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nous vous souhaitons bonne lecture...
au plaisir de vous lire,
on
vous encourage à commenter notre blog une fois la visite terminée.
Séve&Coco au plaisir
 (^_^)
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Il y a longtemps, très longtemps, l'archi-druide de Cornouaille en eut assez de la méchanceté des hommes. Il décida de quitter la région et de descendre sous la terre jusqu'à la terre des fées. Aussitôt dit, aussitôt fait... Il s’en alla.

Un grand malheur s’abattit sur la nature ; toutes les fleurs, celles des bois, celles des landes, celles des collines, celles des bords de mer, celles du long des rivières et celles de lacs moururent instantanément. Il n’y en eu pas une seule qui survécut. Le pays, jadis si beau et si fleuri devint rapidement un désert. Tous les animaux, les oiseaux, les papillons, les insectes s’enfuirent après la mort des fleurs. Pour voir les fleurs, les habitants ne pouvaient utiliser que leur imagination. Mais les enfants, qui n’avaient jamais connu ces merveilles, ne voulaient pas croire les anciens.
– Vous ne racontez que des histoires, leur disaient-ils et ils s’en allaient tristes dans le décor triste d’une Cornouaille bretonne sans fleurs.
Parmi tous ces enfants, il en était un qui ne pouvait imaginer que tout eut disparu pour toujours. Lorsque sa mère, lassée de raconter l’ancien temps, se taisait, il réclamait encore et encore d’autres histoires car il aimait entendre parler de la beauté des fleurs.
Il pensait que lorsqu’il serait un homme, il partirait à la recherche du grand sorcier et lui demanderait de redonner de la couleur au pays.
Les années passèrent.
Un jour, il fut grand. Son amour des fleurs avait grandi avec lui. Il s’en alla donc trouver sa mère et lui dit :
– Mère, je vais m’en aller à la recherche de l'archi-druide et lui demander de nous rendre les fleurs.
Sa mère le regarda avec des yeux remplis d’effroi.
- Mais fils ! s'écria-t-elle, tout ce que je t'ai raconté n'était que des histoires. Il ne faut jamais croire aux histoires. Je te disais ce que ma mère me racontait parce qu'elle l’avait entendu raconter par sa mère qui le tenait de sa mère. Malheur à toi ! Les fleurs n'ont probablement jamais existé. Tu aurais beau marcher mille ans sous la terre, jamais tu ne trouverais l'archi-druide qui est parti au royaume des fées.
Mais le fils ne l’écouta même pas, il prit son baluchon et s’en alla. Les gens du pays qui le voyaient passer se moquaient de lui :
– Ce garçon est fou ! disaient-ils. Il n’y a que les fous qui croient aux histoires.
Le jeune homme se dirigea vers l'ouest. Il marcha longtemps, longtemps, longtemps et arriva devant un gouffre , si profond, si profond que le fond en était invisible.
Il tourna autour du trou, mais ne vit aucun sentier, seulement de la roche et des cailloux. Il tourna encore et encore. Las de tourner, il se dit :
– Il faudra bien que je découvre un chemin. L'archi-druide a dû le prendre pour atteindre le fond du gouffre.
Il inspecta avec attention les rochers et finit par découvrir une petite marche. En regardant de plus près, il aperçut une autre petite marche et puis encore une autre. Lorsqu’il baissa les yeux vers le fond du gouffre, il aperçut un escalier et il se mit à descendre et à descendre encore.
A la fin du premier jour, il s’arrêta sur une terrasse. Le fond du gouffre n'était pas visible et la lumière du soleil ne parvenait plus jusqu'à lui, alors il alluma la première des sept torches qu'il avait emmenées. Il en fit de même le deuxième, puis le troisième, puis le quatrième puis le cinquième puis le sixième jour. Il commençait à se décourager quand, au soir du septième jour, il aperçut enfin le fond. A force de courage et malgré la fatigue accumulée depuis sept jours, il parvint à l’atteindre. Arrivé tout en bas, il aperçut une source. Il se pencha pour y boire un peu d'eau. Au premier contact de l’eau sur ses lèvres, toute sa fatigue s’évapora. Il se sentit fort et heureux comme jamais dans sa vie. Tout à coup, derrière lui, il entendit une voix qui lui demanda ce qu'il était venu chercher dans le plus profond des gouffres de la terre.
– Je suis venu, dit-il, pour rencontrer l'archi-druide et lui demander de nous rendre des fleurs et des insectes. Mon pays, la Cornouaille bretonne, sans fleurs, sans oiseaux et sans abeilles, est triste à mourir. Seule le beauté peut rendre les gens bons et je suis certain que les gens de mon pays cesseraient d'être méchants, si l'archi-druide leur redonnait les fleurs.
Alors, le jeune homme se sentit soulevé par un vent venu de nulle part. Il fut transporté délicatement vers le pays des fleurs éternelles. Le vent le déposa sur le sol au milieu d'un tapis de fleurs multicolores. Le jeune homme ne pouvait en croire ses yeux. Il y en avait tant et jamais il n'avait imaginé que les fleurs puissent être aussi belles ! Dans l’air, un délicieux parfum flottait et une lumière solaire dansait sur le sol multicolore comme des milliers et des milliers d'arcs-en-ciel. La joie du jeune homme fut si grande, qu'il se mit à pleurer.
La voix lui dit de cueillir les fleurs qu'il préférait. Il s’exécuta et en cueillit de toutes les couleurs. Quand il en eut plein les chargés, le vent le reconduisit doucement au fond du gouffre.
Alors, la voix lui dit :
- Rapporte ces fleurs dans ton pays. Désormais, grâce à ta foi et à ton courage, la Cornouaille ne sera plus jamais sans fleurs. Même en hiver les genêts de la lande resteront fleuris. Il y en aura pour toutes les régions. Les vents du nord, de l'est, du sud et de l'ouest leur apporteront la pluie qui sera leur nourriture, et les abeilles vous donneront le miel qu'elles cherchent dans les fleurs.
Le jeune homme remercia et commença aussitôt à remonter vers le soleil. Quand il revint chez lui, les habitants, en apercevant les fleurs et en respirant leur parfum, ne voulurent pas croire à leur bonheur. Puis, quand ils surent qu'ils ne rêvaient pas, ils dirent :
– Ah ! nous savions bien que les fleurs existaient et que ce n'étaient pas des histoires inventées par nos ancêtres.
Et la Cornouaille redevint fleurie. Sur les collines, dans les vallées, près des rivières, des lacs et de la mer, dans les bois, dans les landes et dans toutes les prairies, les fleurs crûrent et se multiplièrent. Tantôt c'était le vent du nord qui amenait la pluie, tantôt le vent du sud, de l'est ou de l'ouest.
Les oiseaux revinrent, ainsi que les papillons et tous les insectes, et surtout les abeilles. Désormais, les gens purent manger du miel, et la joie revint sur la terre.
Quand les hommes virent la Cornouaille transformée grâce au jeune homme qui avait osé ce que personne n'avait cru possible, ils lui demandèrent d'être leur roi. II accepta et il devint un roi bon, courageux et intelligent.
- Rappelons-nous, disait-il, que c'était la méchanceté des hommes qui avait entraîné la disparition des fleurs de notre pays.
Et, comme personne ne voulait recommencer à habiter un désert et à être privé de miel, chacun s'efforça désormais d'être aussi bon que possible, espérant toujours et encore aujourd'hui, le retour de l'archi-druide.

Quand vous vous réveillerez
hier ira de l'avant
et demain sera aujourd'hui
d'ici-là bonne nuit les ami-e-s et la Family !




Chaque personne qui se trouve actuellement dans votre vie est exactement au bon moment pour une raison exacte et précise.
Elle vous permet de comprendre et d'apprendre quelque chose sur vous que vous devez appliquer, peut-être le courage, le discernement, la confiance, le détachement, la non-possession, l'acceptation de la différence, le lâcher-prise, savoir respecter votre espace, savoir dire non, savoir dire oui, savoir ouvrir votre coeur, pardonner, écouter, aimer sans posséder, donner sans attente, apprendre à recevoir.
Quoi qu'il en soit, même pour un instant, vous pouvez être certain qu'il y a une raison pour votre cheminement intérieur que cette personne soit là. Elle est tout simplement une bénédiction pour vous.
Il n'y a pas de hasard que des rendez-vous....




Ne retourne pas vers le passé,
dés qu'il y a l'avenir qui t'appelle,
tu sais la vie, c'est avancer,
en faisant cela, elle se veut belle,
Efface un a un tes regrets,
et retourne vivre l'aventure,
il n'y a rien qui soit parfait,
mais rien qui ne soit que déchirures,
Regarde comme devant il fait beau,
après la nuit vient le soleil,
fais le pas, ouvre les rideaux,
et ressens toutes ces merveilles,
Offre aux passants ton beau sourire,
mets dans ta voix un peu de joie,
on peut exister sans souffrir,
ce n'est souvent qu'une question de choix ,
Il y a l'amour qui se promène,
ne te perds pas dans tes absences,
mets fin aux tristes mises en scène,
donne à ton cœur une autre chance,
Savoure la vie autour de toi,
elle s'installera au creux de l'âme,
ose sortir du trop étroit,
et se rallumera ta flamme.
Douce soirée et plein de Love 

❤🧡💛💚💙💜😘💜💙💚💛🧡❤




La plupart des parents ne s'inquiètent que de la culture d'une connaissance superficielle qui garantira à leurs enfants des positions respectables dans une société corrompue.
L’éducation, ce n'est pas seulement passer des examens, avoir un diplôme et un travail, se marier et s'installer, mais c’est aussi être capable d'écouter les oiseaux, de voir le ciel, de voir l'extraordinaire beauté d'un arbre, et la forme des collines et se sentir avec elles, être vraiment, directement en contact avec elles.
En vieillissant, ce sens de l'écoute, disparaît malheureusement parce que vous avez des soucis, vous voulez plus d'argent, une meilleure voiture, plus d'enfants ou moins d'enfants. Tu deviens jaloux, ambitieux, cupide, jaloux ; ainsi tu perds le sens de la beauté de la terre.
L’éducation au vrai sens, c'est aider l'individu à être mature et libre, à fleurir grandement dans l'amour et la bonté. C’est ce qui devrait nous intéresser et non pas à façonner l'enfant selon un modèle idéaliste.

 




Mon carré fraisy

 03/07/2021

pour 4 pers

300g de fraises
1/2 citron pressé
100g de fromage blanc
3c à c de sucre
8g de gélatine alimentaire,

 

Faire fondre ou incorporer le sucre dans le jus de citron

faire fondre la gélatine dans un petit peu d'eau tiède
laisser refroidir & mélanger aux fraises, puis au jus de citron sucré,
fouettez comme pour monter des blancs en neige
quand l'appareil est à demi pris, incorporer le fromage blanc en mélangeant avec une cuillére en bois
verser dans un moule à charlotte humide
mettre au réfrigérateur pendant 3h,
pour démouler,entourer le moule d'une serviette chaude

on peu garder quelques
fraises pour la garniture.
ou bien
une feuille de menthe,
des copeaux de chocolat noir
ou un couli de fraise Mmm + lovely for me 😉




À fleur de mot

 02/07/2021

J'aime les personnes qui savent comment être là, sans si et sans mais.
Celles qui savent toujours trouver le moyen, la bonne façon, pour vous faire comprendre que dans leur vie vous êtes important.

Parfois il suffit de peu, un message, une caresse, un regard ou un sourire, ce peu qui vaut vraiment tant.

J'adore ces personnes qui vous demandent " comment vas-tu ?", et vous les regardez, et vous savez que vous ne pouvez pas mentir parce qu’elles savent vraiment ce que vous ressentez.

Et alors, comme une rivière en crue vous commencez à raconter tout ce que vous avez à l'intérieur, ce qui vous vient de l'estomac et elles sont là devant vous et vous écoutent.

J'aime les personnes qui ne s'arrêtent pas devant les apparences, celles qui creusent en vous, celles qui n’abandonnent jamais.

J'adore ces personnes qui cultivent leurs relations, jour après jour. Ces personnes qui ne sont pas de convenance, mais qui acceptent tout simplement de se sentir bien.

J'aime les personnes loyales, sincères, celles qui ne disparaissent pas, celles qui vous expliquent leurs problèmes, qui choisissent de se faire aider, pas par n'importe qui, mais par vous.

J'aime les personnes qui font les faits, parce qu'avec les mots tout le monde peut être bon.

J'adore les amis, ceux présents, ceux qui malgré leur mauvais caractère ne vous abandonnent pas, ceux qui vous choisissent et vous tiennent la main, toujours.

J'adore les personnes qui savent comment être là.




À l'école

 01/07/2021

À l'école, ils ne t'ont pas parlé
De la lune et de ses phases,
De la terre et de ses cycles,

Ils ne t'ont pas parlé de la mort
En tant que naissance,
Ils ne t'ont pas parlé de sexualité
Comme sacrée,

Ils ne t'ont pas parlé du corps
En tant que temple émotionnel.
Ils t'ont dit de t'adapter,
De t'intégrer,
Ils t'ont dit de t'asseoir
Toujours au même endroit,
Ils t'ont dit de te taire
Et d’écouter leur seul point de vue,
D’étudier jusqu'à ce que tu t’écoeures.
De sortir une feuille,
Comme une menace !

A l’école,
Personne n'a jamais évoqué
Le pouvoir de la nature,
Personne n'a jamais expliqué
La puissance de tes pensées,
Personne n’a jamais partagé
Ton lien avec l’Univers.

Avec cette méthode qui nous veut tous pareils,
Nous sommes des loups baptisés des chiens.
Moi,
Je veux pouvoir hurler à la lune.
Sans qu'on me dise fou
Je veux embrasser les arbres
Sans qu’on me dise farfelu
Je veux pouvoir soigner mon Être
Sans qu’on me dise bizarre.
Je n’ai personne à convaincre
Je veux juste partager, transmettre
Et donner.

Je t’offre mon humble connaissance,
Je t'offre ma joie,
Je t’offre mon Amour.
Reste Libre et créatif
Même si ça dérange, reste TOI !

Une poètesse consciente 😉




C’est l’un des châteaux les plus récents de nos visites (fin de construction: 1907), il est situé dans le Finistère: le château de Trévarez.

C’est James de Kerjégu (président du Conseil Général du Finistère) qui fit construire ce spectaculaire château – l’une des dernières folies architecturales du début du XXème siècle – pour recevoir ses invités prestigieux et relations mondaines. De somptueuses fêtes y seront organisées auxquelles les grands de France et du monde participeront.

Afin d’avoir en permanence des produits frais, il créa une grande serre dans laquelle il faisait pousser toute sorte de fruits et légumes.

A contre courant, de Kerjégu va y faire installer tous les équipements modernes de l’époque : ascenseur, chauffage central, électricité, eau courante, … même pour les domestiques (extrêmement rare!).

Avant la seconde guerre mondiale, il y avait jusqu’à 80 employés en permanence dans le château.

Pendant celle-ci, Trévarez est occupé par les forces d’occupations allemandes et est bombardé en juin 1944 (l’histoire dira qu’il était inoccupé à ce moment-là). Il sera lourdement endommagé.

Le château restera dans cet état une bonne vingtaine d’années avant que le Conseil Départemental du Finistère le rachète puis le restaure, avant de finalement l’ouvrir au public.

Alliant différents styles (néo-gothique, victorien et plusieurs éléments de décors bretons), le château de Trévarez est aujourd’hui l’un des sites touristiques majeurs du Finistère.

Il est classé Monument Historique et possède notamment le label Jardin Remarquable.




Ce qui brise le cœur d’une mère, c’est de constater à quel point le monde dans lequel nous vivons peut être dangereux et cruel puis de se rappeler que c’est dans ce même monde que son enfant grandira, tantôt à ses côtés, tantôt seul, laissé à lui-même.

Ce qui brise le cœur d’une mère, c’est prendre son enfant malade dans ses bras. C’est regarder ses petits yeux vitreux privés de l’énergie qui ne les habite plus. C’est lui caresser les cheveux et embrasser son front en priant pour qu’il aille mieux demain.

Ce qui brise le cœur d’une mère, c’est voir son enfant faire son entrée à l’école en réalisant que les cinq dernières années sont passées à une vitesse folle. C’est pleurer de fierté et de nostalgie à la fois. C’est peu à peu réaliser que son rôle ne sera pas de tenir la main de son petit à tout jamais.

Ce qui brise le cœur d’une mère, c’est voir son petit rejeté. C’est être témoin d’un jeu qui finit mal et duquel il est exclu. C’est entendre un autre enfant lui dire qu’il n’est pas le bienvenu. C’est lui expliquer qu’on ne peut pas être aimé de tous alors qu’il croyait encore que l’amour était partout, tout le temps.

Ce qui brise le cœur d’une mère, c’est voir son enfant échouer alors qu’il avait mis tant d’efforts pour parvenir à ses fins. C’est l’aider à se relever en lui disant que même si les efforts paient, parfois, on n’y parvient pas et cela fait partie de la vie. C’est lui apprendre qu’il ne peut pas être bon dans tout ce qu’il entreprend alors qu’on n’a pas cessé de lui répéter le contraire depuis sa naissance.

Ce qui brise le cœur d’une mère, c’est la première fois que son enfant refuse son câlin parce qu’il a grandi et qu’il n’a plus besoin des bras de sa maman. C’est ce moment où elle cesse de le border. C’est cet instant où il ne l’embrasse plus avant de partir.

Ce qui brise le cœur d’une mère, c’est de constater à quel point le monde dans lequel nous vivons peut être dangereux et cruel puis de se rappeler que c’est dans ce même monde que son enfant grandira, tantôt à ses côtés, tantôt seul, laissé à lui-même.

Ce qui brise le cœur d’une mère, c’est de réaliser que son enfant a grandi et n’aura plus jamais besoin d’elle de la même façon mais qu’elle aura toujours besoin de lui.




-Quand nous disons
"Je te souhaite assez"
nous souhaitons que l'autre personne ait une vie remplie de juste assez de bonnes choses pour les garder heureux.
Alors, se tournant vers toi,
je partage ce texte.

Je te souhaite assez de soleil pour maintenir ton attitude lumineuse peu importe que la journée soit grise et moche.

Je te souhaite assez de pluie pour apprécier le soleil encore plus.

Je te souhaite assez de bonheur pour maintenir ton esprit vivant et éternel.

Je te souhaite assez de douleur de sorte que même la plus petite des joies dans la vie puisse te sembler grande.

Je te souhaite assez de gain pour satisfaire tes besoins.

Je te souhaite assez de perte pour apprécier tout ce que tu possèdes.

Je te souhaite assez d’Au revoir pour te permettre de bien te rendre à l’Au revoir final.

On dit que ça prend une minute pour trouver une personne spéciale,
une heure pour l’apprécier,
un jour pour l’aimer,
mais que ça prend une vie entière pour l’oublier❣️




Nous sommes envahit par la tristesse de vous annoncer que Notre chipie nous a quitté à presque 14 ans de fidélité, d'amour de tendresse😭😭😭
votre chipouye, ou bien votre détecteur de mouvement,ou encore votre copine, votre chip's....
Notre princesse nous manque et nous manquera 💞🐶💞
😘😘volants






mes petits plaisir

 29/05/2021

 
ce mantra pour ma taupine qui traverse des difficultés de santé compliqué...
🙏💗🧡💛💚💙💜🙏


Je suis forte parce que parfois je n’ai pas d’autre choix.
Je suis forte parce que la vie ne m’a pas laissé le choix.
Je suis forte parce que j’ai appris à survivre à la douleur.

Que malgré la tempête je cherche toujours le soleil.
Malgré les chutes, j’ai encore envie de danser.
Malgré les blessures, j’ai les yeux pleins d’émerveillement.

Je fais encore des vœux aux étoiles.
Je crois que les rêves sont des cerfs-volants à chasser..
Je cherche des arcs-en-ciel dans les flaques.
J’ai même serré les poings quand il fallait abandonner.
Je suis forte malgré mes faiblesses et toutes mes erreurs.

Parce que je ne peux pas abandonner, et pourtant je continue de rêver.
À lutter.
À voler.



Le petit-épeautre est la céréale tendance dans la cuisine vegan pour son côté très nourrissant et parce qu’elle convient aux intolérants au gluten.
Cette recette va sceller la nouvelle alliance entre Salomé et Kelly et révéler une fois de plus les talents gastronomiques de la fille de Laëtitia. On s’en lèche d’avance les babines !

pour 4 pers, prépa 30 mns, cuisson 30 mns.

 320g de petit-épeautre
• 1 échalote
• 8cl de vin blanc
• 70 cl de bouillon de légumes
• Huile d’olive
• 20 cl de lait de coco
• 4 courgettes zephyr
• 1/2 botte de mélisse
• Un quartier de citron confit
• ½ botte de persil plat
• 5-6 câpres
• ½ gousse d’ail rose dégermée
• 1 citron jaune
• Huile d’olive extra vierge

  1. Rincer le petit-épeautre à l’eau froide puis l’égoutter.
  2. Ciseler l’échalote et faire suer l’huile d’olive dans une casserole puis ajouter le petit-épeautre pour le nacrer. Déglacer au vin blanc et faire réduire. Assaisonner puis ajouter le bouillon en deux fois jusqu’à totale absorption. Réserver à couvert.
  3. Laver les courgettes et les tailler finement à la mandoline dans la longueur sur 2mm d’épaisseur. Faire chauffer une poêle, ajouter de l’huile d’olive et faire sauter vivement les courgettes assaisonnées. Réserver dans un cul de poule (Il faut qu’elles soient encore bien croquantes).
  4. Ciseler finement la mélisse. Tailler en fine brunoise le citron confit et ajouter l’ensemble aux tagliatelles de courgettes. Rectifier l’assaisonnement.
  5. Sauce salsa verde : Laver le persil plat puis l’effeuiller. Dans un blender, déposer le persil plat, l’ail, les câpres, la moitié du zeste du citron jaune et le jus entier du citron. Mixer l’ensemble puis ajouter l’huile d’olive pour obtenir la texture d’un pesto. Rectifier l’assaisonnement. Cette sauce est le condiment dans cette recette. Elle relève le plat par son acidité, par sa fraicheur et son goût herbacé.
  6. Finition du risotto : Lier le petit épeautre avec le lait de coco. Il faut qu’il soit bien crémeux.
  7. Déposer le risotto au fond de l’assiette. Disposer au-dessus en forme de fleur les tagliatelles de courgettes. Ajouter la sauce salsa verde en formant un cordon sur toute l’assiette.
  8. Bonus : Au moment du dressage, vous pouvez ajouter des fleurs de ciboulette et même une fleur de courgette en tempura. 
  9. et ici tout commence !



Aujourd’hui, on se lance à nouveau dans le vegan avec la cheffe Olivia ! Au menu : une aubergine confite avec sa viennoise aux agrumes, son quinoa au cumin et sa crème ail sésame cajou. Voilà de quoi amener de la générosité et de la variété dans votre assiette, comme dans celle de Salomé la meilleure élève quand il s’agit de cuisine végétale.


pour 4 pers, prépa 40 mns,cuisson 80 mns. 


  • 2 grosses aubergines
  • Zaatar PM

Viennoise:

  • 100 g Beurre végétal
  • 50 g poudre d’amande
  • 50 g chapelure de pain toasté
  • 2 g sel fin
  • ½ zeste de citron jaune
  • ½ zeste d’orange
  • 1 pincée de piment d’espelette
  • 150g de quinoa rouge bio
  • ½ oignon
  • 250g d’eau
  • 4 g de sel fin
  • Cumin PM
  • Crème fraîche vegan:
  • 150g noix de cajou nature
  • 100g d’eau
  • 50 g de jus de citron jaune frais
  • 50 g de vinaigre de cidre
  • 10g de Tahini bio (pâte de sésame)
  • ½ gousse d’ail
  • Sel/poivre/piment d’espelette

Salade d’herbes:

  • 1 botte de Cerfeuil
  • ½ botte de menthe fraîche
  • ½ botte d’aneth
  1. Laver puis tailler l’aubergine en deux dans le sens de la longueur (garder le pédoncule pour l’esthétique)
  2. À l’aide d’une couteau d’office, faire un quadrillage de 1cm sur toute la chair de l’aubergine (attention à ne pas passer à travers la peau).
  3. Saler/poivrer et saupoudrer de Zaatar. Laisser dégorger  30 min
  4. Égoutter l’excédent d’eau de l’aubergine.
  5. Dans une poêle, colorer à l’huile d’olive la chair de l’aubergine pour avoir une belle coloration puis débarrasser dans un plat et finir la cuisson au four à 180 degrés pendant 30 min (vérifiez la cuisson, il faut qu’elle soit très fondante, sinon poursuivez la cuisson) puis sortir et couvrir pour éviter qu’elle ne sèche.

Viennoise aux agrumes:

  1. Rendre le beurre végétale pommade.
  2. Ajouter la chapelure, la poudre d’amande, le sel et les zestes d’agrume
  3. À la spatule, mélanger le tout pour que ce soit bien homogène.
  4. Coucher l’appareil entre deux papiers sulfurisés, à l’aide d’un rouleau à pâtisserie, et en respectant une épaisseur de 3mm.
  5. Faire prendre au congélateur pour que la viennoise soit bien dure. Et ainsi pouvoir la tailler à la forme de l’aubergine afin de recouvrir entièrement le côté chair.

La crème fraîche vegan aux noix de cajou:

  1. Faire tremper une nuit dans l’eau les noix de cajou.
  2. Les égoutter et les passer au mixeur avec le jus de citron, le vinaigre de cidre, la gousse d’ail dégermé, le tahini et l’assaisonnement.
  3. Mixer jusqu’à ce que le mélange soit bien lisse, rectifier l’assaisonnement.
  4. Cuire le quinoa façon pilaf:
  5. Ciseler l’oignon et faire suer avec de l’huile d’olive, puis ajouter le cumin
  6. Ajouter le quinoa et le sel, faire revenir l’ensemble 1 min puis mouiller avec l’eau et laisser cuire à couvert.
  7. Mélanger de temps en temps
  8. Lorsque l’eau est absorbée, décaler hors du feu à couvert pendant 15 min pour finir la cuisson.

Réaliser la salade d’herbe:

  1. Laver et bien sécher les herbes.
  2. Ciseler finement l’aneth et la menthe
  3. Effeuiller en petit bouquet le cerfeuil
  4. Mélanger le tout et lier avec un peu d’huile d’olive.
  5. Mettre le four en mode grill ou utiliser une salamandre.
  6. Placer 5 min les aubergines pour les faire gratiner avec la viennoise.
  7. Déposer l’aubergine au fond de l’assiette, puis parsemer de quinoa.
  8. Faire un beau nid de salade d’herbes sur l’aubergine et arroser de la crème à la noix de cajou.
  9. Le petit plus : ajouter quelques noix de cajou torréfiées sur l’ensemble, un zeste de citron jaune à la micro plane et une pincée de Zaatar
  10. .et ici tout commence !



Une recette trois étoiles qui épatera vos invités… à condition de mieux réussir votre homard bleu que Célia ! Pour cela, il faudra porter une attention toute particulière à la cuisson, vous devriez y arriver sans problème !


pour 1 pers,prépa 30 mns,cuisson 20 mns.


  • 1 homard bleu
  • 1 garniture aromatique taillée en mirepoix (échalote, carotte, cèleri, fenouil, ail)
  • Cognac (Pastis pour Jérémy)
  • 1 cuillère de concentré de tomate
  • 1 verre de vin blanc
  • Fond blanc ou fumet de poisson pour le mouillement
  • Vinaigre de Reims
  • 1 grosse pomme de terre
  • 100g de petit pois frais
  • Quelques pousses de Shiso pourpre
  1. Cuire le homard entier dans un bouillon (eau, un peu de vinaigre et de vin blanc, laurier, sel, poivre en grain, fenouil séché) 3min.
  2. Détacher les pinces et poursuivre la cuisson 2 min de plus. Stopper la cuisson dans de l’eau glacée pendant 1 min.
  3. Décortiquer le corps et les pinces du homard puis réserver.
  4. Concasser la tête et les carapaces pour faire la sauce. Attention de bien réserver le corail qui permettra de lier la sauce après cuisson. (Jérémy souligne l’importance du corail à Célia).
  5. Dans une cocotte en fonte avec du beurre et de l’huile d’olive (moitié, moitié) faire revenir vivement les carcasses puis ajouter la garniture aromatique. Insister sur la caramélisation. Ajouter le concentré de tomate et mélanger.
  6. Faire flamber au cognac (ou Pastis).
  7. Puis déglacer au vin blanc et mouiller à hauteur avec un fond blanc ou un fumet de poisson.
  8. Laisser cuire à couvert 30min

Pommes de terre fondantes :

  1. Eplucher la pomme de terre et tailler 5 tranches de 1cm dans la hauteur. Puis tailler à l’emporte-pièce de 5cm de diamètre.
  2. Faire colorer dans une sauteuse sur les deux faces, et assaisonner.
  3. Mouiller 1cm au-dessus de la hauteur avec la sauce américaine qui n’est pas réduite.
  4. Faire cuire a couvert en arrosant régulièrement avec la sauce. Il faut qu’elles soient bien fondantes et glacées avec la sauce qui aura réduite.
  5. Cuire 2 min à l’anglaise bien salée les petits pois. Glacer pour stopper la cuisson. Egoutter et réserver.

Finir la sauce :

  1. Passer au chinois étamine, en foulant le plus possible pour récupérer tout le jus.
  2. Faire réduire, jusqu’à ce qu’elle soit légèrement nappant.
  3. Ajouter le vinaigre de Reims (pour Jérémy)
  4. Ajouter le corail mixer dans la sauce pour finir la liaison. Gouter, et rectifier l’assaisonnement. Puis passer de nouveau au chinois étamine.
  5. Juste avant le dressage faire colorer au beurre le corps et les pinces du homard ainsi que les petits pois.
  6. Disposer les pommes de terre fondantes en cercle au fond de l’assiette.
  7. Déposer le corps du homard ainsi que les pinces en volume sur les pommes de terre.
  8. Ajouter les petits pois.
  9. Arroser généreusement de la sauce Américaine.
  10. Finir par les pousses de Shiso pourpre pour la décoration.
  11. Le dressage peut se faire aussi en ligne. D’un côté les pommes de terre et de l’autre le homard.
  12. Les pinces de chaque cotés et la sauce en cordon sur toute l’assiette.
  13. et ici tout commence !




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