voici Isabelle et Francine ! elles sont arrivées là un beau jour on ne sait pas trop comment. Depuis elles y ont élu domicile et auront une heureuse fin de vie...
ces variétés de plantes se cultivent à l'extérieur...
et on imagine le travail nécessaire pour assurer une pousse parfaite...
Nous passons ensuite dans les serres chaudes...
ces plantes seront plutôt utilisées pour des décorations en salle, sur des escaliers... ici les bocarnéas... les ficus...
il faut également penser à avoir des tailles différentes...
plantes à fruits : ananas, caféier, citronnier...
ou des espèces plus délicates aux fleurs somptueuses, comme cet hibiscus...
cet autre arbuste qui donne de jolies grappes roses...
ici même chose, il en faut des petits et des grands...
qui dit fleurs dit... abeilles...
les plaques alvéolées sont posées sur le support de fils métalliques... et les cadres seront alignés dans la ruche. Les abeilles viendront continuer à créer les alvéoles;..
il aurait fallu plus de temps encore pour tout voir, poser encore et encore des questions... nous verrons peut être les abeilles une autre fois...
Un grand merci aux personnes qui nous ont reçus avec gentillesse et compétence ! un exemple en ville...
et encore...
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les 14 commentaires
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chance, nous avons pu visiter les serres municipales avant que les fleurs n'aient toutes été disposées à l'extérieur partout en ville...
entrez avec nous... l'accueil est chaleureux et on sent l'amour du métier derrière les commentaires.. profusion de couleurs ici 30 000 pots sont traités dès le printemps...
ouh là ! mon petit sachet de terreau face à çà !!....
fontaines à fleurs...
grands bacs à déposer sur les places...
tout part des oignons, bulbes, graines...
et se transforme en jardinières et compositions...
délicates...
ou unicouleur...
bleu comme ces lobellias...
roses...
ou blanches...
elles seront assemblées suivant la demande pour le plus grand plaisir des yeux...
Ensuite nous allons voir les plantes d'extérieur et les plantes vertes... |
il me semblait bien... c'est aussi l'anniversaire de Nathalie du blog "Nathalie La Niçoise".
Bon anniversaire Nathalie et gros bisous ! |
oui merci à vous toutes qui avaient pensé à mon passage "dans l'année supérieure" !
merci à Lisette et sa jolie carte savoureuse... merci à Ghislaine pour sa jolie carte au Pays de Nohan...
merci à Cath, ma presque jumelle, pour ses gentils cadeaux et bon anniversaire à Toi qui est née le 6 juin aussi !!
merci à Gisèle pour sa jolie carte virtuelle et surtout merci pour vos gentils souhaits !
sans oublier Philippe qui m'a offert ce lumineux Dipladénia ! (Merci Françoise La Guillaumette) merci et gros bisous à tous |
Sylvie nous a proposé une recette bien sympathique d'un saucisson au chocolat (ici !)
voici ma recette.... à préparer la veille... 1 boîte de 36 biscuits cuiller 100g de beurre mou 3 c à soupe de rhum 20 g de sucre glace 20 g de cacao non sucré 50g d'amandes effilée (éventuellement 1 yaourt nature) Dans un saladier
écrasez les biscuits cuiller à la fourchette puis ajoutez tous les ingrédients dans l'ordre sauf le sucre glace. (attention à ne pas écraser trop les amandes) Il faut que la pâte soit homogène si elle ne s'agglutine pas, ajoutez un yaourt pour éviter d'augmenter la quantité de gras ou de rhum (lol) quand la préparation est homogène, la rouler en forme de saucisson dans un papier alu... saupoudrez généreusement de sucre glace et fermer...placer au réfrigérateur pendant au moins 12 heures... Présentez en rondelles... comme un saucisson... |
pour 1kg 100 de rhubarbe
et 300 g de fraises 1 kg de confisuc 1 paquet de "vitpris" 1 gousse de vanille ébouillanter vos pots de confiture (ici 7 pots)
mélangez votre rhubarbe avec les fraises et le confisuc... laissez fondre... faites cuire jusqu'à ébullition et ajoutez un paquet de vitpris et le bâton de vanille... A partir de l'ébullition laissez cuire 5min en écumant... versez dans les pots, fermez et renversez... |
Nous sommes attendus et bien accueillis... c'est ici que sont remisées les maisonnettes du village du Père Noêl... vous voyez tout est protégé et emballé...
certes la situation est renversante pour nos jeunes mariés.... lol !
et certains nounours ont bien mérité un peu de repos...
mais tout sera remis en ordre en temps voulu et la tour de l'église reviendra sonner les heures sans faillir...
Le cerf reprendra sa place pour à nouveau ravir grands et petits !
et notre gentil mitron refera ses gâteaux à temps pour les fêtes...
une belle histoire oui... mais derrière le décor... une magnifique volonté de faire plaisir en créant un monde imaginaire... nous avons partagé le temps d'un après-midi la formidable volonté d'une équipe pour réussir un spectacle apprécié et appréciable. Comment appelle-t-on ça ? ouiii ....la magie de Noël ! |
quelquefois un petit rien fait plaisir... en faisant les courses j'ai acheté ce joli petit ustensile bien pratique et tout mignon... il y avait aussi dans le même décor une boîte à éponges... j'hésite parce que de la céramique au bord de l'évier, si elle tombe... à voir ...
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L'accueil du propriétaire est chaleureux et la visite nous a enchanté.
On sent qu'il vit son projet à fond et que çà le rend heureux ! Très peu de meubles que nous verrons sont d'origine puisque la Baronne de Fourment les a vendu... Cependant, avec beaucoup de recherches d'une part, et de goût d'autre part, M. DUFOUR recrée une belle ambiance... Il est aidé des personnes qui souhaitent redonner vie à ce château et qui ont donné des meubles ou des objets... c'est un travail énorme, il faut faire les recherches pour "coller" le plus possible à la réalité, défaire les transformations qui ont été faites lors de l'occupation des lieux par l'Assistance Publique quelquefois sans savoir ce qu'il y a derrière, et refaire...
Vue la hauteur, la taille et le nombre de pièces, je vous laisse imaginer ce que çà représente !!
Cependant tout est fait avec goût et sans fausses notes !
ne croiriez-vous pas être l'invité dans ce noble château ?
cette pièce évocatrice d'un temps passé nous fait vagabonder l'imagination !
"A l’intérieur, l’ancien salon de l’abbé a conservé de somptueux lambris de chêne naturel que la clarté du dessin Rocaille et la vigueur de la facture conduisent à attribuer au célèbre sculpteur autrichien Pfaff."
Normalement les photos à l'intérieur sont interdites et c'est avec l'aimable autorisation de M. Dufour que je peux vous les faire partager... j'ai donc cessé de faire des photos à partir du salon de l'abbé par respect pour les consignes. nous avons poursuivi la visite à l'étage, puis nous avons emprunté l'escalier monumental pour rejoindre la galerie du bas. Des fouilles ont été faites dans le parc, notamment avec un drone, pour retrouver les traces des fondations de l'abbaye... un sourcier a retrouvé l'émergence de deux sources, une au milieu du parc... une près des bâtiments actuels.... les moines avaient fait dévier la rivière de la Canche de telle manière que l'eau arrivait propre et repartait avec les souillures grâce au courant... les caves de l'abbaye existent encore mais les arbres plus que centenaires ont fait effronder les voûtes et il faut une équipe de spéléologues spécialisés pour s'y aventurer...
nous sommes ensuite allés voir à l'extérieur le mur d'enceinte où des travaux sont entrepris en coordination avec les Monuments Historiques, pour remettre en état le cabinet des moines...
"Dans le parc du château de Cercamp se trouve un ensemble rare dans une abbaye cistercienne : trois cabinets des moines édifiés au XVIIIe siècle. Initialement au nombre de huit, ils sont situés le long de l’axe principal venant du logis abbatial, dénommé « jardins et cabinets des religieux ». Pavillons de plan carré d’un niveau, surmontés d’un comble, chacun d'entre eux est en lien avec un petit jardin. Inscrit au titre des Monuments historiques depuis 1946, le "Pavillon du Prieur" fait partie de cet ensemble." Voilà, la visite se termine... nous serions restés bien plus longtemps a écouter la renaissance de cette magnifique demeure...
voici le lien ici ! pour retrouver l'histoire, le renouveau du château et suivre sa réhabilitation... Ici se termine notre parcours ... des lieux et des images plein la tête... une superbe journée en souvenir et de belles découvertes.
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"Après la guerre 1914-18, une période plus calme et prospère commence. La communauté compte en 1933 : 60 soeurs. Cette augmentation du nombre de soeurs nécessite de construire un monastère plus spacieux. Mais la guerre 1939-45 interrompt le projet. Celui-ci ne sera repris qu’en janvier 1950. Frère Aimable Flipo, moine du Mont des Cats est sur place pour diriger les travaux de 1950 à 57." la reconstruction de l'abbaye que nous visitons aujourd'hui date de 1954. cependant, nous retrouvons toujours la forme carrée, le cloître et l'austérité... notre guide nous emmène vers la salle capitulaire... le châpitre..... où les soeurs avaient le droit de parole... pour le bien de la communauté, d'où l'expression "AVOIR DROIT AU CHAPITRE" mais pour aussi s'accuser de "mauvaises paroles", de 'mauvaises intentions"... et elles "recevaient" les "remises en ordre" de leur "déviances"... d'où l'expression SE FAIRE CHAPITRER !
la modernité a enlevé les stalles pour un alignement ...
nous sommes maintenant dans la salle du repas pris en commun.... la loi du silence est toujours de mise sauf la moniale désignée pour lire l'extrait de la bible...
l'association qui essaie de maintenir l'histoire de ce haut lieu de la religion, propose des journées à thèmes comme celle des jeux anciens...
où l'exposition des ouvrages à la disposition des moniales, comme cette bible en langue arabe... d'autres en chinois ou autres langues...
notre visite se poursuit dans cette architecture sans frioritures, sans affects... centré sur la pensée religieuse...
le Père abbé qui a conçu et dirigé les travaux de l'Abbaye est mort à 102 ans. Notre guide a pu le rencontrer et il lui a expliqué qu'aux angles du cloître, chaque pierre de la voûte a été ciselée à la main...
"Progressivement, le nombre de religieuses va se réduire, passant de 64 en 1958, à 53 en 1970 et 33 actuellement." mardi 19 juin 2012, les trois dernières sœurs du monastère quittaient Belval pour rejoindre la communauté d’Igny dans la Marne. Une journée à marquer d’une pierre blanche. Des moniales cisterciennes priaient, travaillaient à Belval depuis 119 ans ! Le 14 juin 2012, l’association Abbaye de Belval et la SAS Abbaye de Belval prenaient en quelque sorte le relais levant le voile sur leur volonté de faire vivre Belval en gardant l’âme des lieux tout en insufflant un esprit social et solidaire : « ouvrir un avenir conforme au passé et au présent d’un site longtemps fermé ». Pour répondre à la question de Lisette, oui le fromage est toujours fabriqué selon la recette des moniales. Les fromages de Belval sont répertoriés par le Conservatoire National des Arts Culinaires et ont, ainsi que la bière le label "Saveurs en Or". Le site de l'Abbaye ici ! vous en dit plus sur chaque fromage et vous indique quelques recettes à réaliser...
nous quittons Belval pour nous diriger vers Cercamp et son château abbatial... à bientôt pour la suite... |
à la découverte des monastères, nous arrivons ensuite à l'Abbaye de Belval, dans une jolie vallée montueuse...
Elle est située près de Troisvaux dans le Pas-de-calais... au Nord de St-Pol-sur-Ternoise... texte du site de l'abbaye : "
L’idée de la fondation de l’abbaye de Belval est née de la conversation aux abords du château de Belval qui était en vente, de l’abbé Trannoy, curé de Troisvaux avec l’abbé Poiré curé de Monchy, en 1889. L’abbé Trannoy se passionna pour l’idée, au point d’inviter Dom Sébastien Wyart, en 1891, à venir visiter le site. Dom Sébastien devenu abbé de Sept-Fons écrit à l’abbé Trannoy qu’il ne doit pas espérer une communauté de moines, mais qu’il peut demander à la Mère Abbesse de Laval de fonder une communauté de moniales. Après de laborieuses préparations la communauté est fondée en 1893. Le 12 octobre a lieu l’installation de la première supérieure, Mère Joseph Guillouard par Dom Jérôme Parent. L’abbaye est mise sous la protection de Saint Benoît-Joseph Labre, originaire d’Amettes, non loin de Belval." Les moniales vivent d'abord dans le "château" une ancienne bergerie... ce bâtiment en pierres grises... En 1893... un jardinet ...
et une chapelle...
aujourd'hui, une réplique de la grotte de Lourdes...
"En 1897, Père Albéric Staes, le nouvel aumônier envoyé par Dom Jérôme, aide la communauté à construire un nouveau monastère. L’église est bénite en 1899, mais inondations et incendie de la fromagerie en 1902 occasionnent de grosses dépenses supplémentaires. Père Albéric ayant été nommé Prieur de Tamié en 1901, c’est Père Augustin Tharin qui le remplace à l’aumônerie. La veille de Pâques 1909, un nouvel incendie, qui a commencé dans l’aumônerie, détruit les constructions faites alors. Un an après, les soeurs entrent dans l’église restaurée"le prochain article vous emmènera à l'intérieur de l'Abbaye... |