Un petit mot de Maéva (Bureau de presse AGROALIMENTAIRE) pour nous faire découvrir de nouveaux produits de la maison (KER CADELAC).
Un moment de pur bonheur signé KER CADELAC.
Ce sont des P'tites bouchées de tendresse et de gourmandise que nous offre KER CADELAC. Les P'tites bouchée noisettes avec des éclats de noisettes qui viennent harmonieusement texturer la pâte mœlleuse...irrésistible !
Les p'ites bouchées chocolat avec leur pâte tout chocolat, ponctuée de pépite de chocolat croquantes... tout simplement indécentes! les p'tites bouchées agrumes, dont les marquants font éclater en bouche des saveurs de mandarine, d'orange sanguine et de citron.... un pur moment de bonheur ! Savourer les p'tites bouchées KER CADELAC, c'est comme prendre un bon livre, s'installer au soleil et s'évader, laisser la sérénité nous gagner : un petit moment rien qu'à soi, qu'on choisit de partager... ou pas, je choisi de le partager avec vous en toute simplicité ...... Merci à mes deux partenaires !
Maéva (Bureau de presse AGROALIMENTAIRE) et la maison (KER CADELAC). |
Encore une belle balade avec Chantal et J-C, nous avons adoré !
Situé dans l'Aisne, ce système d'habitation sociale créé au XIX e siècle par l'industriel visionnaire Godin est patiemment restauré depuis près de dix ans. On ne peut pas vraiment imaginer ce que l'on va trouver lorsque l'on part visiter le familistère de Guise. Cité ouvrière à visée sociale construite au XIX e siècle par l'industriel Godin, elle porte un nom qui ne renvoie qu'à lui-même et fut au cœur d'un système aujourd'hui disparu. Mais le lieu, situé dans l'Aisne, a encore une âme et présente un intérêt historique indéniable. Une idée incroyable non ?
Le familistère est, à l'origine, un système d'habitation sociale né dans la tête d'un patron visionnaire. Organisé autour des fonderies et de la manufacture de poêles à chauffer Godin, il se proposait d'être un ensemble en autogestion dans lequel hygiène, participation sociale et valeurs éducatives faisaient bon ménage. Jusqu'à 2000 personnes, dont Godin, vécurent dans la cité, et profitèrent des écoles, du théâtre, de l'économat, du jardin d'agrément et de la buanderie-piscine. «Le plaisir de chacun est augmenté du plaisir de tous», indiquait Jean-Baptiste Godin dans ses écrits, à une époque où la révolution industrielle justifiait tous types de comportement vis-à-vis de la main-d'œuvre, y compris les plus durs. «Le familistère est une interprétation critique du phalanstère de Fourier», explique Frédéric Panni, conservateur du patrimoine et responsable du lieu. Nous continuons l'histoire :
Chacun était copropriétaireL'intérêt actuel de ce patrimoine industriel tient tout d'abord à son état de conservation. Classé monument historique en 1991, il est patiemment restauré depuis dix ans, grâce à un projet local baptisé Utopia (43 millions d'euros). Avec l'aide de la Ville et du département, les bâtiments de briques rouges ont désormais presque l'air neuf, avec ce petit côté austère et efficace voulu par Godin. Que de belles inventions il en a créer ce Monsieur Godin!
Le deuxième intérêt du site réside dans son architecture. Elle fut pensée en fonction du projet social, et reflète les avancées modernistes de ce patron hors normes. Les trois immeubles d'habitation donnent sur de vaste cours, aérées. Les appartements possèdent plusieurs pièces, des vide-ordures, et du chauffage. Les écoles étaient mixtes et obligatoires, une piscine éduquait les enfants au sport et à l'hygiène du corps, un théâtre offrait la possibilité de se cultiver. Le familistère fonctionnant en autogestion, chacun était copropriétaire. De vieilles photos montrent des fêtes collectives, ainsi que la remise de médailles aujourd'hui désuètes aux travailleurs méritants. On comprend, au passage, que le familistère n'a pas passé la rampe de Mai 1968, la coopérative s'étant délitée juste au moment où la France basculait dans les revendications. Né de parents modestes, Godin fut d'abord serrurier, «et c'est en faisant son tour de France qu'il a été confronté à la misère du monde ouvrier», raconte Bruno Ayraud, chargé de programme et de coordination du programme Utopia. Devenu un industriel prospère, à la tête des usines de poêles Godin, il décidait à partir de 1859 de faire construire, à deux pas du site de production de Guise, une cité pour 2 000 habitants, destinée à loger les ouvriers, les directeurs et Godin lui-même.
Rien ne manquait aux ouvriers !
À l'époque de sa construction, qui débuta en 1859, le Familistère est un modèle d'hygiène et de confort. Les trois grands pavillons sont organisés autour de vastes cours sous verrière, baignées de lumière. Il y a l'eau courante, des sanitaires et des vide-ordures à tous les étages. Les équipements permettent aux Familistériens de vivre en totale autonomie : des économats pour faire les courses, une buanderie, une pouponnière et une école pour les enfants. Un théâtre et même une piscine sont construits. (Une piéce unique !)
L'usine fut amputée du Familistère. Tandis que les poêles continuaient de sortir des chaînes de production, la cité d'habitation sombra doucement, notamment parce que les propriétaires étaient bien en peine de maintenir en état les gigantesques parties communes. Les écoles et le théâtre continuèrent de fonctionner mais le reste des installations menaçait ruine. Surgit alors l'idée qu'il y avait beaucoup à tirer du souvenir de cette aventure humaine. À partir de l'an 2000, un syndicat mixte fut créé, 25 millions d'euros investis pour rendre son aura à ce site quasi unique au monde. Belle invention mesdames "une machine à laver", c'est dingue !
Le plus étonnant est que cette cité sociale de brique rouge n'est pas seulement le projet généreux d'un patron d'industrie, soucieux de ses employés. Dans le système échafaudé par Godin, l'usine comme le Familistère fonctionnent en autogestion. Chaque employé en est en partie propriétaire. « Pour Godin, le projet économique allait de pair avec le projet de société », explique-t-on au Familistère. L'homme était parvenu à faire de l'utopie une réalité. Celle-ci perdura, puis périclita jusqu'à prendre fin en 1968. ! Et celle-ci ?
Les appartements sont rachetésDésormais, les appartements du Familistère sont rachetés au fur et à mesure à leurs propriétaires. Les grands chantiers de rénovation ont démarré. Ils sont même, pour certains, achevés. Ainsi, la piscine aux carreaux de briques rouges et beiges peut à nouveau se visiter depuis le début de l'année. Quant aux économats, ils abritent l'accueil et la buvette. À côté, le théâtre est en cours de restauration, tout comme l'appartement de Godin dans l'aile droite du Palais social. À la fin de l'année, on pourra y découvrir l'histoire et la pensée de cet homme qui croyait au «devoir d'employer davantage la richesse au profit des populations qui la produisent». Journée instructive pour nous ....
Pourquoi à notre époque des gens comme Monsieur Godin n'existe plus ? Quelque 30 000 visiteurs viennent désormais à Guise chaque année et la rénovation va se poursuivre. En 2009, l'ouverture des premiers aménagements du pavillon central dévoilera les dessous de cette machine à habiter performante et moderne. À cette fin, les promoteurs du projet Utopia ont prévu de trancher le bâtiment. Cette coupe transversale mettra à nu les planchers, les voûtes, les cheminées, les systèmes de circulation d'air… D'autres aménagements sont prévus : la rénovation de nouveaux logements ou la création d'un hôtel susceptible d'héberger aussi bien des amateurs d'établissements étoilés que des étudiants aux moyens modérés. Histoire de continuer à réunir toutes les strates de la société, en toute équité. Le Familistère n'en a pas fini avec l'utopie. Source : Le Figaro.fr |
Comment passer dans l'aisne sans aller voir nos amis Chantal et son mari( entreprésetchamps) ?
Ils avaient décidé de nous faire voir comment ce passe la fabrication de ce fameux fromage le Maroilles, j'en rêvais depuis longtemps. Le couloir de visite des caves d'affinage et le magasin sont ouverts du lundi au jeudi, les visites se font 1h avant la fermeture.
Le Maroilles est un fromage de lait de vaches à pâte molle à croûte lavée qui contient au moins 50% de matiéres grasse.
Nous avons regardé un petit film pour nous faire connaître le fromage, le couloir de visite nous fait découvrir l'affinage et bien d'autres choses!
La fabrication du fromage "Maroilles" comporte trois stades principaux:
- la fabrication du caillé ou du blanc ; - la poussée du bleu qui a lieu au séchoir ; - l'affinage proprement dit qui se fait en cave. Le Nord aussi a son fromage, produit depuis le 7ème siècle dans la thiérache.
Le Maroilles, doit son nom à une petite commune de Nord ou existait jadis une importante abbaye dans laquelle furent affinés les premiers fromages Maroilles du nom de l'antique village gaulois : MARO-IALO qui signifiait - Grande Clairière- Je vous passes les détails, mais ce jour là nous avons été reçu comme des rois, la visite était agréable et parfaite.
Aujourd'hui, la société LEDUC se fait une règle d'or :
"la Qualité". 4 route de la Capelle 02260 Sommeron. télp : 0323972386, 0323978109 www.leduc.maroilles.com Lorsqu'on vous parlera du Nord, ne pensez plu seulement industries, charbon, mais songez à cette partie des régions Nord et Aisne: la Thiérache, jardin du Nord et n'oubliez surtout pas de goûter au produit du cru, au Maroilles et vous serez séduits par son inimitable et riche saveur. |
Repas entre voisins et amis, bien commencé avec des mojitos, mon apéro préféré !
Une verrine, avec thon mayonnaise, poivron rouge, tomate verte et jaune, carotte, melon.
J'ai servi, un poulet rôti au four et des papillotes de pommes de terre farcies au maroilles.
Et le dessert sera, coupe de glace à la vanille et fruits rouges du jardin!
Cassis, casseilles, framboises, fraises, groseilles à maquereaux. Macarons frais! Nous avons passé une superbe soirée !
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Nous sommes partis quinze jours rejoindre nos enfants et petits- enfants!
Impossible (pour moi ) de ne pas cuisiner et là croyez moi il ne vous faut pas grand- chose! Une pâte feuilleté du commerce, des saucisses, du fromage râpé, un peu de poivre! étendre la pâte, coupez des lanières sans découper jusqu'au bout, juste de quoi pouvoir passer les saucisses. Passez les saucisses une par une(en dessous puis en dessus). Mon petit- fils Kévin a voulu ajouter du fromage râpé, moi du poivre(j'adore).
Cuire 15 à 20 minutes au four à 180.
Entre nous! c'était passablement bon, je dirais même très bon, servi à l'apéro ou tout simplement avec une belle salade !
Je vous souhaite un bon week- end !
Source(facebook) |
Les premières framboises et fraises arrivent au jardin, quel bonheur!
Les bricks seront découpés en rectangle, pour les beurrer avec du beurre fondu une par une. Je les cuis 15 à 20 minutes en les surveillant! La crème et le sucre vanillé seront monté en chantilly.
Le socle sera composé de deux bricks, j'étale la chantilly, les fraises, les framboises, je remets une brick, chantilly, fruits, tout a été épuisé en finissant par la chantilly et les fruits.
Ce dessert est délicatement bon, je vous le conseille en parts individuelles!
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Que faire avec vos cerises !
Cerises à l'eau de vie ? Cerises au vinaigre ? Gâteaux ?
Plein d'idées me viennent et vous ? |
Non, cerises au vinaigre,
Pour déguster avec une viande froide, pour remplacer vos cornichons, pour tester lors d'un apéro, entre amis, cela change et c'est bon! Après avoir, laver, équeuter, trier, vos cerises, les disposer, avec des épices, herbes aromatiques, dans un joli bocal, les recouvrir d'un bon vinaigre, fermer, c'est prêt ! Vous pouvez aussi faire chauffer votre vinaigre avec les épices, et recouvrir, à vous de choisir ! |
Avec ce temps maussade et pluvieux rien de plus réconfortant qu'un bon gâteau en toute simplicité!
Pour 6 personnes: préchauffer le four à 200°. Mélanger 5 œufs, 200g de noisettes en poudre, 200 g de sucre, 1 sachet de sucre vanillé, 1 c. à soupe de farine et 1 de rhum. Faire une pâte lisse, beurrer et fariner un moule. Verser la préparation dans le moule et faire cuire 40 min à 200°. source: l'almanach 2015 des régions. Jean-pierre Pernaut. La vraie version est composée de poudre d'amandes que je n'avais pas dans mes placards, je l'ai remplacée par de la poudre de noisettes toute aussi bonne.
Décoration: faire fondre un peu de gelée de mûres ou autres! |
Même en juin nous avons besoin de chaleur, je suis allé ramasser du cresson au jardin(je ne prends que le haut, bien rincer sous l'eau, j'ai ajouté deux pommes de terre, 1 cube, 1 oignon nouveau, un peu d'eau !
20 minutes au blender chauffant ou en autocuiseur seront suffisantes. Le cresson du jardin, monte vite, j'ai préparé un grand sac pour congeler (soupe d'hiver) ou autres!
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Dimanche il a plu toute la journée, je pouvais me servir du four sans me soucier de la chaleur, allons-y pour une tarte au maroilles!
Dans mon robot pour une belle pâte levée: 250 g de farine, 1 sachet de levure de boulanger, 15 cl de lait tiède, 40 g de beurre fondu, 1 cc de sucre, 1 p de sel, 1 œuf. Laissez tourner le robot pendant 10 bonnes minutes, la pâte ne doit plus coller et former une boule. Laisser pousser une bonne heure voir plus! Quand la pâte a doublé de volume, étaler-là au rouleau, former un cercle, couvrir et laisser pousser 30 minutes.
Après la pousse coupez le maroilles (250 g) en morceaux pour le déposer sur la pâte, poivrer bien! Enfourner la tarte au maroilles dans un four préchauffer à 200, 20 bonnes minutes!
Dégustez la bien chaude et servez avec une belle salade (jardin pour nous).
La tarte au maroilles doit se déguster bien doré, sa pâte doit être légère et croustillante, une tuerie!
Je vous laisse le choix avec le vin, alors qu'avez-vous décider ? Souce:Pep's en y ajoutant mon grain de folie! |
Changement de temps depuis hier soir!
Le vent s'est levé, limite froid, mais pour le moment pas de pluie! J'en profite pour vous faire voir le commencement des fleurs du rhododendron ! Il est magnifique !
Au fond du jardin, bien protégé, mi-ombre, mi-soleil !
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