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Blog créé le 06/12/2009

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au plaisir de vous lire,
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vous encourage à commenter notre blog une fois la visite terminée.
Séve&Coco au plaisir
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POUR 4 PERS
6 œufs durs
1 jaune d’œuf
2 cuil. à soupe de moutarde forte
25 cl d’huile de pépins de raisins
1 cuil. à soupe de vinaigre de vin
1 cuil. à café de wasabi en pâte ou frais râpé
1 boîte de thon à l’huile d’olive
1 botte de ciboulette ciselée
Fleur de sel et poivre du moulin
 
Dans un saladier, versez le jaune d’œuf et la moutarde, mélangez. Faites couler l’huile en filet pour monter la mayonnaise. Finissez avec quelques gouttes de vinaigre, ajoutez le wasabi en pâte ou râpé avec un peu de moutarde. Mélangez et rectifiez l’assaisonnement.
Coupez les œufs durs en deux et garder les blancs intacts, râpez les jaunes, garder ¼ de côté et ajoutez le reste à la mayonnaise, mélangez délicatement, ajoutez la ciboulette. Versez dans une poche plastique et pochez dans les blancs d’œufs. Parsemez de jaunes râpés et ajoutez le thon à l’huile par-dessus.



Si les conflits entre mère et fille sont inévitables, c’est parce qu’il s’agit de deux femmes, qui cherchent d’abord à élaborer, ensuite à séparer leurs destins féminins.

Il n’y a pas de lien mère fille simple : 
la normalité est que celui-ci soit fait d’accords et désaccords, d’éloignements et réconciliations. Cela n’empêche qu’il y ait entre elles un amour incommensurable!

LE POUVOIR DE LA MÈRE

Tout enfant expérimente un état de détresse à l’origine, à cause de sa totale dépendance à l’égard de sa mère. Il pressent que sans elle, il n’est pas. La présence de la mère est ainsi ce qu’il désire le plus au monde.
( Le bébé apprend vite à sourire, à se rendre irrésistiblement mignon aux yeux de sa mère: en lui plaisant de la sorte, c’est sûr, elle ne le quittera pas d’une semelle ?)

Cette quête de l’amour de la mère est le fondement du pouvoir maternel sur sa vie. Comment risquer lui déplaire et la voir s’éloigner ? Les volontés de la mère deviennent vite des édits.

Chez la fille, cette quête – et ce pouvoir – acquièrent vite une dimension supplémentaire:
elle a autant besoin que le garçon de la mère qui nourrit et soigne mais elle en a besoin aussi pour accéder à son devenir en tant que femme.

C’est surtout à partir de l’impact causé par la découverte de la différence anatomique entre les sexes – quand la fillette s’aperçoit qu’elle "n’a pas", comme le garçon, un sexe visible sur lequel bâtir la création imaginaire de son être féminin – que la petite se tournera avec force vers sa mère, avec la question qui la taraudera toute sa vie:
"qu’est-ce qu’être une femme ?", croyant que celle-ci peut lui transmettre l’essence de la féminité. Or cette transmission est impossible. Ce n’est pas que la mère ne veuille pas le faire comme le suppose parfois la fille, mais elle ne le peut pas, car il n’y a pas de définition claire de l’expérience de la féminité comme il n’y en a pas de l’identité féminine:
il n’y a pas une façon d’être femme, mais une façon de chaque femme de l’être.

Mais tant que la fillette croira que la mère détient les clefs de la (et pourtant de sa propre) féminité, elle cherchera à être aimée d’elle, et craindra de ne pas l’être assez: assez pour s’assurer de sa présence, afin de ne pas perdre une miette de son secret.

Câlins, tendresse, obéissance… en s’efforçant de se faire aimer la fille délaisse quasi naturellement son propre désir, pour satisfaire celui de la mère. Mais cette situation ne peut se perpétuer. Qu’une fille demande à sa mère quelle robe elle doit porter peut signifier qu’elle ne sait pas quelle vêtement est approprié à la circonstance. Mais cela peut aussi vouloir dire "quelle robe veux tu que je porte ?"

Quand à l’adolescence la jeune se met à teindre les cheveux en rouge, à se faire un tatouage et un  piercings dans des endroits dont on ne soupçonnait pas qu’ils puissent être percés, elle ne fait que tester les contours de ses désirs – et de leur acceptation par sa mère. Pourtant, ces incursions par son propre désir sont si souvent motif de disputes qui se répètent et se perpétuent, sans qu’elles ne sachent plus quand ou pourquoi elles ont commencé.

Mieux vaut encore cela que le contraire. Car la quête de l’amour maternel, avec tous les compromis avec son propre désir qu’elle comporte, laisse des traces; nombre de filles y retourneront, voire succomberont, tout au long de leur vie.

Il est important que la mère veille à ce que son pouvoir – qui règne incontesté sur les faits et gestes de sa fille depuis qu’elle est née – ne se transforme en dictature. Qu’elle l’aide à accéder peu à peu à son propre désir, quand bien même (surtout !) différent du sien:
Quelle robe aimerais-tu porter ?
(Quelles études aimerais-tu faire ? Quelle femme aimerais-tu être?)

LA BONNE DISTANCE

Quelle mère ne se réjouit de l’amour complice que la fillette lui voue, satisfaisant les moindres de ses désirs si docilement ?
Après tout, fille elle aussi, n’a-t-elle pas aimé et voulu être aimée inconditionnellement de sa propre mère ?
(Et ne voudrait-elle être aimée de la sorte, aujourd’hui encore ?) Trouvant chez sa petite fille un tel amour, comment ne pas s’y rendre, corps et âme ?

Beaucoup de mères sont si captivées par cette relation aux tons idylliques, qu’elles auront du mal l’abandonner. Surtout si, n’ayant pas trouvé de réponse satisfaisante à la question qui les traverse depuis l’enfance – qu’est-ce qu’être une femme ? – elles s’accrochent à cet amour comme s’il pouvait les aider à y répondre. (Et dans une certaine mesure, il peut).

Si l’amour-colle auquel aspire la fillette l’aide à se construire, à partir d’un certain âge, il l’étouffe. Certaines mères auront néanmoins le plus grand mal à laisser partir la petite lorsque, devenue grande, elle voudra voler de ses propres ailes. Et les moyens ne manquent pas (chantage, culpabilisation ou douce séduction) pour garder leurs filles collées à elles, éternelles enfants  dépendantes – auprès desquelles elles cherchent, paradoxalement, à trouver une solution à leur propre position éternisée de fille n’ayant pas su élaborer la bonne séparation d’avec leur mères…

 

TROIS FEMMES, UN CORDON

Si on entend si fréquemment dire que ce cordon est difficile à couper, c’est parce qu’en fait il s’agit d’un double cordon :
un qui relie la fille à sa mère, l’autre à sa grand-mère, à laquelle la mère reste très connectée. Il s’agit ainsi de filles qui ont besoin, chacune à sa manière, de résoudre les problèmes qui les retiennent à leur mère.

L’incapacité d’une femme à quitter un cercle de répétitions, bonnes ou mauvaises, dans sa relation avec sa propre mère conduit souvent sa fille à essayer de l’aider – inversant par là l’ordre naturel de la vie, la fille prenant la responsabilité des évolutions émotionnelles de sa mère. Il est donc très libérateur pour une fille d’entendre "Tu n’as rien à voir avec cette histoire avec ta grand-mère, c’est mon problème" parce que cela lui indique que sa mère est prête à faire face à ses soucis sans son aide. Se voir mêlée à des problèmes qui ne la concernent pas est souvent l’une des raisons pour lesquelles une fille trouvera à se plaindre de sa mère, dans un avenir pas toujours très lointain.

 

LA MÈRE, CETTE FEMME

Si c’est à la mère que la fille adresse la question "qu’est-ce qu’être une femme ?" c’est parce qu’elle a l’intuition que celle-ci n’est pas seulement mère mais aussi femme. L’image féminine maternelle amène la fillette à rêver de son avenir de femme: elle chausse ses talons, elle porte ses robes, surtout elle l’observe…

Comprenant (si tout se passe bien) qu’il n’y a pas une réponse à sa question, celle-ci se transforme, principalement à partir de l’adolescence: "Maman, qu’est-ce qu’être une femme pour toi ?" 

Il est toujours problématique pour une fille de constater que celle-ci a renoncé à vivre sa condition féminine car elle ne disposera pas alors d’un modèle qui puisse l’aider à constituer le sien. Une mère encline à vivre pleinement sa condition féminine composant avec ces deux axes, maternel et féminin – aide sa fille à acquérir non pas un savoir sur la féminité, mais la certitude que l’essentiel est de "savoir y faire".

 

FAIRE FACE AU MANQUE

Seule une mère ayant résolu la question du manque de définition claire de son sexe en son propre corps est à même d’accueillir une fille, de l’aider à bâtir son identité féminine. Des femmes n’ayant pas réussi à subjectiver ce manque auront du mal à accompagner leurs filles dans ce parcours. La question reste parfois enfouie tant que la fille est petite. À l’adolescence, sa sexualité naissante menace la mère, la renvoie dans ses retranchements. Certaines transforment leur propre manque d’élaboration de leur sexe – vécu parfois comme un rien – en règles strictes. Bien sûr chaque famille a le droit d’élever ses enfants selon sa morale: mais y a un monde entre établir des règles de bienséance et nier la sexualité de l’adolescente. Imaginez l’impasse vécu par une fille dans cette situation – ou, pire encore, si elle (qui craint toujours de perdre l’amour de sa mère) obtempère… et rate, elle aussi, son destin féminin.

Si les conflits entre mère et fille sont inévitables, c’est parce qu’il s’agit de deux femmes, qui cherchent d’abord à élaborer, ensuite à séparer leurs destins féminins. En rééquilibrant ces facteurs à chaque nouvelle phase de vie, alors qu’elles avancent dans la distinction progressive de leurs corps, leurs désirs et leurs sexualités, elles peuvent néanmoins trouver le moyen de vivre une relation apaisée; aussi proche que celle, idyllique, des débuts, mais différente. Une relation où chacune est libre d’être l’artisan de sa propre féminité, et de se créer une façon propre – la sienne – d’être femme.




empreint de tendresse,

 07/12/2021
J'ai trouvée ce conte magnifique,
pour une soirée tout en douceur ,
j'ai voulu vous en faire cadeau .
J'ai bien fait non ?
 Un vieux conte Amérindien révèle que lorsque l’enfant est dans le ventre de sa mère, il possède toute la connaissance du monde.
Il sait combien d’étoiles sont dans le ciel,
combien de gouttes d’eau se trouvent dans la mer
et combien de grains de sable contient le désert.
Il connaît les mystères du ciel
et des étoiles,
de la terre et des océans.
Il connaît tous ces mystères car il est l’Univers entier.
Mais quand il est sur le point de naître,
son Ange gardien pose un doigt sur sa bouche scellant ainsi les secrets qu’il garde en lui et murmure :
"Apprends " ...!
Belle soirée à vous toutes et tous , prenez bien soin de vous ❤️🌹


Femme, noire, artiste de scène et née à l'étranger, Joséphine Baker est devenue, mardi 30 novembre, la sixième femme à entrer au Panthéon, après Simone Veil en 2018, lors d'une cérémonie célébrant son statut d'icône jazz des années 1920 et son engagement au côté de la France libre et dans la lutte antiraciste, de "femme défendant le genre humain" selon les mots d'Emmanuel Macron.

"Elle fit à chaque tournant de l'histoire les justes choix, distinguant toujours les lumières des ténèbres", a déclaré le chef de l'État lors d'une allocution d'une trentaine de minutes, voyant en elle une "incarnation de l'esprit français".

Un cénotaphe représentant l'ancienne vedette du music-hall a été transporté jusqu'à la crypte du monument parisien, sa famille n'ayant pas souhaité déplacer son corps, qui repose à Monaco.

Six membres de l'armée de l'air, que Joséphine Baker avait rejointe en 1944, ont porté le cercueil vide de sa dépouille, drapé des couleurs tricolores, sur un long tapis rouge déployé sur la rue Soufflot, au son du jazz et des plus belles chansons de l'interprète de "J'ai deux amours", entrecoupées d'un "Chant des partisans" entonné par le Chœur de l'armée française.



Seconde femme après Colette à avoir eu droit à des obsèques nationales, Joséphine Baker entre au Panthéon, pour y rejoindre les grandes figures grâce à sa riche vie d'artiste de music hall, de résisdente et de militaire antirasiste et est rentré il y a 7 jours, quarante six ans après sa mort, .
L'occasion de rappeler les relations amicales entre les deux femmes et les textes que Colette lui a consacré. A lire également, la biographie de Joséphine Baker
(aux éditions Tallandier par Gérard Bonal).
« Les voiles tombent, Joséphine Baker enjambe, comme une margelle, les étoffes qui la quittent, et d'un seul pas assuré elle entre dans la nudité et dans la gravité. Le dur travail des répétitions d’ensemble semble l’avoir un peu amincie, sans décharner son ossature délicate. Les genoux ovales, les chevilles affleurent la peau brune et claire, d’un grain égal, dont Paris s’est épris. Quelques années, et l’entraînement, ont parfait une musculature longue, discrète, ont respecté la convexité admirable des cuisses. Joséphine a l’omoplate effacée, l’épaule légère, mobile, un ventre de jeune fille, à nombril haut. [...]
Grands yeux fixes, armés de cils durs et bleus, pommettes pourpres, sucre éblouissant et mouillé de la denture entre les lèvres d’un violet sombre,
la tête se refuse à tout langage, ne répond rien à la quadruple étreinte sous laquelle le corps docile semble fondre...
Paris ira voir, sur la scène des Folies, Joséphine Baker, nue, enseigner aux danseuses nues la pudeur »
(Colette, La Jumelle noire, 12 octobre 1936)



POUR 4 PERS
12 noix de Saint-Jacques nettoyées
12 pièces de topinambour lavées et épluchées
4 poignées de mâche
1 orange
Huile d’olive
Vinaigre balsamique blanc
Fleur de sel & poivre du moulin ou du piment d'Espelette.
 
Plongez les topinambours entiers dans une casserole d’eau bouillante salée. Laissez-les cuire 8 minutes. Au terme de la cuisson, égouttez-les et déposez-les dans une assiette recouverte d’un papier absorbant. Coupez-les en morceaux.
Coupez les Saint-Jacques en tranches fines et déposez-les dans les assiettes creuses. Laissez-les à température ambiante. Dans un petit bol, versez le jus de l’orange, l’huile d’olive et une pointe de vinaigre balsamique blanc. Versez un trait de vinaigrette sur les tranches de Saint-Jacques, assaisonnez de fleur de sel et de piment d'Espelette ou de poivre du moulin. Assaisonnez la mâche avec la vinaigrette, salez et poivrez. Déposez joliment les topinambours en morceaux entre les Saint-Jacques, et les feuilles de mâche sur le dessus.



POUR 4 PERS
8 feuilles de pâte à lasagne sèches cuites à l’eau salée pendant 3 minutes
4 cuisses de canard effilochées
500 g de champignons bruns de Paris taillés en quartiers
200 g de trompettes de la mort bien nettoyées
200 g de grandes feuilles d’épinard lavées
15 g de beurre
½ botte d‘estragon ciselée
1 morceau de parmesan de 200 g
Huile d’olive
Sel fin et poivre du moulin
Pour la sauce Béchamel :
• 40 g de farine
• 40 g de beurre
• 50 cl de lait entier
• 125 g de parmesan râpé
• 1 morceau de parmesan ou autre fromage à râper
 
Taillez les champignons en quartiers, dans une poêle chaude, versez quelques gouttes d’huile d’olive et versez les champignons, assaisonnez-les de sel fin et ajoutez une noix de beurre. Déposez-les dans une assiette. Cuire les trompettes de la mort de la même façon. Effilochez les cuisses de canard dans un saladier. Ajoutez la viande aux trompettes cuisinées, un morceau de beurre, continuez à cuisiner. Ciselez finement l’estragon et versez le dans la préparation.
Préchauffez le four à 200°C. Dans une casserole, déposez le beurre, faites-le fondre, ajoutez la farine, mélangez, et laissez cuire 8 minutes pour faire un roux blond sans coloration. Versez le lait. Ajoutez le parmesan. Mélangez et gardez de côté. Dans une grande casserole d’eau bouillante salée plongez les feuilles d’épinard et cuisez-les quelques instants. Puis déposez-les dans un bain d’eau glacée et égouttez-les sur une feuille de papier absorbant.
Dans le plat, déposez une couche de pâte à lasagne cuite, puis une couche de viande aux champignons, nappez de béchamel et, une couche de pâte, déposez les champignons poêlés et râpez du parmesan par-dessus, puis une nouvelle couche de pâtes, nappez de béchamel, déposez les feuilles d’épinard cuites et parsemez de parmesan râpé.
Enfournez 15 à 20 minutes pour que le plat se compote et grille légèrement sur le dessus.




Burger à cheval

 09/10/2021
  • 900 g de boeuf haché
  • 2 cl d’huile d’olive
  • 3 pincée de sel fin
  • 3 tours de moulin à poivre
  • 2 cl de vinaigre d’alcool rouge
  • 6 oeufs
  • 2 oignons blancs
  • 20 g de beurre doux
  • 6 pains burger

Pour les oignons :

Eplucher l’oignon et le tailler en rondelles de 8mm. Enlever les anneaux du centre pour avoir une rondelle vide à l’intérieur, il en faut 6
Faire mousser le beurre et faire dorer légèrement les 6 rondelles d’oignon, saler, poivrer.

Pour les oeufs :
Casser les oeufs dans un ramequin à part.
Ajouter un filet d’huile dans la poêle et verser un oeuf au centre de chaque rondelle d’oignon.
Couvrir et poursuivre la cuisson environ 5 minutes. Le jaune doit être juste pris. Saler, poivrer.

Pour les burgers :

Former 6 steaks de 150 g pièce. Saler et poivrer.
Chauffer l’huile d’olive dans une poêle et faire dorer les steaks sur les deux faces. Temps de cuisson pour une cuisson saignante, 5 à 6 minutes en tout.
Réserver.
Chauffer les pains burger dans la poêle.




  • Une recette copieuse et réconfortante qui marie le fondant de la pomme de terre, le croustillant de la viande de porc fumée, dans un plat relevé de noix de muscade et de bouillon de bœuf ou de volaille, au choix.
  • pour 6 pers, prépa 15mns, cuisson 60mns
  • 1 kg de pommes de terre à gratin
  • 200 g de poitrine fumée
  • 3 oignons
  • 50 g de beurre
  • 50 cl de bouillon de boeuf ou de volaille
  • 2 pincées de noix de muscade
  • 10 tours de moulin à poivre
Pelez et lavez les pommes de terre ; coupez-les en tranches de 3 mm d'épaisseur.
Préchauffez le four à 180° (th. 6).
Beurrez un plat à gratin et disposez au fond une couche de pommes de terre.
Parsemez de lardons et d'oignons finement émincés. Continuez ainsi jusqu’à épuisement des ingrédients en terminant par une couche de lardons.
Arrosez le plat avec le bouillon chaud.
Parsemez de noisettes de beurre et enfournez pour 1 heure.
Piquez une lame de couteau dans le plat afin de vérifier le degré de cuisson des pommes de terre.
Prolongez la cuisson si nécessaire.
Servez le gratin bien chaud, accompagné d'une salade verte.



  • Une recette gourmande à l'italienne, qui met en valeur les qualités culinaires de la pomme de terre relevée de pin grillés, de crème fraîche et de parmesan frais.

  • 4 pers, prépa 25 mns, cuisson 60 mns

  • 1 pâte à pizza
  • 300 g de pommes de terre pour cuisson vapeur/à l'eau
  • 200 g de courge butternut
  • 5 tranches très fines de jambon de Parme
  • 20 g de pignons de pin grillés
  • 4 c. à s de crème fraiche épaisse
  • 30 g de parmesan frais
  • 1 filet d'huile d’olive
  • Sel, poivre du moulin
  • Quelques feuilles de cresson
  • Quelques feuilles de basilic

Pour le pesto de Cresson-basilic :

  • 20 g de pignons de pin grillés
  • 30 g de parmesan frais râpé
  • 1 petite botte de cresson
  • 1 botte de basilic frais
  • 1 gousse d’ail
  • 10 cl d'huile d'olive
  • Quelques gouttes de jus de citron
  • Sel, poivre du moulin

Lavez et plongez les pommes de terre dans une casserole d’eau froide salée. Faites précuire pendant 10 à 15 minutes environ. Passez les pommes de terre sous l'eau froide, égouttez et épluchez-les. Coupez en tranches fines puis réservez.

Préparez le pesto : rincez et effeuillez les herbes. Epluchez et dégermez l'ail.

Dans le bol du robot, mixez le basilic, le cresson, l'ail, les pignons de pin grillés, le parmesan frais râpé, et l’huile d’olive. Rectifiez l'assaisonnement. Ajoutez quelques gouttes de jus de citron et réservez au frais.

Préchauffez le four à 200°C (th.6-7).

Epluchez et taillez la courge en fines rondelles à l'aide d'une mandoline. Réservez.

Déroulez la pâte à pizza sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé.

Etalez la crème fraîche sur toute la surface. Alternez des tranches de courge et de pommes de terre. Salez, poivrez. Parsemez quelques copeaux de parmesan, et des pignons grillés. Arrosez d'un filet d'huile d'olive et enfournez pendant 18 à 20 minutes environ en surveillant la cuisson.

A la sortie du four, répartissez un peu de pesto cresson-basilic, ajoutez les tranches de jambon de parme et parsemez de quelques feuilles de basilic et de cresson puis dégustez sans plus attendre !
Servez votre pizza accompagnée du restant de pesto.




la vie est belle

 09/10/2021
QUANDS LES PARENTS VIEILLISSENT...

Laissez-les vieillir avec le même amour qu'ils vous ont laissé grandir...
laissez-les parler et raconter des histoires répétées avec la même patience et le même intérêt qu'ils ont entendu les vôtres dans leur enfance...
laissez-les surmonter, comme tant de fois où ils vous laissaient gagner...
laissez-les profiter de leurs amis comme ils vous laissent ...
laissez-les profiter des discussions avec leurs petits-enfants, car ils vous voient en eux ...
laissez-les profiter de vivre parmi les objets qui les accompagnent depuis longtemps, parce qu'ils souffrent quand ils sentent que vous arrachez des morceaux de cette vie ...
laissez-les se tromper, comme tant de fois vous vous êtes trompé et ils ne vous ont pas embarrassé en vous
corrigeant ...
LAISSEZ-LES VIVRE et essayez de faire les heureux du dernier tronçon du chemin qu'il leur reste à parcourir ;
donne-leur la main, tout comme ils t'ont donné la main quand tu as commencé ton chemin !



Tu es importante. Tu es digne.

À la maman se cachant dans sa salle de bain, ayant besoin de paix pendant une minute, alors que les larmes roulent sur ses joues…

Pour la maman qui est si fatiguée qu’elle se sent comme si elle ne pouvait plus fonctionner et ferait n’importe quoi pour se coucher et obtenir le repos dont elle a besoin…

Pour la maman assise dans sa voiture, seule, à manger en secret parce qu’elle ne veut pas que quiconque voit ou sache qu’elle mange ce truc pas très santé…


À la mère pleurant sur le canapé après avoir crié sur ses enfants pour quelque chose de pas si important et qui se sent maintenant coupable et indigne…


Pour la maman qui essaie désespérément de mettre ses vieux jeans parce que tout ce qu’elle veut vraiment c’est de se regarder dans le miroir et se sentir bien dans son corps…

Pour la maman qui ne veut pas quitter la maison parce que la vie est juste trop difficile à gérer en ce moment…


À la maman qui appelle pour faire livrer une pizza encore une fois cette semaine parce que le dîner ne s’est pas produit de la manière dont elle l’aurait voulu…


Pour la maman qui se sent seule, que ce soit dans une chambre vraiment seule ou debout au milieu d’une foule…

Tu es assez. Tu es importante. Tu es digne.

C’est une phase de la vie. Il s’agit d’une phase vraiment très difficile, difficile et folle.

En fin de compte, tout vaudra la peine. Mais pour l’instant, c’est dur. Et c’est difficile pour beaucoup d’entre nous, de différentes façons. Nous ne parlons pas toujours, mais c’est difficile et ce n’est pas seulement difficile pour toi.

Tu es assez. Tu fais de ton mieux.

Ces petits yeux qui te regardent – ils pensent que tu es parfaite. Ils pensent que tu es plus qu’assez.

Ces petites mains qui veulent te tenir – elles pensent que tu es la plus forte. Elles pensent que tu peux conquérir le monde.

Ces petites bouches qui mangent la nourriture que tu leur sers
– elles pensent que tu es la meilleure parce que leurs ventres sont pleins.

Ces petits coeurs qui tendent la main pour toucher le tien
– ils ne veulent rien de plus. Ils ne veulent que toi.

Parce que tu es assez. Tu es plus qu’assez, maman.ღ

 




Monter les 2 étages, c'est à la fois un retour dans le passé et rencontrer un libraire exceptionnel attaché à conserver un lieu de vie authentique.
Vous plongerez dans l'histoire de la Bretagne, de sa vie quotidienne-
foultitude d'objets hétéroclites qui donnent une âme à ce lieu.
Et bien sûr des monceaux de livres, de BD, des CD..










Les mondes enchantés existent encore parce que l'enfant en nous ne meurt jamais. Les portes sont peut-être plus obscures, mais nous  pouvons toujours les chercher.Il y a encore de nobles aventures à entreprendre.
Il y a encore des arbres qui parlent et des cavernes qui mèneent à des royaumes ancrés.Il y aura toujours des fées, des elfes, des korrigans dans la nature.



Les Tunnels

 01/10/2021

- Grand-mère, comment faire pour s'en sortir ?

- En y allant, mon enfant, jusqu'au bout. Avec chaque centimètre de toi. On ne peut pas traverser un tunnel en le regardant de l'extérieur, en y mettant qu'un pied ou en courant dans l'autre direction. Tu dois y entrer de tout ton être : toucher les murs, respirer les odeurs, écouter le moindre bruit. Apprends à te familiariser avec son obscurité, comme le chat qui marche la nuit, de manière élégante et sûre. Ce n'est qu'alors que tu verras la lumière. Et tu pourras t'en sortir.
- Et si je n'en voyais pas la fin ?
- Alors il ne sera pas encore temps d'en sortir. Tu auras davantage de Trésors à y découvrir, des Perles de Sagesse à ramasser, des lueurs de conscience à voir. Aie foi en l'Univers. C'est de là que viennent les tunnels où tu es appelée à vivre. Assieds-toi dans cette obscurité et laisse-toi traverser par ses grands Enseignements.
- J'ai peur dans cette obscurité.
- Ce n'est pas de l'obscurité dont tu as peur. C'est de la lumière que tu pourrais voir au bout de ce tunnel. Et qui pourrait changer toute ta vie ! Apprends du Loup, mon enfant. Dans l'obscurité, il devient vivant, il se laisse guider par son instinct, il se précipite à l'appel de son Âme. Et dès qu'il voit la lumière de la Pleine Lune, il lui chante un air ancien pour l'honorer...
Hurle toi aussi à tes tunnels, danses-y avec passion, considère-les comme des passages d'un monde à l'autre. Ne te vois plus comme une victime. Il est temps de devenir Prêtresse.
Et de célébrer tes merveilleuses métamorphoses !

 ☥ C'est Ton Féminin Sacré ☥




On ne se méfie jamais assez des êtres qui semblent tout accepter, tout supporter en silence et parfois même en souriant.
Leur soumission parait sans limite, leur tolérance inépuisable, puis un jour ils quittent le jeu, tournent les talons, claquent une porte, et c’est définitif.
On ne peut plus rien pour les retenir.
Intérieurement, ils ont fait tout le chemin, bloqué les comptes, ils ne sont presque déjà plus là quand ils annoncent qu’ils vont partir. 💞




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