Temps de préparation : 20 minutes
Temps de cuisson : 20 minutes
POUR 4 PERS • 1 ananas épluché
• 3 pêches lavées
• 125g de fraises lavées et équeutées
• 1 melon épluché et épépiné
• 1 kiwi épluché
Crème de basilic :
• 25cl de crème liquide entière 35% de MG
• 15g de sucre en poudre
• 1 gousse de vanille
• Quelques feuilles de basilic
Taillez l’ananas en fines tranches, puis les pêches, les fraises, le melon et le kiwi. Réservez-les dans une assiette.
Dans un saladier frais, versez la crème liquide avec le sucre et la pulpe de vanille. Monter en chantilly à l’aide du batteur électrique jusqu’à l’obtention d’une crème ferme.
Dans le fond d’une assiette, déposez la chantilly, puis les lamelles de fruits en rosace en créant du volume selon la technique du Chef. Ajoutez des feuilles de basilic.
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Temps de préparation : 10 minutes
Temps de cuisson : 25 minutes
POUR 4 PERS 1 pâte feuilletée
20g de beurre
½ oignon épluché et ciselé
¼ de carotte épluchée et coupée en petits cubes
1 gousse d’ail épluchée
1 branche de thym frais
300g de sauce tomate
1 courgette lavée
¼ de botte de radis rose
1 fenouil lavé
8 figues lavées
150g de stracciatella ou burrata
Vinaigre de vin
Huile d’olive
Fleur de sel et poivre du moulin
Préchauffez le four à 200°C.
Dans une sauteuse chaude, versez un peu d’huile d’olive puis le beurre, laissez colorer légèrement puis ajoutez l’oignon et la carotte, faites- les suer. Assaisonnez de sel fin. Ajoutez la sauce tomate, le thym et l’ail. Laissez cuire 10 minutes, jusqu’à ce que l’eau de végétation disparaisse. Vérifiez l’assaisonnement. Réservez.
Taillez la courgette, le fenouil et les radis en fines lamelles à l’aide d’une mandoline. Déposez les copeaux de fenouil et de radis dans un bain d’eau glacé pour qu’ils deviennent bien croquants. Déposez les lamelles de courgettes dans une assiette. Taillez les figues en quartiers. Réservez.
Sur une feuille de papier sulfurisé que vous aurez au préalable déposé sur une plaque à pâtisserie pouvant aller au four, déposez la pâte feuilletée, puis un cercle de 22 cm de diamètre par-dessus sans appuyer et coupez à l’aide d’un couteau la pâte autour du cercle. Déposez par-dessus une seconde feuille de papier sulfurisé et une plaque à pâtisserie pour éviter que la pâte ne gonfle. Enfournez pour 16 minutes. Vérifiez la cuisson dessous et sur les côtés. Sortez la pâte feuilletée. Laissez-la de côté.
Déposez les tranches de courgettes, les figues et les légumes croquants bien égouttés dans une assiette, assaisonnez-les de vinaigre de vin et d’huile d’olive, de fleur de sel et de poivre du moulin.
Sur la pâte feuilletée, déposez la sauce tomate tiède, des points de stracciatella ou burrata et les légumes en vinaigrette.
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Temps de préparation : 20 minutes
Temps de cuisson : 20 minutes
POUR 4 PERS
2 litres de bouillon de poulet maison
3 bâtons de citronnelle
3 feuilles de lime ou combawa (séchées)
2 piments frais
1 morceau de gingembre de 5cm
2 choux Pak Choï
10 petits maïs coupés en morceaux
4 tomates lavées et coupées en cubes
1 cuil. à soupe de pâte de piment rouge
8 cuil. à soupe de sauce nuoc-mâm
1 cuil. à café de coriandre en poudre
1 cuil. à café d’ail râpé
2 jus de citron vert
12 crevettes type gambas crues
1/2 botte de ciboulette thaï ciselée
Quelques feuilles de coriandre
Sel fin et poivre du moulin
Épluchez et taillez en rondelles le gingembre. Fendez en deux les tiges de citronnelle. Dans le bouillon chaud, plongez la citronnelle, les feuilles de lime, le piment, le gingembre, couvrez et portez à ébullition.
Ajoutez le maïs et les tomates. Coupez les choux Pak Choï et plongez-les dans la casserole, puis laissez cuire 10 minutes.
Pendant la cuisson du bouillon, décortiquez les crevettes en prenant soin d’enlever les boyaux à l’aide d’un petit couteau. Ajoutez la pâte de piment rouge, la sauce nuoc-mâm, la coriandre en poudre, l’ail, le jus de citron vert dans le bouillon.
Ajoutez les crevettes et laissez cuire 2 minutes. Servez dans des assiettes creuses. Parsemez de ciboulette et de feuilles de coriandre.
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Les aigles vivent 70 ans, mais à 40 ans, ils doivent prendre une décision difficile, leurs ongles deviennent si longs et flexibles qu'ils
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Il y a longtemps, alors que je me promenais vers Plougastel-Daoulas, mes pas m'entraînèrent au bout de la presqu'île et je tombais par hasard sur un éleveur d'huîtres plates. Sa réputation l'avait précédé et je connaissais déjà son nom sans précisément savoir qu'il se trouvait là. L'homme se montra aimable et me fit visiter son parc au fond de la rade de Brest. La journée tirait à sa fin et je le vis prendre une petite corbeille en osier au fond de son bateau, y déposer un morceau de lard et poser le tout sur l'eau. Je lui demandai si ce rituel était lié à son succès. La question n'était visiblement pas à poser car l'homme se renfrogna. Je ne voulus pas insister mais quand, au hasard d'une nouvelle conversation, je mentionnais ma qualité de président de la maison des contes et légendes de Cornouaille, il se détendit et revint de lui-même à la question qui semblait l'avoir gêné quelques temps auparavant. – Mon succès est un secret que j'accepte de vous révéler car il m’apparaît désormais que vous êtes apte à l'entendre. Si je suis si heureux avec mon élevage d'huîtres, c'est grâce au poulpiquet des huîtres. J'ouvrais de grands yeux étonnés. Il poursuivit. – Je vous vois circonspect, mais c'est vrai. Je l'ai rencontré ici alors que je n'étais pas encore installé et que je cherchais l'endroit adéquat. Un vieux bonhomme d'un mètre de hauteur qui tournait et retournait dans ses mains une huître qu'il venait de sortir de la mer. " Est-ce que vous cherchez des perles ? lui demandai-je. – Non, répondit-il ; je compare cette espèce, ou plutôt cette variété, à toutes celles que je connais déjà. – Ah ! vraiment ? vous êtes amateur ? – Il s'agit là d'un doux euphémisme me concernant, mais j'accepte le qualificatif donc oui, monsieur ; et vous ? – Moi ? A vrai dire je cherche un endroit pour y développer un élevage. – Bravo ! me répondit-il, nous pourrons nous entendre. Je me mets absolument à votre service.... si vous parvenez à me battre ! Alors brusquement il entra en fureur, et, reculant d'un pas, il saisit un gros marteau d'acier, apparu comme par magie, qu'il brandit d'une main convulsive. Je saisis à temps le bras du gnome et lui arrachai son arme ; mais il s'élança sur moi et s'y attacha comme un poulpe. Cette étreinte d'un affreux bossu me causa une telle répugnance, que je me sentis pris de nausées et le menaçai de lui briser l'échine s'il ne me lâchait pas. Je ne sais trop alors ce qui se passa. Le gnome était d'une force surhumaine ; je me suis retrouvé étendu par terre, et, alors, ne me connaissant plus, je ramassai un pieu apporté par les eaux, puis me mis à sa poursuite. Je le vis ramper dans la vase et chercher à me saisir les jambes. Un coup vigoureusement appliqué sur l'échine lui fit jeter un cri si étrange, et il devint petit, si petit, que le vis entrer dans une énorme coquille qui bâillait à mes pieds sur le rivage. – C'est bon je crois que ça ira comme ça ! entendis-je de la coquille. Je suis désormais à votre service jusqu'à la fin de vos jours si vous décidez de vous installer ici pour y élever des huîtres. " Et c'est ainsi que tout a commencé. Mes huîtres sont maintenant connues dans le monde entier. Je n'ai jamais revu le poulpiquet des huîtres mais je reconnais régulièrement des signes de sa présence discrète. Alors chaque soir avant d'aller dormir, je viens sur mon élevage et laisse une petite corbeille sur la mer dans laquelle je dépose quelque chose à son intention. C'est ma façon à moi de le remercier. Quand vous vous réveillerez hier ira de l'avant et demain sera aujourd'hui d'ici-là bonne nuit les ami-e-es ! |
Aujourd’hui, je veux te parler de toi. De moi. De nous. Les gens disent parfois que tu es capricieuse. Que tu veux toujours être dans les bras de maman. Que je te gâte en répondant à tous ces " mama " que tu dis à répétition, malgré ton très jeune âge. Que je devrais te laisser pleurer un peu plus, essayer de te donner un peu d’autonomie. Mais c’est quoi toute cette folie autour de l’autonomie ? Tu n’as même pas encore un an qu’il faudrait déjà te laisser t’organiser toute seule. Tu veux mon opinion, mon baby panda ? C’est vrai que depuis que tu te déplaces, tu me suis partout dans la maison. C’est vrai qu’il m’est impossible d’aller aux toilettes sans avoir ta petite frimousse qui me regarde faire ma composition. C’est vrai que si tu ne te trouves pas dans la même pièce que moi, tu hurles ta vie. Que tu ne joues pas seul avec tes jouets si je ne suis pas à portée de ta vue. Mais en même temps, en me suivant partout, tu apprends. Tu plies du linge avec moi. Tu me regardes faire la cuisine du haut de ta tour de contrôle. Tu fais tes vocalises sur le son de l'aspirateur avec plaisir . Tes petits doigts fouillent et découvrent, tant que je suis près de toi. Mais sais-tu quoi ? C’est vrai que tu détestes le silence. C’est vrai que je dois te parler sans cesse pour que tu gardes ta bonne humeur. C’est vrai que je dois inventer des comptines pour te faire sourire. Mais la voix qui t’a bercée tous ces mois au creux de mon ventre, c’était la mienne. Pourrais-je t’en vouloir de désirer l’entendre encore et encore ? Mes comptines, aussi mauvaises soient-elles, te font tellement plaisir. Alors, ma baby panda , maman apprend à chanter pour toi. C’est vrai que tu as bouleversée mes certitudes quant au sommeil d’un bébé. C’est vrai que parfois jugé les mamans qui pratiquaient le cododo. Mais ça, c’était avant toi. Parce que toi, ma baby panda tu ne t’endors que si tu sens mon odeur et la chaleur de mon corps contre toi. Que tu te réveilles la nuit pour être certaine que je suis encore près de toi. Mais je ne t’en veux pas mon amour. J’ai été ta maison pendant neuf mois. Il est normal que tu te sentes chez toi dans mes bras. Alors oui, mon baby panda d'amour, tu dors bien souvent collée entre les coussins et maman, et on est heureuses comme ça. Les autres voudraient bien que tu dormes dans ton lit, mais les autres, ce n’est pas nous, ma baby panda . C’est vrai que des fois je suis fatiguée d’être collée à toi presque tout le temps. C’est vrai que je peux difficilement te faire garder par quelqu’un d’autre, ma présence te manquant beaucoup. C’est vrai que quand je ne suis pas là, il peut t’arriver de pleurer beaucoup. Mais c’est aussi vrai que j’ai la chance que tu sois un petit pot de colle avec ton papa également pendant tes gardes, ce qui n’est vraiment pas le cas de tous les petits pots de colle d'amour comme toi. Alors, parfois, j’ai une petite pause. Mais tu sais quoi, ma baby panda d’amour ? Il y a en qui appelle ça des caprices. Moi j’appelle ça notre façon de nous AIMER ! |
Préchauffez le four à 190°C.
Coupez les pommes épluchées en lamelles et faites-les mariner avec l’armagnac dans un plat.
Prenez les feuilles de pâte filo, beurrez-les et sucrez-les, puis déposez 6 feuilles filo les unes sur les autres dans un moule ou un cercle à tarte. Déposez ensuite les lamelles de pommes, puis les 6 autres feuilles filo dessus.
Coupez le surplus de pâte qui dépasse et déposez-le sur la tarte, saupoudrez de sucre et ajoutez quelques cubes de beurre. Enfournez 30 minutes. Au terme de la cuisson, laissez refroidir et servez hors du moule.
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Coupez la brioche gâche en tranches épaisses. Dans une assiette creuse, cassez les œufs, battez-les en omelette et ajoutez un peu de rhum. Trempez les tranches de brioche dans le lait, puis dans les œufs battus.
Dans une poêle chaude, déposez le beurre, laissez-le colorer et déposez les tranches de brioche, saupoudrez de sucre pour les faire caraméliser. Retournez les tranches. Saupoudrez de nouveau de sucre et ajoutez une noix de beurre. Déposez dans les assiettes.
Versez les fruits dans la poêle, mélangez et faites-les caraméliser avec une noix de beurre et un peu de sucre. Déposez les fruits sur les brioches.
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Préchauffez le four à 180°C.
Dans un bol, hachez le persil effeuillé, mélangez-le avec l’ail râpé, le fromage de chèvre et le beurre pommade. Salez et poivrez.
Coupez la baguette en deux dans la longueur. Nappez du mélange de fromage de chèvre. Refermez la baguette et coupez-la en morceaux réguliers. Déposez les morceaux de baguette sur la plaque recouverte d’une feuille de papier sulfurisé.
Enfournez pour 8 à 10 minutes.
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