Bonjour et bienvenue chez moi!
J'ai ouvert ce blog pour partager un tas de choses avec vous qui passez me rendre visite!
Amicalement.
Chantal.
Un ami, c'est quelqu'un qui vous connait bien et vous aime quand même .....
Hervé Lauwick
Bien sûr; ce pain de poisson demande un peu de cuisson au four (il fait si chaud!); mais il se mange froid; et c'est un plat plein de fraîcheur!
Ingrédients; - 400 g de poisson blanc (j'ai pris du cabillaud) - 3 œufs - 20 cl de crème fraîche épaisse - 1 petit poivron rouge - 1 petit poivron jaune - 1 petite courgette - 1 grosse échalote - thym, ciboulette. - 2 litres de court-bouillon de poisson - sel, poivre. - j'ai mis une dose de safran..vous pouvez mettre une pincée de curry, si vous préférez; c'est facultatif! Recette; Pocher les filets de poisson 20 minutes dans un court-bouillon frémissant, puis les égoutter. Couper les 2 poivrons, l'échalote et la courgette en brunoise, ajouter le thym effeuillé. Faire confire le tout une vingtaine de minutes à la poêle avec un filet d'huile d'olive, à feu doux, saler et poivrer. Préchauffer le four à 180 °. Huiler un moule à cake de 20 à 25 cm de long, où comme moi, tapisser ce moule avec un papier sulfurisé, déposer la brunoise dans le fond du moule. D'autre part, mélanger les œufs, la crême fraîche et la ciboulette ciselée, saler et poivrer. Emietter le poisson et et ajoutez-le à la préparation aux œufs, bien mélanger le tout. Verser la préparation sur la brunoise, et enfourner pour 40 à 45 minutes. Laisser refroidir complètement avant de démouler et réserver 24 heures au frigo. J'ai démoulé au moment de servir! Décorer à votre idée; j'ai posé quelques tomates cerises du jardin...
Servir bien frais, accompagné d'une bonne mayonnaise 'maison', bien sûr!
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Alors que nous avions vu une dizaine de phoques sauter autour du bâteau lors de notre sortie en baie de Somme; le propriétaire de notre chambre d'hôtes nous a indiqué où aller pour les voir; à Berk (près du centre nautique pour ceux qui sont dans la région en cette période).
Et là; pas besoin de les chercher; il y toute une colonie de phoques et de veaux marins (une centaine) qui se prélassent sur les bancs de sable, appelés reposoirs; il suffit d'y aller 2 h 30 avant la marée basse pour les observer sans les déranger; ces bancs de sable se découvrent et ils en profitent pour se réchauffer et se reposer. Il nous suffit de rester sur la digue, ils sont à une cinquantaine de mètres seulement. J'ai sorti le zoom pour ces photos; mais on les voit très, très bien à l'œil nu! Ces phoques ont longtemps été chassés pour leur peau et leur graisse, et les bébés pour leur fourrure; depuis 1972, leur chasse est interdite, et petit à petit, ils se sont installées sur cette côte, en particulier à Berck et en baie de Somme.
Le veau marin a une tête ronde ainsi qu'une fourrure parsemée de marques claires et très fines, Mr peut mesurer jusqu'à 2 m et peser jusqu'à 170 kg, quant à Mme, elle peut mesurer jusqu'à 1 m 70 et peser jusqu'à 150 kg.
Le phoque qui est 2 fois plus gros que le veau marin peut mesurer de 2 m 50 à 3 m et peser jusqu'à 250 kg. Mme, elle, mesure 1m 70 à 2m20 et pèse jusqu'à 200 kg...de belles bêtes!!! Le phoque est un redoutable chasseur; il est capable de repérer un poisson jusqu'à 180 m! Chacun mange au moins 3 kg de poissons par jour.
Ils ne font d'ailleurs pas toujours très bon ménage avec les pêcheurs, car ils ont trouvé un bon système pour se nourrir: un vrai garde-manger; ils se servent directement dans les filets des marins pêcheurs, occasionnant de gros dégats dans ces filets. Malgré les pertes financières déplorées par les marins, il n'y 'a 'que' quelques centaines de phoques sur les côtes françaises (environ 800), contre 145 000 sur les côtes anglaises. D'après le chef du service Océanopolis, il n'y a donc pas de quoi s'inquiéter, selon lui leur présence est le signe d'une abondance de poissons! Après les loups et les ours; cela est une autre polémique... Quant aux touristes; ils sont ravis...
Pas dérangés; ils font la crêpe; sur le dos... sur le côté...
et le ventre!
Et quand ils ont faim; ils plongent pour aller se ravitailler, ils peuvent rester 7 minutes sous l'eau...
Ils plongent pour se nourrir, où pour se rafraîchir, tout simplement, comme celui-ci qui nous a bien amusé; il jouait dans l'eau en remuant ce qui ressemble à une grosse nageoire; il la remuait et on aurait pu penser qu'il nous faisait un petit coucou... il faisait la banane. .avec sa petite gueule ravie! lol Bonne journée!
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dans notre haie!
Depuis quelques semaines, nous avions repéré le manège d'un couple de pigeons dans une haie qui se trouve à quelques mètres de la fenêtre du salon... et alors que JC s'apprétait à tailler cette haie, nous nous sommes aperçus que les bébés étaient nés!; ils sont bien camouflés; il faut bien ouvrir l'œil, par contre, eux, m'ont repéré! Je vais chercher le zoom!
Ils sont donc deux, vous voyez le second qui se cache au fond?
Celui-ci est plus téméraire, il se tient en permanence au bord de la haie..
Il est déjà bien gras le pépère!
il est prêt à s'envoler, il fait d'ailleurs des essais!
Envolez vous bien vite les cocos; JC aimerait terminer de tailler cette haie! lol
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Nous avons beaucoup parlé de virus cette année; mais s'il y en a un que Françoise (Graine de Sucre) m'a transmis et dont je ne tiens pas à me débarrasser; c'est bien celui qui consiste à repérer les jeux de mots! D'ailleurs, JC a du être contaminé à son tour, car c'est lui qui m' a montré cette enseigne!
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Alors que nous n'avons pas eu de mirabelles l'année dernière; cette année; elles sont bien là et nous en profitons!
Bien sûr, la tarte et les confitures seront incontournables; pour la tarte; de la pâte, des mirabelles, un peu de sucre...40 minutes au four, c'est tout... c'est du bonheur! Par contre, aujourd'hui, je vous propose un gâteau très fondant avec ces mirabelles caramélisées; un pur délice! - 600 g de mirabelles
- 4 œufs - 160 g de sucre - 90 g de beurre salé - 75 g de farine - 1 sachet de levure - 2 cuillères à soupe eau de vie de mirabelles (facultatif) Faites caraméliser 45 g de beurre salé avec 80 g de sucre, hors du feu, ajouter les mirabelles dénoyautées, mélanger bien pour les enrober; vous pouvez remettre le tout à feu très doux quelques petits instants, pour bien faire refondre le caramel qui a un peu 'redurci'. Mettre le tout au fond d'un moule à manqué (je fais le caramel directement dans ce moule). Séparer les blancs des jaunes d'œufs, mélanger les jaunes avec le sucre restant jusqu'à blanchiment, ajouter le beurre restant fondu, puis la farine dans laquelle vous avez mélangé la levure, ajoutez ensuite l'eau de vie de prune, et les blancs battus en neige. Versez cette préparation sur les mirabelles caramélisées et mettez dans un four préchauffé à 180° pendant 35 minutes. Attendez une dizaine de minutes avant de le démouler. Régalez-vous!
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Nous sommes partis avec 3 de nos petits-enfants faire une jolie virée sur la côte d'Opale...De Calais au Tréport (côte d'Albâtre), en passant par les caps, Berck, la baie de Somme...Voici quelques photos de notre balade!
A Calais, nous avons voulu montrer ce dragon à Axel (10 ans); il est complètement articulé et très expressif car ses yeux, ses oreilles, sa gueule et ses ailes sont mobiles! iI fait 10 à 15 m de haut, 5 à 17m 50 (ailes déployées) de largeur, 25 m de longueur et pèse 72 tonnes, il avance à 4 km à l'heure. 4 à 17 personnes sont nécessaires pour le manipuler. De là; direction le cap blanc nez...Axel est perplexe...Nous lui avions dit qu'une immense plage de sable fin s'étendait au pied de la falaise; c'était sans compter sur la marée haute! Je te promets Axel que tu n'auras pas ces déboires quand tu partiras dans quelques jours en vacances au bord de la Méditerranée! lol
Après le cap blanc nez, direction le cap gris nez; plus bucolique, avec les moutons qui paissent et une vue sur les côtes anglaises; pas visibles sur la photo.Le propriétaire de la chambre d'hôtes où nous résidons nous a dit que c'était signe de pluie dans les prochains jours!
Après les caps et une baignade dans la baie de Wissant (entre les 2 caps), nous voici à Wimereux;(banlieue de Boulogne sur Mer) avant d'aller ravitailler tout ce petit monde, nous faisons un tour de grande roue avec une jolie vue sur la ville et les dunes qui l'entoure.
Ce jour-là; nous sommes au Crotoy, dans la baie de Somme; et c'est en bateau que nous en faisons le tour, en compagnie de quelques veaux marins, pas faciles à photographier car ils sautaient autour du bateau!
Nous en verrons beaucoup d'autres; ce sera pour un prochain article! En attendant...à bas les masques!!! lol
Nous 'redescendons' sur la côte d'Albâtre, à quelques km du Tréport, avec ces hautes falaises de craie et ses plages de galets....
nous pouvons voir nettement ce qu'il reste d'une construction...qui a terminé sa chute sur la plage en-dessous.
De nombreuses maisons sont menacées sur cette côte... Bon dimanche à vous qui passez par ici!
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En ce début de semaine; j'ai Axel en garde, et quand son papa me l'a amené hier matin, Axel était couvert de plaques de boutons...Avant de l'emmener chez le médecin, j'ai fait un détour par la pharmacie, et là, le pharmacien a été formel; Axel faisait une réaction allergisante aux chenilles urticantes!
La veille, Axel était allé faire du vélo en famille dans une forêt; ils ont bien vu une pancarte signalant ces chenilles, mais ils n'ont pas pensé qu'en faisant du vélo sans quitter les chemins celà pouvait être dangereux! Voici ce que j'ai trouvé sur le net à propos de ces chenilles, j'ai pensé que ce problême méritait qu'on en parle.
Au printemps, les colonies de chenilles urticantes font cycliquement leur apparition dans notre environnement. Elles peuvent entraîner des troubles de la santé tels que démangeaisons, conjonctivite, maux de gorge… La vigilance est donc de mise, en évitant tout contact avec les chenilles, leur nid et les zones potentiellement infestées.
La chenille processionnaire du pinEn Hauts-de-France, c’est la chenille processionnaire du pin (Thaumetopoea pityocampa) qui est la principale espèce proliférative. Elle en passe de conquérir la presque totalité du territoire français, remontant du sud vers le nord à la faveur du changement climatique. Cette espèce invasive constitue un véritable sujet de préoccupation sociétale. La toxine contenue par les soies urticantes de la chenille processionnaire du pin (met en danger le bétail, les animaux domestiques mais aussi les êtres humains. De plus, sa vorace activité défoliatrice réduit la croissance et fragilise les forêts de pins et cèdres. Quelques semaines après son éclosion, la chenille processionnaire se dote de soies urticantes qu’elle libère lorsqu’elle se sent en danger. Ces soies, en forme de harpon, peuvent se fixer sur l’épiderme, les yeux ou les voies respiratoires de quiconque s’approche de l’insecte. Il suffit alors de se gratter pour qu’elles se cassent et diffusent dans l’organisme une protéine toxique appelée thaumétopoéine. Les animaux sont les premières victimes de cette contamination (chiens, chats, chevaux, moutons et vaches). Curieux, ils ne manqueront pas de coller la truffe ou la langue sur une belle procession de chenilles. L’inflammation et l’œdème de la langue ou de la muqueuse buccale résultants peuvent les empêcher de se nourrir ou de s’abreuver. L’envenimation peut aller jusqu’à des nécroses sur toute la région buccale. Les ablations de la langue ne sont pas rares dans ce cas. Nombreux sont les vétérinaires ayant dû sacrifier des animaux gravement blessés par la processionnaire. Les conséquences sur l’homme sont généralement moins graves. La plupart du temps, une exposition aux soies urticantes de la chenille se traduit par une simple démangeaison accompagnée de boutons qui disparaissent au bout de deux ou trois jours. Parfois, la réaction va jusqu’à l’œdème. Dans certains cas très rares, au maximum 2 à 3 % de la population, cette exposition peut conduire à un choc anaphylactique, une réaction allergique exacerbée nécessitant une hospitalisation. À noter que chez les personnes en contact régulier avec la processionnaire (travailleurs forestiers, chercheurs spécialistes de la chenille), la réaction peut aller crescendo au fur et à mesure des expositions. Cycle biologique de la processionnaire du pinÉté : Ponte des œufs des papillons dans les pins et 1ères éclosions des larves de papillons (chenilles). Automne : Construction des nids par les chenilles. Evolution biologique des chenilles (différents stades larvaires), qui se nourrissent, la nuit, des aiguilles de pins. Hiver Hibernation des chenilles dans les nids. Printemps : Descente en file indienne des chenilles pour s’enterrer dans le sol. Transformation en chrysalides, puis en papillons qui sortiront de terre à partir du mois de juin. La chenille processionnaire du chêneCette chenille provoque des défoliations chez le chêne et des troubles pour la santé humaine ou animale. Elle apprécie les lisières des forêts et affectionne les peuplements peu denses. Au printemps, les chenilles se dotent de longs poils soyeux caractéristiques, mais aussi des poils microscopiques contenus dans des glandes et qui peuvent être éjectés en cas de stress de l’animal. Ce sont ces poils microscopiques et très durs qui contiennent une protéine toxique susceptible de déclencher des irritations très intenses de la peau et des muqueuses (démangeaisons, conjonctivites, toux irritatives,…), mais aussi parfois des réactions allergiques (urticaire, asthme,…), qui deviendront de plus en plus sévères si les contacts avec l’allergène se répètent. Pour les randonneurs ou les riverains, le risque sanitaire est maximal en mai-juin. Les nids tissés par les chenilles sur les arbres pour abriter leurs nymphes retiennent cependant une multitude de poils qui resteront urticants plusieurs années s’ils sont préservés de l’humidité. Quels sont les risques pour la santé ?Les chenilles processionnaires possèdent des poils très urticants qui peuvent se détacher très facilement sous l’effet du vent ou lors d’un contact. Ils peuvent être à l’origine d’atteintes cutanées, oculaires, respiratoires ou allergiques chez les personnes exposées. Ces effets sur la santé n’impliquent pas nécessairement un contact direct avec les insectes : les poils peuvent rester présents à proximité des nids, même quand les chenilles ne sont plus présentes. Ils peuvent restent dans les nids, même vides, plusieurs années. Le danger augmente au fur et à mesure du développement des chenilles, la période à risque la plus élevée étant la période des processions en début d’année. Les effets sur la santé sont loin d'être négligeables. Les manifestations sont variables suivant la sensibilité de la personne et peuvent être graves chez les enfants en bas-âge et les personnes allergiques. Contact avec la peau : apparition d’éruptions douloureuses, de plaques rouges, avec des démangeaisons sévères ou des sensations de brulures. Les poils urticants se dispersent aisément par la sueur, le grattage et le frottement ou par l'intermédiaire des vêtements. Contact avec les yeux : développement d'une conjonctivite (yeux rouges, douloureux et larmoyants). Des réactions inflammatoires sévères peuvent apparaitre si un poil urticant s’enfonce profondément dans les tissus oculaires. Inhalation : les poils urticants irritent les voies respiratoires. Cette irritation se manifeste par des éternuements, des maux de gorge, des difficultés à déglutir et éventuellement des difficultés respiratoires (crise d’asthme). Ingestion : les poils urticants provoquent une inflammation des muqueuses de la bouche et des intestins qui s'accompagne de symptômes tels que de l'hypersalivation, des vomissements. |
J'en entends qui vont dire 'Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple?' lol..Bien sûr, comme beaucoup d'entre vous, j'ai déjà repiqué des boutures directement en pleine terre en croisant les doigts pour que ça reprenne!
Alors quand j'ai vu cette façon de procéder sur un site de jardinage (sur 'Comment ça pousse' aussi, il y a quelques jours), et qu'une copine 'très bonne jardinière' m'a dit que cette façon de bouturer était très efficace...je me suis lancée! Ça ne m'a pas semblé laborieux; au contraire, c'est une activité délassante et je dirais même ludique, du moins, en ce qui me concerne, donc, pourquoi ne pas faire quelques essais? Résultat? Au bout de 3 semaines; 14 boutures réussies sur 17! Si vous avez envie de vous lancer?
La première chose à faire est de désinfecter votre sécateur, ça parait tout bête, mais la moindre bactérie peut tout faire rater! Ensuite, nettoyez des petits pots en plastique, j'ai mis un peu de javel pour bien les désinfecter...Procurez vous du terreau de bouturage et un peu de sable; quelques batonnets en bois (j'ai utilisé des petites brochettes) et du plastique ; j'ai pris des sacs à congélation de 3 litres; (c'est l'idéal comme taille), et quelques petits élastiques. Partez maintenant faire un tour dans votre jardin avec un petit seau empli d'eau! Vous pouvez bouturer n'importe quelles plantes ou arbustes; lilas, seringat, rosier, romarin, lavande etc, etc... Coupez cette bouture bien nettement, débarrassez-là des feuilles à la base et plongez-là dans votre seau d'eau. Après avoir empli vos petits pots avec un mélange terreau de bouturage et sable,((à proportion égale) piquez-y votre bouture, piquez aussi dans votre pot 3 petits batonnets, humidifiez légèrement, et couvrez le tout avec un sac plastique maintenu par un élastique autour de ce pot. Mettez ces pots à l'ombre, mais dans un endroit chaud...et oubliez-les pendant 3 semaines. L'hygrométrie fera le reste!
Et voici mes jolis petits plants déjà bien vigoureux 3 semaines après!
Je vais les laisser se développer encore quelques temps dans ces pots avant de les repiquer dans des plus grands...et je vais surtout continuer sur ma lancée; trop contente de ce premier essai et du résultat! Mon mari m'a conseillé de mettre un peu d'hormone de bouturage pour mon prochain essai. Bon dimanche à vous qui passez sur mon blog...je suis invitée à 'barbecueter' !!! lol
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Merci pour cet envoi; une jolie carte de Bergues, devenue célèbre grâce à Dany Boon...il va falloir que nous y montions un de ces jours!!! lol...et merci aussi pour le petit paquet de graines qui l'accompagnait; j'adore ces petits bleuets!
J'espère que ces petites graines pousseront bien vite; je les ai déjà semées dans un coin du jardin! |
J'aime beaucoup ces plantes grasses qui ne demandent pas d'entretien et reprennent comme du chiendent!
Au départ, nous en avions 2 pieds dans un vieux muret; mon mari a refait ce muret, en leur laissant 2 trous...ça ne les a pas perturbées; elles sont reparties de plus belle..elles se plaisent aussi bien à la verticale qu'à l'horizontale!!! Comme ces deux pieds se développent à la verticale de ce mur; de temps en temps; quelques petites plantes se 'décrochent'!
Alors, j'en offre autour de moi et j'en repique un peu partout, comme sur cet autre petit muret qui conduit au potager!
Elles se plaisent aussi bien en pot...
qu'en pleine terre!
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J'avais un paquet de carambar qui s'ennuyait au fond d'un placard, et des petits-enfants qui ne les mangeaient pas! J'ai décidé de les utiliser dans ce fondant extra-moelleux; Je vous assure qu'il n'en est pas resté une miette.
J'ai trouvé cette recette sur Marmiton. - 24 Carambar (l'original; au caramel!)
- 30 cl de crème liquide - 150 g de beurre (j'en ai mis seulement 120 g et je pense que 100 ou 110 g pourrait suffire) - 130 g de farine - 4 œufs - 1 sachet de levure chimique. Préchauffer votre four à 150°, de préférence à chaleur tournante. Mettre les carambars dans un plat adapté au micro-ondes et faites-les fondre avec la crème liquide; quand tout est fondu, ajoutez le beurre coupé en dés, et remettez à fondre quelques petits instants, mélangez bien le tout, il faut que la préparation soit homogène. Ajouter les œufs 1 par 1 en mélangeant bien entre chaque. Dans un bol, mélez la farine avec la levure et ajoutez-la en la tamisant à la préparation au carambar. Versez cette préparation dans un moule beurré et fariné; n'utilisez pas un moule à charnière, car la pâte est assez liquide! Enfournez pour 15 minutes; au bout de ce temps, augmentez la chaleur du four à 180 ° et laissez cuire encore une dizaine de minutes; surveillez au bout de ce temps avec la pointe d'un couteau; elle doit ressortir légèrement humide; trop cuit, il sera trop sec et plus du tout extra-moelleux! Et je vous assure qu'il est très moelleux...j'ai eu le temps d'en prélever une minie-part pour y goûter, avant que deux de mes petits-enfants et deux copains se ruent dessus en revenant de faire une partie de foot...ça creuse!!!
Bien sûr; gardez les emballages; ils seront trop contents de vous lire toutes les blagues...comme celle-ci; lol!
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La récolte des potimarrons sera belle cette année!
Ceux-ci sont plus petits; mais ils sont nombreux sur un tas de compost!
Les petites tomates grappes commencent à murir...
Du côté des courgettes; pas de soucis pour la récolte!
Les haricots sont beaux; mais ils ont été plantés plus tardivement...
Je ne passerai pas sous le mirabellier sans croquer les premières mirabelles; la première tarte dans quelques jours!
Encore une belle récolte en perspective!
Je ne peux pas m'empêcher de vous montrer ce dahlia...avec 2 fleurs aux teintes différentes sur le même pied!
Belle journée à vous qui passez par ici!
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Après avoir fêté dignement (lol) leur 18 ans et leur réussite au bac; une bonne journée de détente s'imposait pour Lucas et Paola! Et c'est en compagnie d'Axel et de Maël (lui aussi reçu au brevet, avec la mention 'très bien') que nous sommes partis passer la journée au parc des félins; ce parc situé en Seine et Marne; à 60 km à l'est de Paris.
Une jounée de détente, sous le signe de la bonne humeur!
Nous sommes donc partis tous les 5 dans ce parc consacré exclusivement aux félins; on peut en voir 140; du plus petit (il y a de nombreuses races de chat)...aux plus gros; tigres et lions.
Un peu de marche s'imposait car ce parc fait 60 ha et de nombreux chemins le parcourent, afin de permettre aux visiteurs d'admirer ces félins dans les grands espaces qui leur sont consacrés! Il y a plusieurs circuits pédestres; l'Afrique, l'asie, l'Amérique, il y aussi un îlet où on peut voir les lémuriens s'ébattre en liberté...et un espace plus ludique avec des biquettes! On peut visiter aussi ce parc en petit train, pour ceux qui ont des difficultés à marcher. Par contre, je ne sais pas si nous avions choisi la bonne journée pour cette visite; il faisait très, très chaud hier...et tous les animaux étaient 'en mode paresse!' lol
Nous admirons ce lion du haut d'une passerelle...nous avons eu la chance de le voir bouger... il s'est tout simplement replacé un peu plus à l'ombre, à 2 m de là!!! lol dur, dur, la vie du roi des animaux!
Ses lionnes sont près de lui, pas plus actives!
Un bon gros chat, avec la posture de celui qui ne s'en fait pas!
Vous pouvez toujours me prendre en photo...ça ne me perturbe pas! Décidemment...il fait trop chaud pour remuer!
Même les lémuriens, d'habitude si actifs, ne broncheront pas!
D'autres photos de ces lémuriens? C'est ICI! Seules les biquettes sont actives!
Heureusement, le parc est très ombragé; il y a d'ailleurs de magnifiques arbres dans ce parc...j'y suis sensible, car j'adore les beaux arbres!
Même les pieds commencent à chauffer...n'est-ce pas, ma chérie? Sortons les 'vieilles' baskets'!!!
Pour terminer la journée, nous décidons de faire un dernier tour du parc, mais en petit train cette fois...ce sera donc masqués! lol
Plus d'informations sur ce parc? Suivez ce LIEN. |