Quelques trucs : - sortir les œufs du frigo un quart d'heure avant de les utiliser - ne surtout pas mélanger de jaune aux blancs - ajouter une pincée de sel avant de battre - utiliser un récipient plus haut que large - utiliser un batteur électrique ! (bien plus rapide et moins fatigant) Battre les blancs en neige ferme. Préchauffez le four à 120°C (thermostat 4). Ajouter le sucre par petites quantités tout en continuant de battre. Déposer immédiatement des tas (n'importe quelles tailles et formes) sur une plaque de four recouverte de papier sulfurisé. Cuire entre 30 min et 1 heure à 120°C. Au bout de 30 minutes, on obtient des meringues blanches et moelleuses. Au bout d'une heure, on obtient des meringues rosées, craquantes et fondantes avec un cœur moelleux. Décoller les meringues délicatement dès la sortie du four et laisser refroidir.
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350 gr de courgettes
2 carottes 1 oignon coupé très finement 2 gousses d'ail haché 3 petits poivrons vert 2 c à c graines de cumin et graines de coriandre légèrement concassées 1/2 c à c de piment fort 1/2 c à c de piment doux 3 œufs 100 gr de farine ou juste un peu plus si votre pâte est trop liquide sel et poivre Râpez les courgettes et BIEN les essorer pour retirer tout l’excès d'eau, râper également les carottes. Coupez finement les petits poivrons ajouter l'ail haché,toutes les épices. Dans un bol battre les œufs ajoutez la farine ajoutez tous les légumes et bien mélanger le tout. Faire cuire les galettes dans un poêle avec un fond d'huile bien chaude. Faites dorer à feu moyen. |
Entourée de brume, de récifs et de courants violents, Ouessant veille au ponant du continent européen.
L’île la plus éloignée, la plus haute ...
Sur une carte, elle n’apparaît pas si lointaine ...
A 20 km à peine de la côte. En naviguant près de cette terre longue de 8 km et large au plus de 4 km, le navigateur phocéen Pythéas la nomme déjà « Ouxisame », en l’an 300 av. J-C., « l’île la plus éloignée, la plus haute ».« Qui voit Ouessant voit son sang », prédit un dicton de terre-neuvas. Lorsque les vents de suroît dépassent, une fois par an au moins 180km/h, Ouessant devient " l’île de l’épouvante ", "le jardin des tempêtes " où l’homme se retrouve face aux éléments et à sa vraie nature. La morphologie de l’île présente trois bandes parallèles qui reflètent les grandes lignes de la géologie. Au nord et au sud, deux barres allongées de granite dominent une zone médiane schisteuse, dans laquelle l’érosion différentielle a évidé une dépression. Cette partie centrale correspond aux deux principales baies de l’île : baie du Stiff à l’est, encadrée par les pointes de Kadoran et de Penarland,
Le climat tempéré par l’influence maritime est ici d’une douceur et d’une égalité remarquables. Ouessant a la plus faible amplitude thermique de France : 8°5 (moyenne de janvier : 9° ; moyenne d’août : 17°5). Les précipitations y sont moins abondantes que sur le continent : 684 mm par an, avec un léger maximum en hiver. Les coups de gelée y sont rares (6 jours en 13 ans entre 1959 et 1971), la neige vraiment exceptionnelle. La brume est présente en moyenne 80 à 85 jours par an (visibilité inférieure à 4 km), dont 45 à 50 jours de brouillard (visibilité inférieure à 1 km), avec un maximum pendant les trois mois d’été (chiffres du sémaphore du Créac’h, années 1980 à 1984). Les vents soufflent toute l’année avec une dominante d’ouest : le Kornog(ouest) est un vent souvent violent, le Mervent (suroît), accompagné d’une pluie tiède, amène "boucaille " et crachin, tandis que le Gwarlarn (noroît), plus froid, souffle sous forme de bourrasques glacées et d’averses de grêle au printemps. Les vents du sud sont plus rares. Les plus grosses tempêtes ont lieu en février (en moyenne 21 jours par an, force 9 et plus sur l’échelle de Beaufort). Des " coups de tabac ", avec des pointes de 180 km/h ont plusieurs fois été enregistrés au sémaphore du Créac’h. L’île a été sinistrée en 1930 et 1960. Du point de vue géologique, l’île d’Ouessant est un prolongement du plateau du Léon, dont elle présente les mêmes directions structurales : E. - N.E. /W.- S.W. (ce qui explique le dessin général de la côte). Dernier fragment occidental de la pénéplaine armoricaine, elle est séparée du continent par la profonde faille du Fromveur. Constituée de roches de l’ère primaire, granite et micaschiste essentiellement, cette table ancienne s’abaisse régulièrement du nord-est, où se trouve le point culminant de l’île, à 60 mètres au-dessus du niveau de la mer (non loin du phare du Stiff), jusqu’au sud-ouest où l’altitude n’est plus que de 12 à 20 mètres. Ouessant est une vraie île. Elle se trouvait déjà en situation insulaire, il y a 12 000 ans, à la fin de l’ère glaciaire. Nous approchons du cœur de l'hiver et pourtant depuis plusieurs semaines c'est un temps printanier qui règne sur le domaine des Lutins. Il y a bien longtemps qu'il a gelé. Ce n'est pas même le cas la nuit et les journées quotidiennement ensoleillées affichent 17 degrés et alentours. La nature ne s'y trompe pas. Pas mal de migrateurs à plumes sont demeurés sur des quartiers plus nordiques. Depuis quinze jours de nombreux oiseaux d'espèces locales chantent régulièrement. Même une "scandinave" grive mauvis en hivernage s'est laissée aller à quelques humeurs lyriques, alors que divers pics tambourinent ici et là. Quelques papillons s'autorisent régulièrement de petites sorties aux heures les plus chaudes et le lézard des murailles quelques séances de bronzage. Insolite et impressionnant tout cela, tout comme les pieds de violettes qui osent fleurir en cette mi-janvier! Et les Lutins dans tout cela, ils savourent. Toujours pas de consommation de foin.... c'est pour dire. D'ailleurs un regain de type de fin d'hiver pousse et verdit en une période bien inhabituelle assurément.
Je vous encourage à commenter notre site une fois la visite terminée. séverine & coco |
N’attendez pas qu’on pense à vous, qu’on vous comprenne, qu’on vous aime. Tout le monde a ses préoccupations, ses soucis, et si quelqu’un est près de vous un moment, le moment suivant il sera peut-être pris ailleurs. L’attention, l’amitié, l’amour sont des choses très incertaines, oui, et surtout l’amour. Il peut venir, bien sûr, il peut venir et ne jamais vous quitter, mais ne l’attendez pas. Si vous voulez être heureux, ne l’attendez pas. Et non seulement ne l’attendez pas, mais commencez, vous, par aimer. C’est facile, car l’amour est d’abord là, en vous. Où que vous alliez, quelles que soient les personnes que vous rencontrez, vous avez toujours l’amour dans votre cœur et les possibilités de le manifester ne manquent pas. Il ne s’agit pas d’aimer telle ou telle personne en particulier, mais de sentir l’amour comme une source qui ne demande qu’à jaillir, une énergie rayonnante qui déborde pour se répandre à l’infini. Quand vous aurez découvert que l’amour est en vous, vous n’attendrez plus qu’on vous aime."
Omraam Mikhaël Aïvanhov |
Le problème, ce n’est ni l’autre, ni nous-mêmes ; ce sont les réactions qui se produisent en nous et que nous ne parvenons pas à piloter. Oui, il nous arrive de déraper. Oui, c’est pénible et cela a des conséquences. Oui, cela se répète et se re-répète. Et il n’y a pas de quoi culpabiliser ! Nous ne sommes pas responsables de nos états de défense, nous ne sommes pas non plus limités à nos états de défense. Ce point est particulièrement important. En effet, nos réactions de défense sont des réactions instinctives qui répondent à un événement perçu comme menaçant. Il n’y a aucun mal à les ressentir. Ce sont des réactions de survie. L’objectif, en revanche, consiste à ne plus passer automatiquement de la réaction instinctive dictée par notre crocodile à sa mise en œuvre. Bref, il est sain de ressentir ces signaux sans pour autant les extérioriser à tous les coups, dans leur forme ou leur intensité originale. Culpabiliser nous fait souffrir et n’apporte aucune efficacité. L’attitude la plus saine consiste au contraire à « remercier » notre crocodile de la vigilance dont il fait preuve à notre égard et de lui montrer que nous prenons en considération son message d’alerte. Ainsi, l’objectif n’est pas d’arrêter d’être ce que nous sommes, mais de devenir davantage qui nous sommes… en mieux !
10 conseils pour augmenter sa confiance en soi La confiance en soi est essentielle dans tous les domaines de la vie. En effet, elle permet de s’épanouir, de saisir les opportunités qui s’offrent à nous, de ne pas être stoppé par la peur de l’échec ou encore d’accepter et d’utiliser les critiques que l’on reçoit. Voici quelques conseils qui fonctionnent pour retrouver ou augmenter sa confiance en soi. 1. Faire semblant : se tenir droit, relever la tête, sourire et regarder les gens dans les yeux. Feindre l’assurance va permettre de se sentir plus confiant. 2. Soigner son apparence : si on se trouve à son avantage, on se sent tout de suite plus confiant. Il faut se faire beau, et pourquoi pas faire du sport ou perdre du poids pour se sentir mieux dans son corps et retrouver confiance. 3. Écouter de la musique entraînante : la musique entraînante remonte le moral et dope la confiance en soi. Avant un rendez-vous, une présentation ou tout autre événement où il faut paraître sûr de soi, quelques chansons bien choisies parmi ses préférées permettront de se gonfler à bloc. 4. Éviter de se comparer aux autres : se comparer aux autres est très néfaste pour la confiance en soi car on peut toujours trouver quelqu’un de meilleur que soi dans un domaine. Il faut essayer de s’accepter comme on est. 5. Stopper ses pensées négatives : les pensées négatives érodent petit à petit la confiance en soi. Ce n’est pas en se traitant de nul à tout bout de champ que l’on pourra être confiant. Il faut essayer de stopper ces pensées négatives et s’entraîner à penser de façon positive et à s’encourager plutôt que de se descendre. 6. Se préparer : le manque de confiance en soi peut venir d’un manque de préparation. En se préparant le plus possible pour ce que l’on redoute, on peut donc augmenter sa confiance en soi. 7. Se former : il peut être bon également de se former dans des domaines particuliers. On peut par exemple se demander ce qu’on envie aux autres ou observer à quel moment les pensées négatives apparaissent pour trouver ces domaines et se former en conséquence. 8. Se concentrer sur ses succès : il faut se concentrer sur ses réussites même si les échecs peuvent être riches en apprentissage. On peut par exemple tenir un petit carnet de toutes ses réussites, petites ou grandes. Ainsi, quand on perd confiance, on peut l’ouvrir et se replonger à l’intérieur pour regonfler sa confiance. 9 .Atteindre de petits objectifs : on peut se donner de petits objectifs facilement atteignables, sur lesquels on procrastine depuis longtemps, pour se sentir soulagé et plus sûr de soi en les atteignant. 10. Se récompenser : à chaque petit succès ou victoire sur soi-même, il faut se donner une petite récompense et ne pas oublier de se féliciter, de se regarder dans la glace et se dire quelque chose comme "je suis fier de toi".
De nombreux penseurs ayant réfléchi sur le sentiment de culpabilité, il fallait faire un choix ! Voici donc les théories de quelques auteurs sur ce sujet. Si pour lui, ce sentiment est le pain quotidien des psychanalystes, s’il en mesure l’importance, il n’a jamais écrit de synthèse de ses réflexions sur ce thème qu’il reconnaissait être " embrouillé ". Il s’est contenté d’en relever l’existence dans la littérature (son étude sur Dostoïevski) dans les mythes, la religion, l’art, et d’affirmer que nous sommes tous coupables et plus immoraux que nous le croyons. Pour lui, la culpabilité n’est ni bonne ni mauvaise, c’est la source qui l’alimente qui la rend destructive ou non. Freud trouve à ce sentiment une pluralité de sources : Pour Freud, le sentiment de culpabilité est ambivalent : il peut être morbide et naître du refoulement mais aussi être sain, valable et moral, s’il est l’expression de ce Je qui est en nous un véritable pouvoir d’examen, de jugement. Il n’existe pas, pour Freud, de moyen direct de combattre la culpabilité. On peut seulement en faire progressivement un sentiment conscient. 2. Alfred Adler 3. C. G. Jung 3. Jacques Lacan Lacan met l’accent sur l’impossible plus que sur l’interdit, qui n’est qu’une défense contre l’impossible, car il est plus facile de se confronter à l’interdit que de reconnaître l’impossible. En fait la culpabilité a à voir avec l’impossible et non l’interdit (alors que le péché a à voir avec l’interdit en premier). Pour Lacan la culpabilité est l’expression du manque, le « signifiant » de la finitude. 4. Mélanie Klein (" L’amour et la haine ") et D. W. Winnicott (" De la pédiatrie à la psychanalyse ") Son conflit peut s’exprimer ainsi : s’il est, il n’est plus aimé de sa mère (car indépendant d’elle), et s’il en est aimé, il n’est pas. Cela se résume à être ou être aimé. L’enfant croit qu’il y a opposition entre ces deux termes et se demande s’il peut exister en dehors de sa mère. La culpabilité naît de ce sentiment d’ambivalence affective. S’il est bien géré par la mère et plus tard par le père, ce sentiment normal de culpabilité ne sera pas une source de problèmes à l’âge adulte. La mère devra être nourricière et en même temps sécurisante pour son enfant, qui vit mal le fait d’aimer le plaisir qu’elle lui procure et le fait qu’elle est aussi celle qui le frustre. Et cette agressivité entraîne chez lui une culpabilité de vouloir détruire ce qu’il aime et lui procure du plaisir : cette mère, puis-je l’aimer pour ce qu’elle donne et dois-je la haïr pour ce qu’elle refuse ? Suis-je normal de ressentir envers elle deux sentiments aussi opposés, l’amour et la haine ? Cette culpabilité inconsciente sera réactivée au moment de l’Oedipe, quand la mère sera l’objet désiré mais interdit. Revenons au nourrisson : si la mère reste nourricière et continue à donner toujours la même qualité de soins à son bébé, celui-ci sera sécurisé par ses paroles, ses retours fréquents et bienfaisants vers lui, il verra que sa mère n’a pas été détruite par son agressivité : celle-ci n’est donc pas mauvaise, il peut l’exprimer. L’enfant, puis l’adolescent, doit apprendre qu’il peut exister en dehors de sa mère, sans que celle-ci cesse d’exister. Cette culpabilité qui est l’expression d’une ambivalence affective doit être considérée comme un élément normal de notre personnalité. Bien gérée par notre mère, elle va nous construire, mal gérée (c’est-à-dire si la mère ne réapparaît pas, si elle donne les soins de manière irrégulière), elle risque de nous détruire. 6. Lewis Engel et Tom Ferguson (" La culpabilité ") Nous avons tous un besoin inné de venir en aide aux autres, une tendance à être Sauveteurs. Même un bébé est bouleversé quand il en voit un autre pleurer. Mû par une sorte d’empathie rudimentaire, il se met aussi à pleurer. Un enfant peut se rendre malheureux par empathie avec ses parents qu’il voit tristes. Il se sent, il se croit responsable de ce qui leur arrive (maladie, conflit). Il se croit obligé de les aider et n’y arrivant pas, il culpabilise. Il se sent coupable parce qu’il ne se sent pas capable. Cette formule : pas capable/coupable se vérifie aussi pour les adultes dans la vie quotidienne comme en relation d’aide, et elle fonctionne aussi en sens inverse : coupable/pas capable. Par exemple : cela fait longtemps que vous auriez dû rendre visite à votre grand-tante Eugénie, mais vous n’en trouvez pas le temps, et cela vous culpabilise. A l’inverse, vous vous sentez vaguement coupable parce que vous n’êtes pas allé à la dernière réunion pour les parents organisée par l’instituteur de votre enfant, si bien que vous ne vous sentez pas capable de croiser le regard de cet instituteur et vous évitez soigneusement de le rencontrer. A l’âge adulte, nous nous sentons tellement responsables de ceux que nous aimons que nous culpabilisons de leurs malheurs au lieu de les aider efficacement. Mais sommes-nous responsables des souffrances de nos proches ? Il est plus facile de nous reprocher des fautes, les incompétences des autres que de reconnaître qu’ils ont mal agi avec nous, d’admettre la réalité : leurs limites, leurs erreurs. Nous venons de voir que pour les analystes, il existe une culpabilité morbide et une autre qui est normale, voire utile et nécessaire. C’est un sentiment archaïque, latent en nous. Qu’en pensent les philosophes ? Si certains (nous ne citerons que Nietzsche) récusent radicalement toute notion de sentiment de culpabilité, la plupart affirment son existence. 7. Nietzsche La source de la mauvaise conscience, c’est la notion d’un Dieu saint envers lequel on aurait une dette. Nietzche n’a pas entièrement tort ! Dans « Le péché et la peur », Jean Delumeau montre bien comment au cours des siècles l’Église a diffusé un message culpabilisant, insistant sur un Dieu inquisiteur, comptable et vengeur. 8. Spinoza 9. Sören Kierkegaard Pour lui l’idée-force du christianisme est la rémission des péchés. Exister, c’est exister " devant Dieu " c’est prendre conscience du péché. C’est en se sentant coupable qu’il se place devant Dieu. L’humanité est donc une société de pécheurs pardonnés. 10. Henri Bergson 11. Martin Buber 12. Jean Guitton Tout acte peut donc être culpabilisant, parce qu’aucun acte n’est parfait. Jean Guitton pense que pour Dieu, c’est au contraire la marche, le chemin parcouru, l’acte accompli, qui comptent avant tout, et non la culpabilité de l’inachevé dans nos actes. Effectivement certains ont du mal à accepter la finitude de leur nature humaine, qui les culpabilise face à un Dieu infini et parfait. Ils se croient coupables de ne pas être comme Dieu, de ne pas être des dieux. Alors que cette prétention est précisément la tentation du serpent en Genèse 3.5 : " Vous serez comme des dieux. " Pour certains même, c’est un désir de toute-puissance qui les culpabilise parce que c’est toujours plus difficile d’accepter la réalité de leur finitude que l’imaginaire de leur toute-puissance. Dieu avait précisément posé un interdit (= ce qui est dit entre Dieu et l’homme) pour empêcher la confusion et la fusion et éviter à l’homme de chercher à devenir Dieu. 13. Paul Ricoeur |
Tu sais que tu es breton ou bretonne si...
-Tu sais qu'en Bretagne aussi il y a du soleil. -Tu sais que la mer est nulle part aussi belle ! -Tu arrives à te baigner dans une eau à 17 degrés en disant aux autres qu’elle est bonne. -Tu es le seul à apprécier le vent, la pluie et surtout les tempêtes avec leurs énormes vagues qui se fracassent sur les rochers ... -Tu sais ce que veut dire l’expression "T’es pas en sucre !" -D'aller à la mer, ça n’a rien d’extraordinaire, c'est jamais à plus d'une heure de route de toute façon... -Tu vérifies avant d’aller te baigner à quelle heure " Elle est haute ". -Pour toi, se faire réveiller par le cri des mouettes, ça n'a rien d'exotique ou ça ne sent pas les vacances. -Tu sais que l’on ne parle pas de la même pluie selon que l’on dise qu’il " crachotte " ou qu’il " pleuviotte " (soit dit en passant, en Bretagne, il ne pleut que sur les cons...). -L’été dès qu'il pleut, tous les touristes (parisiens surtout) mettent des cirés Cotten jaune avec des bottes et toi tu es en short... -Une tempête pour un parisien, c'est une brise pour toi. -Tu grognes devant la météo et surtout devant le présentateur qui dit " en Bretagne ENCORE de la pluie ". -Tu ne trouves pas que les noms de ville en Plou-quelque chose, c'est barbare ou rigolo. -La moitié des gares de ton coin sont des gares terminus - la preuve que Paris n’a rien inventé. -Pour toi, faire des crêpes ça ne s’arrête pas au Mardi-gras. -Tu sais que si tu goûtes une fois à la crêpe au caramel au beurre salé, tu ne regarderas plus ta crêpière de la même façon. -Tu sais ce qu'est une galette, et que les "crêpes salées" c'est presque un sacrilège. -Une crêperie bretonne hors de la Bretagne ça te fait peur. -Tu sais que le vrai cidre, c'est du brut, et que c'est un des rares trucs que les normands savent faire. -Tu sais que le meilleur cidre, c'est celui qui à l'aspect le plus dégueulasse. -Pour toi, le chouchen ce n'est pas très fort. -Il ne te viendrait pas à l’idée de prendre du poids sans que cela ait de goût (autrement dit, manger du beurre pas salé). -Tu sais que tout marché qui se respecte vend des galettes saucisses et se finit par un Kouign amann.. -Tu sais que les Gras de Douarnenez ne sont pas des morceaux de lard ! -Tu n'as pas besoin de vérifier la signification de Gwenn ha du dans Wikipédia. -Tu mets des " donc" à chaque coin de phrases. -Tu parles en moyenne trois fois plus vite que la moyenne des français en coupant les fins de phrase en -ble (ex :impecab’). -Tu utilises régulièrement des expressions comme : prendre les ribines, aller en riboul, avaler des louzoux, avoir les cheveux qui partent en distribil ou à dreuz, marcher dans le lagen, sers moi un coup de gwin ru, da gousket bihan, à bloc Jean (Le)Floc'h, impec Lagadec et l’incontournable YEC'HED MAD ! -Tu sais que baragouiner vient de « bara gwin » (du pain et du vin). -Tu sais que les briochines ne sont pas une marque déposée de chez Pasquier. -Tu sais ce que signifie les mois en " -bre ". -Tu sais qu'une goélette ce n'est pas le petit du goéland. -D'ailleurs tu sais faire la différence entre la mouette et le goéland. -Tu sais que partout où tu iras dans le monde tu trouveras des compatriotes. -Tu sais ce que c'est qu'un biniou ou une bombarde ou encore un cercle .... -Tu sais ce que c’est qu’une école Diwan. -Tu dis des festou-noz et non pas des fest-noz car oui le breton a un pluriel. -Le Fest-Noz c'était un peu ton bal des pompiers à toi. -Tu ne doutes pas que dans Ille et Vilaine, " Ille " prend 2 L. -Tu sais que la Cornouaille c’est pas qu’en Angleterre. -Tu sais d’où vient Merlin l’enchanteur. -Tu sais ce que c’est qu’un korrigan. -Tu sais que la chanson "la tribu de Dana" n'est pas une traduction de l'original d'Alan Stivell, mais alors pas du tout. -Les gens te demandent toujours si tu parles breton, alors qu'en fait le seul mot qui te vient à l'esprit c'est toujours kenavo. -Tu râles tout le temps sur ta région mais quand tu la quittes tu clames haut et fort ta fierté bretonnante. Alors breton ? |
Il vaut mieux mobiliser son intelligence sur des conneries, que mobiliser sa connerie sur des choses intelligentes. |
rincer le brocoli et détacher les bouquets
éplucher et tailler la carotte en biseau en bâtonnets,nettoyer,laver et couper le céléri en morceaux ou en lanière éplucher la citronnelle,à l'exception des extrémités,couper en rondelles éplucher et couper les échalotes en petits dés,éplucher et hacher finement l'ail faire chauffer l'huile dans un wok et bien la répartir y faire revenir la citronnelle,les échalotes et l'ail 1 mn,saler et poivrer puis ajouter les légumes et faire cuire le tout 4 mns en remuant verser le vin de riz et la sauce de haricot sans cesser de remuer,incorporer la sauce d'huître au contenu du wok délayer la pâte de curry dans 200ml d'eau et ajouter aux légumes laisser frémir les légumes encore 4 mns à feu modéré sans cesser de remuer et faire réduire un peu le liquide avant de servir accompagner de riz ou de vermicelle chinois ********** en magasin de produits asiatiques Pâtes de haricots. 3 variétés : La piquante (La Dou Ban Jiang) à base de haricots jaunes et noirs, d'ail et de piments. La salée (Tian Mian Jiang) à base de haricots jaunes et de farine de riz - utilisée pour le canard à la pékinoise et les plats de viande. La sucrée (Hong Don Sha), à base de haricots rouges et de sucre - utilisée pour les desserts. - Sauce d'huitre La sauce d’huître est une sauce épaisse de couleur brune, très utilisée dans la cuisine chinoise pour touts le plats sautés légumes, nouilles en autre. Ne vous fiez pas à son nom peu alléchant et donnez lui une chance : mettez un peu de sauce sur votre petit doigt et goûtez. Vous verrez, c’est comme un concentré de saveurs et c’est salé. |
éplucher et hacher les oignons
dans une cocotte,faire fondre le beurre,attendre qu'il soit mousseux et verser les oignons hachés cuire 3mns sans coloration les enlever et réserver ajouter les morceaux de dinde et les lardons,faire colorer déglacer avec le cidre,ajouter les oignons cuits,le thymet le laurier,assaisonner et cuire 35mns dans un bol,mélanger le lait et la fécule de maïs,bien délayer puis ajouter la crème liquide ,réserver 15mns avant la fin de la cuisson,ajouter les pruneaux,puis le mélange de crème et de fécule de maïs,rectifier l'assaisonement servir bien chaud! vous pouvez accompagner avec des PDT à la vapeur,du riz complet ou des tagliatelles. |
laver et éplucher les PDT et les découper en dés
chauffer le fond de poisson et y cuire les dés de PDT en 15 mns retirer les pédoncules des poivrons,passer à l'eau,retirer les graines et découper en lanière ajouter les lanières de poivrons aux dés de PDT 10mns avant la fin de la cuisson ébouillanter les tomates,retirer pédoncule,peau et graines et couper en petits morceaux éplucher l'ail,les épices et l'huile débarrasser le poisson de ses dernières arêtes et les couper en morceaux prêt à la consommation,sortir un tier des dés de PDT du bouillon,ajouter et laisser cuire doucement 3 mns environ faire une purée avec les PDT restante,l'ajouter à la soupe avec le coulis de tomates en remuant et réchauffer,saler et poivrer la soupe et soupoudrer d'aneth au moment de servir. |
couper les poivrons en quartiers,épépiner,laver,sécher et faire griller sous le grill du four préchauffer,côté peau vers le haut,jusqu'à ce que la peau noicisse et cloque.
laisser reposer 10mns dans un saladier couvert d'un torchon humide.puis enlever la peau et tailler les poivrons en lanières. éplucher et couper les carottes en très fines rondelles. couper les bouquets des brocolis en très petit morceaux. laver le persil,le basilic et secouer pour sécher puis détacher les feuilles. hacher finement ces herbes et l'oseille . nettoyer et couper les ciboules en fine rondelles. faire cuire les spaguettis al dente dans l'eau salée. ajouter les carottes et les brocolis pour les 5 dernières minutes de cuissons . égoutter et mélanger un saladier avec l'huile,le jus de citron,les lanière de poivrons,les ciboules,l'oseille et les herbes,saler,poivrer et servir chaud ou froid,selon vos goûts. |