Cette expression aurait une origine assez amusante. Lors de l'occupation de la France pendant la Seconde Guerre mondiale, un couvre-feu avait été fixé à 20 heures, soit 8 heures du soir. Craignant que les lumières de la ville ne donnent des indications à l'aviation ennemie pour les bombardements de nuit, les Allemands demandaient que les lumières soient éteintes. Or certains Français ne respectaient pas cette règle et les patrouilles criaient aux retardataires "Acht Uhr !" ("Huit heures !" en allemand, qui se prononce "art our") d'un ton menaçant. Se faire appeler "Acht Uhr", qui devint vite par jeu "Arthur", était donc synonyme de se faire disputer.
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Ingrédients : (pour 2 personnes)
- 2 jarrets de veau - 250 g. de petites légumes pour la soupe - congelés - 1 c. à s. de bouillon de légumes en poudre. Préparation : Rincer les jarrets sous l'eau froide et les éponger. Les faire dorer dans l'huile d'olives chaude Ajouter la julienne de légumes encore congelée. Délayer le bouillon dans 3 dl. d'eau bouillante. Verser dans le faitout et cuire doucement 1 h. 30. Très vite préparé, ce plat cuit ensuite sans surveillance ! Servi avec du riz blanc.... nous nous sommes régalés.
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Cette expression doit son origine à un texte de saint Matthieu qui figure dans le Nouveau Testament. L'évangéliste y a écrit : "Ne donnez pas aux chiens ce qui est saint et ne jetez pas vos perles devant les pourceaux". Dans cette métaphore, les perles représentent les choses de valeur et les pourceaux, c'est-à-dire les cochons, symbolisent ceux qui ne savent pas faire honneur aux bonnes choses. Au fil du temps, la confiture a remplacé les perles, mais les cochons ne savent pas plus les apprécier à leur juste valeur, car rares sont les porcs gourmets !
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Vous ne trouverez pas de saint Glinglin dans les calendriers pour la simple et bonne raison que ce saint homme n'a jamais existé. L'expression est née à la fin du XIXe siècle, probablement dans l'est de la France. Elle proviendrait en effet du "seing glin-glin", le "signal qui glingue", qui sonne et qui représente la trompette annonçant l'heure du Jugement dernier, de la fin des temps. Remettre quelque chose "à la saint-glinglin" signifie donc "renvoyer l'événement à une date inatteignable, à jamais".
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Au XVIe siècle, les "larrons" désignaient des compères, des filous qui s'entendaient pour préparer un mauvais coup. Au XVIIe, l'expression a été complétée par le mot "foire", ces grands marchés publics où, en raison du nombre important de visiteurs, tous les mauvais coups étaient faciles à perpétrer. Puis la connoration négative de "larrons", proche de celle de "voleurs" ou de "brigands", s'est peu à peu perdue. On emploie aujourd'hui couramment cette expression pour qualifier deux personnes qui s'entendent bien et qui pourraient faire des bétises ensemble.
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Née au XVe siècle, cette expression fait référence au gâchage du plâtre que le maçon réalise lorsqu'il mélange la précieuse poudre blanche à l'eau afin d'obtenir une pâte lisse et malléable. Pour que le plâtre soit parfaitement bien délayé dans l'eau et que le mélange soit de bonne qualité, ce travail nécessite un coup de main très puissant. Si le plâtre n'est pas battu avec assez de force, il n'aura pas les qualités d'ahdérence et de plasticité des meilleurs plâtres. Et tout sera donc à recommencer pour le maçon trop tendre !
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Ingrédients pour 2 personnes :
- 1petit chou frisé - 4 carottes - 1/2 boule de céleri - 2 pommes acides - 2 saucisses de Toulouse ou 1 saucisson - bouillon Préparation : Blanchir les feuilles de chou dans l'eau salée et additionnée d'une c.à.c de bicarbonate Couper les autres légumes en rondelles un peu épaisses. Dans une cocotte installer 1 couche de feuilles de chou, céleri, carottes, etc... Installer vos saucisses, continuer à remplir en terminant par des feuilles de chou. Ajouter 1/2 l. de bouillon corsé. Couvrir. Cuisson : 1 H 30 au four préchauffé à 180°. BON APPETIT !!! |
Si cette expression date du XXe siècle dans sa formulation actuelle, elle est déjà attestée au XVIe siècle sous la forme "dormir la grasse matinée". L'adjectif "grasse" de ces expressions provient du mot latin crassus, qui signifie "épais". Il est alors une référence à la durée du sommeil. Une autre hypothèse renvoie le mot "grasse" à une chose molle et confortable, comme peut l'être un lit dans lequel on se prélasse le plus longtemps possible. Une troisième explication plus amusante est énoncée par Furetière dans son Dictionnaire universel, publié en 1690 : ceux qui dorment trop le matin..."font du gras" !
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Cette expression vient d'un jeu très ancien : on lançait une pièce qui représentait d'un côté une croix et de l'autre le portrait de Janus, un dieu romain. On jouait alors à "croix ou face". Au Moyen Âge, les portraits disparurent. On joua donc à "pile ou croix", la pile étant le nom de l'enclume sur laquelle on posait la pièce pour la frapper. Enfin, Henri II imposa en 1548 que les pièces comportent une pile, c'est-à-dire un côté qui indique la valeur, et une face, à l'effigie du souverain. On joua donc dès cette époque à "pile ou face". L'expression prit le sens de "s'en remettre à la chance" en 1930.
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Cette expression proviendrait d'un rite païen de la civilisation mésopotamienne. Dans la Babylone antique, pendant la premier mois de mariage, le père de la jeune mariée offrait traditionnellement à son gendre de l'hydromel, ancêtre de la bière actuelle. Ce précieux breuvage étant fabriqué à base de miel, les Babyloniens surnommaient le premier mois de mariage le "mois de miel". A cette époque, le calendrier était établi sur le cycle lunaire, c'est-à-dire que chaque mois était formé du nombre de jours qui s'écoulait entre deux pleines lunes. C'est ainsi que cette période heureuse a pris le nom de "lune de miel".
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Pour Tamara... qui a été bien patiente !... en effet, j'avais complètement abandonné cet ouvrage après qu'un rayon de soleil à travers ma loupe aie fait un trou de 2 cm de diamètre... catastrophe !!!... armée de courage... et d'une petite fleur la réparation ne se voit pas et je l'ai enfin terminé... avec grand plaisir !! youppiiii Petite explication concernant le trou ! |
Grâce à mon ami Jean-Luc nous avons dégusté notre premier vacherin au four ! un délice ! |
L'origine de l'expression est incertaine, mais une chose est sûre : on ignore pourquoi 107 a été retenu. Peut-être est-il une allusion à l'interminable guerre de Cent Ans qui a embrasé l'Europe et qui a duré plus d'un siècle ? Peut-être a-t-il été choisi en référence à la construction de Notre-Dame de Paris ? Le temps de réalisation de ce chef-d'oeuvre, qui a également dépassé cent sept ans, a semblé une éternité aux habitants de la capitale et plus particulièrement à ceux qui logeaient sur l'île de la Cité. Depuis, "attendre cent sept ans" désigne un temps d'attente extrêmement long.
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