Il y a des périodes comme ça ! encore un ...
pour l'onglerie ... j'aurais plutôt mis "Ohhh les mains !" mais ce n'est que mon avis lol !
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les 4 commentaires
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ah pour être écolo, il est écolo, pas d'essence, pas de pollution... juste une belle énergie pour pédaler tous ensemble... très sympathique !
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une enveloppe d'un jaune rayonnant, une belle carte et un très gentil mot... merci Lisette !
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allez sourions un peu...
cette photo a été prise dans une rue surnommée "rue de la soif". Quelques villes, ont une rue du même nom. A Dunkerque, elle s'explique parce qu'elle menait de l'église au port. Cette rue a toujours eu de nombreux cafés et à une époque d'autres lieux de plaisir... Ainsi les marins touchaient leur solde, allaient à la messe puis ... prenaient du temps avant de regagner le port... Ils "faisaient chappelles"... ce terme est resté dans le folklore du carnaval. Cette rue s'appelle en réalité "rue de l'Amiral Ronarc'h qui a participé au maintien des troupes françaises et défendu Dixmude pendant la guerre 14-18. |
cette fleur pour vous remercier d'être là, et pour vos commentaires !
bisous à toutes |
Je vous emmène aujourd'hui dans le quartier "Grand Large", construit sur l'ancien site des Chantiers de France...
" l’historique halle AP2, Atelier de Préfabrication n°2, unique témoin des constructions navales sur le port. Surnommé « la Cathédrale » par la population, ce bâtiment de 75 mètres est situé sur le littoral dunkerquois. Pendant près de 40 ans, il a vu naître dans ses ateliers près de quatre navires par an – navires hôpitaux, paquebots de croisière, cargos postaux, voiliers, pétroliers, navires de guerre, porte-conteneurs… - jusqu’à la fermeture définitive en 1987 des Ateliers et Chantiers de France-Dunkerque, qui employaient souvent des familles entières." (source Wikipédia) Les architectes Lacaton et Vassal ont conçu le projet d'une construction d'un bâtiment jumeau de la "cathédrale". Commencé en 2013, nous avons suivi l'évolution des travaux...
"Avec plus de 9 000 m2 de surface au sol sur 6 niveaux, le FRAC est doté de différents espaces d’exposition et des réserves à la hauteur de sa collection, mais également d'espaces de rencontre et de médiation, de deux salles de projection, d'un « laboratoire » pour les professionnels, d'un café, d'une boutique et d'une terrasse panoramique."
en juin, la structure était en place...
En même temps, l'espace tout autour prenait forme...
Revenons au début de l'implantation du FRAC à Dunkerque...
" Sous l’impulsion du ministre de la Culture, Jack Lang, une vaste politique de soutien à la création et à la diffusion de l’art contemporain a été établie dans les années 1980. Les fonds régionaux d’art contemporain (FRAC) ont été institués en 1982 et le FRAC Nord-Pas-de-Calais a été créé l’année suivante." "Il s’agit de mettre en place des structures fonctionnant sur la base d’un partenariat entre l’État et les conseils régionaux chargés de défendre et de diffuser la création de cinquante dernières années. En 2012-2013, seront célébrés les trente ans des FRAC notamment lors d’une grande exposition commune au Centre Pompidou dès septembre 2012." "Le FRAC Nord-Pas-de-Calais bénéficie du soutien du ministère de la Culture et de la Communication/Direction générale de la création artistique, de la Direction régionale des affaires culturelles Nord-Pas-de-Calais, du conseil régional Nord-Pas-de-Calais, de Dunkerque Grand Littoral/Communauté urbaine, de la ville de Dunkerque, des conseils généraux Nord et Pas-de-Calais et du rectorat de l’Académie de Lille."
"Depuis sa fondation en 1982, le Frac Nord-Pas de Calais s’appuie sur l’expertise d’un comité d’acquisitions international renouvelé tous les trois ans. Artistes, critiques, conservateurs et collectionneurs ont contribué à l’enrichissement de cette collection qui a acquis aujourd’hui une valeur historique. Le Frac Nord-Pas de Calais possède des œuvres d’art et de design emblématiques des années 1960 à nos jours et poursuit ses acquisitions dans ces deux domaines. Les œuvres présentent une très grande diversité de formes : abstraites, figuratives, minimales, immatérielles, concrètes, imaginaires ou documentaire. La question des frontières géographiques et entre les divers médiums, a constitué un axe important de la collection avec des artistes issus principalement de l’Euro-région. " "Aujourd’hui, le comité technique d’acquisition incarne cet ancrage transfrontalier mais il élargit la question du territoire à celle de la mobilité et de la circulation des formes, des idées et des imaginaires. Les critères esthétiques sont revus à l’aune de la critique institutionnelle en tenant compte des contextes sociaux, politiques et économiques. La collection se confronte ainsi aux mutations du monde contemporain et à l’accélération des modes de communication." "Le Frac Nord-Pas de Calais, le Fonds régional d'art contemporain de la région Hauts-de-France, est une association loi de 1901, créée en 1982 et située depuis 1996 à Dunkerque. Constituer une collection et la diffuser, soutenir la création contemporaine par la production d’œuvres et sensibiliser les publics à l’art contemporain sont les missions des FRAC. La collection du Frac Nord-Pas de Calais est riche de plus de 1500 œuvres. Le Frac Nord-Pas de Calais est le seul à disposer d'une collection consacrée au design, une orientation voulue dès sa création en 1982. Il est dirigé depuis 2016 par Keren Detton." "Les œuvres du FRAC sont présentées au public très régulièrement, à trois échelles différentes. Elles sont tout d’abord exposées dans la région Nord-Pas-de-Calais dans près de 170 lieux partenaires ces trente dernières années. En remplissant la mission originelle du FRAC de démocratisation de la culture, les expositions en région sont nombreuses et diverses. Par exemple, l’exposition Destrøy Design aura été exposée en 2012 à la galerie Robespierre de Grande-Synthe ainsi qu’à l’hospice d’Havré à Tourcoing. Elles sont toujours accompagnées d’outils et d’aides à la visite innovants, participatifs et en phase avec chaque public. Le FRAC développe également un large programme à destination des écoles « les Élèves à l’œuvre », qui permet aujourd’hui à plus de 20 établissements scolaires par an d’accueillir une œuvre de la collection autour d’une même thématique, ou de l’enseignement supérieur en particulier avec l’opération « Fragmen FRAC »."
"La collection du FRAC est également présentée au public à une deuxième échelle, celle de l’euro-région du Nord. Situé au cœur de l’Europe et à 15 kilomètres de la frontière belge, le FRAC expose régulièrement ses œuvres en Belgique, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni. En 2012, l’exposition Destrøy Design sera présentée au musée du design de Gand, en parallèle de l’exposition à Tourcoing. D’autre part, avec des partenaires tels que le S.M.A.K de Gand (Belgique), la Turner Contemporary de Margate (Royaume-Uni) et la Firstsite Gallery de Colchester (Royaume-Uni), le FRAC a créé à une plate-forme européenne de réflexion sur la médiation, qui a donné lieu à un workshop les 13 et 14 avril 2012 – workshop ayant vocation à devenir un rendez-vous annuel. Enfin, les expositions du FRAC sont également présentées à l’étranger. "
Les travaux terminés, une passerelle relie ce lieu culturel à la plage... nous avons aussi suivi sa construction et c'est une histoire que je vous racconterai très prochainement... |
Une belle exposition au musée portuaire...
"Entre légende et réalité L'exposition aborde les idées toutes faites sur les pirates, corsaires et flibustiers pour dépoussiérer ces images déformées par la légende ou les médias. Elle explore les parcours de personnages bien réels, du passé ou d'aujourd'hui, dont les activités sont dépeintes comme des exploits ou des crimes. En fil rouge de l'exposition, un échange constant entre la piraterie ancienne -celle des îles au trésor et de Barbe-Noire- et la piraterie actuelle - celle des côtes somaliennes ou qui attaque les données de nos ordinateurs-." (issu du site du musée) Un monde à part que la piraterie, fait d'histoire et de légendes....
"Le mot « pirate » vient du latin pirata (« celui qui tente la fortune, qui est entreprenant ») Au Moyen Âge, la signification du terme « pirate » se restreint pour désigner plus spécifiquement des bandits qui parcourent les mers pour piller des navires marchands. Les pirates, au contraire, pratiquent le banditisme. La piraterie n'a pas disparu avec la fin de la marine à voile, elle est toujours pratiquée aujourd'hui sur les océans et notamment au large de la Corne de l'Afrique où des navires de guerre protègent le commerce maritime sur une zone aussi étendue que le continent européen." (Wikipédia).
"La piraterie existait déjà dans l'Antiquité. Toutes les civilisations anciennes ayant possédé une marine l'ont connue, les Phéniciens comme les Mycéniens, la mer étant considérée comme un espace libre où règne la « loi du plus fort ». Lorsque les États deviennent plus puissants, à la piraterie s'ajoute la guerre de course.
Jules César dut lui-même afronter la piraterie. Lors d'un voyage vers l'Orient entre les années 75 av. J.-C. et 74 av. J.-C., il fut capturé par ceux-ci, à hauteur de l'île de Pharmacuse, à proximité de la ville de Milet en Asie Mineure. Dès sa libération contre rançon, il entreprit de se venger. Après avoir réuni en toute hâte une flottille, il surprit et captura les pirates qu'il fit exécuter et, en partie, crucifier. Pompée se rendit célèbre en nettoyant la Méditerranée des pirates ciliciens. Les Vikings furent des pirates mais aussi des explorateurs, qui dévastèrent l'Europe du Nord du ixe au xie siècle." "Les pirates se distinguent des corsaires qui sont des civils faisant la guerre sur mer avec l'autorisation de leur gouvernement (grâce aux lettres de marque), selon les lois de la guerre, avec un statut équivalent aux militaires mais sans être soumis à l'autorité d'un état-major et au contraire d'une façon indépendante. La confusion entre pirates et corsaires résulte de plusieurs faits : jusqu'à la fin du Moyen Âge, les termes de corsaire et pirate, synonymes, étaient employés indifféremment (pour les distinguer, il faut qu'un État souverain délivre une lettre de marque - or l’État souverain n'apparaît en Europe qu'au cours des xvie et xviie siècles) ; les Corsaires faisaient la guerre aux nations ennemies en s'attaquant à leur commerce mais, sans ressources en temps de paix, ils devenaient pirates (comme Francis Drake ou Jean Ango). Cette apparence ne doit pas faire oublier qu'ils respectaient en général les vies et les biens personnels ; seul le navire et le fret faisaient l'objet de la prise, une enquête établissait si la prise avait été légitime et le bien était rendu si tel n'avait pas été le cas. Notons toutefois qu'un corsaire autorisé par un État particulier était qualifié de pirate par les États ennemis. Tout corsaire, donc, est un pirate du point de vue d'un État tiers" leurs armes sont impressionnantes bien sûr : hache, harpon, boutefeu, crochets, pistolets, poignards...
Pirates, boucaniers, flibustiers ??? : " Boucaniers : les pirates qui sévissaient dans la mer des Caraïbes étaient parfois appelés abusivement boucaniers. À l'origine soit aventuriers, soit déserteurs des différentes nations européennes, les boucaniers vivaient sans chef, et s'occupaient surtout du ravitaillement en viande fumée (« boucanées », d'où leur nom) des équipages de passage quels qu'ils soient. Ils élevaient des bœufs et chassaient les petits cochons sauvages. Ils se trouvaient dans le nord-ouest de Saint-Domingue et dans la baie de Campeche, mais ils avaient souvent leurs comptoirs à la Tortue. À l'occasion, il leur arrivait de se mêler à une expédition, mais ce n'était pas leur activité principale." Nous entrons dans l'expositon par ce joli décor de soute de navire...
" Flibustiers : le mot « flibustier » est dérivé du néerlandais vrijbuiter (« qui fait du butin librement ». Certaines sources citent comme origine le mot flibot (« sorte de petit bateau »), d’autres préfèrent free booter (« libre pillard »). Le mot apparaît lorsque les Hollandais révoltés contre la domination espagnole avaient armé des navires corsaires pour lutter contre l'Espagne. Mais les Pays-Bas n'existant pas en tant qu'État indépendant reconnu avant 1648, leur statut de corsaire n'était pas reconnu. Les Espagnols les considéraient comme pirates pendant que les alliés des Hollandais les voyaient comme des corsaires. Toute une population va naître à mi-chemin entre piraterie, aventure, guerre de course. Le flibustier est un aventurier qui peut se louer en tant que corsaire au plus offrant en temps de guerre, qui peut naviguer comme marin de commerce comme s'adonner à la piraterie." "Un corsaire est une personne (le plus souvent l'armateur, le capitaine ou le membre de l'équipage d'un navire civil armé) autorisée par une lettre de marque (également appelée « lettre de commission » ou « lettre de course ») à attaquer en temps de guerre, tout navire battant pavillon d'États ennemis, et particulièrement son trafic marchand, laissant à la flotte de guerre le soin de s'attaquer aux objectifs militaires. Les corsaires ne doivent donc pas être confondus avec les pirates puisqu'ils exercent leur activité selon les lois de la guerre, uniquement en temps de guerre et avec l'autorisation de leur gouvernement. Capturés, ils ont droit au statut de prisonnier de guerre.
Cette forme de guerre navale est appelée « guerre de course »." Voici "la trousse" du médecin vers la fin 1800 !!! des aiguilles, des scies, des pinces... qui malgré tout ont sauvé la vie de certains hommes !...
les circonstances de la vie ont fait que des femmes aussi sont devenues pirates... telles que Mary Read, Anne Bonny...
Et puis, il y a ceux dont on parle encore parce qu'ils se sont distingués, mandatés par le Roi... Surcouf, Jean Bart... "Les corsaires sont des civils mandatés par « lettre de course » des autorités de leur nation qui, en temps de guerre, combattent d'une façon indépendante avec un statut équivalent aux militaires les navires sous pavillon étrangers mais sans être rattaché à un état-major, tout en obéissant aux lois de la guerre."La confusion résulte du fait que les corsaires faisaient la guerre aux nations ennemies en s'attaquant à leur commerce et que, jusqu'à la fin du Moyen Âge, les termes de corsaire et pirate étaient employés indifféremment. Cette apparence ne doit pas faire oublier que les corsaires respectaient les vies et les biens personnels ; seul le navire et sa cargaison faisaient l'objet de la prise, une enquête établissait si la prise avait été légitime et le bien était rendu si tel n'avait pas été le cas. Les corsaires s'attaquaient rarement aux navires de guerre, comme le montrent les recherches dans les archives françaises : sur 23 201 corsaires français embarqués entre 1692 et 1763, seuls 133 meurent au combat. Au moment des guerres de la Révolution et de l'Empire, sur 1 651 décisions du tribunal des prises, seuls 75 combats et 18 abordages sont répertoriés."
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Il fait beau, je lézarde sur le balcon... c'est le printemps et les oiseaux se déclarent leur flamme sur l'immeuble en face... et que je te fais des bisous/bec et que tu me fais des bisous/bec....
sur ce beau message d'amour ... Joyeuses Pâques à tout le monde ! |
Bon, il y a des fois comme ça ! je fais les courses et j'achète un paquet de pruneaux et la semaine suivante je me dis la même chose et je recommence...
bref ... il faut maintenant ne pas jeter... donc un dessert aux pruneaux me semble tout indiqué. Sylvie et Marc nous ont proposé leur recette (ici !). Résultat : délicieux ! merci à vous ! |
il vous faut 4 saucisses
un peu de matière grasse 1 chou chinois 1 courgette 6 pommes de terre taille moyenne 3 oignons 5 gousses d'ail sel, poivre, laurier, thym, poivre en grains épluchez, lavez vos légumes, égouttez... Dans une cocotte, faites revenir les saucisses dans un peu de matière grasse, réservez. Videz l'excédent de matière grasse et faites rissoler vos oignons et l'ail, ajoutez un peu d'eau et recouvrir de pommes de terre et la courgette coupés en dés, puis du chou chinois séparé en feuilles. Assaisonnez de thym, laurier, sel, poivre... posez dessus les saucisses et fermer le couvercle. Laissez cuire 40 minutes à feu moyen... |
Mireille nous avait mis en garde par rapport aux boules de graines en filet (ici !)
Je ne sais pas si c'est le cas de "ma petite une patte" comme je l'appelle ... (les photos ne sont pas nettes parce que je les ai prises à travers le vitrage et le store pour ne pas la faire fuir) Je suis bien contente d'avoir acheté ce support parce qu'elle s'y installe bien pour manger.
Peut être le fruit de mon imagination... mais elle ne vient jamais seule. Une autre mesange vient et surveille pendant qu'elle mange puis elle mange à son tour... sont-elles en couple ? est-ce de l'entr'aide entre oiseaux ? En tout cas, c'est une belle histoire... |
Ce n'est pas parce qu'on est en cure, que ça doit être triste... la preuve !
merci Martine ! |