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MARC ET SYLVIE

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"De la femme vient la lumière
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 Autour d'elle tout s'organise".
Louis Aragon

Coups de coeur des hôtels; restaurants; voyages; recettes.
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Mes premiers Baos

 23/06/2025

Aujourd'hui, je laisse la parole à Nicolas !

Mais qu'est-ce qu'un Bao?

Le bao est un pain farci que l’on trouve au Viêt Nam. Inspiré des baos originaires de Chine, il est préparé avec une farce qui peut être différente et qui vous convient.

Pour la réalisation de cette recette je me suis inspiré du site You tube "Le riz jaune" !



Les ingrédients pour cette recette:
(préparation et cuisson 45 minutes à 1 heure pour 6 à 8 baos)

-une pâte à pizza épaisse
-400g de hachis
-ciboulette
-2 càs d'huile de sésame
-sauce soja


Mettez le hachis dans un saladier.
Incorporez l'huile de sésame et la ciboulette.
Réservez.

Étalez la pâte et formez 6 à 8 boudins.
Formez des boules puis étalez-les en disques de 10 cm de diamètre environ.


Déposer une boule de farce au centre de la pâte.


Maintenez la farce à l'aide du pouce de la main gauche, ensuite du pouce et de l'index de la main droite, tirer sur le bord, faire 1/4 de tour puis de l'index ramener la pâte vers le pouce afin de former un pli, serrer pour souder et ainsi de suite.


Une fois la farce enfermée, déposez le bao sur le carré de papier sulfurisé.
Faites cuire ensuite les baos à la vapeur pendant 15 à 20 minutes.

Et il n'y a plus qu'à déguster !

Vous pouvez retrouver d'autres recettes asiatiques sur ce lien.




Poursuivons la visite du musée départemental du sel situé à Marsal, commune du pays saulnois en Moselle.

Ici, salle 2 - Le saulnois à l'époque romaine !

Vous pouvez voir ou revoir la visite de Marsal depuis le début sur ce lien.

(15 clichés)


Stèle dédiée à l'empereur Claude !
Les citoyens de l'agglomération urbaine de Marsal ont édifié ce monument en l'honneur de l'empereur Claude, qui a permis aux gaulois de s'intégrer à l'empire romain.

La stèle donne le nom antique de Marsal, "Marosallum", que l'on peut traduire par "la grande saline".


Ce décor romain permet de comprendre l'extraction du sel.
Ici, un manège de chevaux entraine une poulie qui va chercher au fond du puits l'eau salée.


Cette eau salée est dirigée vers une maison juste à côté qui va s'occuper d'en extraire le sel.


Ces objets proviennent du trésor de Vic-sur-Seille (57).
On y trouve des éléments de candélabre, une patère ou encore une balance à plateau.
Tous ces objets sont en bronze.


Moulin à sel !


Salle 3 - Moyen-Âge, le saulnois des évêques et des ducs !


Gisant d'un ecclésiastique !


Vierge à l'enfant !
Statue provenant de Marsal d'un atelier d'influence champenoise (16e siècle).


Notre dame de Bon Renom !
À l'origine, cette Vierge ouvrante devait contenir la Sainte trinité.
Elle a servi de moyen de transport dans le commerce du sel.


Reliquaire provenant de l'ancienne collégiale Saint-Léger de Marsal.


Chaise à sel !
La petite histoire dit que l'on mettait le sel dans le coffre de la chaise au moment de son extraction et que l'on y asseyait grand-mère.
Cela évitait les vols......


Salle 4 - Temps moderne, entre Duché et Royaume, une citée convoitée !


Tableau signé Van der Meulen représentant la remise des clés de Marsal au roi Louis XIV en 1663.


Vous avez même la possibilité d'écouter les portraits parler de leur vécu.....

C'est un très beau musée que nous recommandons !



Marsal se situe au cœur du pays du Saulnois.
Il y a 200 000 millions d'années, la mer du Nord descendait jusqu'en Lorraine.
Aussi, dès l'âge du fer, une exploitation des « mares salées » s'est développée à une échelle quasi-industrielle : elle produisait 20 000 tonnes de sel par an.

Les nombreuses sources salées sur le territoire Marsal, fortifié dès le XIIIe siècle, suscite la convoitise des ducs de Lorraine, des évêques de Metz et des rois de France.


Vous pouvez voir ou revoir la visite de Marsal depuis le début sur ce lien.

(10 clichés)


Le musée départemental du sel, installé dans la porte de France, vestige des fortifications de Vauban, évoque l'histoire de Marsal, ancienne place forte, mais raconte aussi l'histoire de « l'or blanc » à travers les techniques de production du sel, de la préhistoire à nos jours.


Il présente une partie des collections provenant des fouilles du briquetage de la Seille, qui illustrent les relations complexes de l'homme au sel au cours de l'histoire.


Salle 1 - Prestige et vie quotidienne à l'âge de fer !

Le Musée départemental du Sel évolue au rythme des découvertes autour de l’archéologie du sel dans le Saulnois, au coeur du plus important site européen de briquetage protohistorique.


Si l’archéologie du sel est le thème majeur, le visiteur peut aussi y découvrir l’histoire et l’archéologie du Saulnois.

Ici, une meule utilisée dans la vie quotidienne des gaulois.


Répliques de vases en bronze découvertes en 1927 à Basse-Yutz(57) sur les chantiers de la Société des Chemins de fer d'Alsace-Lorraine.
Les originaux datent de l'Âge de fer.


Moulage d'un fourneau à saumure !


La production du sel se faisait à partir d'une saumure à saturation chauffée qui était évaporée dans des cuvettes en terre cuite installées au-dessus du feu, sur des grilles constituées de barres en terre cuite.
Les fourneaux ont généralement une forme de fer à cheval, avec une banquette centrale.


Barre de fourneau et godet à sel.


Reconstitution de pain de sel.

À bientôt pour la suite de cette visite !



Il y a peu, j'ai réalisé des nems poires, pommes et fromage de chèvre (ici) avec de la pâte filo.
Nous avons adoré.
J'ai donc voulu essayer de réaliser des nems classiques avec de la pâte filo....et nous avons, encore une fois adoré !


Les ingrédients pour cette recette:
(4 à 6 personnes- préparation 45 minutes- cuisson 10 à 20 minutes)

-pâte filo
-100g de crevettes
-100g de vermicelles de soja
-1 oignon
-3 carottes
-2 oeufs
-4 càs de nuoc-mâm
-1 càc de sucre en poudre
-1 càc de gingembre en poudre
-1 càc d'huile de sésame
-sel, poivre


Faites tremper les vermicelles de soja dans un bol d'eau tiède.
Quand ils sont cuits égouttez-les et coupez-les.
Pelez, lavez et hachez l'oignon.
Pelez, lavez et râpez les carottes.
Nettoyez les crevettes et coupez-les grossièrement.

Battez les oeufs en omelette avec le nuoc-mâm, le sucre, le sel et le poivre.
Mélangez les crevettes, les légumes, les vermicelles, l'huile de sésame, le gingembre avec la préparation aux oeufs.


Prenez une feuille de pâte filo.
Répartissez la farce sur la partie basse de la galette.
Pliez le bas de la feuille sur la farce
Rabattez chaque côté
Roulez le rouleau afin d'obtenir un nem.


Huilez un plat allant au four et disposez les filo-nems.
À l'aide d'un pinceau de cuisine, huilez légèrement vos nems et glissez le plat dans un four à 200° (+ou-selon le four) pendant une quinzaine de minutes.


Dégustez aussitôt sortis du four!

Bon appétit!

Vous pouvez retrouver d'autres recettes asiatiques sur ce lien.



La commune de Marsal est située dans le Saulnois au sud du département de la Moselle, à 8 kilomètres au sud-est de Château-Salins et à 4 kilomètres à l'est de Moyenvic.
Elle fait partie du parc naturel régional de Lorraine.

Le site de Marsal est implanté dans une plaine alluviale marécageuse, entouré par deux bras de la Seille.
Cette ancienne ville située sur l'ancienne voie romaine de Metz à Strasbourg a été marquée par l'exploitation du sel, émergeant sous la forme de sources salées.

Marsal est aussi une véritable ville fortifiée qui a éveillé́ les convoitises des ducs de Lorraine, des Evêques de Metz, et des rois de France.

Aujourd'hui, je vous propose une balade en pays Saulnois, la visite de Marsal !

Cet article servira de récapitulatif à cette visite:

-Place forte du sel et place forte militaire royale (ici)
-Musée départemental du sel (I) (voir le lien)
-Musée départemental du sel (II) (voir le lien)
-Rencontre avec Olivier Noël, designer et céramiste (lien à venir)
-Promenade en ville (lien à venir)
-Restaurant "Auberge su Saulnois" (lien à venir)

Vous pouvez voir ou revoir nos balades en Moselle en cliquant sur ce lien.


Toponymie du nom "Marsal":

Le nom de Marsal est issu de l'époque romaine.
Marosallum, attesté par une inscription lapidaire en l'honneur de l'empereur Claude datée de 44 apr. J.-C., qui mentionne les « vicani marosallenses ».
Le mot Marosallum associe deux termes gaulois (maro) et romain (sallum), qui signifient approximativement la « Grande Saline ».

Place forte militaire royale:

Marsal fut aussi une place forte militaire plusieurs fois fortifiée notamment par Vauban au 17e siècle.

Vous pouvez voir ou revoir cette balade depuis le début (ici) !

Ce tableau signé Frans van der Meulen (1632-1690) représente la remise des clés de Marsal à Louis XIV en 1663.
Nous voyons Le gouverneur et Le roi en premier plan et la ville fortifée en second plan.



Je ne déroge pas à la règle et je ne termine pas une semaine sans un bon plat de pâtes.
Aujourd'hui, je vous propose une recette simple et délicieuse, les pâtes sauce tomate et sardines.


Les ingrédients pour cette recette:
(4 personnes - préparation et cuisson 30 miutes)

-500g de pâtes
-4 tomates
-échalote, ail
-sel, 4 épices
-2 boîte de sardines aux tomates séchées
-huile


Lavez, pelez et coupez les tomates en dés.
Pelez, lavez et hachez échalote et ail.

Prenez une sauteuse et faites chauffer un filet d'huile d'olive.
Faites-y revenir échalote et ail.
Ajoutez les tomates.
Salez et saupoudrez de 4 épices.
Laissez cuire le tout 5 minutes à feu doux en remuant.
Ajoutez les sardines.
Poursuivez la cuisson 5 minutes sur feu doux.

En fin de cuisson ajoutez 2 louches d'eau de cuisson des pâtes.


Pendant ce temps faites cuire les pâtes le temps indiqué sur le paquet.
Égouttez-les et réservez.

N'oubliez pas de garder 2 louches d'eau de cuisson des pâtes.


Bon appétit !

Vous pouvez retrouver d'autres recettes de pâtes sur ce lien.



Takayama, ville enchanteresse nichée aux pieds de majestueuses montagnes enneigées, entre rivières rugissantes et vallées verdoyantes, au cœur de la nature la plus sauvage, est l'incarnation même du Japon ancien.

Vous pouvez voir ou revoir la visite de Takayama en entier sur ce lien !
(16 clichés)


Kusakabe Mingeikan est le musée des arts et traditions populaires de Takayama, situé dans les Alpes Japonaises.
On y découvre d'authentiques objets d'art et du quotidien exposés au sein d'une ancienne maison traditionnelle de la bourgeoisie japonaise.


Takayama est souvent surnommée la « Petite Kyoto » en raison de son extraordinaire état de conservation.


Les quartiers autour de la rue Sannomachi, parsemés de charmantes constructions en bois, datent de l’époque des samouraïs.


La résidence Kusakabe est la propriété d'une famille de marchands de l'époque Edo (1603 - 1868) qui a fait fortune en tant qu'intermédiaire financier sous le shogunat Tokugawa.


La bâtisse est construite quelques années plus tard, en 1879 et pendant l'ère Meiji (1868 - 1912) qui marque le retour au pouvoir de l'empereur et l'ouverture du pays à l'occident.


En 1966, la maison traditionnelle est transformée en musée d'art populaire (mingei-kan) sous l'impulsion de Reiichi Kusakabe et de son appétence pour le mouvement Mingei en vogue au Japon.


À l'étage on découvre une collection de braseros d'époque ainsi qu'un ancien kimono de mariage bleu.


Le rez-de-chaussée est marqué par la belle hauteur sous plafond de la pièce de vie principale.


Lorsque l’on pénètre dans le Musée d'arts populaires de Kusakabe, le temps semble être suspendu.


L'espace nuit se déploie via différentes petites pièces en tatami qui gravitent de manière agréable et fluide autour des jardins intérieurs.


À l'étage les pièces se montrent davantage réduites.


L'aménagement intérieur de cette résidence de luxe comprend un étage supérieur et plusieurs petits jardins intérieurs.


Au rez-de-chaussée on retrouve le traditionnel foyer central irori qui sert de lieu de rassemblement convivial pour cuisiner et discuter autour du feu entre les membres de la famille ou en compagnie d'invités.


Ancienne maison traditionnelle de la bourgeoisie japonaise......


.......et plusieurs petits jardins intérieurs.



PAIN COCOTTE

 12/06/2025
Cela faisait longtemps que je n'en avais pas réalisé.
Ce matin, j'ai posé ma toque de cuisinier sur la tête et j'ai mis les mains dans la farine....et voilà mon délicieux pain cocotte !


Les ingrédients pour cette recette:

-500g de farine
-1 càc de sel fin
-300ml d'eau
-2 paquets de levure sèche boulangère

Réalisation:

Mélangez la farine et la levure.

Ajoutez 300ml d'eau tiède et 1 càs de sel.
Pétrissez 10 minutes jusqu'à l'obtention d'une pâte homogène.
Recouvrez le bol du robot d'un linge et laissez lever 30 minutes environ.

Recouvrez le fond d'une cocotte en fonte d'une feuille de papier sulfurisé.
Dégazez le pâton et posez-le dans la cocotte.
Recouvrez d'un linge et laissez monter le pâton jusqu'à ce qu'il arrive au bord de la cocotte.
Mettez alors le pain dans un four à 220° pendant 45 minutes.


Il n'y a plus qu'à déguster!

Bon appétit!

Vous pouvez retrouver d'autres idées pains et baguettes sur ce lien !

Vous pouvez retrouver d'autres idées kenwood en cliquant sur ce lien !




Takayama est une petite ville au cœur des Alpes japonaises située à 3h30 de Kyoto.
L’ancienne ville féodale, qui s’est développée économiquement grâce à ses charpentiers, a su garder son charme et une atmosphère authentique dans son centre-ville historique.

Vous pouvez voir ou revoir la visite de Takayama en entier sur ce lien !
(7 clichés)


Aujourd'hui, je vais vous parler de cette salle d'exposition située dans l'enceinte du sanctuaire Sakurayama Hachiman-gu, et qui contient les chars utilisés lors du festival d'automne de Takayama.


La tradition qui consiste à fabriquer des chars, appelés yatais dans la région, remonte à plusieurs centaines d'années.
Leurs premières apparitions datent du 18e siècle, suite aux ravages provoqués dans la ville par la terrible peste bubonique.


L'attention portée aux décors et la minutie nécessaire à la réalisation de ces chefs-d'œuvre avaient pour but de calmer la colère des dieux afin que l'épidémie cesse de se répandre.
Depuis, les chars paradent dans les rues deux fois par an, pendant les festivals de printemps et d'automne.


Les chars présentés dans la salle d'exposition sont pour la plupart pluricentenaires.
D'ailleurs, ils réunissent de nombreux savoir-faire: gravure ou sculpture sur bois, travail et dorure du métal, application de laque et broderie s'affichent sur les niveaux supérieurs de ces énormes structures.


Quand ils défilent, les chars sont illuminés par des lampions appelés chochins.


À leur sommet s'animent les pantins karakuri. Lors des défilés, ces marionnettes de bois, de soie et de tissu sont articulées depuis l'intérieur des chars grâce à des tiges et à des ficelles.



Takayama est une ville japonaise de la préfecture de Gifu, située au cœur des monts Hida dans les Alpes japonaises, sur l'île principale Honshu.

Sur cette photo, la porte du temple Betsuin.

Cet article servira de récapitulatif à cette visite:


-La petite Kyoto des Alpes japonaises (ici)
- Hall d'exposition des chars du festival de Takayama (ici)
- Kusakabe Mingeikan - Le musée d'art populaire de Takayama (ici)

Vous pouvez suivre les aventures de Nicolas au Pays du Soleil Levant depuis le début en cliquant sur ce lien!

(11 clichés)


De son nom complet Hida-Takayama, cette ancienne cité féodale se confirme comme une destination touristique rurale et historique de plus en plus prisée.


Statue en bois non peinte de Dieu japonais Ebisu.
Dieu de la chance, c'est un personnage iconique riant et obèse.


« Takayama » signifie littéralement « haute montagne », un toponyme qui traduit la situation géographique de la ville, sise dans les Alpes japonaises.


Un petit arrêt gourmand entre deux visites......


La balade dans le petit quartier typique japonais révèle de véritables trésors.


Maison traditionnelle d'un samouraï.


Maison japonaise typique.


La matinée se termine par un déjeuner dans un restaurant typique de Takayama.


Les tables sont mises.....


.....il n'y a plus qu'à savourer !

Bon appétit !



Une salade gourmande qui va accompagner avec beaucoup de saveur vos grillades......

Aujourd'hui, je partage avec vous ma salade de tomates, mozzarella et pesto vert !


Bon appétit !



Aujourd'hui, je vous propose un classique de la cuisine familiale.....les pâtes sauce tomate et boulettes de viande.
Le petit délice de nos fins de semaine !


Les ingrédients pour cette recette:
(4 à 6 personnes - préparation 15 minutes - cuisson 35 minutes)

-500g de pâtes
Pour les boulettes:
-500g de viande hachée
-100g de parmesan râpé
-1 oeuf
-beurre
La sauce:
-1 grosse boîte de pulpe de tomate
-quelques tomates
-oignon, ail
-sel, 4 épices
-huile d'olive


Faites cuire les pâtes dans un grand volume d'eau.
Égouttez-les et réservez.

Mettez la viande hachée dans un saladier.

Ajoutez un oeuf, le parmesan.
Salez et saupoudrez de 4 épices.
Formez des petites boulettes.
Faites-les revenir dans une poêle avec un peu de beurre sur toutes les faces.
Réservez.




Dans une sauteuse, faites chauffer un filet d'huile d'olive.
Faites revenir oignon, ail et tomates pelées coupées en petits dés.
Incorporez la pulpe de tomate.
Salez et saupoudrez de 4 épices.
Ajoutez les boulettes, couvrez et laissez cuire 30 minutes sur feu doux.


Au moment de servir, disposez les pâtes dans les assiettes et posez les boulettes par-dessus.

Bon appétit !


Vous pouvez voir ou revoir nos petits plats façon Laurent Mariotte sur ce lien !



Shirakawa-go est un ensemble de villages historiques japonais, situé dans la vallée de Shokawa et célèbre pour leurs maisons traditionnelles aux toits pentus de chaume de style gasshô-zukuri.

Vous pouvez suivre les aventures de Nicolas au Pays du Soleil Levant depuis le début en cliquant sur ce lien!

(11 clichés)


Ici, nous sommes à Ogimachi, le village le plus connu de cette vallée.


Dans ces maisons historiques, les familles entières vivaient sur plusieurs niveaux, chauffées par des foyers placés au centre du rez-de-chaussée (aussi bien pour diffuser le chaleur que pour minimiser les risques d'incendies).


Au dernier étage, sous les combles, on élevait des vers à soie.


La paille couvrante doit être changée environ tous les vingt ans ; il arrive ainsi de croiser des artisans en pleine rénovation sur les toits pentus.


La visite des bâtisses traditionnelles de Shirakawa-go permet de découvrir aussi bien leur architecture spécifique que le quotidien historique de leurs habitants à travers des objets témoins.


Ogimachi abrite plusieurs dizaines de fermes gassho-zukuri bien conservées, dont certaines ont plus de 250 ans.


Les fermes sont des structures assez étonnantes, conçues pour résister aux hivers rigoureux tout en offrant un lieu de travail et de vie, et sont mieux vues soit couvertes de neige, soit entourées de champs verdoyants.


Rappelons que nous sommes dans les Alpes japonaises.


C'est un véritable musée à ciel ouvert d'une vingtaine de maisons gassho-zukuri transférées expressément pour les protéger de la démolition.


À bientôt pour une nouvelle balade !



Le village d'Ogimacchi fait partie de Shirakawa-go qui est un ensemble de villages historiques japonais situés dans la vallée de Shokawa.

Classées au patrimoine de l'Unesco, les maisons traditionnelles aux toits pentus de chaume de style gasshô-zukuri représentent l'attraction principale de cette zone.

Vous pouvez suivre les aventures de Nicolas au Pays du Soleil Levant depuis le début en cliquant sur ce lien!

(10 clichés)


On emploie le nom de Shirakawa-go pour aborder dans son sens large le village historique niché au cœur des Alpes japonaises.
La géographie de la région se veut toutefois un brin plus complexe.


Shirakawa est en effet une zone elle-même composée de plusieurs villages dont Ogimachi (le plus connu) et Hirase Onsen.


Entourés de montagnes, de rizières et de forêts à perte de vue, ces hameaux sont célèbres notamment pour leur architecture.


Ce sont des habitations de style typique séculaire, au toit de chaume très incliné capable de supporter les habituelles fortes neiges hivernales.


Dans ces maisons historiques, les familles entières vivaient sur plusieurs niveaux, chauffées par des foyers placés au centre du rez-de-chaussée.


Au dernier étage, sous les combles, on élevait des vers à soie.
La paille couvrante doit être changée environ tous les vingt ans. Il arrive ainsi de croiser des artisans en pleine rénovation sur les toits pentus.


Le point de vue du village offre ce fameux panorama "carte postale".


Le village d'Ogimachi est très populaire.
Avec près de soixante gassho (habitations), il se montre le plus fourni.
La plupart de ces habitations servent désormais de restaurants, de boutiques de souvenirs, de minshuku (on compte ainsi vingt-cinq chambres d'hôte) voire de ryokan (14 hôtels traditionnels).


À bientôt pour la visite d'une de ces habitations.



La période idéale pour se faire livrer son bois de chauffage se situe au printemps et de manière générale avant la fin de l’été.


Se faire livrer le bois durant cette période permet de le stocker dans de bonnes conditions afin qu'il soit sec au moment de s'en servir.


C'est pourquoi.....


......pour nous, c'est fait !



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