... après quelques jours de pause suite à un décès dans ma famille. Je suis heureuse de vous retrouver toutes et espère que vous allez bien. Le printemps est là et la nature est magnifique. Le 10 avril mon cher époux a cueilli dans la forêt les premiers brins de muguet... un parfum à nul autre pareil !
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... voici un "en cours" terminé.... suis bien heureuse car il fait aujourd'hui un temps à le porter !!! |
Voici l'essai que j'ai réalisé afin d'apprendre à maitriser l'appliqué !! Selon les bons conseils de Marie-Cécile, j'ai utilisé de la feutrine (épaisse) afin de ne pas avoir à faire de "rentrés". C'est véritblement un plaisir ... mais je dois encore apprendre à broder ... car en dehors du point compté, je ne sais pas le faire !!!
Quelle chance... je vais pouvoir apprendre plein de jolis points fantaisie afin de décorer mes futures ouvrages ! ... et voici le verso !
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Ingrédients : - 1 boîte de lait condensé sucré - 100 g. de beurre - 350 g. de sucre - 2 c. à soupe de mélasse - ce produit se trouve aisément dans tous les commerces d'alimentation suisses ! en France, essayez dans un commerce bio ! Préparation et cuisson : Verser le tout dans une casserole à fond épais. Bien remuer tout le temps de la cuisson à feu doux - environ 30 - 40 min. ! Lorsque vous pouvez apercevoir le fond de la casserole en passant la spatule c'est que le moment approche ! Tester la consistance de votre pâte sur une assiette froide ! Lorsque vous serez satisfait, verser rapidement dans une plaque à tarte bien beurrée. Découper vos caramels après une dizaine de minutes, sinon elles se casseront ! |
Au temps du bon roi Saint Louis (1214-1270), le pont qui reliait la petite île de la Cité à la rue Saint-Jacques, à Paris, était payant pour tout le monde... ou presque. En effet, les jongleurs et les forains qui avaient le bonheur de posséder un petit singe savant échappaient à cette taxe douloureuse, à une condition près : le petit animal devait exécuter, devant le responsable du péage du pont, un numéro de pirouettes ou de grimaces. Si le numéro était satisfaisant, l'animal et son maître traversaient gratuitement. |
Le voici... le voilà enfin terminé.... il est très sympa... tout léger... en malabrigo lace ... il pèse exactement 98 g. !!!
Directement sur mes épaules, le soir, car bien que ce soit le printemps... une petite laine est indispensable ! |
Grâce à mon amie Kika j'ai pu faire découvrir cette spécialité genevoise à mes amies brodeuses et dentelière "les Echevettes" lors de notre réunion mensuelle ! Dessus... comme dessous ! miam !
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Connue dès 1640, cette expression est expliquée de plusieurs manières par les linguistes. Pour beaucoup, le mot "vache" serait une déformation de "vasces", terme qui désignait les Basques au XVIIe siècle. Pour d'autres, il s'agirait d'une transformation du mot "basse", synonyme de "servante", dont le langage était forcément limité. Pour les derniers, le mot "vache" désigne bien le ruminant dont le nom a souvent été utilisé pour donner une connotation négative à une expression. L'adjectif "espagnole" ajoute encore à cela, car il avait une valeur fort négative au XVIIe siècle. |
Cette expression doit son origine aux chaises à porteurs, moyen de locomotion privilégié de nombreux nobles sous l'Ancien Régime. Selon certains linguistes, elle a été créée en référence aux deux grands bâtons latéraux qui servaient à porter la chaise et qui étaient déplacés toute la journée au gré des envies du passager de celle-ci. Pour d'autres historiens du langage, elle fait référence non pas à la chaise, mais aux porteurs qui avaient la réputation d'avoir une vie dissolue et qui, le plus souvent, attendaient le propriétaire de la chaise dans des lieux de débauche.
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Récemment j'ai acheté une plaque perforée... idéale pour toutes les sortes de tartes car ses trous permettent à la pâte de croustiller... et c'est ce que j'aime particulièrement dans les tartes !
Ajourd'hui je l'ai utilisée pour chauffer mes coques de vol au vent.... super !
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Depuis samedi j'ai un nouvel ordinateur ! |
Depuis le XIXe siècle, une "bonne poire" est quelqu'un qui se laisse facilement duper, qui tombe dans les pièges comme une poire trop mûre tombe des arbres, sans opposer la moindre résistance. Etre comparé à ce fruit est peu flatteur ! Le roi Louis-Philippe a lui-même été carricaturé dans un journal d'opposition, avec talent mais férocité, sous la forme d'une poire. Furieux, le roi des Français a fait condamner le rédacteur en chef, Philipon, à six mois d'emprisonnement pour outrage à sa Majesté. Depuis, la poire est devenue l'emblème de cette monarchie de Juillet tant haïe.
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Mystérieuse et fidèle, la Lune a toujours fasciné les hommes. Bien visible mais hors d'atteinte, elle a exalté leur imaginaire pendant des millénaires avant qu'une poignée d'entre eux puisse l'approcher ou y poser le pied. Dès le XVIe siècle, l'expression "prendre la lune avec ses dents" évoque déjà l'impossibilité d'approcher cet astre lumineux. Elle s'est transformée au fil des ans en "décrocher la lune", ce qui reste, malgré les conquêtes spatiales, un exploit tout aussi irréalisable !
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