Qu'est-ce qui contient huit fois plus d'oméga-3 que le saumon, six fois plus de calcium que le lait entier, trois fois plus de fer que les épinards, trois fois plus d'antioxydants que les bleuets et quinze fois plus de magnésium que le brocoli?

Le salba. Quoi?

Le salba doit son nom à la contraction du nom botanique du chia Salvia hispanica l. et du mot latin alba qui signifie blanc.

Le salba est une céréale récoltée en Amérique du Sud. Naturel, il est exempt de gras trans et de gluten. Il est cueilli mécaniquement et il ne subit aucun traitement chimique. Comme son contenu nutritionnel est extrêmement riche, le salba est considéré comme une super-céréale qui regorge de bienfaits sur la santé.

Multiples usages

Le salba moulu est de couleur beige et d'une texture semblable à celle des graines de lin moulues.
On peut le saupoudrer pratiquement sur tous les aliments sans en changer le goût: sur un yogourt, dans les céréales, dans les sauces et les ragoûts ou dans un jus.
On peut également l'utiliser dans la préparation de muffins, gâteaux ou biscuits en remplaçant une partie de la farine (entre 10 et 25%) par du salba moulu.
Le grain de salba entier est de couleur blanche et un peu plus petit que la graine de lin. On peut aussi l'incorporer dans la préparation de produits de boulangerie.
Étant donné son contenu en gras, il serait préférable de le conserver au congélateur, qu'il soit moulu ou non, afin d'éviter le rancissement.

Où le trouver?

On retrouve le salba dans les magasins d'alimentation naturelle, principalement sous forme de grains entiers ou de grains moulus et aussi comme ingrédients de barres tendres ou de biscuits.

            

Je suis à nouveau lorraine. Nous avons quitté ce matin notre petite maison charentaise. Notre voyage s'est très bien passé.
Comme d'habitude, j'ai profité de ce temps passé dans le train pour broder et bouquiner.

C'est l'heure du repas. Je vous laisse car nous passons

        Bon appétit à vous!

Ma petite histoire se passe à Meschers. Vous vous souvenez que nous avions acheté au printemps dernier des petites fleurs que nous avions repiquées devant notre maison.





Le pied de lavande que j'étais en train de replanter avait été arraché peu de temps après notre départ ainsi que quelques pieds de fleurs repiqués par Roger.... Ca commençait déjà!
Nous avons racheté quelques plants pour boucher les trous et cet été, tout était bien fleuri et les roses trémières étaient magnifiques.





Quand nous sommes rentrés en Lorraine début octobre, nous avions coupé les grandes tiges des roses trémières qui étaient défleuries. Les pieds commencaient même à refaire de nouvelles feuilles!



Et oh! surprise quand nous sommes arrivés cette semaine ...... plus de pieds de roses trèmières.... presque plus de pieds de petites fleurs.....

Et oui, la bêtise des "petits esprits" avait sévi...... 
Et voilà le résultat!

Le pied de rose trémière qui se trouvait près du banc.... complètement grillé!



L'autre pied devant la porte de la maison..... dans le même état!



Pas terrible la vue d'ensemble!



Nous avons notre petite idée mais aucune preuve! Un voisin nous a fait quelques confidences mais pas de preuve non plus....

Alors hier, Roger a installé une caméra sous le toit de la maison!







Et nous avons apposé un bel écriteau sur notre boîte aux lettres....

 

Que peut-on faire contre la bêtise humaine? Simplement ignorer ces "petites gens". Ils ne valent pas la peine que l'on s'intéresse à eux....

C'est avec des chutes de tissu que j'ai réalisé cette couverture pour mon classeur.



J'avais une chute de bande de toile Aïda bordée de dentelles. J'ai brodé en orange le mot "DIAGRAMMES" pour assortir le fil au tissu. Et ensuite, j'ai décoré avec des petites fleurs jaunes.  
J'ai tout piqué à la machine et voilà un classeur que je peux mettre en évidence sur mes étagères! 

Coucou! c'est moi.... la porte est fermée. Alors, je passe par la fenêtre! 



Vous avez vu comme j'ai grossi pendant l'hiver!



J'ai du mal à tenir sur la tablette de fenêtre!



J'ai retrouvé une de mes places préférées...



car je n'en ai pas qu'une!



Vite! vite! sur le fauteuil... Pour une fois qu'il est libre car "La Guillaumette" n'écrit pas sur son blog! 



Ah! l'extase... des gratouillons.....

La veille de la Chandeleur, ne pas oublier de tenir "une pièce de cent sous en argent", en faisant ses crêpes, ou mieux, un louis d'or...

Puis de laisser une crêpe sécher jusqu'à la Chandeleur suivante sur le haut du buffet (elle sèche, et ne moisit pas !).

Pour les plus jeunes, cent sous, ça faisait 5 francs, alors pas la peine de se ruiner, une pièce d'un euro est amplement suffisante !

         




Si ma petite anecdote ne vous a pas convaincus, alors je vous propose des proverbes "à la noix".....

S'il pleut à la Chandeleur, les vaches donnent beaucoup de beurre.

Soleil de Chandeleur annonce hiver et malheur.

Françoise nous avait préparé un bon petit repas :

- quelques toasts pour accompagner l'apéritif
- avocat aux crevettes en entrée 
- un poulet accompagné d'un gratin de choux-fleurs et brocolis. 
Excellent repas qui s'est terminé par ma galette des rois accompagnée de cidre. 



Voilà la galette en préparation chez nous! J'ai choisi une recette qui est déjà sur mon blog (voir le lien vers la recette).



Un petit coup de pinceau pour la faire briller......



La voilà arrivée sur la table de Françoise, prête à être découpée.....



Qui va avoir la fève?



C'est Françoise, la reine!

Nous nous étions vus la dernière fois à Meschers (voir lien vers article) fin septembre avant de revenir dans l'Est pour l'hiver.
Nous avons profité de notre première semaine passée à Meschers en 2009 pour les retrouver chez eux à Cognac.

Le temps était ensoleillé et la température clémente, ce qui nous a permis de manger dans la véranda. Accueillis par une belle table, dans un cadre très agréable et reposant,
 
 

nous avons dégusté des spécialités du sud-ouest mijotées par Annie, fin cordon bleu. Sa réputation n'est plus à faire..... Nous connaissons ses talents! 



Cuisses de canard confites et pommes de terre à la sarladaise



Pour le dessert, nous avons été plus que gâtés avec toutes ces bonnes choses!

 

Petits coeurs aux fraises confites 



Tourtes aux pommes



Surprise à l'intérieur....



Je ne connaissais pas du tout cet appareil qui permet de faire ces petites tourtes si jolies et si bonnes, bien sûr! Cela ressemble aux "apple pie".....

Après un bon café, nos amis nous ont proposé un visite de la vieille ville de Cognac.





En 1908, l'immeuble de l'ancienne poste de Cognac fut entièrement rénové pour donner naissance à l'une des plus fameuses brasseries de la région : Le Coq d'Or.
Son proporiétaire, Jérome Beloou, fit réhausser le bâtiment d'un étage et on le décora d'un fronton en mosaïque.   

La brasserie du Coq d'Or surplombe la place François 1er située au centre de Cognac.



Cette place porte en son centre la statue de Françoise 1er dûe au sculpteur Etex.

Nous nous dirigeons vers le vieux Coganc.



Annie et moi devant "la maison dite de la lieutenance" : maison à pans de bois aux remarquables pièces de charpentes sculptées au XVème siècle.



Cette rue était l'axe principal de la ville du moyen-âge au XIXème siècle.



La rue Saulnier est en pente et descend vers la Charente.

 

Nous arrivons au Château François 1er qui est mentionné dès le Xème siècle.



François 1er y vit le jour en 1494.



La porte Saint-Jacques ou porte des ponts faisait partie de l'enceinte de la ville. Elle commandait un pont aujourd'hui disparu. Elle fut reconstruite à la fin du XVème siècle et est restée à l'identique jusqu'à nos jours.



Après être passés sous cette porte, nous longeons les bords de la Charente.



Nous passons devant la "Maison Hennesy", un des grands domaines de cognac.



Une exposition à visiter : 100 ans d'affiches d'Hennesy



Sur la Charente, la gabarre "La Dame Jeanne" qui a été reconstruite pour rendre hommage au travail des gabariers et aux lourds bâteaux de bois qui ont animé ce fleuve jusqu'au début du XX ème siécle et qui ont favorisé l'essor de la ville.

  



Nous remontons vers la vieille ville et découvrons des hôtels particuliers comme celui-ci : "l'Hôtel Perrin de Bousac" qui date du XVIème siècle.

 

Cette immeuble appartint à une famille qui contribua au commerce, jadis florissant, de la papéterie charentaise.



Au détour d'une rue...



Nous visitons l'église Saint-Léger qui est une église prieurale fondée au XIème siècle qui au début était très modeste.



Son architecture évolua constamment du XIème au XIXème siècle. A chaque époque, des éléments remarquables ont été rajoutés comme son portail avec son décor de signes du zodiaque.

     ANNIE ET JEAN .....

pour vous souhaiter une bonne fin de      ......


Le notre est bien occupé. Samedi, nous sommes partis toute la journée retrouver nos amis, Annie et Jean, qui habitent Cognac. Nous étions heureux de les retrouver et nous avons passé une excellente journée en leur compagnie. Bons petits plats cuisinés par Annie, balade dans la vieille ville de Cognac, tout était au menu pour la réussite de cette journée!

Et dimanche, nous sommes invités chez mon amie d'enfance, Françoise, Sa maman sera également présente. Je me suis proposée pour apporter le dessert. Mon amie avait envie d'une galette des rois. Je vais donc la préparer ce matin.

Je vous donne rendez-vous plus tard pour plus de détails sur ce week-end bien agréable.

Cet été, à Meschers, je me suis amusée à faire germer un noyau d'avocat. J'avais envie d'avoir des plantes dans la maison à moindre frais.....

J'ai piqué horizontalement trois allumettes sur les côtés du noyau d'avocat tous les tiers. Ensuite, je l'ai déposé pointe vers le haut dans une coupelle d'eau.
Je l'ai remplie de manière à ce que la base du noyau soit en contact avec l'eau.
L'intérêt est de pouvoir observer la germination puis l'apparition des racines dans l'eau.

Après un temps d'attente d'un à deux mois, le noyau s'est fendu et la tige a commencé à sortir. J'ai planté le noyau dans du terreau. Lorsque la pousse apparaît, le noyau sert de réserve de nourriture à la plante par conséquent il ne faut pas le retirer! Il disparaîtra tout seul. 



Sur la photo, la feuille jaune est dûe aux reflets du soleil, le pot étant situé près de la fenêtre.   

L'avocatier a tendance à pousser en hauteur et pour lui donner du volume dans le cas d'une culture en pot, il est préférable de le pincer régulièrement pour forçer sa ramification et cela permettra de le maintenir dans des tailles raisonnables.

J'ai été très étonnée quand nous sommes arrivés à Meschers mardi car, après presque 4 mois d'absence, mon avocatier se portait toujours bien. C'est grâce à mon système d'arrosage automatique qu'il avait bien poussé!

Roger les ouvre une demi-heure avant l'heure du repas car il faut les vider de leur première eau pour leur permettre d’affiner leur parfum avec l’eau qu’elles produiront elles-mêmes.

Nous avons fait le plein d'Oméga3, de minéraux et d'oligo-éléments....

Nous les avons dégustées tout simplement avec un peu de jus de citron, du pain et du beurre salé! 

Les ingrédients pour 4 personnes :

- 280 g de riz Arborio ou riz rond
- 2 oignons
- 1 l d'eau
- 2 cubes Maggi, "bouillon basilic et huile d'olive" ou bouillon de poulet 
- 20 cl de vin blanc
- 600 g de pavé de saumon frais
- 2 cuillères à soupe d'huile d'olive
- 1 gousse d'ail en puré
- 20 cl de crème liquide. Je l'ai remplacée par du lait Gloria 
- parmesan râpé


Préparation :

1 - Faites bouillir l'eau et placez-y les cubes Maggi pour obtenir un bouillon. Détaillez les oignons en lamelles. Coupez le saumon en cubes en ôtant les arêtes si nécessaire.

2 - Dans une poêle, faites chauffer 2 cuillères d'huile d'olive et faites y revenir 1 minute les oignons. Ajoutez le saumon, salez, poivrez, ajoutez l'ail.



Faites-le rissoler 3 minutes puis baissez le feu. Déglacez avec 15 cl de vin blanc et laissez cuire tout doucement avec un couvercle pendant 20 minutes.



3 - Pendant ce temps, dans une autre poêle, faites chauffer 2 cuillères à soupe d'huile et placez-y le riz. Mélangez-le pour imbiber les grains d'huile jusqu'à ce qu'ils deviennent translucides.



Versez une louche de bouillon au basilic et le reste de vin blanc. Laissez le riz l'absorber puis ajoutez une autre louche du bouillon et ainsi de suite jusqu'à épuisement. Cela durera environ 20 minutes.



4 - Une fois le riz presque cuit, ajoutez-lui la préparation saumon-oignons. Mélangez les deux préparations, ajoutez la crème liquide ou le lait Gloria, 2 cuillères à soupe de parmesan et laissez mijoter 5 minutes, en remuant de temps en temps. Le riz doit être tendre.





5 - Servez le risotto très chaud saupoudré de parmesan râpé ou en copeaux.



Source : Supertoinette.

Un peu d'histoire :

La fève est une plante potagère de la famille des papilionacées. Elle porte des gousses qui renferment cinq à dix graines plus ou moins grosses.

Depuis la plus haute antiquité, les fèves ont été consommées dans tout le Bassin Méditerranéen. Les premières apparurent en Egypte. Les Phéniciens les cuisinaient avec des échalotes.
Grecs et Romains remplaçaient le pain qu'ils n'avaient pas toujours par des bouillies accompagnées de fèves. Avant les jeux, on en faisait manger aux gladiateurs pour leur donner de la force.

Les fèves servirent aussi de jeton de vote pour désigner le roi du banquet des Saturnales. C'est de là que vient la coutume de celle (qui ne fut pas toujours une figurine) que l'on place dans la galette des Rois.

 

Cette légumineuse reste très présente dans l’alimentation en Orient et en Afrique du Nord.
En France et au Moyen Age, elle était très consommée. Elle fut d'ailleurs, avant le haricot, le légume du cassoulet.

 

Actuellement, elles sont cultivées dans le Sud-Est et le Sud-Ouest.

Comment les choisir ?

Les fèves fraîches ou “févettes” sont en fait cueillies avant leur maturité. Elles ont une cosse vert pâle et de petits grains au printemps.
En été, ils sont plus gros. Ils ont toujours une double peau.
Les gousses sont vert jaune. Elles doivent être bien renflées, c'est le signe de la fraîcheur des grains.

Sur le plan nutritif :

Les fèves fraîches apportent environ 60 calories pour 100g. Ce qui est peu. Elles sont l'amie des régimes minceur surtout grignotées à la croque au sel.

Comment je les mange ou plutôt... je les déguste!

Il faut d'abord les écosser et ensuite les "dérober", c'est-à-dire débarrasser les grains de la pellicule blanche qui les recouvre.
Il suffit, avec la pointe d'un petit couteau, d'inciser légèrement cette peau un peu élastique puis d'appuyer avec les doigts : le grain s'en échappe. C'est un jeu !

Actuellement, les grains sont petits et il n'est pas nécessaire de les dérober.   
Les févettes se dégustent à la croque et au sel et c'est un vrai régal..... avec du pain et un bon beurre salé.



Source : le net pour les origines, le reste c'est moi....

Les ingrédients :

- 1 petit kilo de potiron coupé en dés
- 1 oignon
- 1 gousse d'ail
- huile d'olive
- 1 boîte de dés de tomates
- 2 cubes pour parfumer
- sel et poivre

La recette :

1 - Peler et couper le potiron en dés.

2 - Eplucher l'oignon et l'ail et les hacher. Les faire revenir dans une cocotte avec un peu d'huile d'olive. 

3 - Ajouter les dés de potiron, les dés de tomates, le bouillon. 



4 - Couvrir et laisser mijoter 30 minutes. Mixer. Ajouter de la crème fraîche si cela vous plaît et déguster.



Source : mes idées.