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Blog créé le 06/12/2009

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0 complexe avec une pincée de créativité, un soupçon de fantaisie, quelques cuillères d'originalité...
des recettes à partager au fil des jours & aux grés des saisons.
Nous pouvons aborder tous les sujets qui vous tiennent à coeur, dialoguons ensemble partageons nos moments de vie en laissant vos coms, pour la plus grande joie de nos papilles & pupilles !
nous vous souhaitons bonne lecture...
au plaisir de vous lire,
on
vous encourage à commenter notre blog une fois la visite terminée.
Séve&Coco au plaisir
 (^_^)
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ce soufflé est très bon à l'orange également !

Pour 4 à 6 pers, prépa 20 mns, cuisson 9 mns.

4 gros citrons jaunes de Menton ou bio coupés au ¾ et évidés sans trouer le fond (vous pouvez utiliser la pulpe comme jus)

125g de lait entier
9g de fécule de maïs
13g + 60g de sucre
3g de zestes de citron jaune
10g de jus de citron jaune
2 jaunes d’œuf
3 blancs d’œuf
Sucre glace
Préchauffez le four à 180°C.
Dans une casserole, mélangez à froid le lait, la fécule de maïs, les 13g de sucre et les zestes de citron, mettez à chauffer et portez à ébullition, laissez cuire comme une crème pâtissière à feu doux pendant 2 à 3 minutes. Versez dans un saladier et déposez-le sur un second saladier rempli de glaçons. Mélangez pour que la préparation refroidisse. Ajoutez les jaunes d’œuf et le jus de citron.
avec le reste de la préparation vous pouvez le mettre dans des mugs et les faire cuire 3 à 4 mns.

Dans un second saladier, montez les blancs d’œuf, lorsqu’ils sont bien mousseux, ajoutez les 60g de sucre.
Mélangez avec la crème pâtissière. Versez dans les citrons en laissant ½ cm du bord, et faites cuire 7 minutes au four sur une plaque à pâtisserie.
Sortez les citrons, saupoudrez de sucre glace et servez de suite.

du chef Cyril Lignac !


excellente recette romaine !
Par contre le Pecorino doit bien être Romain (pecorino romano), sinon le goût est complètement différent !

Pour 4 pers, prépa 20 mns, cuissons 20 mns

320g de spaghettis
(voir un peu plus pour les grosses faims )

3 cuil. à soupe de poivre noir
70g de pecorino
70g de parmesan
Gros sel de cuisine
Plongez les spaghettis entières dans une eau bouillante salée pendant 6 minutes.
Concassez le poivre. Versez le poivre 2 à 3 c à soupe suffises, dans le wok et ajoutez 3 louches d’eau de cuisson des pâtes.
Au terme de la cuisson des pâtes, égouttez-les à la pince en gardant l’eau de cuisson de côté et déposez-les dans le wok avec le bouillon de poivre.
Continuez à cuire 5 minutes tout en mélangeant délicatement à feu doux.


Râpez le pecorino et le parmesan.
(ajoutez plus de fromage si vous avez plus de pâtes)

Ajoutez les fromages dans les pâtes tout en continuant à les cuire dans le wok.
Ajoutez-y de l’eau de cuisson si besoin et continuez à mélanger pour obtenir une cuisson baveuse et un effet de crème.

Déposez les pâtes dans des assiettes creuses à l’aide de la pince à pâtes et d’une louche pour faire un nid, ajoutez de la sauce crémeuse, un peu de poivre et parsemez de pecorino râpé.

du chef Cyril Ligniac !


  • Le choix de la pomme

    Dans cette recette, le choix de la pomme a son importance. Une pomme qui cuit bien, à la chair plutôt fondante, mais qui se tient… Nous avons choisi la reinette d’Armorique, qui présente un autre avantage, celui de bien se conserver. Dernier atout pour notre recette, son look à l’ancienne, aux couleurs variées, qui met tout de suite en appétit !

  • pour 4 pers, prépa 5 mns, cuisson 40 mns.

  • 4 pommes reienttes d'Armorique ou variété qui tient bien au four (reine des reinettes, ariane, elstar…)
  • 8gd ou 4 pt carembars ou bien un caramel au beurre salé tout fait, ou encore un caramel maison
  • Un peu de sucre en poudre
  • un peu de canelle
  1.  mettre les pics en bois à trempez
  2. Lavez les pommes. Coupez un chapeau, puis évidez les pommes à l'aide d'un couteau économe (sa lame arrondie facilite l'extraction du trognon). Attention à bien retirer l'enveloppe qui enferme les pépins, pas très agréable sous la dent.
  3. Dans chaque cavité, ajoutez 1 carembar pliés ou autre caramel au beurre salé ou encore du miel ou du sirop d'agave suivant votre habitude alimentaire .
     
  4.  Remettez le chapeau (si nécessaire, aidez-le à tenir à l'aide d'une pique de bois détrempé).
  5. soupoudrez de canelle
  6. Enfournez 40 minutes à 170°C.
    1.  Servir chaud mais pas brûlant.
    2. Les plus gourmands accompagneront les pommes d'une cuillerée de crème fraîche ou d'une quenelle de glace à la vanille.



Pour répondre à de nombreuses demandes à ce sujet:

le triskell est un symbole pré-celtique composé de trois spirales à l'origine commune dans un cercle.

Il est admis par les scientifiques que la spirale représente la course du soleil dans le ciel:
lorsque vous voulez dessiner la course du soleil dans le ciel sur une longue période (par exemple en plantant un bâton dans le sol et en marquant le bout de son ombre à différents moments de la journée), vous obtenez une succession d'arcs de cercle vers le haut ou vers le bas selon la période de l'année.

Les anciens croyaient que lorsque le soleil disparaissait à l'horizon, il allait sous la terre ou la mer, au pays des morts, avant de reparaître le lendemain matin dans celui des vivants. Il devenait alors logique pour eux de relier la fin d'un arc de cercle au début du suivant par un arc de cercle inversé. D'où le symbole de la spirale.
Puisque la spirale est le symbole connu de la course du soleil dans le ciel entre un équinoxe et un solstice soit pendant une période de trois mois.
3 spirales= 3 x 3 mois soient 9 mois.
9 mois dans un cercle c'est un symbole du principe de maternité, donc de la déesse-mère primordiale, pour les civilisations mégalithiques.
Le triskell est donc à l'origine une représentation symbolique de la déesse-mère pour les populations pré-celtiques.
Il deviendra plus tard assimilé à diverses trinités, celtiques puis chrétiennes.




Prépa 20 mns, cuisson 10 mns.


500g de farine blanche

300g de beurre froid, coupé en cubes

1/2 càc de sel

2 jaunes d'œufs

1 càs de vinaigre de cidre

70ml d'eau froide

200g Gruyère ou Emmental

100g de parmesan

1 càc de paprika

Avec l'aide du disque à râper fin du bol multifonction de votre robot, râpez les deux fromages et mettez-les de côté.

Ajoutez la farine, le beurre et le sel dans le bol de votre robot pâtissier équipé du batteur . Réglez le robot à basse vitesse et laissez le beurre être incorporé à la farine pendant environ 5 minutes ou jusqu'à ce que le contenu ressemble à une chapelure grossière.

Pendant que le robot mélange le beurre et la farine, mélangez les jaunes d'œufs, le vinaigre et l'eau dans un petit bol et mélangez les fromages dans un autre bol.

Lorsque le mélange dans la machine a atteint une texture de chapelure, versez doucement le mélange vinaigre-eau-oeuf, puis le paprika et un tiers du fromage. La pâte devrait rapidement s'assembler. Arrêtez la machine et retirez la pâte du bol.

Donnez à la pâte un léger pétrissage à la surface, puis étalez-la en formant un rectangle plat, puis enveloppez-la dans du film alimentaire ou du papier sulfurisé et placez-la au réfrigérateur pour la faire refroidir pendant 30 minutes.

Une fois la pâte refroidie, retirez-la du réfrigérateur et étalez-la en un long rectangle d'environ 30 cm de large sur 70 cm de long.

Étalez un peu de fromage sur le tiers central de la pâte, puis repliez le tiers inférieur pour recouvrir le fromage, puis étalez-le surplus de fromage et pliez le tiers supérieur.

Roulez à nouveau la pâte, aux mêmes dimensions qu'auparavant, et répétez les mêmes opérations de dispersion et de pliage, en terminant cette fois par une couche de fromage sur le dessus.

Roulez à nouveau la pâte, cette fois jusqu'à 25 cm de large et 40 cm de long, avec une épaisseur d'environ 1 cm. Placez dans le réfrigérateur et laissez refroidir pendant 15 minutes.

Préchauffez votre four à 175 ° C.

Sortez la pâte du réfrigérateur et coupez-la en fines lanières. Tournez les lanières et placez-les sur une plaque à pâtisserie tapissée de papier sulfurisé.

Faites cuire au four préchauffé pendant 10 minutes ou jusqu'à ce que les torsades soient croustillantes et dorées.





Pour 4 pers, prépa 35 mns, cuisson 40 mns.
Pâte feuilletée :

• 2 rouleaux de pâte feuilletée
• 1 œuf
• 1 jaune d’œuf
• 1 cuil. à soupe d’eau
Crème à l’amande :
• 100g de poudre d’amandes
• 12g de fécule de maïs ou de poudre à crème
• 80g de sucre glace
• 20g de lait d’amandes
• 80g de beurre à température ambiante
• 60g d’œuf
Sirop :
• 100g d’eau
• 100g de sucre
Préchauffez le four à 200°C.
Dans un saladier mélangez le sucre glace, la poudre d’amandes et la fécule de maïs. Dans un autre saladier, mélangez au batteur le beurre avec ce mélange de poudres. Ajoutez les œufs petit-à-petit, finissez avec le lait d’amandes. Réservez de côté.

Mélangez l’œuf, le jaune d’œuf et l’eau. Réservez au frais.
Versez dans une casserole le sucre et l’eau, portez à ébullition et réservez.
Détaillez 2 cercles de pâte feuilletée de 18 à 22 cm de diamètre.

Sur une plaque à pâtisserie, déposez une feuille de silicone (ou du papier sulfurisé), puis un disque de pâte feuilletée, étalez la crème d’amandes. Posez le deuxième disque de pâte et soudez les bords ensemble. Chiquetez les côtés de la galette à l’aide d’un petit couteau d’office. Avec un pinceau, dorez légèrement le dessus avec le mélange à base d’œufs( 1 oeuf + 1jaune). A l’aide du petit couteau, rayez joliment la galette.

Enfournez 40 minutes (15 mns à 200 degrés et puis baissez à 180 degrés 30 mns environs). Au terme de la cuisson, à l’aide de votre pinceau propre, étalez une fine pellicule de sirop puis rapé des petits zestes de citrons au dessus ou des clémentines.
Laissez refroidir. puis coupez avec un couteau à dents

avec le reste de pâtes:
vous pouvez faire des petites torsades avec un peu de fromage et du paprika par exemple...
Torsades fromage paprika......amuse bouche - chez seo and co (certiferme.com)
du chef Cyril Lignac !



Le roi Aquin

 06/01/2021

Peu de gens connaissent la légende du troisième roi du Menez-Hom, pourtant elle a donné naissance à un des premiers romans de langue romane au XIIIème siècle:

Aquin, roi viking, profita de la guerre de Charlemagne contre les saxons dans l’Allemagne actuelle pour envahir et occuper la Bretagne pendant une petite trentaine d’années.
Même si les érudits ne sont plus très sûrs de son existence réelle, sa lutte contre l’empereur à la barbe fleurie a été consignée dans une chanson de geste datant du douzième siècle: le roman d'Aquin.
À cette époque, les trouvères ne chantaient que les héros de la matière de France, c’est-à-dire les légendes tournant autour de Charlemagne et de ses preux, ou bien la vie des saints.
Ici pas de merveilleux ni de créatures bizarres ou féeriques. Pas d’allusion non plus aux légendes arthuriennes dont les rois d’Angleterre n’avaient pas encore fait la promotion pour justifier leur légitimité.
Aquin était un roi « Norrois », ce qui voulait dire viking, qui, par un effet de mode de l’époque et comme Méchant de l’histoire, ne pouvait qu’être Sarrazin et adorateur d’un dieu appelé Tervagant.
Charlemagne lui envoie des émissaires afin qu’il se convertisse et lui jure allégeance mais Aquin refuse. Il s’ensuit une série de batailles rangées où Francs et Bretons s’unissent pour repousser l’envahisseur Aquin et ses guerriers. Ce dernier doit abandonner Vannes où il avait fait construire une tour de guet. Il part si précipitamment qu’il en oublie un de ses petits-fils nouveau-nés. Le bébé sera recueilli par Charlemagne qui l’élèvera à sa cour et lui donnera pour nom « du guet de l’Aquin » qui deviendra plus tard « du Guesclin » dont Bertrand, un des nombreux descendants se rendit si célèbre lors de la guerre de cent ans.
Le roi Aquin ne cesse de reculer face aux assauts des Bretons et des Francs. Il termine sa retraite dans la forêt de Nevez près de Locronan, qui était alors beaucoup plus étendue qu’aujourd’hui, puisqu’il en chasse Saint Corentin qui se trouvait près de Plomodiern.
Aquin mourut finalement au pied du Menez-Hom, défait en combat singulier par Nominoé, gouverneur de la Bretagne pour Charlemagne qui en profite pour rétablir sa domination sur la péninsule armoricaine.




une groac'h

 05/01/2021
Sur la presqu'île de Crozon se trouvait il y a longtemps une groac'h (sorcière) très puissante, vieille, bossue, jaune et maigre, avec de grands yeux rouges et un nez crochu. Le jour, elle prenait l'apparence d'un serpent et allait téter le lait des vaches des fermes alentours directement au pis, pour le plus grand désespoir des fermiers. Ces derniers la soupçonnaient, mais, ne possédant aucune preuve et la craignant, ils préféraient se taire.
La groac'h habitait une cabane dans les bois de Landevennec. Elle avait bien des pouvoirs, comme celui de pétrifier les garçons qui s'approchaient trop près de sa cabane pendant la nuit ou de transformer les jeunes filles en oiseaux multicolores qu'elle prenait ensuite plaisir à mettre en cage.
Sa cabane était devenue une vraie volière avec plus de sept mille volatiles chantant, piaillant, criant leur tristesse d'être réduit à l'état d'oiseau.
Un soir, deux amoureux, Dominig et Enora se perdirent dans les bois de Landevennec alors que le jour tombait. Le temps était sombre et la nuit qui vint bientôt se révéla particulièrement sombre. Aussi lorsqu'ils virent une lumière au loin, ils s'y dirigèrent tout droit, tout contents de trouver trace de civilisation en cet endroit hostile.
Malheureusement, comme vous devez certainement vous en douter, la lumière émanait de la cabane de la groac'h.
Lorsqu'ils s'en approchèrent, Enora n'eut pas le temps de crier en voyant Dominig se pétrifier qu'elle-même se trouvait transformée en oiseau. Elle tenta de s'envoler mais la groac'h sortit précipitamment de sa cabane, l'attrapa et l'enferma dans une cage.
Deux énormes bras de bois sortirent ensuite de chaque côté de la cabane qui attrapèrent les grosses branches à leur portée. La cabane s'en alla ensuite à la manière des singes en se balançant de branches en branches, laissant le pauvre Dominig pétrifié et seul.
Ce dernier fut donc tout surpris quand le soleil se leva.
Après bien des pérégrinations, il parvint à retrouver le chemin de sa maison. Ses parents, inquiets, lui demandèrent ce qui s'était passé puis, une fois qu'il eut tout raconté, l'envoyèrent trouver Tadig Coz dans les monts d'Arrée, un vieux curé qui passait pour savoir presque tout sur tout.
Tadig Coz écouta attentivement Dominig.
– La groac'h de la presqu'île est très puissante, dit-il ensuite. Il existe un moyen de délivrer ta promise du mauvais sort qu'elle lui a jeté mais il va te falloir être courageux.
– Je ferai ce qu'il faudra pour retrouver Enora, répondit Dominig.
– Alors écoute-moi bien : il y a longtemps, la groac'h était mariée. Au début elle aimait son mari. Elle l'aimait tellement qu'elle lui a donné une fleur magique capable de la changer, elle, définitivement en serpent et de lever les sorts qu'elle avait jetés. Puis elle en a eu assez de lui et la transformer en ours, mais l'ours s'est enfui en emportant la fleur magique avec lui pour être sur qu'elle ne lance pas des chasseurs après lui. Il vit maintenant dans une grotte dans les montagnes noires. Trouve-le, récupère la fleur et tu pourras délivrer Enora.
Dominig remercia le vieux prêtre puis s'en retourna chez lui où il se laissa tomber sur son lit et s'endormit, épuisé par la journée qu'il venait de passer.
Si mon histoire n'est pas fini, il est quand même temps d'aller au lit.
Quand vous vous réveillerez
hier ira de l'avant
et demain sera aujourd'hui
d'ici-là bonne nuit à toutes & tous !



pour 4 pers, prépa, 20 mns, cuisson 25 mns.

100g de beurre mou + 10g pour beurrer le cercle à tarte
100g de sucre
1 gousse de vanille
2 œufs
100g de poudre d’amandes
1 rouleau de pâte sablée ou sucrée
100g d’amandes et noisettes concassées
100g de cerneaux de noix
100g de figues coupées en dés
100g de raisins blonds secs
2 cuil. à soupe de miel liquide
Sucre glace pour décorer
Préchauffez le four à 200°C.
Dans un saladier, mélangez le beurre avec le sucre et la pulpe de vanille, incorporez les œufs un par un, puis la poudre d’amandes. Formez un mélange homogène.

Dans un cercle à tarte beurré, étalez la pâte à tarte, piquez le fond avec une fourchette, déposez la crème d’amandes que vous venez de préparer à l’aide du dos d’une cuillère, répartissez les fruits secs (amandes, noisettes, noix, figues et raisins) et versez le miel dessus. Enfournez 25 minutes. Au terme de la cuisson, démoulez et déposez sur une grille, saupoudrez de sucre glace.

du chef Cyril Lignac



cette sauce est idéal pour toutes sortent de viandes !

pour 4 pers, prépa 15 mns, cuisson 15 mns .



4 filets de bœuf de 130g (à température ambiante)
3 cuil à soupe de poivre mignonnette noir
1 cuil. à soupe de beurre
2 cuil. à soupe de cognac(facultatif)
10cl de vin blanc
20cl de crème liquide
2 cuil. à soupe de jus de rôti (bouillon à sauce ou fond de veau)
2 poignées de pousses d’épinards lavées et équeutées
Huile de tournesol
Huile d’olive + vinaigre balsamique blanc
Sel fin
Assaisonnez les filets de bœuf avec le poivre mignonnette. Dans une poêle chaude, versez un trait d’huile, puis ajoutez le beurre, laissez légèrement colorer, déposez les filets de bœuf et faites-les caraméliser. Arrosez de beurre. Quand ils sont presque cuits, sortez-les et déposez-les dans une assiette ou sur une grille. Gardez la poêle au chaud à feu doux.

Dans la poêle, déglacez au cognac, laissez réduire, versez le vin blanc, continuez à réduire, ajoutez la crème et le jus de rôti puis salez. Réchauffez la viande au four ou à la poêle et déposez-la dans la crème, arrosez. Servez avec une salade d’épinards assaisonnée à l‘huile d’olive et au vinaigre balsamique blanc.

du chef Cyril Lignac !




Au Moyen âge, le sel pouvait être échangé
contre de l'or !


Il est utilisé comme monnaie d'échange et une partie de la des travailleurs pouvait être payée en sel.
D'ailleurs, le mot salaire vient du salarium, dérivé de sel. Pas étonnant que très tôt le sel fut appelé "Or Blanc" En effet, à l'époque le sel est une denrée indispensable et sans équivalent pour conserver les aliments et enrichir la nourriture du bétail.
Tiens, si on inventait une nouvelle taxe pour remplir les caisses ?

La vente du sel permet de remplir les caisses du royaume de France. L'État en détient le monopole.
II contrôle alors la production, la distribution et le prix de vente de cette précieuse denrée.
Les gens en achètent en petite quantité, car le sel est soumis à une forte taxe.
En 1343, Philippe VI de Valois va plus loin et décide de faire du sel un instrument fiscal généralisé et permanent. C'est ainsi qu'entre en vigueur durablement la Gabelle, l'impôt sur le sel.


Toutes les provinces du royaume de France ne payent pas même taxe.
A Paris, territoire de grande gabelle, le sel est extrêmement cher et il est même rationné
En revanche, la Bretagne est un pays de franc-salé, c'est-à dire qu'il n'existe pas de taxe sur le sel.
Même après 1532 lorsque la Bretagne est définitivement rattachée à la France, les Bretons sont libres d'acheter et de revendre du sel sans rien payer au roi.


Pourquoi ?
Parce que la région est grande productrice de sel. Corollairement, ce privilège d'exemption totale voit l'émergence des contrebandiers d'un nouveau genre : les " faux-sauniers " qui font transiter le sel d'une région sans taxe à une autre fortement taxée comme l'Anjou et le Maine. On estime que le marché noir et les clandestins en Bretagne auraient fait vivre près de la moitié de la population riveraine des marches de Bretagne.
Les gabelous (surnom des douaniers toujours d'actualité) sont chargés de collecter l'impôt, mais aussi de traquer les contrebandiers, mener des perquisitions, exercer des fouilles au corps… touchant une prime à chaque prise. Les peines infligées aux contrebandiers vont d'une simple amende aux coups de fouet, des galères au marquage au fer rouge, de l'exil en Nouvelle-France ( Québec ) à la peine de mort, s'ils sont armés...


La gabelle sera abolie par un décret du 1er décembre 1790, mais les paysans des quatre coins de la France se sont déjà désaccoutumés du beurre salé… sauf les Bretons bien sûr pour qui le beurre doux sera toujours un ersatz d'une fadeur rédhibitoire, un non-sens, un sacrilège !


Je fais la même recette depuis que ketty est petite ,mais je garde le jus de la boîte que je mélange avec du rhum , je me sers de ce mélange pour imbiber le gâteau peu à peu lorsqu'il est refroidi ... ça l'assouplit comme un baba au rhum et c'est délicieux.
Attention à la quantité de jus, arrêter dès que le gâteau ne boit plus. A préparer quelques heures à l'avance.


pour 4 pers, prépa 20 mns, cuisson 30 mns.


  • 1 ananas Victoria coupé en tranches
  • 90g de sucre
  • 2 cuil. à soupe d’eau
  • 120g de yaourt nature ou du fromage blanc ça fonctionne aussi
  • 240g de sucre
  • 3 œufs
  • 50g d’huile de tournesol
  • 150g de farine
  • 1 sachet de levure chimique
  1. Préchauffez le four à 180°C. Dans une poêle, versez le sucre avec l’eau et faites un caramel blond. Ajoutez les tranches d’ananas, faites-les colorer légèrement. Retirez-les de la cuisson et déposez-les dans un moule à manquer avec le caramel.
  2. Dans un saladier, versez le yaourt, le sucre, ajoutez les œufs, l’huile et mélangez. Ajoutez ensuite la farine et la levure chimique. Mélangez à nouveau. Versez l’appareil sur les ananas. Enfournez 30 minutes à 125 degrés.
  3. Au terme de la cuisson, démoulez délicatement le gâteau sur une feuille de papier sulfurisé ou sur une grille.
  4. Mettre au frais.


          du chef Cyril Lignac !



 La bonite seché c’est du poisson séché ...

les japonais en utilise souvent, Pour remplacer la bonite vous pouvez prendre du fumet de poisson ! 



pour 4 pers, prépa 15 mns.

Bouillon :

• 2 litres d’eau
• 2 cuil. à soupe de gros sel
• 1 feuille d’algue kombu de Bretagne
• 1 petite poignée de bonite séchée avec un carré de mousseline afin de le faire infuser....
• 5 cuil. à soupe de sauce soja
• 1 cuil. à soupe d’ail râpé
Boulettes :
• 500g de chair de blanc de poulet haché
• 1 cuil. à soupe de saké (ou vin blanc)
• 1 cuil. à soupe de sauce soja
• 40g de poireaux lavés et émincés finement
• 1 cuil. à soupe de gingembre haché
• 1 cuil. à soupe de fécule de maïs
• Sel fin et poivre du moulin
Légumes :
• 2 choux pak choï coupés en gros morceaux
• 1 carotte épluchée, lavée et coupée en grosses rondelles
• 8 champignons shiitake ou champignons de Paris lavés et coupés
• 50g de pousses de soja frais
Dans une casserole, versez l’eau et le sel, ajoutez l’algue kombu, portez à ébullition. Dans un carré de mousseline, déposez la bonite séchée, refermez avec une ficelle, plongez la mousseline dans le bouillon et laissez cuire. Ajoutez la sauce soja et l’ail râpé, mélangez et chauffez. Plongez les légumes (les choux, la carotte, les champignons et les pousses de soja) à l’intérieur pour qu’ils commencent à cuire. Retirez la mousseline de bonite séchée.

Dans un saladier, mélangez la chair de poulet avec le saké (ou le vin blanc) la sauce soja, les poireaux émincés, le gingembre, la fécule de maïs et assaisonnez de sel et de poivre. Formez des boulettes. Plongez-les dans le bouillon à petits frémissements pendant 8 à 9 minutes.

Dans un grand plat, déposez les légumes avec les boulettes.

du chef Cyril Lignac !


On se retrouve cette semaine dans #TousEnCuisine pour de nouvelles recettes .
Cette émission est vraiment géniale !
Au moins une des bonnes choses qui a
lieu grâce au covid !  



C'est l'heure du goûter ! Vous prendrez bien un peu de pâte à tartiner

le gianjuda maison

125 g de noisettes ntière  mondées*
125g d'amandees entière mondées
200g de sucre glace
100g de cacao en poudre
400g de chocolat blanc
la gianjuda se prépare avec du beurre de cacao, mais il est plus simple d'utiliser du chocolat blanc (qui est, à la base, du beurre de cacao additionné de sucre et de lait) et de réduire la quantité de sucre de la recette classique.
Mixer le plus finement possible les noisettes et les amandes mondées avec le sucre glace et le cacao en poudre. Faites fondre le chocolat blanc au micro-ondes et ajoutez le mélange précédent au chocolat blanc fondu

MELANGEZ BIEN ET GARDEZ LE GIANJUDA AU REFRIGERATEUR DANS UN RECIPIENT BIEN FERME.
Pâte à tartiner

200g de gianjuda
50g de sucre en poudre
10 cl de lait
40g d'huile de tournesol
40g de beurre doux

pour obtenir la pâte à tartiner, coupez le gianjuda en petit morceaux et mettez-le dans un saladier placé sur un bain marie d'eau frémissante.
Ajoutez le sucre en poudre, le lait, l'huile et le beurre.
Laissez fondre tout doucement, sur feu très doux, en remuant de temps en temps jusqu'à ce que la pâte soit homogène.
Versez cette pâte à tartiner dans un bocal en verre à fermeture à vis 

 stoker au réfrigérateur.

*mondées veut dire retirer la peau 
pour effectuer facilement l'opération, il suffit de faire bouillir de l'eau et de plonger les fruits secs dedans. Eteignez alors le feu et laissez les fruits ses tremper pendant 5 mns, puis retiter vos fruits à l'aide d'une écumoir.
Déposez-les sur un torchon et une légère pression des doigts sur chaque fruits, la peau se retir.


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