"L'Huîtrier pie (Haematopus ostralegus), ou Pie de mer, est une espèce d'oiseaux de la famille des huîtriers. C'est la seule espèce de cette famille vivant en France."(Wikipédia)
A cette période, sur la plage de la digue du Break, il y en a souvent, ils ont un chant puissant. Le long bec sert pour casser non pas des huîtres mais des mollusques et trouver des vers. Leur envol avec leur plumage blanc en V sur le dos est très joli à suivre.
Voir
les 10 commentaires
|
Ajouter un commentaire
|
Ce nom est particulier parce qu'issu du language dunkerquois :
"source Wiktionnaire : beutt : 1. poisson plat, croisé de la limande et du carrelet. |
Il faut commencer doucement à y penser et Philippe m'a ramassé des bogues de marrons qui vont s'ouvrir. Super pour ma décoration d'automne !
|
pour le parcours des enfants... en bleu la pieuvre...
En rouge le crabe ...
En vert la grenouille (enfin je suppose ???)... de quoi amuser les petits !
La méduse...
et la tortue !
|
En passant par le jardin du LAAC... nous avons pu regarder cette charmante conteuse accompagnée d'un orgue de barbarie...
Les enfants participaient très bien c'était charmant !
DIre qu'ils étaient ravis ? je le crois bien volontiers ! |
Toutes simples : pâte habituelle, sucre dans le fond, mirabelles dessus !
|
De très jolies photos du plateau de Millevaches. Merci Ghislaine pour cette attention et pour le gentil mot !
|
Rien de mieux que de faire découvrir le site à quelqu'un pour y retourner voir où ça en est...
Après un bon repas à la Taverne : Poulet aux maroilles/Frites/salade et une bière du Jean Bart Carré de tarte aux pommes/glace à la violette (du parfum des violettes de mon enfance) et chantilly et un bon café pour terminer, nous étions prêts pour la visite... Commençons par le forgeron...
Par cette chaleur, forger d'énormes clous ne doit pas être facile et pourtant on a l'impression que c'est facile tant les gestes sont précis et assurés...
Nous avons pu observer comment les têtes des clous en forme de pyramide étaient réalisés...
Avec gentillesse, le chaudronnier/forgeron nous a expliqué l'usage de ces outils anciens...
Si vous voulez apprendre à faire des noeuds marins... c'est ici ! pas toujours évident à faire...
Puis nous avons poursuivi notre chemin vers la saurisserie ... Sur le chantier, rien ne se perd...
Tout ici valorise le bois...
Tout est propre et net ! bien sûr par mesure d'hygiène, il est interdit d'y entrer...
Comment fait-on pour fumer le saumon ...
"Le filetage : Le saumon arriver entier, vidé, en coffre de glace. Il pèse entre 3 et 6 kgs. Il est lavé et découpé en deux filets. Il est ensuite relavé et posé sur des grilles pour le salage." "Le salage : Le salage s'effectue au sel sec à la main. Le salage est léger, il ne dure que 3 à 4 heures. La pénétration du sel est fonction de la température, de la taille du poisson et de la matière grasse." "Le fumage : Le filet est suspendu par la "queue" à l'aide d'une ficelle. Le fumage s'effectue à froid : la température ne dépasse pas 24°C. La fumée naturelle est produite à partir des copeaux et sciure du bois de chêne." "L'affinage : L'affinage est une étape très importante. Le poisson reste en moyenne 5 à 6 jours en chambre froide. Pendant ce temps, la fumée continue de pénétrer dans la chair, et le filet sèche lentement. La quantité finale d'eau dans le poisson influe sur la texture ainsi que sur la conservation." "Le tranchage : le poisson est d'abord d'asarêté avec une pince. Pour le tranchage, on utilise un couteau à longue lame alvéolée. Il faut environ un an pour former un bon trancheur. Le poisson est ensuite conditionné sous vide pour une meilleure conservation." Suite dans le prochain article... |
Rappelons un peu ce projet...
Reconstituer un vaisseau à l'identique selon les méthodes de l'époque. Sous Louis XIV, au XVIIème siècle, c'est un très grand navire 12 à 17 mètres de haut, 6m de tirant d'eau et cependant : "Le Jean Bart sera le plus petit des navires de premier rang. Il fera 57 mètres de long, comportera 3 ponts et près de 84 canons. Pour terminer sa construction, il faudra 3600 chênes, soit 1600 tonnes de charpente (1800 m² de bois). Pour voguer, il nécessitera 5000 m² de voilure. Aujourd'hui tout ce qui est construit sera sous la ligne de flotaison. A l'époque un tel bâtiment servait avant tout pour le commandement." Sur le chantier oeuvrent des Compagnons-du-Devoir, charpentiers marines. Le chantier c'est aussi de l'insertion et des bénévoles enthousiastes !
Le bois est utilisé dans sa totalité : le navire bien sûr mais aussi, la construction des bâtiments qui abritent la Taverne, la forge, le musée, la saurisserie (qui utiliser le bois et la sciure), le bureau des charpentiers... ce qui reste est vendu en petits sacs pour les particuliers... La devise du chantier Tourville est :
"Il faut connaître les limites du possible non point pour s'arrêter mais pour tenter l'impossible avec les meilleures chances de succès, (Romain Gary)" A terme, le vaisseau sera exploité au sein d'un parc historique et de loisirs sur le thème des corsaires. Notoriété pour la ville de Gravelines, la Région, mais aussi création d'emplois... |
Nous avons eu de la chance parce que ce jour-là de nouvelles pièces allaient être posées : 8 allonges (4 à l'avant et 4 à l'arrière) ainsi que les 4 premières pièces des Serres d'Empature sur tribord...
Une gigantesque grue est prête à lever les énormes pièces de chêne ...
Elle sera guidée par walkie-talkie quand il faudra manoeuvrer de l'autre côté de la poupe (arrière) du navire...
Première opération : l'allonge est amenée à l'endroit voulu, retenue par une sangle...
Elle sera mise en place puis clouée à la masse !!!
Il sera fait de même à tribord...
Puis elles seront consolidées pour maintenir toute la structure en place...
Viendront ensuite les Serres d'Empature à l'intérieur du vaisseau...
La grue ammène lentement sa charge... c'est un travail de précision...
Le bois sera ensuite traité avec le produit goudronné...
Cette photo de Corsaire TV vous donne une idée de la grandeur de la construction par rapport à la taille des charpentiers...
On distingue nettement les pièces posées récemment à a couleur du bois...
Une note touchante : les membres de l'association qui ont eu une part importante dans la construction (de quelques façons que ce soient : construction, bénévolat) ont leur nom gravés à titre de mémoire...
Ce vaisseau sera superbe mais laissons la construction se poursuivre, bien sûr nous y retournerons...
En attendant je vous joins un lien d'une intervieuw de Monsieur CARDIN, Président et initiateur du projet. On y trouve résumé le passé, le présent et l'avenir de Tourville... C'est ici ! |
Merci Marie Claude pour la jolie carte et le petit coucou !
Dans cette belle région, je suis allée visiter les Eyzies et la Roque Gageac où il avait un super restaurant "la plume d'oie" mais je ne sais pas s'il existe encore... |
Il fait beau allons prendre l'air...
nous contournons la forme 4 où les plongeurs s'entraînent... Le Texel est passé, il va s'orienter vers la droite pour se diriger vers le pont de l'université puis celui de la Communauté urbaine pour aller à son point d'attache près de la mairie...
Voilà il s'est refermé et nous pouvons continuer notre balade le long du quai
pour voir la ville "de l'autre côté"...
les monts de sable et graviers attendent que des camions viennent se servir...
Nous arrivons derrière la Halle aux sucres (article ici !) et derrière la nouvelle patinoire...
Nous retournons gentiment en ville...
Au premier plan : - Au milieu de la photo, le pont de l'université. Sur sa gauche l'université du Littoral avec tout à droit de forme ronde la MREI, maison de la recherche... Au second plan : on aperçoit les mâts du Duchesse Anne, puis en blanc, la tour du Reuze... à sa droite le beffroi de la mairie et enfin à droite, le bâtiment de la Communauté Urbaine... Nous ferons une petite pause devant les bateaux au bassin du commerce et puis... retour chez nous ! |
Tout d'abord l'enveloppe avec ses paysages typiques de la Bretagne...
et au dos aussi... les fameux hortensias, les macareux...
A l'intérieur une très belle carte de bord de mer... merci Annick !!!
|
Ils commencent à se débrouiller tout seuls pour becqueter les moules le long du ponton... (clic sur les photos)
et essayer leurs ailes...
|