après cette journée de tempête, rien ne vaut une bonne soupe. C'est Philippe qui l'a faite... poireaux, pommes de terre, carottes, oignons, ail, persil... on va se régaler !
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eh voilà ! une amie blogeuse vient à Dunkerque... l'occasion rêvée de se rencontrer...
nous avons passé une très très belle journée ensemble... repas en toute simplicité...
balade/découverte...
malgré le temps de novembre, ce fut une merveilleuse journée d'échanges et de chaleur humaine...
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balade dunaire... quelques marguerites et un hôte de passage...
plus loin... les lapins de garenne ont fait des dégâts !...
il y en a partout ! ... le sable creusé reste au bord de l'entrée...
"Le lapin de garenne est un petit mammifère qui apprécie énormément les dunes. En effet, le sable meuble est un bon endroit pour y creuser un terrier et s'y installer en famille. De plus, la mousse tortule et autres végétaux abondent pour le plus grand régal de ces petits gloutons !" |
sécurité oblige, le défilé de la Saint-Martin a lieu dans le jardin du LAAC.
C'est une complète réussite tant pour la sécurité que pour le décor ! D'aussi loin que je me souvienne on a toujours fêté Saint-Martin à Dunkerque et ce, bien avant ma naissance !!! Les familles sont accueillies vers 17h30 dans l'entrée du musée pour rencontrer ... le grand Saint-Martin !
pour ne pas le confondre avec le Père Noël ou Saint-Nicolas, Saint-Martin a revêtu son aube violette... Passant du presque noir du jardin aux lumières du musée, beaucoup d'enfants ouvrent de grands yeux à la vue de Saint-Martin !
on leur a conté l'histoire...
voici une interview exclusive de Saint-Martin (interprétation de Jean Chatroussat, feru carnavaleux et amoureux des belles histoires pour les enfants (paru dans le journal La Voix du Nord) ) : "Tu as quand même des fans… « Parce que c’est grâce aux enfants du Dunkerquois que j’ai pu récupérer mon âne. L’intrépide s’était égaré dans les dunes de Leffrinckoucke pour y gober des chardons. La légende dit bien que j’étais si content que j’ai transformé les crottes de mon âne en petits pains briochés appelés «voolaeren» (la racine du mot veut dire «saleté» puisque les délicieuses brioches sont nées d’une crotte) ; on prononce «folars», mais mon ami Jean Chatroussat tient beaucoup à l’orthographe flamande. D’ailleurs, la vraie recette des «voolaeren», que l’on soit bien clair, c’est celle aux raisins." ils ont créé leurs lanternes... et ont des étoiles dans les yeux... "Pourquoi appelle-t-on ton histoire « la légende de saint Martin » ?
« Ce que je vais vous dire est un secret qui ne doit absolument pas être dévoilé aux enfants. En réalité, il est impossible que j’aie pu mettre un pied dans le Dunkerquois, à moins peut-être dans mes rêves. À l’époque où j’ai vécu (au IVe siècle), Dunkerque et les dunes étaient sous les eaux. Cette légende pittoresque, comme toutes les légendes, est inventée. Mais il faut que les enfants continuent d’y croire ! » et l'interview continue ...
" Pourquoi as-tu donné ton nom à « l’été de la Saint-Martin » ? Parce que quelques jours avant le 10 novembre, ma fête, il fait (souvent) très beau ; il a été prouvé qu’à cette période, il y a le plus d’étoiles filantes. Ceux qui ne me fêtent pas appellent cette période l’été indien, d’autres me remercient en la désignant comme l’été de la saint Martin. La vérité ? Je n’y suis pour rien ! Mais il est vrai qu’on me célèbre aussi dans les pays germaniques avec une fête de lumières. » avec amour et inventivité !!
simple avec souvent une bouteille plastique comme support... aujourd'hui heureusement il existe des leds, avant c'était des bougies et même si c'était plus pittoresque, ça restait dangereux et des lanternes ou des betteraves prenaient feu...
les enfants sont attendrissants, timides ou non pour faire la photo avec Saint-Martin ou se déclarant "trop grands" pour une photo... ils sont quand même venus avec leur lanterne pour le concours...
tellement mignon ! J'aime beaucoup celui-ci ! la petite fille l'a fait toute seule et de sa propre imagination bravo !
j'ai dit "mignon" ? et bien modernité oblige... en voici un !
il y en a pour tous les goûts... du château "ma tant tire lire lire"...
en passant par un panier fleuri..
sans oublier le "petit âne gris"...
jusqu'à la lanterne en papier vitrail...
ils vont se présenter pour le concours des lanternes...
c'est une affaire très sérieuse et le jury est expérimenté !!! le petit carnet avec la note passe de mains en mains et la moyenne déterminera le ou les gagnants ! et me direz-vous la tradition de creuser une betterave ?... eh bien même s'il n'est actuellement pas trop facile de trouver une betterave fouragère à Dunkerque... on se débrouille et le résultat est là !
et si vraiment on ne trouve pas de betteraves ? ... eh eh on utilise une courge buternutt bien sûr !!!
que l'on concourt d'un côté pour les lanternes, de l'autre pour les betteraves, tout le monde aura droit aux folards et aux friandises...
voici les folards vendus en boulangerie. Ils existent nature, aux raisins ou aux pépites de chocolat...
mais il est temps que Saint-Martin s'en aille à la recherche de son âne.. tiens ! il a oublié quelque chose ??? !!!...
dehors, il fait nuit noire et les arbres du parc prennent des allures fantomatiques !
les nuages se teintent de rose au passage du faisceau lumineux du phare... le temps comme souvent en novembre, n'est pas clément et le vent et la pluie viennent augmenter la difficulté des recherches !
mais il faut absolument retrouver l'âne de Saint-Martin !
alors ébloui par les "flashes" Saint-Martin s'en va sur le chemin...
tient bien ta mitre grand Saint, le vent est là !!
Heureusement l'âne est retrouvé !! la fanfare entame la chanson de Saint-Martin et les enfants joyeux partent en défilé tout autour du plan d'eau et du jardin...
(je précise ici que seul l'anier mène l'âne, que personne ne va sur son dos et qu'il est veillé à ce qu'aucun mal ne lui soit fait !) Au retour, il y eut une nouvelle distribution de folards et de friandises...
Je crois bien qu'il n'y avait pas que les petits pour se réjouir malgré le mauvais temps !! |
Il vous faut :
200 g de farine 125 g de sucre roux 75 g de beurre 5 clémentines 2 kiwis 1 sachet de levure 3 oeufs 1 éclichon d'Armagnac (facultatif) préchauffez le four à 180°. Beurrez et farinez votre moule. Faites fondre le beurre presser les clémentines réservez le jus dans un saladier mélanger, la farine, le sucre la levure. ajoutez progressivement le beurre, le jus des clémentines, l'Armagnac. Ajoutez en dernier les oeufs entiers. Versez dans le moule et faites cuire 30 minutes... décorez avec les kiwis (ou un autre fruit) |
merci Mamy Gigi pour cette carte joliment colorée et "savoureuse" !
nous ferons cette recette c'est sûr ! |
J'y suis allée pour mes balconnières et pour du terreau pour hiverner les géraniums...
j'ai été accueillie par un renne écossais ... ! qui m'a dit... le village du Père Noël c'est par ici !...
en effet, les automates s'activaient déjà ...
et dans le magasin la neige était déjà tombée !!!
alors bien sûr j'ai fait un petit tour dans les rayons...
je me serais crue au pays des bisousnours !!!
malgré le vilain temps dehors, ce moment de douceur m'a fait du bien !
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notre petite balade de l'après-midi de ce jour-là... départ du château...
le parc est toujours aussi beau...
j'aimerais bien pouvoir m'y promener...
derrière le château, des boeufs sont encore dans la pâture ...
les pommes de terre ont été ramassées, cette parcelle sera bientôt retournée pour préparer la prochaine culture...
Nous nous éloignons du village...
le temps est très changeant, tantôt soleil... tantôt gris...
On sent que l'automne est là, l'humidité est présente partout...
le village de Bambecque est niché en contrebas...
cette ferme est construite sur un monticule et est entourée d'eau...
le ciel s'assombrit mais c'est beau quand même ! ...
nous nous rapprochons du village, c'est l'époque des choux de Bruxelles...
le soir arrive vite...
rentre vite petite coccinelle il va commencer à faire froid ! ...
et voilà la boucle est bouclée, nous avons bien marché ! ...
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"Facteur de masques lillois, Francis Debeyre travaille une palette infinie de formes et des matières : cuir, peau, fourrure, tissu peint ou brodé, le grillage encrassé... son travail pour la scène confronte les exigences artistiques qu'un spectacle nécessite et ses désirs de création"...
maquette d'une transformation de visage humain et d'une tête de sanglier pour la créaction d'un masque.. Nous faisons d'abord un premier tour "naïf" sans commentaires pour découvrir et imaginer... le deuxième tour nous l'avons fait avec la guide...
Tout d'abord le "Chat Huant"... tous les masques sont en cuir recouvert ensuite d'autres matières. La plupart de ces masques ont été portés pendant des spectacles.
Les masques sont conçus pour "comme de bonnes chaussures, oublier qu'on les porte" ... celui-ci représente la justice avec sa balance...
la luxure...
les yeux sont en coquillage percé, le nez peut avoir une coquille d'huître comme support de dessous.
la fente des yeux pour le comédien, dans le masque, n'est pas toujours à l'endroit des yeux ! ... la particularité de ce groupes de personnages réside dans la bouche qui a la même forme pour tous...
les 4 saisons...
Pinnochio...
terminons par celui-ci qui n'a pas été utilisé en spectacle...
un univers particulier... un monde étrange... une exposition pas comme les autres... |
aujourd'hui marche autour du lac d'Armbouts-Cappel (28 ha)...
ce lac artificiel a été construit en 1967 suite aux travaux de l'autoroute qui passe tout à côté... nous sommes en milieu de matinée mais le jour tarde à se lever... l'automne colore les arbres et le chemin est encore humide...
quelques fleurs nous offrent encore leur joli ton rosé...
sous la bonne garde de "Caramel" douce chienne cocker nous faisons le tour du lac...
le lac est aussi une réserve ornithologique où il est interdit de donner à manger aux animaux...
se mèlent canards et oies de passage...
pas trop le temps de faire de belles photos de ces voyageuses... j'essaierai de revenir !...
notre passage poussent les canards a se retrouver sur l'eau...
Ils sont vraiment très beaux !...
j'aurais bien fait un deuxième tour et je ne pense pas être la seule...
une jolie balade ! |
Pour 4 tartelettes :
1 pâte feuilletée tout prête 1 petite boîte d'épinards branches 2 petits chèvres à cuire au four poivre, sel moules à tartelettes Faites chauffer le four à 180 ° Bien égouttez les épinards. marquez dans la pâte feuilletée la forme de vos tartelettes, puis découpez la pâte autour en ajoutant 1 cm... découpez le papier sulfurisé à la même grandeur. déposez le papier sulfurisé puis la pâte dans les moules. Garnissez d'épinards, salez, poivrez. coupez dans la hauteur les petits chèvres et placez les ronds au centre. faites cuire 25 à 30 minutes suivant les fours. tout simple, tout chaud, pour un soir c'était parfait ! avec les découpes de pâte, j'ai fait des "allumettes" aux graines de sésame...
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En ce moment, il y a Marie-Claude (qui a des problèmes d'internet son blog (ici !) et Martine qui nous revient (son blog ici !) qui a vu sa vie bouleversée comme déjà d'autres copinautes et il y a d'autres copinautes qui tiennent bon malgré les très violents orages.... tenez bon les copinautes... l'amitié c'est ça aussi !!!
(photo du net) |
une coque de marron ? oui sans doute mais moi j'y ai vu un bébé hérisson en boule... deux petits yeux, le nez ... enfin c'est mon âme d'enfant qui interprète !!!
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reprenons notre parcours découverte des villas malouines commencé ici !
La villa "La Potinière" : "Hôtel élevé à la fin du XIXème siècle, il appartenait à la famille Marchand, des huileries Marchand. Il est d'inspiration classique, caractérisé par ses pilastres et colonnes doriques et corinthiennes et par sa très haute balustrade. Il possède un faux toit en terrasse sur lequel a été rajouté un étage supplémentaire." pourquoi Potinière ? La mode était aux bains-de-mer et les belles de l'époque, entre les recontres à la plage et au restaurant, s'échangeaient tous les potins mondains... "Sur le côté gauche, une porte cochère assez monumentale permettait l'entrée des voitures à chevaux"
Entre nous... il paraît que dans une villa de Malo, quelqu'un de très très célèbre a fait construire aussi une grande porte cochère... pour que sa maîtresse puisse venir le retrouver en toute discrétion... mais chut !!!! ce sont les "on-dits" ! "La digue-promenade fut construite pour permettre aux dames de montrer leurs robes, fin XIXème, début XXème siècle." la "Villa des flots" "Une des premières villas construite à Malo au XIXème siècle. Elle fut construite en 1883, cette résidence est attribuée à Charles Garnier, architecte de l'Opéra de Paris, sans qu'aucun document ne confirme cette hypothèse. Elle a été construite pour Francisque Sarcey, journaliste, écrivain parisien et ami de Gaspard Malo. A l'abri des regards, ses jardins entourent la villa. Le mur côté mer a été construit avant la Seconde Guerre Mondiale pour soutenir la dune sur laquelle se dresse cette jolie demeure."
"Gaspard Malo est à l'origine de la création de la commune de Malo-les-Bains". la "Villa Saint-Paul" : "Elle est l'oeuvre des architectes Baert et Boidin (1891-1892). "un terrain sablonneux" fût acheté en 1890 par un riche négociant de Roubaix... Les étages de la villa Saint-Paul s'élèvent en retrait, permettant ainsi de ménager une terrasse devant la mer, sur la première travée du sous-bassement".
"La superposition des terrasses permettait un meilleur ensoleillement de la digue promenade"...
la Villa "Mon Plaisir" : "Construite pour un industriel du textile, la villa "Mon Plaisir" fût édifiée dans un style néo-flamand fin XIXème siècle début XXème siècle. Ses formes sont assez symétriques, remarquez le pignon de façade dit en "pas de moineaux". La brique rouge est dominante et nuancée par de la pierre ou des briques allant des couleurs jaune au gris."
La "villa des sourires" : "Trois bâtisses indépendantes forment la "Villa des Sourires".
L'architecture rappelle les voyages, la toiture ressemble aux chalets de montagne, le bulbe de la tourelle d'angle évoque le style mauresque."
"La tourelle devient un point de repère dans le paysage urbain et balnéaire". La "Villa Quo Vadis" (cette photo-ci est issue du net) : "Oeuvre de Jules Potier, architecte municipal de Malo-les-Bains, la villa "Quo Vadis" fut construite en 1894 et 1905. Cette villa s'inscrit dans le courant Art Nouveau qui vise à mettre en relief la valeur ornementale de la ligne courbe, qu'elle soit d'origine végétale, florale ou géométrique.
Les tons utilisés, le vert notamment, sont typiques. Depuis sa construction, la maison a perdu certains éléments de décor, on lui a ajouté un étage de combles. Le bois, matériau de construction des premiers chalets, contribue à la spécificité des villas malouines. L'architecture de villégiature recherchera la fantaisie et le pittoresque". "La fréquence et la concentration d'ouvertures tels que balcons, logettes, belvédères et bow-windows sont exceptionnelles dans la rue du Maréchal Foch".
"la charmante villa du numéro 17 est parée de briques rouges et de pierres. L'art Nouveau est présent par le jeu des courbures et par les représentations de feuilles qui parcourent la façade"... Cette maison a conservé son intégrité de l'époque et a été magnifiquement restaurée. On peut apercevoir à travers la baie vitrée, le magnifique vitrail Art Déco qui donne accès à la verrière.
"L'illusion parfaite. Semblables, vous avez dit semblables ? regardez bien les numéros 19 et 21 !. Ces deux maisons donnent l'illusion par quelques artifices, d'une seule et même imposante villa : les portes d'entrée sont traitées en porche unique. Les balcons en fonte moulée sont ouverts, ils se superposent et rétrécissent au fur et à mesure que vous levez la tête vers le ciel. Remarquez la continuité des matériaux et l'élément décoratif central."
Elles ont appartenu à deux frères et la "petite histoire" dit que dans la rue parallèle, juste de l'autre côté, vivaient deux soeurs... une bien jolie histoire... Les maisons des deux soeurs n'existent plus, elles ont été détruites. les rues qui mènent à la mer sont étroites... il fallait donc un point de vue en hauteur...
"Construite au dessus du bâti, la tourelle permet, à l'abri de tous les regards, d'avoir une vue sur la mer"...
la "Villa Cécile" : "Villa datant de 1897, de l'architecte Jules Potier construite pour devenir sa résidence personnelle. Elle est d'un style pittoresque éclectique. On remarque les jeux de briques colorées : ce sont des briques silico-calcaires. Cette villa présente les caractéristiques typiques de la villa balnéaire : Bow-window au premier étage, pignon factice de façade élevé au niveau de la toiture, jeux de couleurs à l'aide d'une alternance de briques jaunes et de briques rouges, utilisation de briques vernissées émaillées. Les ornements proviennent de la Maison Caillot. On remarque un jeu décoratif avec l'évocation de coquillages en frises sous la corniche."...
Nous arrivons sur la place Turenne, cette maison n'est pas classée aux Monuments historiques parce qu'elle est copiée sur une maison de Nancy !!!
"Jules Potier a construit une charmante petite maison qui nous est parvenue dans un bien meilleur état. Si les briques utilisées n’avaient pas cette couleur soutenue qui signale bien les édifices du nord de la France, on pourrait facilement se croire dans une rue de Nancy. Potier a certainement connu, par la presse de l’époque, les constructions d’Emile André, dont les fenêtres ont parfois cette forme de cœur qu’on voit ici au rez-de-chaussée. A l’architecture nancéienne, Potier emprunta aussi le pignon néo-gothique, beaucoup plus rare dans la région des Flandres." Je vous ai gardé la plus belle pour la fin bien sûr !!!!
la "Villa Ringot" (inscrite aux Monuments Historiques) : "La villa Ringot date de 1910. Du sculpteur Maurice Ringot, cette villa appartient plus au domaine de l'art décoratif qu'à celui de l'architecture. La façade est une sculpture en ciment simili-pierre." son balcon est tout en dentelle...
sa façade entièrement sculptée d'arabesques...
et regardez-bien... la partie gauche représente la nuit "un hibou, un visage de femme endormie, des fleurs fermées."...
la partie droite représente le jour : "un coq, un visage de femme éveillée, des fleurs ouvertes"...
de quoi rêver non ? Nous n'avons pas fait tout le parcours, beaucoup d'autres villas, peut être moins célèbres méritent que l'on s'y attarde... ce sera pour une prochaine fois ... |