pour ce soir... une envie de crevettes grises... et ça faisait bien longtemps que je n'avais fait de soufflé .... nous nous sommes régalés !
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j'ai d'abord réalisé le gâteau roulé de Sylvie et Marc (ici) avec de la confiture maison prunes, pêches à la belle couleur rouge. Les proportions pour un petit roulé sont tout à fait bien ! Il fallait ensuite le décorer et j'ai pensé l'entourer de massepain et... de quelques doigts de sorcière en massepain aussi ...
merci aux blogueuses pour leurs idées... C'est rigolo et très très bon ! |
Vous pouvez retrouver les articles précédents :
Bergues et son histoire I (ici) Bergues et son histoire II (ici) Bergues et son histoire III (ici) Bergues et son histoire IV (ici) Bergues et son histoire V (ici) Bergues et son histoire VI (ici) "Le charme de Bergues réside aussi dans ses façades de briques jaunes (ou "briques de sable"), ses vielles demeures , ses places, ses quais..." "Le touriste attentif remarquera au gré des rues, mascarons, pignons à pas de moineaux, petites chapelles, dates sculptées ou en fer forgé, hautes cheminées, chasse-roues, gratte-pieds ou autres décors..."
les couleurs si particulières qui mettent la brique jaune en valeur, les volets de bois, ce vert intense... les rues en cercles concentriques...
beaucoup de détails à découvrir...
le cordonnier...
le fromager...avec le fromage de Bergues, peu calorique, affiné à la bière...
une des meilleurs pâtisseries du coin !!! mais il y a aussi la saucisse de Bergues, le potje vless? les gaufres.. de quoi réjouir les papilles ! ....
si vous êtes gastronomes .... le "cornet d'or" (5 étoiles !)
la taverne "Brugel" (5 étoiles) ... ou la tête d'or ... ou "aux vieux remparts"... ou "bienvenue chez nous" et bien d'autres encore...
mais aussi des estaminets, de petits restos... comme la "Taverne Vauban" :
"Une cuisine traditionnelle travaillée avec des produits locaux. Au menu, vous retrouverez donc des spécialités régionales comme le Potjevleesh, l'émincé de poulet au maroilles ou la carbonnade flamande. Mais le chef propose également des plats typiques d'une brasserie, le steak frites en tête. Une adresse sans chichi qui sert une bonne cuisine en somme !" (le petit Futé) ce personnage sur un vélo ne vous rappelle rien ? et oui plus récemment le film de Danie Boon a mis la ville au premier plan... (photo du net)...
Il serait inconvable de finir ce tour d'horizon, sans parler du beffroi de la ville, témoin d'une si belle déclaration d'amour dans le film !!!
47 mètres de haut ! carillon de 50 cloches.... "Le second beffroi commencé au à la fin du 14ème, suite à la destruction du premier bâtiment par les troupes françaises en 1383, puis restauré au 16ème, fut détruit en 1944. Reconstruit presque à l'identique en 1961, par Paul Gelis" je devrais dire : il sonnait parce que le haut du beffroi est en mauvais état et les cloches les plus importantes ont été déposées en attendant la restauration... 191 marches, sous l'oeil vigilant du lion des Flandres, pour une vue imprenable pour ceux qui oseront s'aventurer en haut de ce bâtiment d'utilité publique quand il sera restauré...
voilà j'espère que ce tour d'horizon touristique vous aura donné l'envie de venir la visiter un jour ...
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Vous pouvez retrouver les précédents articles sur Bergues
Bergues et son histoire I (ici) Bergues et son histoire II (ici) Bergues et son histoire III (ici) Bergues et son histoire IV (ici) Bergues et son histoire V (ici) voyons maintenant le patrimoine de la ville : Le Mont de Piété : "L' ancien Mont de Piété: Bâtiment de briques et pierres blanches. Pignon baroque, construit par l'architecte Wenceslas Cobergher. Inauguré en 1633, il abrite le Musée Municipal depuis 1953...On y remarquera plus particulièrement la façade aux fenêtres scandées de couronnements alternés d'arcs de cercle et de triangles au premier étage, de chapeaux de gendarme et de trapèzes au rez-de-chaussée. Au premier étage toujours, en dessous des clés ornées de mascarons, des cartouches portent chacun une lettre dont la lecture d'ensemble rappelle la vocation primitive de l'édifice. A l'intérieur on admirera aussi les voûtes de briques jaunes rythmées par des arcs en anse de panier... Le Mont-de-Piété de Bergues fait l'objet d'un classement au titre des Monuments historiques depuis 1907." "Créé en 1841, le Musée de Bergues a pu voir le jour, comme beaucoup de Musées français, grâce aux saisies révolutionnaires."
"Le Musée abrite de nombreuses peintures principalement des écoles du nord, on y retrouve également des peintures françaises du XIXème siècle et des pièces provenant de l'abbaye bénédictine de Saint-Winoc et des couvents de la ville saisies à la révolution, de nombreux dessins et documents. La plus belle oeuvre du musée est "le Vielleur au chien" de Georges de La Tour. Il rassemble près de 450 tableaux."... Une nouvelle visite du musée fait partie de mes projets pour 2018... l'hôtel de Ville :
"Avec sa façade en pierre bleu et grise, ses meneaux, ses colonnettes engagées et ses obélisques, l'hôtel de ville de Bergues n'est pas sans rappeler des constructions de la même époque de l'autre côté de la frontière actuelle (Furnes, Tournai, Gand)." "A droite, sur la façade, un buste de Lamartine rappelle l'élection de ce dernier en tant que député de Bergues en 1833."
En 1833, Alphonse de Lamartine est élu député de Bergues et de Mâcon. Il restera le Grand Electeur de Bergues jusqu'en 1837. et bien sûr le géant de Bergues est nommé : L'Electeur de Lamartine". Il fait 6m50 (assis !), il pèse 250 kg.
"il porte une redingote noire, un chapeau haut de forme et une chemise blanche à col dur. Il tient toujours à la main un grand parapluie appelé "Berguenard". Il a été inauguré le 21 septembre 1913 à Bergues en commémoration du 80ème anniversaire de l'élection d'Alphonse de Lamartine comme député du canton de Bergues en 1833. A l'époque, compte-tenu du scrutin censitaire, alors en vigueur, seuls les plus riches de la circonscription ont le droit de vote (ils sont moins de 400 électeurs)."... la fontaine des "trois grâces" :
"Dans la mythologie grecque, les Grâces étaient des filles de Zeus et de l'Eurynome Océanide. Habituellement, trois sont représentés, Aglaia, la Grâce qui symbolise la Beauté, Euphrosyne, la Grâce du Délice et Thalia, la Grâce de la Fleur." place du marché aux poissons où se situe l'ancien abattoir...
ou place du marché aux bestiaux avec la célèbrissime vache flamande...
nous irons enfin au pied du beffroi et faire un tour dans le centre ville... |
jusqu'à présent très très peu et puis ... nous avions besoin d'un peu de légèreté... et nous avons craqué...
voici Rebecca, notre sorcière... gna gna gna gna hihi hi hi hi !
et ses petits copains.... tout droit sortis de son balai !...
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les ateliers municipaux nous présentent cette composition de cyclamens. Un joli rappel à tous les passants pour le soutien contre la maladie !
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tout n'est que passages étroits...
escaliers ...
passages voûtés...
renfoncements...
réserves de munitions...
Il est toujours possible de passer d'un côté...
ou d'un autre à condition de bien connaître les lieux...
casernement bien protégé...
et de nombreux souterrains qui permettaient de se rendre au centre de la ville en toute sécurité...
laissons les murailles et la défense pour nous intéresser maintenant au patrimoine...
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alternance de portes...
de tours...
et de murailles...
entourés d'une double protection... on peut suivre les nombreux parcours proposés...
et c'est joli en toutes saisons...
la hauteur de ces murs est impressionnante...
le chemin de dessus permet de belle échappées sur la campagne...
sur les contreforts...
ou sur la gare qui est juste à la sortie de la ville. Rassurez-vous la fumée blanche juste à côté de la gare n'est pas due à un incendie mais elle sort de l'usine qui fabrique ces délicieuses gaufres dont le parfum embaume toute la ville !...
le chemin en hauteur permet de voir l'extérieur...
nos pas nous emmèneront ensuite à l'intérieur des remparts vers les constructions de défense...
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"Les remparts de la ville représentent une enceinte fortifiée de 5300 mètres. Préservés dans leur quasi-totalité, ils sont le témoin de 1000 ans d’histoire. En effet, de 882 à 1946, ils n’ont pas cessé d’être modifiés par les invasions françaises, flamandes, bourguignonnes, autrichiennes, espagnoles et allemandes. Vauban, architecte militaire de Louis XIV effectua les dernières modifications en les ceinturant d’eau, d’écluses, de bastions et de portes."
la plus belle porte est bien celle de Cassel ! l
"D'allure très classique, la Porte de Cassel date d'après la conqu^te française (Traité d'Aix la Chapelle - 1668). C'est pourquoi, c'est le soleil rayonnant de Louis XIV qui domaine l'ouvrage au niveau du fronton triangulaire."
"La Porte de Bierne fut construite au début du XVème siècle (époque bourguignonne). Malgré les modifications qu’elle a subi au cours du XIXème siècle, elle a su garder un style médiéval. Cette porte est constituée de deux imposantes tours rondes en façade et de deux tourelles à l’arrière, ce qui lui donne l’allure d’un petit château quadrangulaire."
"La Porte de Dunkerque semble elle aussi dater de l’époque bourguignonne. Son pont levis fut détruit lors de la deuxième guerre mondiale."
on peut apprécier l'épaisseur de la muraille !...
un chemin de ronde permet d'apprécier de jolies vues sur la campagne environnante...
Passer sous ses portes est encore impressionnant...
outre les portes, des tours renforçaient encore le système défensif de la ville...
la Tour Nekestor ... "La Tour Neker, connue également sous le nom de « la Nekerstor » fut construite au XVème lors de l’invasion bourguignonne. Son nom vient d’un animal de la mythologie flamande vivant dans l’eau et qui était sensé vivre dans les entrailles de la tour. Jusqu’en 1720, la tour commandait l’accès en ville par la voie d’eau." C'est une tour de flanquement et une porte d'eau du premier canal circulaire (aujourd'hui souterrain)... Ici la porte du port...
Il y eut des travaux pour empêcher l'eau de mer de pénêtrer dans les canaux de la ville, sinon les navires ne pouvaient pas accoster. Il fallait donc que le niveau des canaux soit constant... les murailles abritaient une importante caserne, la caserne Leclaire...
"Construction de 1732 à 1736 par le marquis d'Asfeld, à l'instigation de Vauban, dans le but de fournir une alternative au logement chez l'habitant, devenu de plus en plus impopulaire à mesure de l'augmentation des effectifs des troupes en résidence permanente. L'ancienne caserne sise sur le même emplacement était devenue trop vétuste et trop petite. Le bâtiment de 4 niveaux pouvait loger 1000 hommes de troupe et leurs officiers, le pavillon d'angle était destiné à ces derniers, il est délimité en extérieur par des chaînes d'angle de pierre en besace." partout ces murailles sont rassurantes pour la population au fil des siècles...
on ne s'y trompe pas... pour passer, il fallait "montrer patte blanche"...
il était ainsi facile de contrôler ceux qui voulaient entrer dans la ville...
le prochain article vous emmènera sur les remparts... |
j'aime beaucoup les enseignes et ça m'a réjouit de voir qu'elles savent se moderniser !...
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les villes ne naissent pas par hasard. Il faut un lieu particulier et des hommes... les légendes et l'histoire font le reste...
les annotations en vert sont issues du net... "Bergues se situe dans le Blootland, à environ 10 km au sud de Dunkerque et 55 km au nord-ouest de Lille, ainsi qu'à 10 km de la frontière avec la Belgique." "Selon la légende, Winoc (ou Winox), fils de roi breton (c'est-à-dire de Grande-Bretagne selon François-Joseph Grille), se serait retiré entre 665 et 675 avec quelques compagnons sur le « Groenberg (Le mont vert) », une colline isolée en bordure des anciens marais côtiers. Leur implantation s'est toutefois rapidement développée jusqu'à former un petit monastère qui deviendra l'Abbaye de Saint-Winoc ; pour cette raison Winoc a de nouveau recherché le calme à Wormhout, plus au sud, où il est mort en 717." "La Cité marchande : la proximité de la mer, d'une région agricole et de la présence d'un centre spirituel important tel que l'abbaye ont stimulé la croissance de la ville. Il est certain qu'à cette époque, en 1028, les comtes de Flandre y ont bâti une véritable place forte. L'indépendance administrative a trouvé son expression dans le beffroi dont la construction a été autorisée par le comte en 1240. Les comtes flamands ont également renforcé les fortifications de tours." "Un des plus importants moyens de défense de Bergues, outre ses fortifications fut la possibilité d'inonder les alentours en manoeuvrant les écluses ou autres moyens de régulation des marais ou Watringue." "Construite sur le Groenberg (ou "mont vert", altitude : 22 mètres), l'abbaye occupait tout le sommet de la colline. Fondée par les comtes de Flandres au tout début du XIème siècle pour commémorer le passage de Saint-Winoc sur le mont, elle restera sous la règle de Saint-Benoît (abbaye bénédictine) jusqu'à sa destruction lors de la tourmente révolutionnaire." Les tours furent préservées en leur qualité d'amer pour la navigation, ce qui obligea le ministère de la marine à reconstruire l'une d'entre elles (la Tour "pointue"), suite à son effondrement au début du XIXème siècle." "Une autre église, celle de Saint-Pierre, était placée tout vis-à-vis, on la jeta de même par terre, et de même aussi on en conserva seulement le clocher. Ces deux tours, en face l'une de l'autre, et qui existent encore à présent (en 1825), font un effet extraordinaire au milieu de la place où elles sont demeurées : on les voit jusqu'à cinq ou six lieues en mer, quoique Bergues soit à deux lieues dans les terres ; elles servent de guides aux marins qui cherchent la rade de Dunkerque, ou qui veulent entrer dans le port. À l'endroit où étaient les églises, on élève maintenant un fort. » écrivait en 1825 le chroniqueur François-Joseph Grille."
L'autre tour, la "Tour carrée", autrefois appelée "Tour bleue" à cause de sa haute toiture d'ardoise, était posée à la croisée du transept de l'ancienne église abbatiale. L'essentiel de sa maçonnerie est aujourd'hui encore composé de grés ferrugineux qui attestent de l'ancienneté du bâtiment.outre ces vestiges, demeure l'école privée St Winnock...
"Bergues comportait jusqu'à la Révolution française deux églises paroissiales". "L'église St Martin a été profondément meurtrie au cours de la dernière guerre (incendie en mai 1940 par les Allemands et dynamitage de la tour par l'occupant le 16 septembre 1944, jour de la libération de la ville). Reconstruite à la fin des années 1950 par Gélis, elle n'a malheureusement pas été reconstruite sur son plan initial et seules quelques parties anciennes subsistent : transept sud (classé Monument Historique), portail sud, chevet."le prochain article vous emmènera vers les canaux et les murailles... la suite ... article ci-dessous... |
"Au XIXème siècle, la ville est déjà connue pour ses fromages faits du lait des petites vaches flamandes : « Aux halles de Bergues, il se vend une quantité considérable de fromages façon de Hollande, et que les correspondants de Paris donnent, au marché des Innocents, pour des fromages de Groningue."
Bergues a perdu de son éclat, mais François-Joseph Grille précise que « La ville de Bergues est forte par ses remparts et surtout par ses inondations ; et ces flaques d'eau qui l'emprisonnent, peuvent aussi parfois la sauver. »
"Bergues fait partie d'un dispositif militaire qui la lie à Dunkerque : « De Bergues à Dunkerque, la grande route est tracée le long du grand canal. À l'est de ce canal, au milieu de la distance, entre les deux villes, est le port Saint-François, qui lie les fortifications des deux places. À portée de canon » rappelle JF Grille."
"À cette époque Bergues qui réunit 3 canaux (de Dunkerque, de Saint-Omer (Aa) et de Furnes) est encore un vrai port : « Des embarcations partent à toutes les heures pour ces villes, ou reviennent dans ces directions."
"On a fait un port intérieur qui fait arriver les marchandises jusqu'à la porte des magasins, "...
près de la place du marché aux poissons, tout près d'une des entrées de la ville, l'abattoir... "et l'on a multiplié les écluses, qui font la fortune du pays, par les irrigations qu'elles facilitent et par la navigation qu'elles assurent : chacune a son numéro ; en les ouvrant toutes à la fois, on submergerait dix lieues de prairies, et on rendrait l'accès de la ville impraticable."
"Si ces digues venaient à se rompre par quelque circonstance fortuite, on conçoit quel serait le danger. "
"L'habitude fait qu'on vit là-dessus fort tranquille, en attendant le refoulement des vagues de la mer du Nord, et quelque catastrophe du genre de celle de Cronstadt et de Saint-Pétersbourg"
entièrement fortifiée, renforcée par les travaux de Vauban, Bergues vit dans son enceinte, bien protégée...
La Nekestor (photo du net) ... "Construction du XVème siècle, la Nekerstor est à la fois une puissante tour de flanquement du front Ouest et une porte d'eau. Jusqu'à 1720-1725, date de recouvrement de l'actuel canal souterrain, c'est elle qui commandait l'accès en ville par la voie d'eau.""De style ogival, la tour doit son nom au Neker, animal de la mythologie flamande vivant dans l'eau et qui était sensé vivre dans les entrailles de la tour."
La suite vous emmènera vers les portes de la ville, les murailles et les remparts... |
un joli soleil couchant sur le voilier...
voici ce que dit Wikipédia du navire école "le Duchesse Anne" : " Le (ou la) Duchesse Anne, ex-Grossherzogin Elisabeth est le plus grand voilier, et le dernier trois-mâts carré, conservé en France. Construit en 1901 par le chantier Johann C. Tecklenborg de Bremerhaven-Geestemünde (Brême) selon les plans de Georg W. Claussen, il est considéré comme un chef-d’œuvre d’architecture navale, en raison notamment de la forme profilée de sa coque en acier et de l'équilibre général du navire, qui ménagent un espace habitable d'une grande capacité, tout en innovant en matière de sécurité. Ancien navire-école de la marine marchande allemande, passé en 1946 sous pavillon français et remis à la Marine nationale française comme dédommagement de guerre, basé à Lorient et Brest sans jamais appareiller, il échappe de peu à la démolition, grâce à l'opiniâtreté de quelques passionnés dans les années 1970. Après une très longue restauration visant à lui faire retrouver son état d'origine, et conserver son authenticité de navire-école, il est, aujourd'hui, un bateau musée qui peut être visité dans le port de Dunkerque. Utilisé dans le cadre d'actions de communication événementielle, mais étant définitivement à quai, sa notoriété n'égale pas celle du Belem qui bénéficie, pour sa part, des effets médiatiques des rassemblements de gréements traditionnels" |
c'est ici !!
trop envie d'essayer mais je n'avais pas de moules assez grand, j'ai utilisé des ramequins... nous en avons mangé hier soir et j'ai fini ce midi... le roquefort convient très bien aux endives... nous nous sommes régalés ! |