées et massifs. Pour les plantes en pots ou bacs, un apport d’engrais sera sûrement nécessaire. Jusqu’à la mi-septembre maximum, vous pouvez encore semer et réparer votre gazon. Taillez vos haies une dernière fois, attendez la fin de la floraison pour les haies fleuries. Si vous voulez faire des boutures de rosiers et de conifères, c’est le moment •Octobre
Vous pouvez planter vos bulbes printaniers et les vivaces qui fleuriront au printemps : tulipes, jacinthes, crocus, iris, perce-neige, narcisses et jonquilles, … entre autres. Déterrez les bulbes d’été (dahlias, glaïeuls, bégonias), laissez-les sécher, puis entreposez-les à l’abri de la lumière et du gel. Faites une dernière tonte de votre gazon. Vous pouvez planter des conifères, des arbustes à feuillage persistant, des pivoines arbustives ainsi que des plantations qui apprécient la terre de bruyère comme l’azalée. Vous pouvez commencer à planter des rosiers (jusqu’à fin mars) Videz les pots et jardinières inutilisés au fur et à mesure de la défloraison et nettoyez-les avec un peu de javel et d’eau pour éliminer les maladies. Si vous ne les rentrez pas, rassemblez les pots et isolez-les du sol (sur une palette ou une planche posée sur des briques), disposez de la paille au pied des bacs et un voile d’hivernage sur le feuillage. Les plantes en pots pour la terrasse et le jardin (En février - mars, vous pouvez déjà planter vos bulbes pour la saison prochaine.) Coupez les branches mortes de vos arbres et élaguez si nécessaire. Des fleurs pour Noël : Début octobre, dans des pots résistant au froid, plantez des narcisses "jonquilles", des tulipes hâtives, jacinthes, crocus,… qui resteront à l’extérieur environ 2 mois. Ensuite, rentrez-les, ils fleuriront à l’intérieur au bord d’une fenêtre, avec un arrosage régulier. •Novembre
Les derniers travaux de jardinage se feront en novembre. Après ceux-ci, votre jardin pourra passer l’hiver sereinement : Rentrer vos pots et balconnières (avant les premières grosses gelées sous peine de les voir éclater sous l’effet du gel). Il n’est plus nécessaire de tondre la pelouse, mais il faut ramasser régulièrement les feuilles mortes et idéalement les mettre au compost. Scarifiez votre gazon et si besoin vous pouvez nourrir la terre d’une fine couche de terreau. Nettoyez et rangez votre tondeuse. Taillez vos rosiers et traitez ceux qui portent des taches noires à la bouillie bordelaise. Taillez aussi vos arbres et arbustes. Plantez aussi les pensées, primevères, mais aussi plantes de bruyères et arbustes persistants. L’automne est bien là, protégez vos plantes les plus fragiles à l’aide d’un paillis. Le potager C’est le moment des principales et dernières récoltes de fruits et légumes, … mais aussi de planter poireaux et radis. Le temps également de préparer le potager à passer l’hiver dans de bonnes conditions pour de futures bonnes récoltes. •Septembre Éliminez les mauvaises herbes dans vos rangs de légumes et espacez les arrosages. Vous pouvez semer : oignons, oseille, poireaux, radis et épinards. Plantez aussi vos fraises. Récoltez les pommes de terre restantes et la rhubarbe. N’arrosez plus vos plants de tomates et supprimez les feuilles leur faisant de l’ombre. C’est la dernière limite pour planter du persil. Veillez à ce que vos potirons ne soient pas trop en contact avec l’humidité (posez-les, au besoin, sur des morceaux de pots en terre cuite). •Octobre
Il est temps de récolter le reste de vos fruits et légumes (courgettes, carottes, navets, choux fleurs, betteraves, pommes et poires,…), mais aussi les herbes aromatiques et les potirons avant les gelées. Pour conserver vos légumes et éviter qu’ils ne pourrissent, faites vos récoltes et cueillettes le matin et attendez que la récolte sèche à l’air libre avant de les entreposer bien au sec. Si vos plants de tomates n’ont plus de fruits, arrachez-les et détruisez-les pour éviter les maladies. Vous pouvez semer les radis sous un châssis, mais aussi épinards, laitues d’hiver et chicorées (chicons). Sur les parcelles vides, il est aussi temps de répandre fumier et compost et de les aérer en bêchant. Plantez les framboisiers et taillez les groseilliers. Buttez vos poireaux :
1 - Quand les poireaux sont repiqués, ils le sont dans une rigole de 10 à 15 cm, pour faciliter l’arrosage. 2 – Ensuite, fin octobre, rabattez la butte de terre sur les poireaux : ils donneront plus de blanc. •Novembre Plantez vos futurs arbres et arbustes fruitiers (possible tout au long de l’hiver) ainsi que l’ail et les oignons. Dès que les toutes les feuilles sont tombées de vos arbres et arbustes fruitiers (à pépins et noyaux), taillez-les et traitez-les à la bouillie bordelaise. Bouturez aussi framboisiers et groseilliers. Récoltez les châtaignes, la mâche ainsi que l’oseille, les dernières carottes, betteraves et poireaux. Nettoyez la terre des fruits et légumes restants, bêchez le potager avant les gelées et ajoutez fumier et compost. Le jardin potager Paillage d’hiver Au jardin ou dans le potager, le paillage se pratique toute l’année. En été, il aura entre autre pour but de limiter l’évaporation d’eau et la pousse des mauvaises herbes. En automne, il a aussi plusieurs avantages : Il protégera les plantes et racines des fortes gelées. En se décomposant, il va nourrir le sol et évitera que la terre ne se tasse sous l’effet de la pluie. Avant de poser le paillage, ameublissez le sol et désherbez. Conservez les feuilles mortes, vos déchets de tailles et tontes : passez le bois au broyeur à végétaux. Pour les déchets de tontes, laissez-les reposer et sécher quelques jours avant de les poser (riches en azote, ils brûleraient les jeunes plants). Posez une couche d’environ 5 à 7 cm de paillis et arrosez. Ne paillez pas un sol déjà gelé, cela aurait l’effet inverse, c’est-à-dire que le paillis garderait le sol froid. N’oubliez pas de retirer le paillage d’hiver au printemps. Vous trouverez aussi en magasin de nombreux matériaux de paillage organique prêts à l’emploi : paille coupée, écorces,… mais également des films (plastique ou toile) et de nombreux minéraux. Ces derniers enrichiront le sol mais ne le protègeront pas de manière efficace pendant longtemps. Mobilier et outillage Certains de vos équipements, tels que le mobilier, les pots et jardinières ainsi que l’outillage redoutent eux aussi la saison hivernale. Ils auront besoin d’un minimum d’entretien et d’un entreposage à l’abri pour la saison froide. Nettoyez-les et entreposez-les au sec. |
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Recette adoucissant :
Vous pouvez utiliser également les coques de noix de lavage
les noix de lavage sont les fruits d'un arbre qui pousse en Inde et au Népal, le Sapindus Mukorossi. Les coques des noix sont utilisées depuis des siècles par les Indiens comme une lessive naturelle ou comme shampoing. Elles contiennent de la "saponine" qui opère comme un savon naturel au contact de l'eau. Toutes les étapes de transformation sont réalisées en Inde (récolte, sélection, séchage et dénoyautage). Les noix de lavage sont cultivées sans engrais chimique, ni herbicide et pesticide. Les noix de lavage sont donc considérées comme une lessive écologique. aller le linge m attends.... |
Envie de créer vous-même vos produits d’entretiens naturels et biologiques ou de simplement faire des économies : cet article est pour vous .Le liquide vaisselle au savon de MarseilleLes ingrédients
La recette
Liquide vaisselle au citron :Les ingrédients :
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Liquide vaisselle au savon noir :Les ingrédients :
La recette :
Et pour le lave vaisselle :Les ingrédients :
La recette :
Si vous avez les mains sensibles ?Ajouter à la préparation :
allez zou a la vaisselle.hi hi hi |
Depuis quelques années, un ingénieur en agroculture a développé une méthode de culture de potager sans travail. En effet, sans bêcher, sans sarcler, sans biner, il réussit à cultiver ses légumes dans un sol riche et engraissé grâce au compostage perpétuel dans ses planches de culture. En automne, ses planches sont couvertes des feuilles mortes tombées en abondance sous notre climat. Au cours de l'été, il effectue les paillages avec des balles de foin, des tontes de gazon et toute autre matière biodégradable propre à couvrir le sol et empêcher les mauvaises herbes à se développer. Fini le motoculteur, le bêchage, le sarclage!! Place aux vers de terre et autres petits insectes qui transforment les déchets biodégradables en merveilleux sol propre à la culture de nos légumes, fruits, herbes et fleurs!!
Petit vidéo de Dominique Soltner expliquant sa méthode http://www.youtube.com/watch?v=t69-kZ8zCXo&feature=related
Petit vidéo de Dominique Soltner expliquant sa méthode pour les petits jardins http://www.youtube.com/watch?v=kg50ljsV8Xo
http://www.soltner.fr/pdf/pros-jardin.pdf?osCsid=96ff124368fcdb8fae5cd1369e9dbed2 |
Pour ceux qui désirent monter une couche chaude ou tiède, c'est la période idéale. La couche, c'est la source naturelle de chaleur à l'intérieur du coffre. On distingue ainsi 3 sortes de couches: Montage d'une couche maraichère.La couche chaude est montée à partir d'un mélange de fumier de cheval, de feuilles mortes . Analyser la terre de son jardin
Il est primordial de connaître la nature du sol de son jardin car le choix des cultures, les techniques d’entretien, d’amendement et de fertilisation en dépendent. La plante doit pouvoir trouver dans le sol ses nutriments essentiels. Une plante peut se développer à merveille sur un sol sableux quand une autre a besoin d'un sol organique et frais. Il faut donc, avant toute plantation, connaître le sol requis par les plantes (il sera précisé sur leur emballage). Sachant qu'elle est différente selon les régions et parfois, selon les jardins, l'analyse de la terre est impérative.
La terre francheTrès légèrement acide, la terre franche est la terre arable idéale pour un jardinier. Elle se compose de 60 à 65 % de sable, 20 % d'argile, 10 % de calcaire et 5 à 10 % d'humus. Le sable, qui domine dans une terre équilibrée, offre un bon drainage et laisse passer l’air et les rayons du soleil. Selon la prédominance de l'un de ces 4 éléments, on parle de terre sablonneuse, argileuse, calcaire ou humifère.
Terre calcaire ou terre acide ?Le pH (potentiel Hydrogène) est capital dans l'analyse de la terre. Il sert à mesurer la réaction acide, neutre ou basique (alcaline) d'un sol, sur une échelle de 1 à 14. Pour la majorité des sols, le pH est compris entre 4 et 9.
Une grande partie des plantes aiment les sols neutres ou légèrement acides, dotés d'un pH compris entre 6.5 et 7.2. Un pH de 6,5 est idéal. Les sols sableux et humifères sont plutôt acides et les sols calcaires plutôt alcalins.
Quelques prélèvements pour l’analysePour déterminer de manière fiable le pH de votre sol, vous pouvez le mesurer à l’aide de testeurs. Vous en trouverez en magasins. Il existe également des kits d’analyse plus complets qui vous permettront de connaître précisément la composition chimique de votre sol. Cette analyse est vivement préconisée, notamment si vous ne comprenez pas certains de vos échecs. Grâce aux résultats de l'analyse, vous saurez comment améliorer votre terre. Recueillez plusieurs échantillons de terre à différents endroits du jardin. Veillez à prélever ces échantillons dans la couche « arable », c'est à dire entre 30 et 60 cm de profondeur. C'est à ce niveau que les racines des plantes et des légumes vont chercher les nutriments essentiels à leur croissance. Puis, mélangez les mottes de terre prélevées pour obtenir quelque chose d’assez représentatif de votre jardin qui pourra être analysé par un mini-laboratoire.
Terre lourde ou terre légère ?La terre idéale forme facilement une boule quand on la malaxe et se casse en tombant. Un sol qui semble absorber rapidement l'eau à la suite d'une grosse pluie est certainement léger. Pour en être sûr, pétrissez une poignée de terre, mouillez-la un peu et malaxez-la entre vos doigts. Une terre légère ne s’agrègera pas et refusera de former une boule. En revanche, si le sol garde de l’eau en surface après une forte averse et laisse apparaître des fissures par temps sec, il est probablement lourd. Vérifiez-le en malaxant un peu de terre : elle doit coller et se rouler facilement en boule. Quand vous connaîtrez mieux votre terre, vous choisirez les cultures qui auront les meilleures chances de s’y développer. Cette adaptation à la nature de votre sol est essentielle. Vous pourrez aussi combler certains manques en apportant des amendements. Ces corrections ne seront pas miraculeuses mais elles amélioreront votre terre au fil des années. Il est de toute façon important d'amender sa terre, c'est-à-dire de la rééquilibrer avant de la fertiliser. La terre argileuse et les plantes pour terre argileuse
La terre argileuse, ou terre glaise, est une terre lourde composée de 30 à 45% de sable. Elle est fertile et riche en potasse. A quelles plantes convient une terre argileuse ? Comment reconnaître une terre argileuse ? A la différence de la terre calcaire, la terre argileuse ne contient pas de chaux. Légèrement blanche, elle colle à la bêche lorsqu'elle est humide. En séchant, elle forme des mottes très dures et sa surface se fendille. Si on la mouille un peu, on peut facilement former une boule. Si on la fait tomber, elle ne se casse pas. Quels sont les avantages d'une terre argileuse ? Elle retient l'eau. Elle fixe les engrais. Quels sont les inconvénients d'une terre argileuse ? Elle pompe l’eau, se sature, devenant imperméable et difficile à travailler. L’été, elle absorbe mal les pluies d'orage. L'hiver, elle peut être un problème pour les végétaux qui souffriront de trop d'humidité. Comment amender une terre argileuse ? Apportez-lui de la chaux éteinte tous les trois ans et procédez à un bêchage à l’automne. Vous pouvez également l'enrichir en y incorporant du sable, du fumier, du compost... Quelles plantes aiment la terre argileuse ? Arbres : bouleaux, charmes, chênes, hêtres Arbustes : berberis, chèvrefeuilles, cornouillers, forsythias, lilas, rosiers, seringats Arbres fruitiers : cassissiers, groseilliers à fleurs, poiriers, pommiers + fraisiers si pas trop d'humidité Fleurs : pivoines, oeillets d'Inde Vivaces : digitales, muguets, myosotis, primevères Plantes potagères : brocolis, choux, navets, salades + tomates si pas trop d'humidité Notez qu'en revanche, la culture des bulbes et des plantes de rocaille s’avère difficile sur un terrain argileux. La terre humifère (riche en humus) et les plantes pour terre humifère
La terre humifère est composée d'argile, de sable et de plus de 10 % de matière organique décomposée (humus). C'est la terre des forêts. A quelles plantes convient une terre humifère ? Quelles sont les caractéristiques d'une terre humifère ? On la trouve souvent près des bois. Elle est d’un brun foncé quasiment noir. Elle forme des grumeaux et contient des restes végétaux. La présence d’une mauvaise herbe, le mouron des oiseaux (mouron blanc ou stellaire) est révélatrice, à l'instar des fougères, genêts et bruyères. Quels sont les avantages d'une terre humifère ? Elle retient très bien l'eau, bien qu’elle soit perméable. Elle est spongieuse et reste fraîche, facile à travailler. La végétation y est précoce. Quels sont les inconvénients d'une terre humifère ? Elle est souvent trop acide. Elle est parfois trop humide (jusqu'à devenir dans certains cas marécageuse !). Elle se dessèche rapidement en été. La terre humifère : les bonnes pratiques Il est conseillé de chauler un terrain humifère tous les 2 ans afin d'en neutraliser l'acidité. Un drainage est également préconisé, si nécessaire. En matière d'amendement sont recommandés les engrais à base d'acide phosphorique ou de potasse mais limités en azote. Quelles plantes aiment la terre humifère ? Plantes de terre de bruyère : rhododendrons, azalées, hortensias, fougères, clématites, camélias, érables du Japon Arbres : aulnes, bambous, saules, sapins, faux cyprès Fruits et légumes : rhubarbe, cucurbitacées, salades, poireaux, céleri, choux Si votre terre est riche en humus, oubliez les bulbes (sauf les arums et les anémones à qui ce type de sol convient), les vivaces, les arbustes à fleurs, les arbres fruitiers, les plantes de rocaille et les rosiers ! La terre calcaire et les plantes pour terre calcaire
La terre calcaire, aussi appelée alcaline ou basique, est composée de 12 à 30 % de carbonate de chaux. Caillouteuse, elle peut gêner le travail des jardiniers. A quelles plantes convient une terre calcaire ? Quelles sont les caractéristiques d'une terre calcaire ? C'est un sol typique du sud de la France, en général bien drainé, qui se réchauffe vite. Il se travaille bien, mis à part en cas de pluie, où il devient boueux et collant. En été, il se dessèche. Des cailloux remontent régulièrement en surface. On trouve sur un sol calcaire en friche des trèfles blancs, coquelicots, chardons, moutarde. La terre calcaire, souvent à l'origine de chlorose La chlorose est une carence en nutriments (en fer ou en magnésium par exemple) qui provoque le jaunissement des feuilles de la plante. Comme de nombreuses plantes n'aiment pas le calcaire, il est nécessaire d'amender fréquemment ce type de sol afin de lui faire gagner en acidité. Pour cela, il existe 2 moyens : lui apporter les matières organiques appropriées (terre de bruyère, tourbe blonde, fumier de bovins...) installer des engrais verts (trèfle, lupin blanc, vesce...) et patienter jusqu'à la prochaine culture La terre calcaire : les bonnes pratiques La terre calcaire sera bêchée avant l'hiver, sans être retournée trop profondément. Les semis et les plantations seront réalisés à l'automne plutôt qu'au printemps. Quelles plantes aiment la terre calcaire ? Se plaisent sur un terrain calcaire le coquelicot, la matricaire (camomille sauvage), le chardon, la campanule et la chicorée sauvage. Les œillets et la Nigelle de Damas s’en accommodent également bien. Et aussi : Arbustes à fleurs : deutzias, kolkwitzias, lilas, boules de neige Arbres : érables, noyers, sorbiers, hêtres, tilleuls, quelques variétés de cerisiers, ifs et genévriers Plantes de rocaille : asters des alpes, aubriètes, oeillets, daphnés, pavots d'Islande Plantes à bulbes : ail d'ornement, narcisses et lys géants Au potager, il sera nécessaire de bien amender la terre pour cultiver des légumes. La terre sableuse et les plantes pour terre sableuse
Une terre sableuse, également nommée siliceuse, contient plus de 70% de sable siliceux. Elle est très proche de la terre franche, la terre idéale. A quelles plantes convient une terre sableuse ? Quelles sont les caractéristiques d'une terre sableuse ? Elle est rugueuse et s’effrite au toucher (les particules de sable, plus ou moins fines, n'adhérant pas entre elles). Elle est plutôt acide, légère, peu stable et on la trouve souvent en bord de mer. Quels sont les avantages d'une terre sableuse ? Facile à travailler, elle se réchauffe très vite au printemps, rendant les cultures précoces. En hiver, elle aide les plantes à mieux supporter les températures extrêmes car, très perméable, elle laisse passer l'air et l'eau. Quels sont les inconvénients d'une terre sableuse ? En été, elle sèche rapidement et nécessite de ce fait des arrosages fréquents. --> Comme il a du mal à retenir l'eau, pensez alors à pailler votre sol (paille, feuilles mortes, tonte de gazon…) afin de limiter l’évaporation de l’eau. Comment amender une terre sableuse ? Pour palier au manque de magnésium et d’oligo-éléments d'une terre sableuse, qui ne retient pas suffisamment les minéraux et les matières fertilisantes (entraînés par l’eau en profondeur), apportez-lui : des matières organiques du fumier décomposé de l’argile des engrais verts et travaillez le sol au minimum. Quelles plantes aiment la terre sableuse ? Plantes acidophiles : celles qui supportent la sécheresse Rocailles & plantes à bulbe : sauf les callas, anémones, nivéoles, narcisses, bégonias, dahlias qui aiment les sols humifères Arbustes : céanothes, coronilles, genêts, spirées, buddléias, potentilles, millepertuis, cytise, berbéris, cotonéaster, lavande Arbres : bouleaux, châtaignier, pin maritime, eucalyptus, hêtre, acacia, frêne, sorbier, albizzia, phœnix, cèdre de l'Himalaya, figuier Potager : pommes de terre, carottes, alliacées, asperges, haricots |
Les haricots verts, grands classiques parmi les légumes d’été, sont devenus encore plus incontournables avec l’arrivée de nouvelles variétés exemptes de fils.
De mai à fin juillet, au soleil, semez directement en place 6 graines ,distants de 40 cm en tous sens, en sol frais, léger, ameubli, riche en humus, peu calcaire. Pour accélérer la germination, faites tremper les graines quelques heures dans un bol d’eau tiède. Binez après la levée des plantules, arrosez s’il ne pleut pas, buttez 15 jours plus tard. Renouvelez les semis tous les vingt jours, afin d’échelonner les récoltes. Si vous tenez compte des associations, bonnes ou mauvaises, entre les légumes, le haricot est très sensible à son voisinage.
Les haricots nains et la pomme de terre La pomme de terre éloigne la coccinelle mexicaine des haricots alors que les haricots protègent la pomme de terre des doryphores. Plantez en rangs alternés.
Les haricots nains et la sarriette Cette herbe aromatique les protège de la chrysomèle du haricot. Disséminez quelques plants autour des rangs.
Les haricots nains et les fraisiers Ces plantes s’entraident et se développent plus rapidement. Alternez les rangs.
Le haricot nain s’unit aussi pour le meilleur Avec l’aneth, les carottes, la betterave, la bourrache, les céleris, les choux, le concombre, les pois, les radis, la tomate…
Et les œillets d’Inde Les œillets d’Inde, si utiles au potager, protègent efficacement les haricots des parasites divers.
Voisinage déconseillé pour le haricot nain Le fenouil, les haricots à rames, les oignons, l’ail, l’échalote, les poireaux, la ciboulette… |
Cette variété traditionnelle vous donnera des radis demi-longs, rose à petit bout blanc.
Conseil : Ce radis se sème à 2-3 cm de profondeur et préfère une exposition mi-ombragée. Pour avoir des radis savoureux et non piquants, arrosez-les régulièrement.
Le geste BIO : Pour des recoltes sur une plus longue periode, espacez vos semis de 15 jours.
Conseil culture : 1. Semis : Semez de mars à avril en pots sous abris ou en pleine terre à partir de mai, en lignes distantes de 25 cm, à exposition ensoleillée.
Plante(s) compagne(s) : La proximité des carottes et des pois favorise une bonne production. Luttez préventivement contre l'altise (insecte nuisible) en semant quelques laitues au milieu de vos radis.
Je vous encourage à commenter notre blog une fois la visite terminée . séve & coco
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Cette variété produit de gros radis noirs à la chair blanche très ferme, et se conserve très bien pendant l'hiver. Le radis est délicieux coupé en fines lamelles dans les salades, ou en rondelles avec du sel et du beurre.
Conseil culinaire : Le radis noir peut être utilisé en salade ou cuit comme le navet. carpoccio de radis noir aux baies roses
Conseil pour le sol : Pour des récoltes sur une plus longue période, espacez vos semis de 15 jours. Ce radis se sème à 2-3 cm de profondeur et préfère une exposition mi-ombragée.
Conseil culture : 1. Semis : Semez de mi-juin à août dans des sillons profonds de 2-3 cm, distants de 25 cm et tassez le sol.
Plante(s) compagne(s) : Le radis aime la proximité de la laitue car en intercalant leurs semis, les radis pousseront à l'ombre et les laitues ne seront pas trop serrées.
Les étapes du semis : |