Les blogs
du village
grainedesucre

grainedesucre

S'inscrire à la newsletter du village

Statistiques
Nombre de visites : 4 929 444
Nombre de commentaires : 25 730
Nombre d'articles : 2 518
Dernière màj le 15/01/2025
Blog créé le 24/09/2011

S'inscrire à la newsletter du blog

S'inscrire au fil RSS
Bienvenue sur mon blog !
blog de la gentillesse et de la bonne humeur, voulez vous m'aider à semer des graines de sucre dans ce monde qui a besoin de chaleur et d'amitié ?
<< 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 >>
Monique nous a photographié l'escalier que les pélerins montent à genoux à Braga Bom Jesus Do Monte (ici) ... dans le même ordre d'idée voici le labyrinthe de la cathédrale d'Amiens ... comme les déambulatoires des églises, ce cheminement pour atteindre le coeur permettait aux moines et aux fidèles de cheminer en soi pour trouver le chemin... Cette photo date de 1978 quand j'ai visité la cathédrale...

Voici ce qu'en dit Wikipédia :

"Selon la mythologie grecque, le premier labyrinthe a été construit dans l’île de Crête par l'architecte Dédale.

Fait de zigzags et d’entrelacs, ce labyrinthe servit de modèle pour dessiner les pavages des palais et des cathédrales. Il est devenu un symbole religieux pour les chrétiens.

Les labyrinthes d'église sont des pavages polychromes symbolisant la montée du Christ au Calvaire. Les fidèles les suivaient à genoux comme pèlerinage symbolique ou pour gagner des indulgences. C'était une substitution au pèlerinage en Terre sainte.

Au XVIIIe siècle, on détruisit un grand nombre de labyrinthe d'églises comme à Arras, Auxerre, Poitiers, Sens..."

Le labyrinthe d’Amiens a la forme d’un octogone et sa pierre centrale est une copie de celle conservée au Musée de Picardie.

Long de 234 mètres, le chemin du labyrinthe devait être suivi à genoux par les fidèles ce qui constituait pour eux, une sorte de succédané de pèlerinage en Terre sainte. Le centre du labyrinthe était nommé « paradis » ou « Jérusalem Céleste ».

Un labyrinthe semblable se trouve sur le sol de la nef de la basilique de Saint-Quentin. On trouve des labyrinthes dans plusieurs autres cathédrales françaises : celui de Chartres a une forme circulaire, le dessin de celui de Reims, détruit en 1779, sert de logo au service des Monuments historiques..."
 

 




Gigi nous a communiqué sa délicieuse recette de flan aux poires (ici !).
 
pour nous...  voici le flan avant la garniture...


et après...

mon moule aurait pu être un peu plus haut mais... c'est tout de même très très bon ! 



mais bel et bien en France et merci à Sylvie et Marc pour cette jolie carte aérienne !



j'ai reçu ce petit livret en cadeau et avant-hier j'ai choisi cette recette...


il vous faut pour  4 personnes 
700 g de cabillaud (vous pouvez utiliser un autre poisson blanc)
3 pommes de terre
3 oeufs
1/2 bouquet de ciboulette
1/2 bouquet de persil plat
10 feuilles de basilic
1 oignon nouveau
1 gousse d'ail
10 olives noires dénoyautées
2 c à soupe d'huile d'olive (1 m'aurait suffit !)
100g deparmesan râpé
sel, poivre



faites cuire les pommes de terre  20 mn puis écrasez-les, laissez refroidir.
faites cuire le cabillaud 15 minutes après l'ébullition. Emiettez-le

Préchauffez le four à 180 °C (th 6)... ciselez les herbes ainsi que l'oignon et hachez l'ail et les olives...

Dans un saladier, mélangez les pommes de terre, le poisson, les oeufs, les herbes ciselées, l'oignon émincé (tige comprise), l'huile d'olive, l'ail haché, les olives hachées. Mélangez bien le tout, salez, poivrez...


et formez des  boulettes. Roulez-les dans le parmesan.


et faites-les cuire au four dans un plat huilé 20 minutes...

Personnellement j'ai cuit 10 minutes au four puis 10 minutes sous le gril mais elles sont restées pâles et auraient pu être un peu plus relevées. Alors n'hésitez pas à bien relever la préparation avec les épices et fines herbes.
Je les ai passées le lendemain à la poële adhésive sans gras, elles étaient encore meilleures, plus dorées aussi !



pas plus facile d'être en haut qu'en bas quand on n'y voit pas à 10 mètres, quand la mer vous chahute de tous bords, qu'il fait nuit et que vous tournez en rond... (croquis sur le bateau...)


le moteur ramène ou déroule l'imposante chaîne ...


le radio transmet les données maritimes...  relie ces 8 hommes aux autres hommes en mer... indique les données météorologiques...


dans l'étroite cabine de pilotage... le matelot de veille se réfugiait parfois... on y entreposait les fanions de signalisation...


"Le phare portait à 25 milles nautiques (puissance de la lampe 1 500 watts alimentée en 110 volts), son feu équipé d'une lentille de Fresnel était parfaitement identifiable (éclat blanc toutes les cinq secondes). Le Sandettié était par ailleurs très visible sur les écrans radar des navires grâce à son transpondeur Racon (RAdar beaCON). Par mauvaise visibilité, il faisait entendre sa corne de brume, mauvaise visibilité qui augmentait les risques de collisions auxquelles ce navire captif ne pouvait échapper alors que les fortes tempêtes pouvaient le faire dérader." (source Wikipédia)...


souvenir de mon enfance : ma mère n'aimait pas entendre ce son triste lancinant et morne par temps de brouillard... son frère était marin de la marine marchande... cette corne de brume fait partie de l'histoire d'une époque...

"En raison de leur coût et des avancées technologiques, les bateaux-feux ont été progressivement remplacés par des bouées lumineuses" (Phares de France).

Le Sandettié a été désarmé en 1989... il reste le témoignage d'un passé de courage des hommes de mer.



alors remontons d'un niveau vers les "appartements"... 
La largeur ... 7 65 mètres... ! et tout doit permettre la vie à bord...
(plan exposé sur le bateau)...


la cuisine...


les frigos ... pas très grands pour 8 hommes pendant 15 jours !...


la "salle à manger" de l'équipage, deux hublots en hauteur, pas de décorations, un endroit exigu...


pour dormir... une couchette... une armoire... un lavabo...pour les gradés, des lavabos communs pour les matelots... vase clos pour une quinzaine...


"La relève avait lieu tous les 15 jours et était assurée par le navire baliseur si les conditions météo permettaient de transborder les hommes et le matériel. La vie à bord était monotone et pouvait être éprouvante quand la brume ou la tempête multipliait les risques d’abordage ou de déradage." (Phares de France)...


deux équipes se relayaient en quinzaine...le navire baliseur "Emile Alard" des phares et balises transportait les hommes pour la relève... quand il était en mission, la vedette Esquina le remplaçait... il y avait donc une couchette  pour chacun des deux capitaines... une couchette pour chacun des deux maîtres d'équipage et une couchette pour les deux cuisiniers...en alternance...
ci-dessous, la salle à manger des gradés...


revenons à la surface et montons sur le pont...

ce sera le 3ème et dernier volet de cette visite...



je vous avais parlé de ce bâteau-feu (ici !) qui naviguait par tous les temps pour signaler la position des côtes lors de mauvais temps ou temps de brume 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24..


"Mis à poste en 1949, le BF 6 (bateau-feu 6) fut appelé successivement Dyck et Sandettie, du nom des bancs de sable qu’il était chargé de signaler. À chaque changement d’affectation, on changeait le nom peint en grandes lettres blanches sur la coque." (phares de France)


Désormais à quai, il vit une seconde vie avec le Musée Portuaire...nous sommes allés le visiter... vous nous suivez ?



alors commençons par le fond de câle où toute la machinerie permettait aux vaillants équipages de signaler aux autres navires leur position...  un moteur de 120 chevaux... 47.5 mètres de long... à l'assaut des vagues et du mauvais temps...


Ils fallaient des hommes solides et compétents... Il ne suffisait pas d'avoir un moteur puissant pour ce bateau mais aussi des sources d'énergie pour alimenter la vie à bord...



là... en bas... le mur de contrôle permettait de surveiller l'ensemble du fonctionnement de ce bateau


pour y aller... un escalier ... je peux vous dire que j'ai pris le temps de descendre comme les marins... à reculons !!


au niveau au dessus... l'atelier... réparation d'urgence... il fallait tout à bord... pour que jamais ni le bateau ni le feu de signalisation là-haut n'arrêtent leur mission...

" L’équipage de ce navire sans destination se composait de 8 hommes chargés de conserver le bateau et son système d’éclairage en bon état de fonctionnement, d’effectuer et de transmettre des relevés météorologiques ou encore d’assurer la surveillance des navires qui passaient à proximité." (phare de France)


A l'intérieur, du bas jusqu'au sommet de la tourelle, un escalier de barreaux permettait de changer la lampe, faire des réglages même si c'était temps de forte tempête... mal de mer ? ...connais pas !...


un téléphone permettait à l'homme de quart d'appeler le capitaine dès qu'une urgence se présentait...

le deuxième volet sera consacré à la vie à bord...



flan abricotine

 15/04/2016
il faut :
1 petite boîte d'abricots au sirop léger
3 oeufs
80 g de farine
80 g de sucre
un peu de lait
1 pincée de sel
un peu de beurre pour le moule

beurrez, farinez votre moule, disposez vos oreillons abricots sur le fond... préchauffez votre four à 160°

dans un saladier mélangez la farine et le sucre.... ajoutez les jaunes d'oeufs et bien malaxer... ajoutez peu à peu le lait pour obtenir une pâte moins liquide qu'une pâte à crêpes...

Battez vos blancs en neige avec une pincée de sel... incorporez délicatement à votre mélange...

versez sur les fruits et enfournez pour 30 minutes... ajoutez un peu de temps si nécessaire.



pour une naissance

 15/04/2016
mon arrière petite cousine est née en janvier loin de la France..



les géodes de Kroll

 13/04/2016
eh bien dans nos balades de l'après-midi, nous sommes allés à la gare d'eau des péniches sous un temps mitigé de mi-avril... donc... alternance de soleil et..; de pluie et en revenant un petit détour par la Halle aux sucres et... surprise...
deux géodes avaient surgi sur le parking...


je suis sainement curieuse et bien sûr nous nous sommes approchés... bois et plastique mais qui avait-il à l'intérieur ?


encore une belle découverte... un décor en bois de palettes et des plantations .. un bananier... des aromates...marjolaine, armoise, camomille, thym... curieux !! mais... pourquoi ????


voici l'explication ... en supplément de l'exposition de la Halle aux sucres... le pourquoi de ces géodes où la nature rejoint la ville... où les habitants sont invités à venir échanger leurs graines, un instant de convivialité bien à l'abri dans les bulles !!!...


je ne suis pas encore allée voir cette expo... mais...la démarche m'intéresse.... dans la bulle où il faisait bon s'asseoir et regarder les plantes... il y avait une sorte de journal expliquant la démarche de Simone et Lucien KROLL...


tout y est expliqué... et nous pouvons voir quelques photos de leurs réalisations à Chaumont par exemple...


vivre avec la nature malgré l'urbanisme.... voici un plan de SImone...


et de fait,  le chemin (où l'on peut réserver son bois à l'abri des intempéries) mène à un autre cercle où l'on plante... betteraves sucrières et autres bienfaits de la nature... la ville et la nature...


nous étions bien dans ces bulles, a regarder la pousse de cocottier ou de bananier... à l'abri de la pluie de printemps.... une belle échappée hors du temps...



merci Françoise pour cette carte pleine d'humour !
 



art moderne

 12/04/2016
Je vous ai présenté le Jardin du LAAC ici,   ici et aussi  ...

Cet après-midi, nous étions partis faire une balade et donner du pain aux canards.. enfin certains se sont invités au repas lol !
 


et... il s'est mis à pleuvoir alors nous sommes entrés visiter le musée...


la "Tempérance de Niki de Saint-Phalle" vous attend pour commencer la visite...
Entre deux expositions, seuls les oeuvres phare de la collection sont accessibles...

les petits coussins de couleur vous invitent à vous asseoir pour lever le nez sur les différents niveaux...


l'ensemble du musée est très ouvert à la fois entre les salles....


mais aussi sur l'extérieur...


la lumière est partout présente jusqu'à l'éclairage zénital du plafond...


Nous avons pris le temps de re-découvrir le "Circus de Karel Appel"... monde étrange et coloré...


et celles de BEN ...pseudonyme de Benjamin Vautier, né le 18 juillet 1935 à Naples en Italie, artiste français d'origine suisse... Appartenant à l'avant-garde artistique post-moderne, Ben appartient au groupe Fluxus et est proche du Lettrisme (Wikipédia)...


au deuxième étage, sont classées les lithographies... Il suffit de tirer les tiroirs à la verticale ou à l'horizontale pour pouvoir les apprécier...


Nous étions contents que la pluie nous ait incités à faire cette petite pause culturelle...
Le soleil était revenu et nous avons pu continuer notre balade...



jeu de mots n° 9

 09/04/2016
pour la boutique qui vend des instruments à vent ...



Nous ne sommes que deux alors j'ai divisé les ingrédients et ... c'est très très bon !

sa recette est ici !



Extra ordinaire banane

 07/04/2016
douceur d'un fruit riche en Potassium, Phosphore, Calcium, vitamines A, B et C, on ne se lasse pas de parler de ses nombreuses vertus... En france, on compte 9 kg de bananes par personne et par an (7 bananes environ dans un kilo) ...

Dunkerque est le premier port français d'importation de fruits et légumes en conteners, dont principalement la banane... Le musée portuaire propose une exposition temporaire jusqu'en février 2017... de quoi vous donner la banane !



Longtemps limité dans l'exportation de leurs bananes, la Martinique et la Guadeloupe rencontraient le problème du mûrissement de ce fruit. Puis des bâteaux aménagèrent des cales frigos qui permettaient d'acheminer les fruits en 9 jours...

Aujourd'hui, les porte-conteneurs déchargent  à Dunkerque, 270 tonnes de bananes par an, en provenances des Antilles françaises,  selon les régles françaises en matière environnementale, sociale et de traçabilité alimentaire...


Le régime de bananes est découpé en 'mains" qui sont lavées et dont on enlève tout fruit abîmé ou trop mûr. Les "mains" seront ensuite scindées en "bouquets", déposés dans des cartons, emballées puis stockés dans les conteneurs maintenus à température de 13° C... cette température sera la même dans les entrepôts jusqu'à la mûrisserie...


"Un bateau de 750 conteneurs de 40 pieds arrive toutes les semaines" (source du net).
Contrôlés, les fruits un peu trop mûrs sont donnés à des associations et les moins consommables, transformés en produits pour animaux, ce qui est beaucoup plus utile et revient moins cher que de les détruire !

Les bananes partent ensuite pour les M.I.N., pour des centrales d'achat de supermarchés et dans toute l'Europe...
 


Présentée sur de jolis chariots, cette exposition, retrace l'histoire de la banane, depuis son arrivée des Indes dans les Antilles.

on y découvre l'organisation des plantations, la surveillance et l'état de mûrissement des fruits...


S'il existe 1000 à 1500 variétés de bananes (dont des bananes roses ou rouges ! ), nous consommons plutôt la "cavendish", la banane "Plantain" est considérée elle comme un légume ...




L'exposition ne laisse pas les enfants en reste et de nombreux jeux éducatifs leur sont proposés : charger un porte conteners avec des cubes de bois, répondre à des questions diverses, placer les planches au bon endroit pour trouver la réponse..., et même appuyer sur le ventre du Minion dégusteur de banane... (nous ne nous en sommes pas privé lol !)


comme aujourd'hui, c'était le vernissage, nous avons eu droit à des petits cadeaux... un crayon, un mini badge, une carte postale en cuir, de la documentation... et... une banane bien sûr !... un après-midi très instructif ...!



<< 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 >>

 

J'invite un ami à créer son blog
 
Votre prénom :
Prénom de votre ami :
E-mail de votre ami :
 
Message :